Du foutre qui coule

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Du foutre qui coule
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Archivé de: Lettres Gay – Numéro 75
Date de parution originale: Mars 1996

Date de publication/archivage: 2013-11-01

Auteur: Alain
Titre: Ça me coule entre les cuisses
Rubrique: Dans la nuit des backrooms
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 9326 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Tout ça remonte à bien des années, au début des années quatre-vingt. Époque encore insouciante où, du sida, on voyait à peine poindre le bout de son vilain museau. On passait des nuits démentes dans les premières backrooms de Paris, on se prenait un max de queues dans le cul sans capotes, et souvent le foutre nous coulait entre les cuisses. On suçait des kilomètres de bon chibre dur et on se faisait des culs moulés à la louche dans l’obscurité complice. Toutes choses impensables aujourd’hui, et pour cause...

Je garde surtout un souvenir ému du Sling, une boîte jean-cuir, plus macho que blondasse oxygénée, qui se situait en haut du Marais, je ne me souviens même plus du nom de la rue... Au rez-de-chaussée, il y avait le premier bar, tenu de main de maître par Patrice avec, aux vestiaires, l’adorable Jean-Mi, hélas disparu depuis. On grimpait l’étroit escalier et, au premier, il y avait un second bar, puis... la backroom! Toutes les fins de semaine je m’y rendais ou presque (il y avait aussi le Keller, le Transfert à visiter...). Ce n’était pas toujours génial, mais il y avait moyen de se lever un ou deux minous corrects. Je me souviens d’un samedi soir particulièrement destroy...

J’étais venu comme d’hab’ vers les 23 heures avec quelques potes, dont un hétéro qui voulait voir ce qui s’y passait. Un monde fou, et que du beau linge: des minous en jean-tee-shirt aux minois souriants, des armoires normandes en bottes et Perf, des pseudo-ouvriers de chantier ou des nounours poilus comme des gorilles. Un exploit, rien que pour se frayer un chemin dans les escaliers. Là-haut, la folie: il aurait fallu un chausse-pied pour trouver quelques centimètres carrés disponibles. Plus tard, une mousse fraîche en pogne, j’ai commencé à jauger la clientèle autour de moi en train de bavasser et de gueuler à cause de la disco (eh oui, c’était de la disco à l’époque, Donna Summer, YMCA, Lime...). Miam miam! J’avais une féroce envie de me faire plomber le derche, de lâcher mon jus, d’éclater des rondelles et de me gaver de bon foutre chaud! Le grand balèze, là, en cuir et casquette, à poil sous le Perf, ou bien le barbu en marcel avec des anneaux aux seins. Que dire alors du p’tit mec en treillis, pas rasé, bonne bouille sympa, tout au bout du bar? L’embarras du choix, les gars, du beau mâle à la tonne je vous dis! Fallait que je me décide fissa, le Sling fermant à deux plombes du mat'. Bon, OK, le cuir.

Regard insistant, sourire en coin, l’approche habituelle, quoi. Il me voit le mater, il me regarde, il insiste, il jauge, il ébauche un pâle sourire. Génial, ça marche! Je lui cligne de l’œil et lui indique d’un geste du menton l’entrée de la backroom (il faut bien dire qu’à l’époque, les mecs étaient moins coincés que de nos jours...). Il pige. Il est beaucoup plus près que moi de l’entrée et y pénètre vite. Cinq minutes plus tard, j’arrive à fendre la foule compacte et j’entre à mon tour. Quelques secondes pour m’habituer à l’obscurité. Enfin, pas tout à fait car un néon bleu est placé derrière des planches disjointes. Presqu'autant de monde qu’autour des bars. Au centre, un tonneau, une violente odeur de poppers qui vous saisit, et des dizaines de mecs en train de baiser, de sucer, de s’enculer dans un concert de gémissements divers. J’ai la gaule instantanée! Comme j’ai toujours été un peu exhib', je m'extirpe le dard et déballe ma marchandise aux yeux de tous. Ça y est, j’ai repéré mon cuir, au fond, contre le mur. Le temps d’y parvenir, déjà une douzaine de pognes m’ont palpé le jonc. Ça commence sec les mecs! Je me fous devant lui, la queue collée au ventre. Pas un pli, il me la prend, la soupèse, la caresse en connaisseur. Je ne tarde pas à lui déboutonner la braguette et à sortir un engin impressionnant: la teub! Énorme gland humide, tige épaisse, couilles bien pendantes. Après quelques préliminaires, je ne peux m’empêcher de m’agenouiller à ses bottes et de commencer à lui tailler une plume maison. Ah que c’est bon une bonne grosse pine au fond de la gorge, bordel! J’aspire bien, je creuse les joues, je mouille bien la grosse prune. Puis je passe en-dessous choper les grelots, les agacer, les mordiller. Puis, en baissant le futal en cuir, j’arrive à glisser ma langue plus loin. Allez, hop! je le lui descends aux genoux. Je vrille ma langue en pointe dans son trou de balle. C’est très propre mais il y a toujours ce bon goût poivré, un délice! Je suis un expert en feuilles de rose: je bouffe ça comme un porc en faisant de grands “slurps". Je reviens à la teub, je tournicote autour de la couronne, je rappelle les grelots à mon bon souvenir, et encore une petite visite au trou poilu. Mon cuir m’oblige à me relever: “Arrête, tu vas me faire jouir!” Traduction: “Tu fais ça bien, t’es un bon coup!” Alors on se roule palot sur palot, bien gras, bien baveux, en se bouffant les langues. Je retire mon tee-shirt pour me foutre torse nu. Il fait très chaud. "Vas-y, mec, travaille moi les seins, j'aime!" que je lui fais. Ça y est, je décolle! Je lui fais la même chose. Il pince fort, c'est bon. "Ouais, mec, vas-y!" Je lui tord les tétins. Il grimace mais ne dit mot. Ça va, c’est aussi un vicelard.

“Fous-la moi à fond, ta grosse bite!” je lui dis. Je me retourne vers le centre de la backroom, je baisse mon jean aux chevilles, et je me cambre comme une pute. Deux doigts tâtent le terrain. Il peut y aller, je me suis travaillé au gode avant de venir! Puis trois doigts qui m’élargissent le fion, avant que je ne sente le gland se poster tout contre. “Vas-y, viole-moi le trou, carrément!” Je l’entends cracher dans sa main, et vlan! il me l’enfonce jusqu’aux glaouis d'un seul mouvement. Aaaahhh! C’est trop bon! Il ne faut pas longtemps pour qu’une demi-douzaine de mecs fassent le cercle. Surtout que j’en rajoute dans le genre salope en feu. Les pines sortent des braguettes. Un mec s’agenouille et m’avale le chibre. Moi, je me lais troncher comme une reine et je roule galoche sur galoche à deux mecs à la fois. Ça pue le poppers à en être asphyxié. C’est presque l’odeur des pieds. Une bonne odeur de mâle. J’aime! Je fais à mon cuir enculeur: “Vas-y, casse-moi l’pot, à fond, plus fort, j’suis ton vide-couilles, laisse-toi aller!” Ça survolte l’assemblée. Je suis secoué comme une poupée, défoncé jusqu’au pylore.

Puis il jouit en feulant, planté au plus loin qu’il puisse en moi. Une bonne giclouse dans la tuyère! Quel pied! “Au suivant!” je fais après qu’il eût déculé.

Ça y est, je pète tous mes fusibles un à un. Trente secondes plus tard, un autre type me remplit le boyau et se secoue le manche à l’intérieur. J’ai un gros poireau épais dans la gueule et je branle deux autres pines. Rempli par tous les trous, si je puis dire! À un moment, je me relève pour demander à ce qu’on me martyrise un peu les seins. J’aperçois alors devant moi une bête torse nu et poilue en train de cravacher à coups de ceinturon un grand gars entièrement à poil, sauf ses chaps et ses tiags, qui dégagent donc sa raie et son service trois-pièces. Waouh, le spectacle! Le gars aux chaps miaule et exige les coups. Il y a des bites partout, ça schlingue le foutre. Je suis obligé de repousser toutes les bouches qui veulent me pomper, parce que je ne veux pas cracher ma purée encore.

J’en suis à ma troisième pine dans le cul. J’ai le boyau qui doit commencer à faire “floc-floc". Ouais, encore des bites, encore des litres de foutre bordel!

Le mec aux chaps a joui en gueulant sur le mec en face de lui. Il m’aperçoit et vient vers moi. Je lui dis, alors que je me fais toujours percer l’oignon: “Viens que j’te tire le fion, salope!” Ni une ni deux, il se retourne. Je lui bouffe d'abord la rondelle: travail préparatoire inutile! Il s’est déjà fait éclater plusieurs fois. C’est large, souple avec les bords gonflés, une vraie chatte! Alors je me régale: j’aspire tout le foutre qu’il a dans les intestins. Puis j’attends que le quatrième ai fini de s’éponger le gland dans mon trou pour me redresser et enfoncer mon pieu dans cet orifice bien chaud et gluant. Aaahh, le cul! Ouais, ça glisse comme dans du beurre. L’idée de faire clapoter mon engin dans la jute des autres me rend dingue. Ça me poisse les couilles. Un cinquième mec – je ne saurai jamais qui –, me tire le trou de balle alors que je tire un autre cul moi-même: les frères Ripolin! On est tous en sueur et je lèche les gouttelettes salées qui coulent le long du dos de ma femelle en chaps. Mon enculeur est un violent: je dois être trop large maintenant... Des fois, l'un ou l’autre, on décule par manque de synchronicité. Et hop! on renfonce la bidoche dans le boyau. Je sniffe un coup de poppers. Ça déclenche mon orgasme, mahousse, somptueux. Je me vide les burnes en hurlant. L’autre derrière moi en fait autant et sa purée rejoint celle de tous les autres. Deux autres mecs qui se branlaient près de nous giclent leur semoule sur mon torse. Je m’écroule par terre histoire de récupérer. J’ai le cul béant, et du foutre qui coule le long des cuisses... Les lampes de la backroom clignotent: il est deux heures, le temps de partir...

Bruno, mon pote hétéro, a presque tout vu. Il en est baba, estomaqué. Il n’en croit pas ses yeux. Près de quinze ans plus tard, il m’en parle encore avec envie. Non pas qu’il ait jamais eu envie de coucher avec des mecs, mais il reste envieux de n’avoir pas connu ça avec des filles...

Aujourd’hui, je vis depuis huit ans avec Maxime, mon mec. Nous sommes restés fidèles et nous nous aimons toujours, même si c'est plus de la tendresse maintenant. Nous avons quitté Paris pour la province. Nous sommes heureux. Tout ça se passait au début des années quatre-vingt...



Ce récit vous a été présenté grâce au fonds d'acquisition auquel les visiteurs peuvent contribuer. Ce fonds sert exclusivement à acquérir de nouveaux périodiques à archiver.
Archivé de: Marcus – Numéro 5
Date de parution originale: 1991

Date de publication/archivage: 2015-02-20

Auteur: Cisco
Titre: Un flic me demande de l'enculer
Rubrique: Au hasard des plaisirs
Note: Le magazine Marcus ayant disparu, nous vous présentons alors sur l'archive des textes y ayant paru au fil des ans, à titre d'archive, le but premier de l'archive étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte, ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 8783 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)

J e suis un type infréquentable. Un pédé doublé d’un voyou. C’est pour ça que plein de mecs veulent me connaître. Je les fais bander, avec ma gueule de repris de justice. Donc, des petits trous du cul, je m’en suis enfilé, et largement plus que ma part. Mais cette nuit, le coup de ma vie : je me suis tapé un flic ! Et c’était même pas par hasard. Le bourre savait très bien que j’étais de l’autre bord : il venait de m’arrêter.

Je m’explique. Je venais de me faire gauler rue Pigalle, où je fais un peu de trafic. Je me retrouve dans le car. On file vers le commissariat. Je connais la musique. Je sais que je risque pas grand-chose. Mais, à un moment, le car qui m’emmène s’arrête. Les keufs veulent faire une descente dans un clandé, en passant. On me laisse dans le car, sans même me foutre de menottes, en compagnie d’un seul flic. Un brave mec : il me donne une clope. Nous fumons tous les deux, sans rien dire. On regarde par la fenêtre grillagée, comme des animaux en cage, les gens qui passent dans la rue, les gonzesses et le trav’ qui racolent, les gros touristes américains et allemands qui viennent claquer leurs thunes. Le flic dit : “Je me ferais bien une pute.” Et moi, machinalement, je réponds : “Pas moi. Je préfère les mecs...” “Tu te fais mettre ou tu encules ?” Je lui dis que j’encule, pour faire viril, sinon, il m’aurait pris pour une femmelette. En fait, je ne dédaigne pas me faire enculer, comme tous les pédés, je suppose. Et c’est ça que je trouve chouette dans le cul homo : c’est qu’on peut rendre ce qu’on reçoit.

Enfin bon, mon flic ne tient plus sur son siège. Il se dandine. Il veut me demander quelque chose mais, visiblement, il ose pas. Il m’agace. Je le pousse : “De toute façon, tout à l’heure, on va m’interroger. Autant commencer tout de suite.” Et alors là, tout de go, il me demande si je veux bien l’enculer. “Me sodomiser” il a dit. Si je m’attendais à ça ! Je le regarde et je lui réponds : “T’es pas fou ! Et si tes collègues rappliquent ?” Il monte alors son petit plan foireux : “On va dans un café boire un coup. Tu demandes à pisser. Moi, comme je ne dois pas te lâcher, je suis bien obligé de t’accompagner aux chiottes. Le taulier ne se doutera de rien. Et dans les chiottes, tu me le fais.” Et il ajoute : “J’ai jamais essayé. J’ai envie de connaître ça.” Et puis : “Je me demande si je suis pas un pédé refoulé. Je suis marié depuis dix ans. Mais je m’entends pas avec ma femme. Et depuis quelque temps, je regarde les mecs, surtout quand ils sont bien gaulés comme toi.” (Il faut dire que mon flic, c’était plutôt un petit gros, assez moche et plutôt décrépi). Moi, il me faisait pas du tout envie, mais le plan de me farcir un bourre, ça m’excitait. Mais, surtout, je commençais à entrevoir un moyen de lui filer entre les pattes.

Je le suis dans un rade, tout à côté. Là-dedans, c’est plein de putes et de michetons. Je suis un peu connu. Mais comme je suis avec un flic, personne ne me salue. On commande chacun un demi et je demande à aller aux gogues. Le flic m’y accompagne, comme prévu. Arrivés là, il me pousse dans la cabine et ferme le loquet. C’est des chiottes à la turque, assez dégueu. Tout de suite, je défais ma braguette. Je sors ma queue. Elle bande un peu. Lui ne bouge pas. Il a l’air tout con. Il regarde ma bite, fixement. Il défait sa ceinture et baisse son froc, lentement. Puis il se retourne. Il me tend son cul. “Allez, vas-y” qu’il insiste. Je me branlotte un peu pour me durcir en me disant que ce salaud aurait pu me sucer un peu. Mais je crois qu’il ne sait pas y faire du tout avec les mecs. Il a jamais dû toucher une bite de sa vie. Eh bien, avec moi, il va en connaître.

J’écarte ses miches. Elles sont pas mal, pour un petit gros. Je vois son trou. Il est tout serré. Ça m’excite. Je crache un coup dessus et je mets mon gland en position. Et vlan, d’un bon coup de reins bien placé, je lui mets tout mon morceau. Il manque de hurler. Il ravale son cri et geint. Ma bite est enfonçée jusqu’aux couilles. Je reste un temps immobile, pour qu’il se calme. Il souffle. Je lui demande s’il en veut encore. Faut pas être vache. Mais il veut continuer. “Bouge, qu’il me dit, je veux la sentir bouger dans mon cul.” J’arrête pas de me répéter dans ma tête : “Je mets un flic, je mets un flic, je mets un flic” et ça m’excite. Je sens le foutre me monter des couilles. Je vais lui expédier ma sauce. Je le préviens, histoire de le faire jouir aussi. II se branle. Il crache avant moi. Il beugle. Visiblement, ça lui fait du bien. Il aime ! Je lui envoie toute la purée au fond des entrailles en gueulant : “Je décharge dans ton cul.” Il adore. Il reste un moment appuyé au mur. Il reprend son souffle. Mes méninges s’agitent. Il faut que j’arrive à me casser, que je trouve le moyen, vite. Je vois du foutre qui lui coule du cul. Je lui dis : “Ça coule sur ton bénard. T’en as plein. Ça va se voir...” Il panique. Il remonte son fute et court aux lavabos pour nettoyer, mort de trouille à l’idée que ses collègues verront ça.

Je file en douce, traverse le café en moins de deux et m’enfuis en courant dans la rue. J’ai remarqué en passant que le panier à salade était toujours là, vide. Quand mon enculé de flic est ressorti de son rade, j’étais déjà loin. J’en ris encore.


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