Du latex et une BBC

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Teki Latex rejoint la BBC Radio One en tant que DJ résident


L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans


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par
Raphaëlle Berlanda-Beauvallet

Publié le 3 mars 2020 à 12h02 Mis à jour
le 17 mars 2021 à 15h05

L’immense radio britannique accueille l’ancien de TTC du 1er mars au 2 août prochain. 
Le site de Trax balance l’info ce lundi 2 mars : Teki Latex, rappeur et producteur français qu’on connaît bien, notamment de par le groupe TTC , officiera à la BBC pour la station Radio One – autrement dit, l’une des radios les plus importantes du pays. Teki Latex, de son vrai nom Julien Pradeyrol, a partagé l’info sur les réseaux.
Tous les premiers week-ends du mois, de 3h à 4h du matin dans la nuit de dimanche à lundi, Teki Latex assurera 6 shows de carte blanche sur la radio jusqu’à cet été. Il occupera donc la moitié de l’émission BBC Residency, qui débute à 2h du matin.
Trax précise que la première moitié de la résidence sera assurée ni plus ni moins par… Grimes. Teki Latex n’a plus vraiment à faire ses preuves en France (avec son label Sound Pellegrino ou encore ses soirées Boiler Room), mais à l’échelle internationale, c’est un bien grand pas pour le DJ ! 
La première ayant eu lieu dans la nuit du dimanche 1er au lundi 2 mars, il faudra donc attendre l’émission d’avril pour entendre Teki Latex à nouveau sur les ondes britanniques. Les autres week-ends seront assurés par Caribou , Sherelle, Eris Drew et d’autres artistes.
Trax indique en quoi consiste la résidence de Pradeyrol sur la BBC : un mix d’une heure agrémenté de commentaires, jonglant entre “ classiques, nouveautés et exclus .” Le site relaie également les paroles de l’artiste, qui affirme : “Je fais des blends marrants et surprenants qui sont ma marque de fabrique, tout en essayant de mettre en avant les producteurs français que j’aime et qui correspondent à ma couleur musicale et mes goûts. Cela me démarquera sûrement des autres DJs animateurs de l’émission .”
On espère que la traversée de la Manche pour les artistes européens ne rendra pas le partage musical trop difficile à l’avenir, et que de telles occasions pourront se présenter encore en 2021.
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Vous êtes prêts ! Dans ce chapitre nous allons aborder l’atout majeur de TEX : la composition de formules mathématiques. Mais attention, ce chapitre ne fait que décrire les commandes de base. Bien que ce qui est expliqué ici soit suffisant pour la majorité des utilisateurs, ne désespérez pas si vous n’y trouvez pas la solution à votre problème de mise en forme d’une équation mathématique. Il y a de fortes chances pour que la solution se trouve dans l’extension amsmath de AMS-LATEX.
Note (source) : Cet article est extrait du document: Une courte (?) introduction à LATEX2ε (GPL Licence):
Si vous souhaitez saisir des textes mathématiques (avancés), vous devriez utiliser AMS-LATEX. Le paquet AMS-LATEX est une collection d’extensions et de classes pour la saisie mathématique. Nous traiterons ici principalement de l’extension amsmath qui fait partie de ce paquet. AMS-LATEX est produit par l’American Mathematical Society 1 et est utilisée extensivement pour la mise en forme de mathématiques. LATEX seul fournit bien quelques fonctionnalités et environnements basiques, mais ils sont relativement limités (voire, la logique s’appliquerait plutôt dans l’autre sens : AMS-LATEX est illimité !) et parfois incohérents.
AMS-LATEX fait partie de la distribution de base et est fournie avec toutes les distributions récentes de LATEX2. Dans ce chapitre nous supposerons qu’amsmath est chargé en préambule, via \usepackage{amsmath}.
Une formule mathématique peut être mise en forme au fil du texte à l’intérieur d’un paragraphe (style en-ligne) ou en interrompant le flot du texte pour que la mise en forme soit séparée (style hors-texte). Les équations mathématiques dans un paragraphe sont entrées entre deux signes $ :
Il vaut mieux composer les équations ou les formules plus importantes “hors-texte”, c’est-à-dire sur une ligne à part, plutôt que d’amocher le para- graphe. Pour cela, on les place entre \begin{équation} \begin{équation} et \end{équation} \end{équation} .
Vous pouvez ensuite utiliser \label pour marquer un numéro d’équation et vous y référer ailleurs dans le texte via la commande \eqref. Si vous voulez plutôt nommer l’équation, utiliser \tag à la place.
Si vous ne voulez pas que LATEX numérote vos équations, utilisez la version étoilée d’equation, equation*3, ou mieux encore, entourez votre équation par [ et ] :
Cependant, si vous avez beaucoup d’équations dans votre document, le source LATEX risque de devenir moins lisible si vous utilisez [ et ], à moins de les laisser seuls sur une ligne. Aussi nous recommandons d’utiliser plutôt equation et equation* pour lesquels il est plus facile d’activer ou désactiver la numérotation par simple ajout ou retrait des étoiles.
Remarquez que les expressions mathématiques sont formatées différem- ment selon qu’elles sont composées “en-ligne” ou “hors-texte” :
En style en-ligne, utilisez la commande \smash sur des (sous-)expressions mathématiques à plusieurs niveaux, que ce soit vers le haut ou vers le bas. Cela incite LATEX à ne pas prendre en compte la hauteur de ces expressions et permet d’avoir un interligne régulier.
Il y a également des différences notables entre le mode mathématique et le mode texte. Par exemple, en mode mathématique :
Une mode récente et contestable pousse à utiliser la police blackboard bold (gras tableau noir, ainsi appelée car c’est par le doublement des verticales des lettres que l’on simule le gras typographique lorsqu’on ne peut faire autrement) qui est obtenue par la commande \mathbb de l’extension amssymb4 pour désigner les ensembles de nombres entiers, réels, etc. L’exemple précédent
devient :
Référez-vous aux tableaux 3.14 en page 86 et 6.4 en page 133 pour plus de polices mathématiques.
Cette section décrit les commandes les plus importantes du mode math- ématique. La plupart des commandes de cette section ne nécessitent pas amsmath, sauf mention explicite, mais chargez-la tout de même.
Les lettres grecques minuscules sont saisies de la manière suivante : \alpha, \beta, \gamma, etc. Les lettres grecques majuscules sont quant à elles saisies ainsi : \Gamma, \Delta, etc. 5
Référez-vous au tableau 3.2 en page 81 pour une liste de lettres grecques.
Les indices, exposants et lettres supérieures sont positionnés en utilisant les caractères _ et ^.
Le tableau 3.3 en page 82 liste de nombreuses relations binaires comme ⊆ et ⊥.
La plupart des commandes du mode mathématique ne s’appliquent qu’au caractère suivant. Pour qu’une commande s’applique à un ensemble de caractères, il faut les grouper en utilisant des accolades : {...}.
La racine carrée est saisie via \sqrt. La racine n-ième est produite par la commande \sqrt[n]. La taille du symbole racine est calculée par LATEX. Pour obtenir le symbole seul, utilisez \surd.
Voyez d’autres sortes de flèches comme 􏰀→ et 􏲇 dans le tableau 3.6 en page 83.
Bien que les points pour indiquer les opérations de multiplication soient normalemet omis, les faire apparaître peut aider à la lecture. Utilisez alors \cdot qui imprime un seul point centré. \cdots imprime des points de suspension centrés (à la manière de points de suspension situés plus haut sur la ligne). \ldots imprime des points de suspension normaux. En plus de ces commandes vous avez également \vdots pour des points alignés verticalement et \ddots qui imprime des points en diagonale. D’autres exemples se trouvent en section 3.5.4.
Les commandes \overline et \underline créent un trait horizontal au-dessus ou au-dessous d’une expression :
Les commandes \overbrace et \underbrace créent une grande accolade horizontale au-dessus ou au-dessous d’une expression :
Pour ajouter des accents mathématiques tels que des flèches ou des tildes, vous pouvez utiliser les commandes du tableau 3.1 p. 81. Les chapeaux et les tildes larges, couvrant plusieurs caractères, sont produits par les commandes \widetilde et \widehat. Notez bien la différence entre \hat et \widehat ainsi que le placement de \bar pour une variable indicée. La commande ’ produit un prime :
Les vecteurs sont en général marqués en ajoutant une flèche au-dessus des noms de variables. Ceci est obtenu par la commande \vec. Pour coder le vecteur de A à B, les commandes \overrightarrow et \overleftarrow sont bien utiles :
Les noms des fonctions doivent souvent être imprimés à l’aide d’une police droite et non en italique comme les variables. C’est pourquoi LATEX fournit les commandes suivantes pour les fonctions les plus utilisées :
Tableau |
------------- | ------------- | ------------- | ------------- | ------------- | -------------
\arccos | \cos | \csc | \exp | \ker | \limsup
\arcsin | \cosh | \deg | \gcd | \lg | \ln
\arctan | \cot | \det | \hom | \lim | \log
\arg | \coth | \dim | \inf | \liminf | \max
\sinh | \sup | \tan | \tanh | \min | \Pr
\sec | \sin | | | |
Les fonctions n’apparaissant pas dans la liste peuvent être déclarées avec \DeclareMathOperator. Il y a même une version étoilée pour les fonctions avec des indices ou exposants placés en dessous et en dessus6. Cette com- mande ne peut être utilisée qu’en préambule, aussi les lignes commentées de l’exemple doivent être ajoutées en préambule pour fonctionner.
Pour la fonction modulo, il y a deux commandes possibles : \bmod pour l’opérateur binaire et \pmod pour l’opérateur unaire :
Une fraction est produite avec \frac{numérateur}{dénominateur}. Pour les équations en-ligne, la fraction est réduite pour tenir sur la ligne. Ce style peut aussi s’obtenir hors-texte avec \tfrac. L’inverse, c’est-à-dire obtenir des fractions en-ligne selon le style hors-texte, est obtenu avec \dfrac. La forme utilisant une barre oblique (1/2) est souvent préférable pour des petits éléments.
Ici nous utilisons la commande \partial utilisée habituellement pour une dérivée partielle :
Pour imprimer des coefficients binomiaux (à l’américaine) ou d’autres structures semblables, utilisez la commande \binom d’amsmath :
Il est parfois utile, notamment pour des relations binaires, de pouvoir su- perposer des symboles. La commande \stackrel{#1}{#2} place l’argument #1 en taille réduite au-dessus de l’argument #2, lui-même mis en position normale :
Les intégrales sont produites par la commande \int, les sommes par la commande \sum et les produits par la commande \prod. Les limites inférieures et supérieures sont indiquées avec _ et ^ comme pour les indices et les exposants :
Pour superposer des indices, l’extension amsmath propose la commande \substack :
LATEX fournit toutes sortes de symboles pour les crochets et autres délimiteurs (par exemple [ ⟨ ∥ ↕). Les parenthèses et les crochets sont obtenus avec les caractères correspondants, les accolades avec {, mais les autres délimiteurs ne sont obtenus que par des commandes spéciales (par exemple \updownarrow) :
Si vous ajoutez \left avant un délimiteur ouvrant et \right avant le délimiteur fermant correspondant, LATEX détermine automatiquement la taille appropriée pour ces symboles. Remarquez qu’il est nécessaire de fermer chaque délimiteur ouvrant (\left) avec un délimiteur fermant (\right). Si vous ne voulez pas de délimiteur fermant, utilisez le délimiteur invisible
“\right.” :
Dans certains cas, il est nécessaire d’indiquer la taille exacte des délimi- teurs mathématiques à la main. Vous pouvez alors utiliser les commandes \big, \Big, \bigg et \Bigg comme préfixes des commandes qui impriment les délimiteurs :
Pour une liste de tous les délimiteurs disponibles, reportez-vous au tableau 3.8, page 84.
Si une équation est trop longue, il faut trouver un moyen de la répartir sur plusieurs lignes. Malheureusement, l’équation a alors tendance à devenir moins lisible. Pour préserver la lisibilité, voici quelques règles sur la façon de découper les équations.
La différence avec l’environnement equation est qu’il est possible d’insérer un saut de ligne où l’on veut (voire plusieurs), en utilisant \ là où l’équation doit être coupée. Comme pour equation , il existe un environnement multline qui supprime la numérotation.
Souvent le résultat sera meilleur avec l’environnement IEEEeqnarray (voir section 3.5). Par exemple, considérons la situation suivante.
Ici, c’est en fait le membre de droite qui est trop long pour tenir sur une ligne. L’usage de multline produit alors :
C’est nettement mieux que (3.5), mais l’inconvénient est que le signe d’égalité perd son importance naturelle, en principe supérieure à celle du signe “plus”devant k. Une meilleure solution est d’utiliser IEEEeqnarray, qui sera présenté en détails en section 3.5.
Dans le cas le plus général, considérons une suite d’équations qui ne tiennent pas en entier sur une ligne. Il s’agit d’ajuster l’alignement vertical de façon à obtenir une structure lisible et agréable à l’œil pour l’ensemble.
Avant les conseils pour obtenir ce résultat, commençons par quelques mauvais exemples qui montrent les principaux inconvénients de certaines solutions courantes.
Pour grouper ensemble plusieurs équations, on peut utiliser l’environnement align 8 comme ceci :
Cette approche pose problème dès qu’une ligne est trop longue.
Ici, on voudrait que + m soit placé exactement sous le d et non sous le signe d’égalité. Bien sûr, il est possible d’ajouter un peu d’espace avec \hspace{...}, mais il est difficile d’obtenir un alignement précis ainsi (et ce n’est pas un très bon style de programmation).
L’environnement eqnarray offre à première vue une meilleure solution.
Ça n’est cependant toujours pas une solution optimale puisque les espaces autour du signe d’égalité sont trop grands. En particulier, ce ne sont pas les mêmes qu’avec les environnements multline ou equation :
. . . De plus, la formule et le numéro d’équation peuvent se chevaucher, même quand il y a suffisamment de place à gauche pour pousser la formule :
Alors que l’environnement propose une commande \lefteqn qui peut être
utilisée quand le membre de gauche est trop long.
Ça n’est toujours pas optimal étant donné que le membre de droite est trop court et l’ensemble n’est pas centré correctement :
Après avoir suffisamment dénigré la compétition, nous pouvons nous diriger vers le glorieux. . .
L’environnement IEEEeqnarray est très puissant et offre beaucoup d’options. Nous n’en couvrirons ici que les fonctionnalités de base. Pour plus d’information, nous renvoyons à son manuel 9.
Pour commencer, il faut charger l’extension10 IEEEtrantools afin de pouvoir utiliser IEEEeqnarray. Pour cela, ajoutez la ligne suivante à votre préambule.
Ce qui fait la force d’IEEEeqnarray, c’est la capacité de spécifier le nombre de colonnes dans le tableau d’équation. Le plus souvent, cette spécification sera {rCl}, c’est-à-dire trois colonnes dont la première est alignée à droite, la deuxième centrée et avec un peu plus d’espace autour d’elle (c’est le sens du C majuscule au lieu de c minuscule), et la troisième alignée à gauche.
On peut choisir n’importe quel nombre de colonnes. Par exemple, {c} donnera une seule colonne dans laquelle toutes les lignes seront centrées, ou bien {rCll} donnera une quatrième colonne alignée à gauche, par exemple pour des commentaires. Mieux, en plus de l, c, r, L, C, R pour les entrées en mode mathématique, on dispose aussi de s, t, u pour des colonnes en mode texte, respectivement alignées à gauche, centrées ou alignées à droite. Par ailleurs, on peut ajouter de l’espace entre deux colonnes avec 11 “.”, “/”et
“?”en ordre croissant. Remarquons les espaces autour des signes d’égalité, par rapport au cas d’utilisation de l’environnement eqnarray.
Nous décrivons ici comment utiliser IEEEeqnarray pour résoudre les problèmes les plus courants.
Si une ligne et le numéro d’équation se superposent comme dans (3.17), la commande
permet de résoudre le problème : il suffit de l’ajouter à la fin de la ligne en question, et l’ensemble de la formule est décalée vers la gauche de la longueur nécessaire (le décalage dépend de la taille du numéro d’équation). Par exemple, partant de :
Si le membre de gauche est trop long, IEEEeqnarray propose la com- mande \IEEEeqnarraymulticol, qui fonctionne dans tous les cas, comme remplacement de \lefteqn.
Son usage est identique à celui de la commande \multicolumns dans l’environnement tabular : le premier argument 3 dit qu’il faut combiner trois colonnes pour n’en former qu’une, et le deuxième argument l dit que son contenu sera aligné à gauche.
Remarquons qu’en insérant \quad dans l’exemple précédent, on peut facilement adapter l’alignement vertical 12 du signe égal, par exemple :
Si une formule est découpée en deux ou plusieurs lignes, LATEX croit que le signe + ou − au début d’une ligne est un opérateur unaire (comme dans −2) et non binaire (comme dans 2 − 2). C’est pourquoi il faut ajouter un peu d’espace \: entre ce signe et le terme qui suit. Par exemple, au lieu de
Observez l’espace entre + et l dans les deux cas !
Parfois, un espacement adéquat suffit, comme par exemple devant
– un nom d’opérateur comme \log, \sin, \det, \max, etc. ;
– une intégrale \int ou une somme \sum ;
– une parenthèse dont la taille s’adapte en utilisant \left ou \right
(par opposition à une parenthèse simple, ou dont la taille est fixée avec par exemple \big) ;
un signe + ou − ne peut pas être unaire et doit être un opérateur binaire. Dans ces cas, LATEX ajuste correctement l’espace après le signe, et il ne faut pas en rajouter.
Formules Mathématiques
Pour supprimer la numérotation sur une ligne particulière, on dispose de la comm
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