Du jamais vu par une blonde

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C’est l’événement de la rentrée sur Netflix : la sortie de Blonde, avec Ana de Armas dans le rôle de Marilyn Monroe. Sylvie Bommel a pu voir une première version de ce biopic si attendu, puis s’est entretenue avec le réalisateur Andrew Dominik et l’auteure Joyce Carol Oates. Alors, shocking ?
Ana de Armas avec Adrien Brody dans le rôle de l'écrivain Arthur Miller, le troisième et dernier mari de Marilyn. 2022 © Netflix
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À quoi tient un mythe ? N’eut-elle abusé des eggnog punchs et des barbituriques, Marilyn Monroe serait peut-être encore de ce monde. Elle aurait 96 ans, l’âge de la grand-mère, voire de l’arrière-grand-mère de nombre d’abonnés de Netflix pour qui Marilyn, sa vie, son corps, son œuvre, c’est de l’histoire aussi ancienne que le plan Marshall. Parions pourtant qu’ils se précipiteront en septembre pour découvrir Blonde, un long-métrage très attendu dans tous les sens du terme , puisque la plate-forme américaine de streaming a annoncé sa production en 2016.
Image du tournage de Blonde. Ici, le réalisateur Andrew Dominik tente de reproduire à l'identique une célèbre photo du couple Marilyn Monroe - Joe DiMaggio.
Andrew Dominik, le metteur en scène, mûrit ce projet depuis une quinzaine d’années, ce qui lui a laissé le temps de changer deux fois d’actrice principale avant de retenir l’Hispano-Cubaine Ana de Armas. Soit par ordre de non-apparition à l’écran : Naomi Watts et Jessica Chastain . En toutes choses, ce Néo-Zélandais qui partage sa vie entre Los Angeles et l’Australie aime réfléchir avant d’agir. C’est donc par mail qu’il a préféré répondre à mes questions. Dont celle-ci à laquelle il fallait penser (ne me félicitez pas) : « Mais pourquoi donc un film sur Marilyn ? » June 10, 2022. From Andrew to Sylvie : « I saw an opportunity to describe an adult life through the lens of mistaken childhood beliefs & trauma. » (« J’avais envie de décrire une vie d’adulte à travers le prisme des traumatismes et des croyances erronées de l’enfance. ») Preuve est ainsi faite qu’une réponse intéressante peut surgir d’une question anodine.
Reprenons. Tout avait mal commencé le 1er juin 1926 à Los Angeles pour la petite Norma Jeane Baker, un nom qu’elle préférait à celui que lui imposera Ben Lyon, un producteur de la 20th Century Fox certain que l’allitération en M lui porterait chance. Enfant non désirée d’un géniteur mal identifié, dont on sait seulement qu’il s’évanouit dans la nature avant même sa naissance, et de Gladys, une femme instable qui sera bientôt diagnostiquée schizophrène paranoïde, Norma passe la majeure partie de son enfance entre familles d’accueil et orphelinat. Voilà pour le traumatisme évoqué par le réalisateur. Quant à la croyance erronée, c’est celle insufflée par Gladys selon laquelle le père absent était aussi beau que Clark Gable, qu’il avait toujours la photo de sa fille chérie dans son portefeuille et qu’un jour, sûrement, il viendrait l’embrasser. Nul besoin d’avoir écouté intégralement les vingt-sept séminaires de Lacan pour comprendre que Norma Jeane (dont le « e » sautera à l’adolescence), qui appelait ses maris par le doux surnom de Daddy, était en recherche de figure paternelle protectrice. On comprend mieux pourquoi elle susurrait si sensuellement dans Le Milliardaire et en français dans le texte : « Mon cœur est à papa, you know le propriétaire... »
Ana de Armas, entourée de Xavier Samuel (dans le rôle de Charlie Chaplin Jr) et d'Evan Williams (qui joue le fils d'Edward G. Robinson).
Blonde n’est pas un biopic classique, un genre qui héroïse trop souvent le personnage-sujet en illustrant les épisodes les plus extraordinaires de sa vie. Blonde conte plutôt un destin qui, à quelques détails près, pourrait être celui de la première venue : une femme en quête d’amour va devenir une grande séductrice. Aidée par sa plastique et un sex-appeal inné (c’est moins courant, je le concède), elle sera adulée, convoitée, désirée, possédée par de nombreux amants, dont le président de son pays . Mais jamais comblée pour autant, jusqu’à sa mort à l’âge de 36 ans.
Le scénario est adapté du best-seller paru en 2000 et également titré Blonde, de Joyce Carol Oates, la grande écrivaine américaine deux fois nominée pour le prix Nobel de littérature et lauréate du Femina étranger pour Les Chutes en 2005. Blonde s’inspire de la vie de l’actrice, mais se revendique comme un roman et en aucun cas une biographie. Au téléphone, Joyce Carol Oates m’explique d’ailleurs que Marilyn Monroe, c’est un peu Emma Bovary à Hollywood. « Toutes les deux sont des jeunes femmes qui ont une vision très romantique et probablement irréaliste de l’amour. Marilyn était si peu sûre d’elle [ unsecure, en anglais], si exigeante, que c’était difficile pour quiconque de l’aimer et même de l’aider. Beaucoup d’hommes, dont son deuxième mari, le joueur de base-ball Joe DiMaggio, ont essayé pourtant avant de reculer, effrayés. »
La chorégraphe Denna Thomsen et Ana de Armas sur le tournage de Blonde .
J’ai vu une version quasi finale de Blonde un matin de juin dans la salle de projection privée d’un hôtel parisien. Quasiment seule face au grand écran, escortée par trois représentants de Netflix pour s’assurer que mon téléphone restait bien dans mon sac, et dans le but de préparer mes entretiens avec le réalisateur et Joyce Carol Oates. Oui, oui, avant les plus famous des Hollywood reporters, ceux qui, de la fenêtre de leur bureau, peuvent admirer le soleil se coucher sur le bien nommé Sunset boulevard avant d’aller boire une Bud ou deux au bord de la piscine de Brad Pitt. Petite précision à l’intention des suspicieux (je ne les blâme pas, on voit tant de choses pas nettes-nettes de nos jours) : je n’ai reçu aucune enveloppe ni signé aucun document m’enjoignant en échange de ce privilège extraordinaire à aimer ce film et à le faire savoir. Mais je le jure sur la tête de toutes les blondes de ma famille, moi comprise, Blonde est un film qui m’a « embarquée » pour parler comme les critiques de l’émission « Le masque et la plume ». Autre formulation : je ne me suis pas ennuyée une minute des 166 que dure le film.
Il est un homme autrement qualifié que moi pour décerner des palmes, c’est même son métier. Voici ce que déclarait le délégué général du Festival de Cannes, Thierry Frémaux, peu avant l’ouverture de l’édition2022: « Blonde est un film magnifique qui mérite d’être en compétition. » Le réalisateur, Andrew Dominik, s’était déjà fait remarquer en 2008 pour L’assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford, un western revisité salué par la critique pour son lyrisme, son originalité et la qualité de sa photographie qui lui valut une nomination aux Oscars.
Autant de qualités qui se retrouvent dans Blonde . Seulement voilà, depuis 2011, les huiles du Festival de Cannes, en particulier les représentants des exploitants de salles, refusent d'inscrire en sélection officielle des films qui ne sont pas destinés à sortir sur le grand écran. Et Netflix, de son côté, a décliné la proposition de projeter Blonde hors compétition lors de la soirée d'ouverture. Incompatible avec sa stratégie consistant à devenir un acteur à part entière du septième art. Une reconnaissance amorcée en 2018 avec l'obtention d'un Lion d'or à la Mostra de Venise et de trois Oscars à Hollywood, dont celui du meilleur réalisateur pour Roma du réalisateur mexicain Alfonso Cuarón, un film intimiste et esthétique de 2h15 en noir et blanc. Après The Irishman de Martin Scorsese (2019) et The Power of the Dog de Jane Campion (2021), Blonde vient donc compléter le catalogue des ambitieuses productions originales de Netflix.
« J’avais envie de décrire une vie à travers le prisme des traumatismes et des croyances erronées de l’enfance. » Andrew Dominik
« Super-production », pourrait-on corriger. Dominik, qui rime avec Kubrick et Malick, deux cinéastes dont il s’inspire, a eu toute la liberté de mener son aventure comme bon lui semblait. L’équipe de tournage de Blonde s’est ainsi déplacée dans vingt-cinq lieux différents de Californie, la plupart réellement fréquentés par feu Marilyn : le quartier de son enfance, les plages Zuma et El Matador à Malibu, son restaurant préféré à Hollywood The Musso & Frank Grill, la maison où elle est morte, et on en passe. Exigeant, limite obsessionnel, Andrew Dominik a voulu que les voitures soient, au modèle et à la couleur près, celles de Marilyn et y a fait apposer des plaques d’immatriculation identiques aux vraies. De grâce, quand vous regarderez la scène où elle est assise à sa coiffeuse, ayez une pensée pour les accessoiristes qui ont dû retrouver les mêmes brosses à cheveux, pinceaux à blush et produits de beauté Max Factor que ceux qu’elle utilisait. Ajoutez, enfin, trois heures de travail des coiffeurs et maquilleuses pour métamorphoser chaque matin Ana de Armas en Marilyn et vous comprendrez que la plateforme n’a pas lésiné sur la dépense (on parle d’un budget de 20 millions d’euros). Alors, tout cela pour servir de mise en bouche pour festivaliers cannois sans avoir une chance de figurer au palmarès, non merci, sans façon.
Passionné d’histoire en général et de la Rome impériale en particulier, Andrew Dominik n’avait en revanche jamais nourri le moindre intérêt pour Miss Monroe. « Mais alors comment vous est venue l’idée de lui consacrer un film ? » l’ai-je relancé. « En 2002, mon ami le guitariste Rowland S. Howard m’a conseillé de lire le roman de Joyce Carol Oates, qui était sorti deux ans plus tôt. Et comme Rowland n’aimait jamais rien, je l’ai écouté. Le livre a lentement fait son chemin en moi et plusieurs années après, j’ai soudain vu comment je pouvais en faire un film. »
Cela se confirme, le garçon est du genre qui prend son temps. À l’approche de ses 55 ans, Blonde est seulement son quatrième long-métrage, dix ans après le précédent Cogan : Killing Them Softly avec Brad Pitt, dont le nom figure aussi au générique de Blonde mais en tant que producteur associé. Dès 2008 pourtant, le scénario de Blonde était non seulement écrit mais lu et approuvé par Joyce Carol Oates. « J’ai été très impressionnée par le travail d’Andrew, me confie- t-elle. Bien que mon livre soit d’une construction assez complexe, il a trouvé un moyen de l’amener dans son univers à lui sans le dénaturer. Il a réussi à créer une œuvre à partir d’une autre œuvre. Seuls les très grands metteurs en scène sont capables de cela. »
Du coup, l’éternel débat « faut-il mieux lire le livre avant ou après le film ? » tourne court. Aucune redondance, on prend un plaisir différent aux deux, il faut juste disposer d’un peu de temps car Blonde compte plus de 1100 pages. Et pourtant, la romancière explique qu’elle a élagué dans la vie mouvementée de son héroïne en utilisant la synecdoque, une figure de style qui consiste à prendre la partie pour le tout (ou l’inverse). En clair : au lieu d’évoquer toutes les familles d’accueil, amants, avortements, tentatives de suicide, cuites, retards sur les plateaux et rôles de la star, le livre n’en développe que quelques-uns, symboliques, mais les développe longtemps. Comme l’amitié qui lia la jeune femme de père inconnu à deux « fils de » : Charles Spencer dit « Cass », l’aîné de Charlie Chaplin, et Eddy Junior, fils d’Edward G. Robinson. Un trio de mal-aimés qui noyaient leur mal-être dans diverses substances et des jeux pas tous innocents.
Le film reprend ce principe de la synecdoque en le poussant encore plus loin, zappant des pans entiers de la vie de son héroïne au risque de laisser le spectateur sur sa faim. Ainsi en est-il de l’ellipse qui fait passer Norma directement de pensionnaire de l’orphelinat à pin-up. Exit aussi le premier mariage à 16 ans. Exit Sinatra, Montand, Brando et bien d’autres amants. Exit surtout le unhappy end. Alors que depuis un demi-siècle, beaucoup s’escriment à prouver que la mafia ou la CIA ou Bob, le frère du président Kennedy, ou mieux encore, une conspiration des trois, l’ont aidée à disparaître définitivement des écrans un soir fatal de l’été 1962, Blonde s’intéresse uniquement aux trente-six années qui ont précédé.
Toute l’originalité du livre tient à sa façon de nous mettre dans la tête de Marilyn en multipliant les styles narratifs : faux journal intime, rêves, souvenirs... Exemple : « Je n’étais ni une poule ni une pute. Mais il y avait le désir de me percevoir de cette façon. Parce qu’on ne pouvait pas me vendre autrement, je crois. Et je comprenais que je devais être vendue. Car alors je serais désirée et je serais aimée. » Transposer cette approche au cinéma n’avait rien d’évident. « Je voulais que le spectateur ressente les choses comme s’il était Norma, qu’il comprenne ses réactions. Pour y parvenir, je reproduis au détail près des séquences très connues qui sont dans notre mémoire collective et je leur donne un sens différent, comme si Marilyn voulait s’échapper de ce que nous croyons savoir d’elle. » Résultat : tout comme sa version écrite qui a été traduite dans le monde entier, Blonde ne parle pas seulement de Marilyn mais de vous, de moi, de toutes les anciennes petites filles qui n’ont pas eu père aussi aimant qu’elles l’auraient rêvé (mais qui ne l’en ont que plus vénéré), de celles dont la mère n’avait jamais entendu parler de Françoise Dolto, de celles qui, pour échapper à une famille dysfonctionnelle, se sont jetées dans les bras du premier gentil garçon venu et s’y sont vite ennuyées. Bref, pas mal de monde.
Sans compter, catégorie encore plus large, celles qui, au moins une fois dans leur vie, ont été flattées de séduire un homme avec leur cerveau avant de découvrir qu’il s’intéressait à une autre partie de leur corps. Lors d’un premier dîner au restaurant avec celui qui deviendra son troisième mari, le dramaturge Arthur Miller (incarné par Adrien Brody dans le film), Marilyn tente de lui expliquer ce qu’elle com- prend du personnage d’une de ses pièces. Elle : « J’avais quelques idées sur M... Magda ? Si ça vous intéresse ? » Lui : « Des idées ? Bien sûr que ça m’intéresse. C’est gentil à vous de vous en soucier. » Tout dans son attitude dit le contraire. Focalisé sur ses lèvres, il n’entend pas les mots qu’elles prononcent : « Il se demandait seulement quelles choses obscènes et désespérées cette bouche avait faites. »
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À quelques exceptions près dont son agent et son maquilleur, les hommes n’ont pas le beau rôle dans la vie de Marilyn. Mais s’il y en a qui bat tous les records de cynisme, de muflerie et de bien pire que ça encore, c’est le personnage du président, John Fitzgerald Kennedy, même s’il n’est pas nommément cité. Joyce Carol Oates lui consacre un chapitre entier de son livre. Le contexte : Marilyn, qui n’est déjà plus au meilleur de sa forme, tombe éperdument amoureuse de Kennedy après un bref ébat sans paroles, au bord d’une piscine, suite à un rendez-vous arrangé par le beau-frère du président, alias « le maquereau ». Quelques semaines plus tard, elle traverse l’Amérique en avion pour le rejoindre dans un hôtel new-yorkais où il lui a promis une journée et une nuit d’amour, Jackie étant fort opportunément occupée ailleurs. Quand elle pénètre dans la chambre, où les agents des services secret
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