Du plaisir en solo pour cette femme ravissante

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Du plaisir en solo pour cette femme ravissante
La caresse peut devenir un art, dont le corps est d’une part le tableau et de l’autre le pinceau.

chronique
sexe
Romy Siegrist


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Le plaisir de la caresse, en solo comme à deux
Tenter de développer les sens et créer du sens, Romy Siegrist le fait en tant que psychologue et sexologue clinicienne, mais aussi au travers de sa plume. Chaque semaine, les sujets sont abordés avec sérieux mais légèreté, humour et philosophie histoire de valoriser la multiplicité de sexualités. Dans cette chronique, l’experte nous parle des plaisirs induits par le toucher et le fait d'effleurer ou de s'effleurer. La caresse, un plaisir érotique à part entière!
«D’un effleurement à un toucher plus appuyé ou profond en fonction des préférences, la puissance d’une caresse réside dans l’intention qui lui est mise, dans la présence entière au sein du geste.» - Romy Siegrist
«Caresse», nom régulièrement utilisé dans sa forme de verbe transitif pour parler de masturbation, surtout lorsque cette dernière concerne des femmes. Nous pourrions voir dans ce fameux «est-ce que tu te caresses?» du sexisme, et un euphémisme qui peut participer à renforcer la honte et la culpabilité ressenties par certaines personnes pratiquantes. En effet, il est bon de préciser que la réponse serait plus probablement: «Ah non, moi je m’astique, je me frotte, je me tapote, je m’enserre, et/ou je me stimule par vibrations électriques grâce au vibro» que «oui, je me caresse»: et ça, ça ne colle pas tellement avec l’imaginaire doux et sensuel qui est attendu des femmes.
Cela étant dit, la caresse a toute sa place dans le plaisir érotique. Et cela peu importe notre sexe et notre genre, même si le rapprochement affectif qu’elle suggère semble l’avoir reléguée hors des représentations hypersexualisées. Dans le porno mainstream par exemple, nous pourrions avoir l’impression qu’il ne faudrait surtout pas «être touchées», tout en étant touchées à peu près partout (ou justement qu’à des endroits précis).
Comme si la caresse, le toucher conscient (et consenti) venaient du cœur, qu’ils étaient une porte entre les mondes affectifs des partenaires (ou vers le sien), et que le droit d’entrée ne devait être réservé qu’à certaines personnes élues (et pas soi-même). Ce qui est une possibilité, mais nous pouvons gagner à penser la caresse comme une pratique érotique en soi et pour elle-même – et également pour nous-mêmes.
Nos seins, des alliés plaisir à ne pas négliger
D’un effleurement à un toucher plus appuyé ou profond en fonction des préférences, la puissance d’une caresse réside dans l’intention qui lui est mise, dans la présence entière au sein du geste. Dès lors et par ailleurs, on peut s’amuser à se caresser des mains, mais aussi du bout du nez, des ongles, des cheveux, du ventre, du regard, du souffle, des mots.
Et l’on peut dire merci à nos poils et aux fibres C-tactiles résidant autour de nos follicules pileux d’augmenter ainsi le plaisir ressenti. De quoi peut-être jalouser nos amis les chats, mais avant tout s’en inspirer pour intensifier nos libérations d’endorphines, d’ocytocine et de dopamine.
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Quand une personne que nous aimons traverse un burn-out ou une dépression, notre seule envie est de l'aider. Mais comment éviter de se sentir impuissant-e ou de culpabiliser, lorsque nos efforts ne semblent pas avoir le résultat espéré? Dans cet épisode de podcast encourageant et bienveillant, un psychologue nous donne des pistes essentielles.
Destinée à libérer nos émotions, la méthode de l'EFT (Emotional Freedom Technique) est très simple à utiliser et peut constituer une aide précieuse. Dans cet épisode, une psychologue FSP nous détaille les bases de cette pratique, que l'on peut implémenter facilement dans un quotidien chargé.
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Publié le 20/03/2012 à 09h10
- Modifié le 20/03/2012 à 11h19




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* Étude publiée dans la revue " Sexual and Relationship Therapy"


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Pourquoi se fatiguer à faire l'amour à votre épouse ou à votre maîtresse ? D'après une étude* publiée par une chercheuse de l'université de l'Indiana, beaucoup de femmes parviennent à l'extase rien qu'en pratiquant des exercices physiques appropriés. L'auteur de cette publication scientifique remarquable est la ravissante Debby Herbenick (sic). Rien qu'à la regarder, on ne peut s'empêcher de penser qu'elle n'a, pourtant, pas dû manquer de partenaires pour grimper au septième ciel. Ce "coregasme" (sans doigt, ni sexe) fait la plupart du temps appel à la sollicitation des muscles abdominaux. Mais certaines l'éprouvent également en grimpant à la corde ou le long d'une barre, en faisant du vélo, en soulevant de la fonte dans une salle de gym.
L'étude de Debby a porté sur 370 femmes qui reconnaissent avoir connu soit des orgasmes déclenchés par un exercice physique, soit un simple plaisir sexuel. La majorité d'entre elles sont mariées ou vivent en couple. Et 69 % d'entre elles affirment être hétérosexuelles. Voici les principaux résultats de cette enquête.
40 % de ces 370 femmes ont reconnu être des adeptes de ce genre de plaisir solitaire sans les doigts avec au moins dix expériences au cours de leur vie récente. Et pour déclencher la montée du plaisir, aucun besoin d'avoir des pensées cochonnes, même pour aller jusqu'à l'orgasme. Un orgasme que la plupart parviennent à contrôler quand elles sont en public. Mais ce n'est pas le cas d'une femme sur cinq. Ouvrez l'oeil ! Quand Debby les a interrogées pour savoir ce qui déclenchait chez elles la montée du plaisir, une sur deux a mis cela sur le compte d'exercices abdominaux, 26 % l'ont associé au levage de poids, 20 % au yoga, 16 % à la pratique du vélo, 13 % à celle de la course et 10 % à celle de la marche.
Pour celles que cela intéresse, l'exercice abdominal le plus efficace est celui effectué avec l'appareil de gymnastique appelé le captain's chair (la chaise du capitaine). Il s'agit d'un support métallique avec des accoudoirs matelassés et un dossier droit qui permet de lever les jambes à 90 ° devant soi en gardant le buste vertical. Regardez bien les filles qui s'y emploient. La grimace qu'elles laissent parfois paraître ne serait pas systématiquement due à l'effort.
Pourquoi ces exercices déclenchent l'orgasme ou simplement un doux plaisir, la chercheuse Debby Herbenick n'a pas encore d'explications à avancer. Mais elle compte poursuivre sa recherche, éventuellement par l'auto-expérimentation. Quant à savoir si ces exercices peuvent améliorer la jouissance quand elle est pratiquée dans un contexte plus "normal", là encore, elle avoue ne pas pouvoir encore répondre à cette question.
PS : une amie me signale éprouver le même genre de plaisir intime en faisant du trapèze fixe. Dont acte.
Grands entretiens, découvertes majeures, innovations et coulisses... Chaque samedi, plongez dans l’actualité de la sciences et des techs.
Femmes, pas besoin de sexe pour connaitre l'orgasme

Il est bien connu que les anciens refusaient que les femmes montent à cheval à califourchon pour cette raison. C'est pour cela qu'elle montaient assises les jambes sur le même coté.
Sans main sans objet sans rien ! Qui dit mieux ?

Vous devez aussi savoir que bien des hommes arrivent à jouir par la méditation ! (Des femmes aussi et de même !)
Ce n'est pas une plaisanterie, l'ayant vécu moi-même plus de 7 ans, juste par une déconcentration totale du corps et une concentration de l'attention sur son sexe, il est possible de se faire jouir. Et je ne suis pas le seul dans ce cas, bien heureusement ! Comme quoi... (coit ?) Sans les mains ni aucun appareil, sans rien c'est aussi possible ! Se faire jouir sans rien, par la pensée est un réel art !
Qui dit mieux ? Peut-être des cas pathologiques, C-A-D sans même y penser, mais dans ce cas cela sort de mes compétences : -)
Très intéressant sujet où la friction crée l'orgasme, mais pas la friction commune ici.
Cela me fait penser aux religieuses... Et si... Mais bon ce n'est pas de mes compétences non plus.

Il suffit de les entendre jouer au tennis... C'en est parfois gênant (à moins qu'elles ne simulent ?).
Y aura-t-il de l'électricité à Noël ?

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"L'adultère, c'est la distraction des femmes mariées.”
Je m’appelle Virginie. J’ai 35 ans, et je suis mariée depuis 7 ans. Ça fait presque 9 ans que je connais mon mari. Même si je l’aime toujours, je ne prends plus de plaisir avec lui depuis plusieurs mois. Prendre du plaisir en solo, c’est une chose que je n’aime pas. Je viens donc ici pour rencontrer un homme qui accepte de me faire l’amour. Il est évident que je demande de la discrétion. Je demande également de l’hygiène, ainsi que de la discrétion. Je vous propose donc de me laisser un message. Nous dialoguerons ensemble. Par la suite, nous essayerons de nous rencontrer. Je préfère faire l’amour à l’hôtel. C’est un endroit neutre assez sympa.
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