Drogues au petit déjeuner

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Publié le : 16/02/2020 - 11:16 Modifié le : 16/02/2020 - 11:14
Deux fois par semaine, Laurent et Victor* prennent de l'acide au petit-déjeuner. Ces deux consommateurs de LSD ne cherchent pas un trip psychédélique: ils absorbent des "microdoses", l'un pour "mieux se concentrer", l'autre pour "faire face à une dépression".
Venue des États-Unis, cette tendance commence à faire des émules en France malgré des "syndromes d'hallucination persistante" parfois observés et même si les effets sur le cerveau d'un usage aussi fréquent de LSD restent inconnus.
"Le +microdosing+ remplace très avantageusement le café. Ca m'en donne l'énergie, sans la nervosité", affirme Laurent, 42 ans, qui loue "l'effet antiprocrastination" de cette drogue hallucinogène lorsqu'elle est consommée en petites quantités.
Adepte depuis plus de cinq ans, cet universitaire parisien se dit "plus éveillé, plus concentré" grâce au LSD et à "dix minutes de méditation quotidienne".
Chaque lundi et jeudi, il sort ses buvards de LSD commandés sur le darknet et en avale un mini-morceau. En général, les "microdoseurs" absorbent environ 10 microgrammes, soit un dixième de la quantité "récréative". L'effet semble assez éloigné des voyages transcendantaux popularisés dans les années 60.
"C'est une expérience moins forte qu'un café bien serré", assure Laurent qui évoque l'effet d'un "lubrifiant social". "Ca me rend plus tolérant face aux comportements irritants de mes enfants ou des inconnus."
S'il se dit parfois qu'il ferait mieux de "dormir plus plutôt que de +microdoser+", le père de famille assure qu'il n'y a pas de "dépendance".
"Le LSD, qui n'engendre aucun syndrome physique de manque, provoque une légère augmentation de la tolérance lorsque les usages sont répétés à moins de trois semaines d'écart, mais pas sur le long terme", note toutefois l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT).
"Le microdosage est souvent utilisé comme un outil au service de la compétitivité individuelle, notamment chez les cadres de la Silicon Valley depuis les années 2000", observe l'anthropologue David Dupuis, spécialiste des substances psychédéliques.
Loin des appels à expérimenter le LSD pour inventer une société alternative, "on l'utilise aujourd'hui fréquemment pour s'adapter au monde, être plus productif, plus créatif. L'influence croissante de l'imaginaire du management pousse les individus à toujours se dépasser", résume-t-il.
"Le problème, c'est qu'on en sait pour l'instant très peu sur les effets à long terme sur le cerveau d'un usage chronique de psychédéliques", ajoute-t-il.
Et de déplorer le "discours d'innocuité" entourant le microdosage, alors que "certains rapportent des syndromes d'hallucinations persistantes, qui se manifestent par exemple par un halo persistant dans le champ visuel".
"Il y a assez peu d'études scientifiques sur la question du +microdosing+. C'est difficile de se positionner avec un avis parfaitement étayé et rationnel", confirme Lucie Berkovitch, psychiatre et cheffe de clinique à l'hôpital Sainte-Anne à Paris. D'autant que cette "utilisation un peu dopante" du LSD "a moins d'intérêt" pour la médecine.
En revanche, l'interdiction du LSD, qui empêchait les recherches sur les psychédéliques depuis les années 70, commence à être remise en cause. Aux États-Unis et au Royaume-Uni, des essais cliniques testent actuellement l'apport d'une dose classique, lors d'une prise guidée par des médecins pour traiter certaines addictions (tabac, alcool, opioïdes) et dépressions.
"C'est une nouvelle piste thérapeutique assez prometteuse", reprend Mme Berkovitch qui souhaiterait que la France autorise également la recherche. Actuellement, "environ un tiers des patients dépressifs ne sortent pas de la dépression, même après avoir essayé quatre antidépresseurs différents", rappelle-t-elle.
Atteint par une "dépression sévère", Victor n'a lui pas attendu pour s'automédiquer. Après avoir démissionné d'un emploi trop exigeant, ce trentenaire bardé de diplômes prend des "microdose" de LSD depuis quelques mois, en remplacement des antidépresseurs qui l'assommaient.
"Quand t'arrives pas à te sortir de ton lit et que soudain t'as un truc qui te motive et qui te pousse à faire les choses que tu repousses depuis dix jours, ça change la vie", témoigne ce Parisien qui aimerait tester une psychothérapie avec LSD. "Tant que ça reste une substance illégale, tu ne sais jamais vraiment ce que tu prends."
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Les substances psychoactives agissent directement sur notre cerveau et modifient autant le comportement, la conscience que l’humeur. Du café à la cocaïne et du poppers à l’alcool, elles s’avèrent parfois plus banales qu’on ne le croirait. Mais à chaque substance son contexte, de l’espace public… au secret du privé.
« Allez Zoé, tu vas pas refuser un café ?! »
Si commun est pourtant… Le café est un excitant qui a des effets non-négligeables sur notre niveau d’énergie… mais aussi de nervosité ! Ce n’est pas parce que ta grand-tante biberonne la cafetière toute la journée que tu dois en faire de même. Selon notre âge, notre physiologie et surtout notre habitude, on supporte plus ou moins le café.
Et puis on peut tout simplement ne pas aimer, ce liquide noir au goût âpre, ce n’est pas très avenant ! Pourtant, on y est confronté-e toute la journée : à la machine de la fac ou du bureau, après le déjeuner, en fin d’aprèm pour se requinquer… Il faut savoir dire stop si c’est trop pour nous.
« Hop ! C’est l’heure de la clope ! »
En se levant, après le déjeuner, avec le café, en soirée… Toutes les occasions sont bonnes pour s’en griller une !
Si le tabac est interdit aux mineurs, les vendeurs ne sont pas toujours regardants et tu ne te feras rarement arrêter dans la rue pour avoir une cigarette au bec. Cette attitude contribue à rendre commune la consommation de tabac qui pourtant, une fois de plus, n’est pas anodine ! Risques divers pour la santé à plus ou moins long-terme, dépendance, dépenses… Ce n’est pas parce que tes potes fument que c’est sans danger !
« Lou, tu reprendras bien un petit coup ? »
L’ alcool … Certains parlent d’une drogue légale, d’autres d’un rite de passage ou encore d’un plaisir quotidien. A chacun sa façon de consommer (ou de ne pas consommer), quoi qu’il en soit, aujourd’hui l’alcool est un produit très banalisé dans notre société . Dès l’enfance, on nous propose souvent en famille de trinquer, à Noël ou aux anniversaires, et on passe souvent du jus de pomme pétillant au champagne avant la majorité…
Mais est-ce que c’est parce que mamie Jeanne te tend une coupe que tu dois l’accepter ? Et est-ce parce que tonton Hervé boit un quart de rouge à chaque repas que c’est une substance à prendre à la légère ? L’alcool modifie de manière plus ou moins importante (selon la quantité consommée) notre état de conscience. On a très souvent l’occasion d’en boire, à tel point que parfois ce sont les abstinents qui font figure d’exception surtout en soirée ! A toi de connaître tes limites et savoir dire non malgré la pression sociale qui peut s’exercer, de la part de ta famille comme de tes potes. Le respect du consentement s’applique aussi ici !
Cannabis, MDMA et ecstasy, cocaïne, LSD, champignons hallucinogènes et autres, la liste des substances psychoactives illégales est longue ! Pourtant, tu as certainement déjà entendu certains noms si ce n’est tous car on peut finalement assez facilement y être confronté-e, qu’on le souhaite ou non.
« Un petit taz Anastase ? Une petite trace Horace ? »
Tu trouveras plus exceptionnellement ce genre de produits dans le cadre d’un déjeuner en famille. Les « drogues » se rencontrent en général à l’occasion de soirées en boîte, en festival, à de gros concerts ou parfois à des soirées chez des personnes consommatrices.
Qu’essayer te tente ou te rebute, n’oublie pas qu’ici si tu es pris en flagrant-délit de consommation ou de possession d’une de ces substances, tu tombes sous le coup de la loi. C’est-à-dire que tu risques à minima un rappel à la loi, un appel à tes parents si tu es mineur-e, voire une nuit en garde-à-vue, une amende et même de la prison ! Un peu moins drôle d’un coup.
Pas la peine de te priver de suivre tes potes parce qu’il y aura des consommateurs là où vous allez, mais une fois de plus il faut avoir à l’esprit que tu n’es jamais obligé-e de consommer. Chacun est responsable des risques qu’il ou elle prend !
Qu’elle soit légale ou pas, il arrive d’être dépassé-e par l’attrait qu’exerce une substance sur nous. Si tu constates chez un-e proche ou toi-même une difficulté à contrôler sa/ta consommation, une tendance à augmenter les doses ou ne plus pouvoir s’en passer, même seul-e, il est parfois nécessaire de tirer la sonnette d’alarme.
Si tu as besoin de t’informer ou d’en parler, tu peux :
– Bénéficier de Consultations Jeunes Consommateurs (CJC) au sein d’un CSAPA (Centre Spécialisé d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie). Il en existe dans la quasi-totalité des départements français et ils proposent un accueil gratuit et confidentiel.
– Consulter le site ou appeler Drogues Infos Service : www.drogues-info-service.fr
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L’auteur de Las Vegas Parano et inventeur du journalisme gonzo était connu pour ses excès en tous genres. Découvrez sa « journée de travail » type .
La journée de travail d’Hunter S. Thompson a été relatée par E. Jean Carroll dans le premier chapitre du livre lui étant consacré et intitulé « Hunter: The Strange and Savage Life of Hunter S. Thompson ».
Thompson, qui s’est suicidé en 2005 à l’âge de 67 ans, était évidemment réputé pour sa consommation quasi-industrielle de drogues et d’alcool, mais ces « ingrédients » apparaissaient comme indispensables à l’affirmation de son écriture complétement allumée .
Celui-ci avait d’ailleurs déclaré à ce sujet :
« Je déteste vanter les mérites de la drogue, de l’alcool, de la violence ou de la folie à quiconque, mais ces choses ont toujours fonctionné pour moi. »
Voici sa routine quotidienne telle qu’elle est rapportée dans ses mémoires écrites par E. Jean Carroll :
15h05 : Un verre de Chivas Regal en lisant les journaux du matin et des cigarettes Dunhill.
15h50 : Un autre verre de whisky, une Dunhill.
16h05 : Première tasse de café, avec une Dunhill.
17h30 : Plus de glaçons dans le Chivas.
18h00 : Un peu d’herbe pour se calmer après les excès…
19h05 : Direction le restaurant Woody Creek Tavern pour diner. Au menu du soir : une Heineken, deux margaritas, salade coleslaw, un « taco-salade », double ration de rondelles d’oignons frits, un gâteau aux carottes, une glace, un beignet de haricots, des Dunhills, une autre Heineken, de la coke, et pour le retour à la maison, un « snow cone » (trois ou quatre doses de whisky dans un verre rempli de glace pilée).
21h00 : Se met à sniffer sérieusement de la coke.
00h00 : Hunter S. Thompson est enfin prêt à écrire.
00h05 à 6h00 : Chartreuse, cocaïne, herbe, Chivas, café, Heineken, cigarettes aux clous de girofle, pamplemousse, Dunhills, jus d’orange, gin, et diffusion de films pornos en fond.
6h00 : Jacuzzi-champagne, glace Dove, pâtes au parmesan.
Enfin, il est intéressant de remarquer que le premier chapitre du livre de Carroll, lorsqu’il est visionné sur une liseuse, se termine par la mention :
« l’auteure est trop paresseuse pour finir de convertir les mémoires d’Hunter au format eBook. Pour achever sa lecture gratuitement, rendez-vous sur HunterBio.com ».
Une petite bizarrerie tout à fait dans l’esprit d’Hunter S. Thompson.
Découvrez aussi cet artiste qui teste 20 drogues en 20 jours afin d’en illustrer les effets sur le corps humain.

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Tout le monde a un trou à remplir
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