Du contenu pour les femmes

Du contenu pour les femmes




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Du contenu pour les femmes
Publié
le 19/08/2022 Ă  07:00 , Mis Ă  jour le 19/08/2022 Ă  11:54
Résultats des élections législatives par département
Résultats des élections législatives par ville
Résultats des élections législatives par région
Suivez l’actu en temps rĂ©el avec l’application Le Figaro
ENTRETIEN - À l’occasion de la sortie prochaine de Femmes d’État , ouvrage qu’elle a dirigĂ©, la journaliste du Figaro nous explique que c’est moins leur maniĂšre de gouverner que le regard sur leur action qui distingue souveraines, premiĂšres ministres ou prĂ©sidentes de leurs homologues masculins.
Sous la direction d’Anne Fulda, 20 historiens et journalistes se sont penchĂ©s sur ces femmes d’État exceptionnelles .
LE FIGARO MAGAZINE. - Voyez-vous une diffĂ©rence essentielle entre la maniĂšre de gouverner d’une souveraine et d’un souverain dans les siĂšcles passĂ©s?
Anne FULDA. - Il y a surtout un rapport au pouvoir - à sa conquĂȘte tout comme Ă  sa prĂ©servation - qui n’est pas le mĂȘme. Tout d’abord parce que, durant des siĂšcles, les femmes qui ont exercĂ© des fonctions exĂ©cutives l’ont fait souvent par dĂ©faut. Dans l’exercice d’une rĂ©gence ou pour pallier un manque d’hĂ©ritier masculin, concernant les reines. Les femmes de pouvoir ont ainsi rarement Ă©tĂ© le premier choix, la solution qui coule de source. Marie-ThĂ©rĂšse d’Autriche, l’une des femmes les plus puissantes du XVIII e siĂšcle, n’était pas vraiment destinĂ©e Ă  rĂ©gner: elle y a Ă©tĂ© contrainte car ses parents n’ont pas eu d’hĂ©ritier mĂąle aprĂšs la mort de son frĂšre aĂźnĂ©. Élisabeth II accĂšde au trĂŽne et succĂšde, Ă  25 ans, Ă  son pĂšre, George


Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 87% à découvrir.
La libertĂ© n’a pas de frontiĂšre, comme votre curiositĂ©.
Continuez à lire votre article pour 0,99€ le premier mois
Mme Anne Fulda parle des rites obligatoires d'une campagne présidentielle. Les meetings, exercices oratoires défavorables aux femmes non rompues à cette pratique, en font partie. Cela a contribué à l'échec et à l 'affront subis par Valérie Pecresse.
En paraphrasant Groucho MARX : Les femmes politiques sont des hommes politiques comme les autres

Les femmes qui une foisau pouvoir ont des comportements et attitudes directifs ne deviennent pas des " mecs" pour autant. Elles adoptent juste un comportement appropriĂ©. Dans leur vie, elles restes elles-mĂȘmes. Une femme, en 2020, peut faire tout ce que font les hommes. L'inverse n'est pas vrai. Pourquoi changer ?
Le président ukrainien a avoué au Washington Post ne pas avoir communiqué des informations de la CIA sur l'imminence de l'invasion russe pour éviter une panique généralisée. Il s'est depuis attiré une pluie de critiques.
DÉCRYPTAGE - En plein retrait de la force française Barkhane au Mali, le prĂ©sident russe Vladimir Poutine mĂšne une Ă©tape symbolique de l’offensive tous azimuts de Moscou en Afrique.
Le ministÚre malien des Affaires étrangÚres évoque des «violations répétitives et fréquentes» de l'espace aérien national par les forces françaises.
Anne Fulda: «Souvent les femmes au pouvoir se masculinisent»
Les articles en illimitĂ© Ă  partir de 0,99€ sans engagement

Life 18/08/2022 14:52 Actualisé le 19/08/2022 08:42
Jason Grant est le premier « officier de la dignité des rÚgles » en Ecosse.
Vous ne pouvez visionner ce contenu car vous avez refusé les cookies associés aux contenus issus de tiers. Si vous souhaitez visionner ce contenu, vous pouvez modifier vos choix .
À cause des rùgles, ces femmes vivent un enfer pendant la nuit
Lors de leurs rĂšgles, ces sportives veulent jouer sans shorts blancs
Suite Ă  l’instauration de la gratuitĂ© des protections pĂ©riodiques en Ecosse, Jason Grant est le tout premier « officier de la dignitĂ© des rĂšgles ». Une nomination qui suscite critiques et consternation.
FEMMES - Depuis lundi 15 aoĂ»t, tampons et serviettes pĂ©riodiques sont disponibles gratuitement en Écosse pour toutes les femmes. Mais la nomination de Jason Grant pour promouvoir leur accĂšs dans la rĂ©gion du Tayside, Ă  l’est de l’Écosse, a provoquĂ© critiques et consternation Ă  travers le Royaume-Uni. En cause : son parcours, le fait qu’il soit un homme, et les 36 126 livres qu’il va toucher.
« C’est complĂštement ridicule » , s’est offusquĂ©e l’ancienne joueuse de tennis Martina Navratilova sur Twitter. « Est-ce que nous avons jamais essayĂ© d’expliquer aux hommes comment se raser ou prendre soin de leur prostate ? C’est absurde » , a-t-elle ensuite appuyĂ©.
And this is just fucking ridiculous
 https://t.co/xk4kkfKv23
Tout premier « officier de la dignitĂ© des rĂšgles » Ă  ĂȘtre nommĂ© en Écosse, Jason Grant est chargĂ© pour deux ans de promouvoir la nouvelle loi contre la prĂ©caritĂ© menstruelle dans les Ă©coles, collĂšges et universitĂ©s et de s’assurer de son bon financement. Il doit aussi encourager Ă  des discussions sur les rĂšgles et la mĂ©nopause .
Les rĂ©actions politiques ne se sont pas longtemps fait attendre. À la chaĂźne de tĂ©lĂ©vision Sky News, le leader du Parti National Écossais Ian Blackford a dĂ©clarĂ© qu’il Ă©tait « bien mieux que les femmes occupent ces postes que n’importe qui d’autre » , comme le rapporte The Guardian . « C’est une politique dont nous pouvons tous ĂȘtre fiers. En fin de compte, je pense qu’il devrait y avoir une prioritĂ© d’avoir des femmes en place Ă  ces postes » , a-t-il ajoutĂ©.
« Les hommes ont un rÎle à jouer en contribuant à des conversations positives et respectueuses sur le sujet, tout en veillant à ce que la voix des femmes, des filles et des personnes qui ont leurs rÚgles ne soit jamais étouffée » , a également rappelé Monica Lennon, députée travailliste au Parlement britannique et grande avocate de la loi contre la précarité menstruelle.
Jason Grant a, quant Ă  lui, dĂ©clarĂ© que le fait d’ĂȘtre un homme l’aiderait « à faire tomber les barriĂšres, Ă  rĂ©duire la stigmatisation et Ă  encourager des discussions plus ouvertes ». « Bien qu’elles affectent directement les femmes, les rĂšgles sont un problĂšme pour tout le monde [...]. Je crois que je peux faire des progrĂšs en prouvant que ce n’est pas seulement un sujet qui concerne les femmes » , a-t-il soulignĂ© dans un communiquĂ©, relate Euronews .
Plus largement, c’est le parcours de Jason Grant qui a suscitĂ© des critiques. AprĂšs avoir travaillĂ© comme chargĂ© de clientĂšle chez Imperial Tobacco, le futur « officier de la dignitĂ© des rĂšgles » s’est converti en coach personnel et dirige depuis les entreprises JLG Fitness Wellbeing et Rabble Dundee, selon le Daily Mail . Il avait Ă©galement Ă©tĂ© nommĂ© responsable du bien-ĂȘtre au Dundee et Angus College.
À son nouveau poste, il touchera une rĂ©munĂ©ration de 36 126 livres (pour 24 mois), financĂ© par le gouvernement Ă©cossais. Pour plusieurs internautes citĂ©s par le Daily Mail , cette rĂ©munĂ©ration est Ă  questionner. « Je ne suis pas convaincu que la nomination d’un « officier de la dignitĂ© des rĂšgles » soit la meilleure utilisation de l’argent public » , Ă©crit l’un d’eux.
Le Period Dignity Working group, chargé de la réalisation de la nouvelle politique, a néanmoins défendu son choix, estimant que Jason Grant était « le candidat le plus convaincant » pour ce poste.
À voir Ă©galement sur Le HuffPost : Cette Ăźle de rĂȘve est Ă  vendre en Écosse pour le prix d’un T3 Ă  Paris
Inscrivez-vous Ă  la newsletter quotidienne du HuffPost et recevez par email les infos les plus importantes et les meilleurs articles du jour
En vous inscrivant Ă  ce service, vous acceptez que votre adresse mail soit utilisĂ©e par le Huffington Post, responsable de traitement, pour la gestion de votre inscription Ă  la newsletter. ConformĂ©ment Ă  la loi du 06/01/1978 modifiĂ©e et au RĂšglement europĂ©en n°2016/679/UE du 27/04/2016, vous bĂ©nĂ©ficiez d’un droit d’accĂšs, de modification, de portabilitĂ©, de suppression et d’opposition au traitement des informations vous concernant, que vous pouvez exercer auprĂšs de dpo@groupelemonde.fr . Pour toute information complĂ©mentaire ou rĂ©clamation: CNIL

Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
DonnĂ©es de gĂ©olocalisation prĂ©cises et identification par analyse du terminal , PublicitĂ©s et contenu personnalisĂ©s, mesure de performance des publicitĂ©s et du contenu, donnĂ©es d’audience et dĂ©veloppement de produit , Stocker et/ou accĂ©der Ă  des informations sur un terminal




Carnet


DĂ©poser un avis


Consulter les avis



Immobilier

Formation


Annonces LĂ©gales et judiciaires


Publier un avis


Consulter les avis Web



Marchés Publics

Boutique

Aide

Journal en ligne

Kiosque

Emag Must

Jeux






mercredi 13/07/2022 Ă  17h48
- Mis Ă  jour 15/07/2022 Ă  10h32


La Provence


Marseille,Édition Marseille




Hubs


Economie


Santé


Tourisme


Immo


Innovation


RSE dev durable


Mer



En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez notre politique de confidentialitĂ© , ainsi que nos mentions lĂ©gales . Le dĂ©pĂŽt de cookies est utilisĂ© pour des des statistiques, vous proposer des services Ă©ditoriaux et des publicitĂ©s adaptĂ©es Ă  vos centres d’intĂ©rĂȘts.
Les ateliers Egalipro, un réseau de confiance pour les...
Par La Provence Médias - Contenu Sponsorisé
 Depuis 2018, le CIDFF (Centre d'information sur les droits des femmes et des familles) de Marseille a mis en place des ateliers pratiques à destination des femmes en recherche d'emploi. Le but? Leur donner des clés pour s'insérer ou se réinsérer dans le monde professionnel.
« Au-delĂ  des questions financiĂšres, avoir un travail c'est un moyen d'Ă©mancipation pour les femmes. Ça leur redonne confiance en elles et ça leur permet d'exister pour elles-mĂȘmes, en dehors de leur famille », avance Clara, chargĂ©e du projet Egalipro au CIDFF de Marseille .
Au service emploi de cette association, qui a des antennes dans toute la France, des accompagnatrices Ă  l'emploi suivent individuellement et collectivement des femmes dans leur recherche d'un mĂ©tier. L'objectif? « Les aider Ă  lever tous les freins qui les empĂȘchent d'accĂ©der au monde professionnel ou d'y retourner », ajoute Clara.
Composé d'un cycle de quatre journées d'ateliers collectifs, le programme Egalipro aborde des thématiques aussi diverses que l'estime de soi, l'importance du réseau ou encore le droit du travail. Tout cela dans la perspective de donner des clés à ces femmes pour qu'elles puissent ouvrir les portes menant aux emplois, parfois bien cadenassées pour celles qui n'en auraient pas les codes. Ce programme est soutenu financiÚrement par le Fonds social européen (FSE).
Jeudi 5 mai, c'est l'atelier droit du travail Ă  la CitĂ© des mĂ©tiers dans le IIe arrondissement marseillais. Plusieurs femmes sont arrivĂ©es en avance et apprennent Ă  se connaĂźtre en discutant de leurs enfants, de leur mari ou encore de leur recherche d'emploi. Quand toutes les participantes sont arrivĂ©es, au nombre de trois aujourd'hui, Marija les interrompt gentiment pour se prĂ©senter. C'est la juriste du CIDFF, qui va animer l'atelier d'aujourd'hui. Elle rappelle les rĂšgles Ă  respecter dans le groupe: « Ne pas couper la parole, s'Ă©couter, respecter la parole de l'autre, ne pas juger, parler au “je”, le droit au silence, la confidentialitĂ© et l'entraide. »
PremiĂšre question de la juriste: « C'est quoi pour vous le droit? » « C'est ce qui nous appartient », rĂ©pond du tac au tac FaĂŻza*. La jeune femme, presque trentenaire, a grandi au SĂ©nĂ©gal avec ses neuf frĂšres et sƓurs. DivorcĂ©e, elle Ă©lĂšve seule sa fille de 7 ans.
Marija reprend: « Le droit du travail, c'est l'ensemble des rĂšgles qui rĂ©gissent le travail. Dans ce cadre, vous avez des obligations, mais aussi des droits, qui peuvent ĂȘtre des avantages, comme le congĂ© maternitĂ©, ou des interdictions, comme la discrimination. Nous, on est lĂ  pour vous informer sur tout ça. »
Réponse de Fatima*: «Ah bah là, j'ai bien besoin de vous.» La jeune Sénégalaise a été victime de harcÚlement dans son précédent emploi. Mais, pudique, elle ne s'épanche pas sur le sujet. Aujourd'hui, cette mÚre célibataire veut devenir aide-soignante.
La discussion dĂ©rive vers le sujet de la discrimination . Chacune y va de son histoire Ă  ce propos. FaĂŻza raconte: « RĂ©cemment, je voulais intĂ©grer une formation pour devenir agente de sĂ©curitĂ©. On m'a demandĂ© si j'avais des enfants et si j'Ă©tais mariĂ©e. J'ai rĂ©pondu parce que je suis honnĂȘte. LĂ , on m'a demandĂ©: “Mais vous ĂȘtes sĂ»re que vous allez arriver Ă  l'heure?” et finalement je n'ai pas Ă©tĂ© prise dans cette formation. » À la fin de l'histoire, la juriste s'exclame: « Ce n'est pas lĂ©gal ce type de comportement! Vous pensez qu'on pose ce genre de questions Ă  un homme? »
Certaines femmes portant le voile , la jeune juriste a choisi de faire un point sur ce sujet complexe dans le cadre du travail. À la fin de son explication, elle lance: « C'est pourquoi il ne faut pas toujours croire tout ce que disent certaines chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision sur ces questions. » Et Sandra* de rĂ©pondre dans un Ă©clat de rire: « Oh ça va, elles nous font de la pub .»
Sandra a fait des études de comptabilité. D'origine tunisienne, elle est arrivée à Marseille il y a vingt-cinq ans. Comme Faïza, elle est divorcée et élÚve seule sa fille de 13 ans. Sandra, à l'instar de toutes les autres femmes ici présentes, a traversé des épreuves difficiles, du harcÚlement à la discrimination. Pourtant, son sens de l'humour semble inaltérable. Une maniÚre de « dédramatiser les tragédies de la vie ».
Place au sujet du CV. Marija Ă©nonce: « Les seules informations lĂ©galement nĂ©cessaires sont le numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone, la formation et l'expĂ©rience professionnelle. Tout le reste, ce n'est pas obligatoire. » Sandra lance en riant: « Ah oui, moi je mets pas de photo. C'est la surprise! » «J'ai un prĂ©nom qui passe partout. Mais quand, ensuite, on voit ma tĂȘte, ça ne passe plus. En entretien, on m'a souvent demandĂ© ma religion», ajoute la Tunisienne , l'air rieur.
« Ça, vous voyez , renchĂ©rit Marija, ce n'est pas normal! L'employeur n'est pas censĂ© vous interroger sur ce qui relĂšve de votre vie privĂ©e . Il doit vous embaucher pour vos compĂ©tences et c'est tout! » Et si ce n'est pas le cas? «Vous pouvez porter plainte ou vous adresser au dĂ©fenseur des droits», embraye la juriste.
Mardi 10 mai 2022, toujours Ă  la CitĂ© des mĂ©tiers, lors de l'atelier intitulĂ© «Mes ressources, mes rĂ©ussites». C'est Clara, la chargĂ©e de mission Egalipro, qui l'anime. Les mĂȘmes femmes sont prĂ©sentes; il y a une seule nouvelle arrivante: Zahra*. Foulard autour de la tĂȘte, la quinquagĂ©naire, AlgĂ©rienne lumineuse, Ă  la bonne humeur communicative, est arrivĂ©e il y a une dizaine d'annĂ©es dans l'Hexagone. Bac +4 en chimie , cette mĂšre d'un adolescent de 17 ans cherche Ă  travailler comme prĂ©paratrice en pharmacie.
Aujourd'hui, elle a apportĂ© des pĂątisseries orientales qu'elle offre gĂ©nĂ©reusement, au dĂ©but de l'atelier, Ă  toutes les personnes prĂ©sentes. Quand le sujet de l'estime de soi est Ă©voquĂ©, Zahra lance spontanĂ©ment: « Avant, j'Ă©tais timide. Je ne parlais pas. J'Ă©tais toujours hĂ©sitante. GrĂące au CIDFF –je leur dirai tout le temps– j'ai boostĂ© ma confiance en moi! »
Au cours de l'atelier, Clara propose une activitĂ©. « Vous voyez ce carton, lĂ -bas, posĂ© sur une table? À tour de rĂŽle, vous allez regarder la photo de la personne cĂ©lĂšbre qui s'y trouve et lui faire trois compliments. » Sandra, la premiĂšre Ă  passer, se lance. Elle jette un coup d'Ɠil Ă  l'intĂ©rieur et relĂšve la tĂȘte stupĂ©faite: « Mais c'est un miroir! »
L'animatrice de l'atelier, sourire aux lĂšvres, plutĂŽt satisfaite de la rĂ©ussite de son effet de surprise , explicite l'exercice. « Trouvez-vous trois qualitĂ©s, et ensuite, chacune son tour, on va aussi vous donner trois qualitĂ©s auxquelles vous n'aviez pas pensĂ©. » S'ensuit un moment Ă©mouvant de sororitĂ© oĂč chaque participante reçoit une pluie de compliments.
« Il y a beaucoup de partage entre ces femmes , commente Clara. Souvent elles ne se connaissent pas quand elles arrivent, mais à la fin des ateliers collectifs, elles repartent amies. Elles ont des vécus difficiles qui se ressemblent, donc elles peuvent se comprendre et s'entraider. »
Face Ă  ces femmes aux traumatismes enfouis, le juste positionnement des employé·es du CIDFF peut ĂȘtre compliquĂ© Ă  trouver. « Notre sociĂ©tĂ© actuelle ne protĂšge pas toujours bien les femmes face aux nombreuses violences qu'elles subissent, dĂ©plore Clara. Comme c'est systĂ©mique, parfois, Ă  notre petite Ă©chelle, on ne peut rien faire, et c'est trĂšs frustrant. »
Pour se protĂ©ger et garder une distance professionnelle, la jeune femme utilise le vouvoiement quand elle s'adresse aux femmes qu'elle accompagne. « On n'est pas des super-hĂ©roĂŻnes ou des magiciennes, ni mĂȘme des assistantes sociales ou des psychologues , admet Clara. Mais on entend ces femmes, on les croit et on essaie de les aider du mieux qu'on peut. Comme ça, on a l'impression d'avoir un impact. »
Elena Lébely et Andriana Theochari * Les prénoms ont été changés, les ateliers devant respecter la confidentialité et l'anonymat des participantes.
 Cet article est rĂ©alisĂ© dans le cadre du concours Union Is Strength, organisĂ© par Slate.fr avec le soutien financier de l'Union europĂ©enne. L'article reflĂšte le point de vue de ses autrices et la Commission europĂ©enne ne peut ĂȘtre tenue responsable de son contenu ou usage.
Recevez chaque semaine toute l'actualité de votre région
Votre journal numérique disponible sur tous vos supports.
Benoßt Payan a rencontré Volodymyr Zelensky
OM - Le contexte : la fiĂšvre acheteuse
Incendies en Algérie : au moins 38 morts dont des familles piégées dans un bus


Jouir dans une jolie bouche
Avy Scott baisée par Lex
Une salope que vous avez intĂ©rĂȘt Ă  Ă©couter

Report Page