Du Plaisir Avec La Grosse Queue De Monsieur

Du Plaisir Avec La Grosse Queue De Monsieur




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Du Plaisir Avec La Grosse Queue De Monsieur
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Depuis deux ans je vis ma vie avec Thibault, l'homme que j'aime. Une décision réfléchie qui faisait suite à une liaison qui avait été sans nuage. Je l'avais connu à la fac et nous avions sympathisé. Pour les cours de géométrie nous avions formé un binÎme. J'étais plutÎt intellectuel et mathématicien par goût, lui était plutÎt intuitif, nous nous complétions parfaitement. Thibault trouvait les pistes à suivre et moi je les finalisais dans la piaule que j'occupais au campus universitaire.

J'étais pédé depuis toujours, j'avais eu plusieurs expériences. Lui était carrément puceau. Il était bien plus beau que moi et je me trouvais trÚs chanceux de l'avoir parmi mes amis. Chaque fois qu'il venait chez moi, j'avais la gaule et je me triturais le cerveau : comment l'amener dans mon lit ? Ma queue, tassée dans mon calbute, me causait une vraie souffrance et je devais, chaque cinq minutes, lui donner un peu plus d'espace. Comme il était trÚs intuitif, il ne lui fallut pas longtemps pour identifier mon problÚme.

— Je vois que tu manques de tissu. Sors-la, ta pine, ne te gĂȘne pas. Tu veux qu'on se fasse une branlette ?

— OK, mais d'abord on se met à poil.

Il avait un corps délicat, une queue longue et assez fine. J'étais grand, un peu efflanqué et ma bite était bien plus grosse. Je m'agenouillai aussitÎt, l'objet de mon désir en bouche. Les pédés qui ne sucent pas sont pour moi des extra-terrestres, car sucer est consubstantiel à la sexualité entre hommes. Heureusement ils sont trÚs rares et j'en ai trÚs peu rencontré.

— Hé ! J'avais parlĂ© d'une branlette !

On ne parle pas la bouche pleine et je continuai à sucer. Je ne savais pas alors si Thibault était gay ou non et il ne le savait pas non plus, mais il ne retira pas sa bite. Il est un proverbe qui dit que l'occasion fait le larron. La pine de Thibault gonfla et il me juta dans la gueule. J'avalai aussitÎt son foutre et je me léchai les babines.

— C'est mieux qu'une branlette, dit Thibault.

Je n'allais pas dire le contraire. Je me redressai la queue raide.

— Si tu ne me rends pas la pareille, je devrai me branler, Thibault.

Ce ne fut pas une rĂ©ussite mĂȘme si l'intention y Ă©tait. Les dents me rĂąpaient la couronne et me faisaient un mal de chien. Je me dĂ©gageai et lui dis :

— Restons-en lĂ  pour aujourd'hui. On a un problĂšme Ă  finir. Quelle est l'aire de ce tĂ©traĂšdre dont l'un des cĂŽtĂ©s est une courbe ?

— Il faut dĂ©terminer d'abord la surface de portion de cercle, l'ajouter Ă  celle du rectangle et diviser par sinus b.

Son intuition avait vu juste mais il restait à faire des équations qui dépassaient sa compétence. Je fis rapidement les calculs.

— 18,43 cm, juste la longueur de ma bite.

— La gĂ©omĂ©trie mĂšne Ă  tout. Est-ce qu'elle te mĂšnera dans mon lit ? Tu as compris que je suis gay.

— À vrai dire je m'en doutais. Tu crois que je le suis aussi ?

— Ce sera à toi de trancher. Tu restes dormir avec moi ?

En effet, ça ne coûtait rien et dÚs le matin au réveil Thibault et moi étions fixés sur son orientation sexuelle. J'avais trouvé place dans son cul et il m'avait dit :

— C'est mon truc. Tu crois qu'on pourrait vivre ensemble ?

Ça faisait deux ans maintenant et au plaisir de s'enculer s'Ă©tait ajoutĂ© de l'amour. J'avais 23 ans, lui 22, et j'Ă©tais l'homme de notre couple. Non que Thibault fĂ»t fĂ©minin, mais quand il se donnait Ă  moi, il se faisait tellement fragile que je voulais le protĂ©ger. Son anus Ă©tait une chatte, je le pĂ©nĂ©trais lentement et je lui donnais du plaisir. Il n'Ă©prouvait pas le besoin de vouloir inverser les rĂŽles, ce que j'aurais fait par amour mĂȘme sans dĂ©sir d'ĂȘtre passif. Nos bouches soudĂ©es par un baiser, ses minces bras autour de moi, ses jambes encerclant mon bassin, le livraient Ă  moi corps et Ăąme et quand je dĂ©chargeais en lui, son sperme jaillissait aussi. Étroitement mĂȘlĂ©s l'un dans l'autre, nous nous endormions apaisĂ©s.

Comme nous vivions une vie de couple, nous ne nous séparions jamais. Mes parents l'avaient accueilli avec chaleur, heureux de voir que je me stabilisais enfin. Mon existence jusqu'ici avait été trÚs chaotique et je ne me protégeais pas beaucoup. La chance m'avait accompagné et je n'avais rien attrapé. Thibault n'avait plus que son pÚre et il me reçut fraßchement. C'était un homme de cinquante ans et qui me parut homophobe. Le coming-out de son fils l'avait laissé un peu groggy. Chef d'entreprise autodidacte, il possédait six concessions automobiles et n'avait qu'un seul héritier. J'avais ruiné sans le savoir ses espoirs de pouvoir transmettre le fruit du travail d'une vie à un garçon qui à son tour pourrait continuer la lignée. Car Thibault était fils unique. Une question me taraudait. Veuf à l'ùge de quarante-deux ans, son pÚre n'avait pas de compagne.

— Pourquoi ne s'est-il pas remarié ?

— Ça, c'est un mystĂšre pour moi. Il a eu pas mal d'occasions mais est restĂ© cĂ©libataire et pourtant c'est un trĂšs bel homme.

Oui, Jean Beltran Ă©tait bel homme et paraissait dix ans de moins. Son visage Ă©tait rĂ©gulier et sa moustache trĂšs soignĂ©e, noire et en croc sous son nez droit, lui donnait un air conquĂ©rant. Sa silhouette haute et Ă©lĂ©gante, sa tĂȘte rejetĂ©e en arriĂšre, tout en lui disait l'aristo. Et il vivait dans un chĂąteau, une demeure du 17Ăšme siĂšcle avec deux tours, un pigeonnier, et un domaine de trois hectares dont s'occupait un jardinier.

Ma premiĂšre visite au chĂąteau me fit dĂ©couvrir mon beau-pĂšre et un mode de vie inconnu. NĂ© dans un milieu ouvrier, je n'avais jamais vĂ©cu comme Thibault dans des espaces aussi grandioses. Cuisine, salle Ă  manger, bibliothĂšque, billard, salon, se trouvaient au rez-de-chaussĂ©e. À l'Ă©tage se trouvaient les chambres, chacune avec salle de bains. Sous les combles, se trouvait un sauna.

Pour entretenir la maison, une cuisiniÚre-femme de ménage avait la mission impossible de gérer trois cent mÚtres carrés. C'était la mÚre du jardinier, un grand gaillard de trente-cinq ans dont le prénom était Thomas et qui servait parfois à table, l'air trÚs stylé et impassible. Comme je l'ai dit précédemment, le premier repas fut contraint. Nous étions tous embarrassés et la conversation traßna. Ce fut un vrai soulagement de me retrouver dans la chambre enfin seul avec mon Thibault.

— Eh bien ça promet ! dis-je en quittant mes vĂȘtements, si toute la semaine se passe ainsi, ça sera de drĂŽles de vacances.

— T'inquiùte, on ne restera pas. On patiente jusqu'à demain et si ça ne change pas, on se casse. Maintenant, prends-moi, s'il te plaüt.

Il avait trouvĂ© les mots justes et la façon de me convaincre. Je pris mon jeune amant de face, notre position prĂ©fĂ©rĂ©e, car nous pouvions nous embrasser. Le lit Ă©tait un King size et les draps de soie Ă©taient doux. Les jambes posĂ©es sur mes Ă©paules, Thibault guida ma bite en lui et je m'apprĂȘtais Ă  limer lorsque l'on frappa Ă  la porte. Je dĂ©culai immĂ©diatement et mis le drap sous mon menton. Thibault enfila son caleçon et s'en alla ouvrir la porte, sa longue queue toujours bandĂ©e.

— C'est de la part de Monsieur Jean, dit Thomas portant un plateau avec du champagne et deux verres.

Il gardait son air impassible mais son regard embrassait tout.

— Posez le plateau sur la table, dit Thibault en rangeant sa bite dont le gland pointait au dehors.

Le domestique s'exécuta, lui jetant un regard aigu, puis il s'inclina et sortit.

— Eh bien, c'est une bonne surprise, dis-je en me levant de mon lit. Et en plus, tu as fait une touche. Ce Thomas te trouve Ă  son goĂ»t.

— ArrĂȘte de dire des bĂȘtises, c'est un garçon irrĂ©prochable.

— Oh, je ne dis pas le contraire. N'empĂȘche qu'il t'a drĂŽlement matĂ© avec ton gland sur ton nombril. Ça fait combien de temps qu'il est là ?

— Environ six mois à temps plein, avant il bossait au garage et jardinait à l'occasion.

— Ouais, c'est vrai qu'il n'est pas trop mal. Si on buvait Ă  ta santé ? Bienvenue chez mon paternel.

Nous choquùmes nos verres de champagne et avalùmes une gorgée.

— Oui, c'est du vintage, le meilleur. Mon pĂšre le fait venir par caisses. Maintenant je vais t'enseigner la bonne façon de dĂ©guster.

Il trempa sa queue dans son verre et me la donna Ă  sucer. Mon amant faisait toujours preuve d'une grande inventivitĂ© et c'Ă©tait aussi la raison pour laquelle la baise multi quotidienne ne tombait pas dans la routine. Sa mouille mĂȘlĂ©e au champagne lui donnait une saveur nouvelle et dĂ©cupla mon Ă©nergie. Quand il fut au point de cracher, il se retira de ma bouche et largua son jus dans son verre.

— Champagne au sperme, ça te convient ?

Il avala une gorgée qu'il partagea dans un baiser. Les filaments blancs de son foutre descendirent dans mon gosier et je bandai encore plus fort. Je trempai ma queue dans mon verre et l'introduisis dans son cul.

Et je repris mon enculade avec une vigueur accrue. Mes bras lui enserraient le torse et le mettaient à ma merci. Je pilonnais comme un malade, mes cuisses claquaient sur son cul et au moment d'éjaculer je lui dis, mordant son oreille :

— Dis-le moi, Thibault, dis-le-moi !

— Dis-le encore, plus fort, plus fort !

Et je déchargeai dans son cul.

Le lendemain j'observai mieux le beau jardinier du chĂąteau pendant qu'il nous servait Ă  table. Grand, brun, avec des yeux noisette, il avait la silhouette Ă©lancĂ©e d'un homme fort et bien rompu aux durs travaux de jardinage. Je fus le seul Ă  remarquer que lorsqu'il servait Jean Beltran, son ventre pesait contre lui et qu'il bandait contre son dos. Le pĂšre de Thibault, impassible, accentuait mĂȘme le contact en se rejetant en arriĂšre.

La conclusion que j'en tirai c'est que dans la salle Ă  manger nous Ă©tions quatre gros pĂ©dĂ©s. Seul Thibault ne le savait pas et je n'allais pas le lui dire. S'il s'en apercevait, tant mieux, les choses seraient beaucoup plus simples, au cas contraire l'hypocrisie pourrirait notre relation. Ce ne serait pas la premiĂšre fois qu'un homo est un homophobe. J'avais un espoir cependant car le dĂ©jeuner d'aujourd'hui Ă©tait nettement plus dĂ©tendu que le dĂźner d'hier au soir. Peut-ĂȘtre Ă  cause du Pommard qui accompagnait le gibier et qui Ă©tait le meilleur vin que j'eusse bu de toute ma vie, ou Ă  cause de cet armagnac qui nous tournait un peu la tĂȘte. Le pĂšre de Thibault s'Ă©tait rĂ©solu Ă  m'appeler par mon prĂ©nom et me proposa un Havane.

— Que diriez-vous d'un bon sauna pour Ă©liminer les toxines ? Thomas, tu peux le prĂ©parer ?

Thomas acquiesça aussitĂŽt et monta au deuxiĂšme Ă©tage. Il faisait plutĂŽt frais dehors, la chaleur nous ferait du bien et comme Jean Beltran l'avait dit, aprĂšs ce repas un peu riche transpirer serait une bonne chose. Deux heures plus tard, nous nous trouvions nus dans le petit habitacle en bois. La vapeur y Ă©tait intense, rĂ©guliĂšrement activĂ©e par l'eau que versait Ă  la louche le propriĂ©taire des lieux. La premiĂšre chose que nous fĂźmes fut de nous mater mutuellement. Jean Beltran, comme son fils Thibault, avait une queue longue et fine. Son corps Ă©tait bien conservĂ© et musculeux plus que musclĂ©. Il me dĂ©tailla discrĂštement, du coin de l'Ɠil, mais longuement. À cause de la chaleur ambiante ma queue s'Ă©tait mise Ă  gonfler et se dressait entre mes cuisses, 20 cm de chair puissante avec son gland dĂ©calottĂ©.

Thibault bandait effrontément, ce qui n'était pas une surprise. La nudité allait de pair avec l'érection du pénis pour ce jeune homme trÚs sensuel, chose pratique à la maison mais compliquée à l'extérieur. Ainsi nous n'allions plus bronzer sur la plage de l'Espiguette, site naturiste bien connu, car Thibault ne débandait pas et était devenu l'attraction. Il entrait dans l'eau la queue raide et en sortait toujours bandé. J'avais alors pour habitude de le conduire dans les dunes pour lui éponger son trop-plein, suivi par un groupe de voyeurs qui se branlaient autour de nous. Le sauna déclencha en moi une brutale poussée d'hormones et je me penchai sur sa queue.

Jean Beltran, dans la touffeur moite, ne put se contrĂŽler longtemps. La prĂ©sence de ces deux garçons, la queue en l'air tout prĂšs de lui et prĂȘts Ă  se sucer la bite, Ă©tait vraiment un pousse-au-crime. Il se branla une ou deux fois, fit un grand effort sur lui-mĂȘme et sortit tout congestionnĂ©.

— Je vous laisse, j'ai du travail. Mettez de l'eau sur le charbon et ne restez pas trop longtemps car la vapeur ça amollit.

Ce ne fut pas le cas pour nous. AussitĂŽt son pĂšre sorti, Thibault m'appuya sur la tĂȘte et je pris sa belle bite en bouche. La fellation fut trĂšs rapide tellement nous Ă©tions excitĂ©s et quand il me jouit dans la gorge je dĂ©chargeai entre ses cuisses.

— Tu as mis mon pĂšre mal Ă  l'aise, me dit Thibault une fois sortis. Il a Ă©tĂ© plus que choquĂ© quand tu t'es penchĂ© sur ma queue.

— Choqué ? Je dirais plutĂŽt trĂšs troublĂ©. Est-ce que tu connais bien ton pĂšre ? Je ne le crois pas pudibond, il est trop sensuel pour cela.

— Sensuel ? Tu dĂ©railles, Vincent. Depuis le dĂ©cĂšs de ma mĂšre, il vit pratiquement comme un moine. Il n'a aucune femme dans sa vie. On dirait qu'il est asexuĂ©.

— Tiens, tu es trop bĂȘte, Thibault, vraiment, tu n'as rien remarqué ?

— Non, rien, absolument rien. Tu es un obsĂ©dĂ© sexuel.

Pour le coup, c'Ă©tait un peu fort. Je crachai le morceau, furieux.

— Il baise avec le jardinier, il n'a que faire d'une meuf, Thibault. En deux mots, ton pĂšre est pĂ©dĂ©.

— Je devrai le voir pour le croire.

— Ça, on le verra, sois tranquille, on a une semaine pour cela. Il faut ouvrir l'Ɠil et le bon. Pour moi c'est une bonne nouvelle, parce que si mon intuition est juste, une fois ton pĂšre dĂ©masquĂ©, il te foutra une paix royale et arrĂȘtera de te saouler avec l'avenir de l'entreprise. MĂȘme s'il me fait meilleure figure, il n'a pas abandonnĂ© l'espoir de te voir mariĂ© un jour et papa d'une famille nombreuse.

— Tout de mĂȘme, mon pĂšre un pĂ©dé ! Tu crois qu'il l'est depuis longtemps ?

— Il l'a sĂ»rement toujours Ă©tĂ©, mais il est d'une gĂ©nĂ©ration oĂč les hommes restaient au placard. Ses penchants se sont dĂ©voilĂ©s quand il s'est retrouvĂ© tout seul, livrĂ© Ă  ses pulsions profondes. Et puis Thomas est arrivĂ© avec sa jeunesse et sa bite et ton pĂšre n'a pas rĂ©sistĂ©.

— Quand j'ai fait mon coming-out, pourquoi n'a-t-il pas fait le sien ? C'Ă©tait le moment oĂč jamais.

— L'entreprise, Thibault, l'entreprise ! Ton pĂšre a beaucoup travaillĂ©, et si tu avais pris la suite, il aurait Ă©tĂ© soulagĂ©. Essaie de te mettre Ă  sa place.

— Si Thomas l'encule, pourquoi pas ? Il est plutît sexy, le mec.

Je lui donnai une petite gifle et Thibault Ă©clata de rire.

— On fait un deal, mon bel amant ? Je te laisse aguicher Thomas et toi tu me laisses ton pùre.

— Tu penses que mon pùre est passif ?

— Je pense que Thomas le jardinier a une queue longue et Ă©paisse. Je pense que Jean Beltran ton pĂšre se fait enculer tous les jours. Je pense qu'un petit changement nous ferait du bien Ă  tous deux. Je pense, comme dit le proverbe, que changement d'herbe rĂ©jouit les veaux.

— Du moment que tu es à moi, je ne crains pas la concurrence. Tu vois que je suis trùs confiant.

— Peut-ĂȘtre trop, pour tout te dire. Je n'ai jamais connu que toi, tu me pousses dans les bras d'un autre. Imagine que j'y prenne goĂ»t ?

— Banco, Thibault, je prends le risque ! Si notre couple vole en Ă©clats, c'est qu'il n'Ă©tait pas bien solide, nos chemins se sĂ©pareront.

Cette nuit-lĂ  nous fĂźmes l'amour avec peut-ĂȘtre moins de fougue mais Ă©normĂ©ment de tendresse. Le challenge voulu par moi, n'Ă©tait-ce pas un pari fou ? À jouer les apprentis sorciers, ne risquions-nous pas de tout perdre ? Je m'endormis en me disant que mon projet Ă©tait une Ă©lucubration et que je faisais bon marchĂ© de l'accord des intĂ©ressĂ©s. Il fallait oublier tout ça et vivre nos vies sans problĂšmes.

Mais j'avais trĂšs imprudemment ouvert la boĂźte de Pandore. Ma discussion avec Thibault l'avait choquĂ© et perturbĂ©. Il Ă©piait sans cesse son pĂšre, cherchant des signes de connivence avec Thomas le jardinier. Ce dernier, toujours impassible, ne se laissait pas deviner. MĂȘme la pression de son pubis contre le dos du garagiste pouvait ĂȘtre une coĂŻncidence que j'avais mal interprĂ©tĂ©e. Eh bien, non, je n'Ă©tais pas dupe ! Quelque chose en moi me disait que mon intuition Ă©tait juste, mais c'Ă©tait leur affaire Ă  eux.

Sauf que Thibault, poussĂ© par moi, en avait fait son horizon. Les soupçons pesant sur son pĂšre, le jardinier omniprĂ©sent, le troublaient, le rendaient fĂ©brile. Voulant en avoir le cƓur net, il Ă©tait devenu espion.

— J'ai besoin de savoir, disait-il, c'est important pour un homo de bien cerner son ascendance. Si mon pĂšre est vraiment pĂ©dĂ©, ça explique peut-ĂȘtre pourquoi je suis devenu une tapette. Si ça se trouve, il m'a tripotĂ© sans que j'en aie le souvenir.

— Non Thibault, lĂ  tu vas trop loin. Tu mĂ©langes tout. Ton pĂšre n'est pas un pĂ©dophile, c'est juste un homme bisexuel qui vit une relation adulte avec un garçon qui lui plaĂźt.

— Avoue que c'est un choc pour moi. Tu imagines ton propre pùre en train de se faire enculer ?

— Oui, du moment qu'il a un cul. Un homme a des chromosomes xy et contrairement à la femme, il a une bite et un trou. Il y a un paquet de messieurs qui fourrent et qui se font fourrer et ton pùre fait partie du lot.

— Toi qui es un homo actif, est-ce que mon pùre te fait envie ?

— Est-ce que Thomas te fait envie, toi qui es un homo passif ?

— Savoir qu'il encule mon pùre, ça m'excite, mais j'ai bien conscience que ce n'est pas loin de l'inceste.

— Par procuration seulement. Mais pour rĂ©pondre Ă  ta question, oui, ton pĂšre me fait envie.

— On est dans la merde, Vincent !

Vers 18h le lendemain, Thibault m'attrapa par la main. Il était rouge et essoufflé.

— Ils sont tous les deux dans la cabane, amùne-toi, on va tout savoir.

La cabane du jardinier Ă©tait Ă©loignĂ©e du chĂąteau d'une bonne centaine de mĂštres. Elle possĂ©dait une fenĂȘtre Ă  moitiĂ© cachĂ©e par du lierre et les vitres en Ă©taient trĂšs sales. Thibault cracha dans un mouchoir et en dĂ©gagea la poussiĂšre, crĂ©ant un cercle transparent. Les deux hommes Ă©taient enlacĂ©s et se roulaient une grosse pelle tout en se malaxant la queue. Thomas s'accroupit et sortit la bite de son employeur qu'il engloutit d'un seul Ă©lan.

Je glissai ma main dans le slip de Thibault qui bandait dĂ©jĂ . Il Ă©tait comme tĂ©tanisĂ©, les yeux lui sortaient de la tĂȘte. Je lui mis un doigt dans le cul et je me libĂ©rai la pine. Il nous restait Ă  nous branler.

Les deux hommes s'Ă©taient dĂ©nudĂ©s et je vis la queue de Thomas. Elle Ă©tait courte mais trĂšs grosse et apparemment circoncise. Il avait un Ă©norme gland qu'il masturbait de la main droite tandis que la gauche Ă©treignait les deux couilles de Jean Beltran. C'Ă©tait un suceur Ă©mĂ©rite et qui y trouvait du plaisir. La longue queue du garagiste lui coulissait entre les lĂšvres et s'enfonçait jusqu'Ă  la gorge. Quand Thomas eut fini de sucer il fit tourner son partenaire et s'aboucha contre son trou pour lui faire un anulingus, puis il y fourra son gros gland. Jean Beltran Ă©carta les jambes et il se pencha en avant, appuyĂ© contre un Ă©tabli. Ce fut une vraie chevauchĂ©e, des grands coups de bite dans un cul, accompagnĂ©s de sourds cris rauques tandis que Thomas enculait et dĂ©culait pour se renfoncer de plus belle. Puis il y eut un quadruple orgasme quand les acteurs et les voyeurs dĂ©chargĂšrent tous en mĂȘme temps. Thibault Ă©tait complĂštement dĂ©jantĂ©, je dus le prendre par le bras et le ramener au chĂąteau. Il profĂ©rait des mots sans suite, "Grosse bite...mon pĂšre...enculĂ©..."

— Tu voulais voir et tu as vu. On fait nos bagages et on part.

— Non, on doit parler avec eux, je ne peux pas partir comme ça sinon ça va hanter mes nuits. Si mon pĂšre vit avec un homme, il doit assumer sa liaison et faire son coming-out, faute de quoi nos rapports pĂšre-fils seront Ă  jamais dĂ©gradĂ©s. Rien n'est pire que les non-dits.

— Et comment comptes-tu t'y prendre ?

— Je veux mettre cartes sur table. Je n
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