Dressée à quatre pattes

Dressée à quatre pattes




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Dressée à quatre pattes
Mon enfant se déplace assis… ! Que faire ? Même si des parents la trouve rigolote, la marche fessière doit interpeller. Pourquoi l’enfant en est-il arrivé à ce mode de déplacement ? Quel impact engendre-t-elle ? Le 4 pattes est-il essentiel pour aller vers la marche ? Comment encourager le 4 pattes et pourquoi ? Contrairement à plusieurs idées reçues, le déplacement fessier n’est pas physiologique. Laure Bejuy répond à toutes ces questions et vous donne quelques conseils !
Les enfants se déplaçant assis sont souvent ces mêmes enfants qui n’ont pas appris à se mouvoir seul (temps sur le ventre, retournement, ramper) et/ou qui ont surutilisé des dispositifs entravant la mobilité et la motricité spontanée du tout-petit (transat, cocon…). Par un manque d’expérimentations de l’espace antérieur, ces enfants sont aussi souvent mis assis trop tôt sans savoir sortir de cette position.
L ’enfant a développé la crainte de tomber et de se retrouver allongé. Il se retrouve dans une posture figée , statique, avec des mouvements qui se sont développés dans un seul plan de l’espace (face à lui). Il sollicite d’autant plus l’adulte pour répondre à ses besoins (ramasser l’objet qui s’est un peu trop éloigné). Finalement, pour se déplacer, par un balancement avant/arrière, il a trouvé la seule stratégie possible : avancer sur les fesses. 
 Encourager le quatre pattes chez mon enfant se déplaçant assis, c’est aussi accompagner mon enfant à faire seul, gagner en autonomie
Le déplacement fessier entraîne une diminution de la fluidité et rapidité des mouvements, une difficulté à se hisser debout, un schéma corporel lésé, un manque d’appui sur les membres supérieurs, une diminution des opportunités d’exploration de l’espace et des autres, entre autres. Cela joue aussi sur les interactions sociales de l’enfant. Ces enfants deviendront plus dépendants de l’adulte à l’âge ou l’adulte doit accompagner l’enfant à faire seul. (Exploration du monde, aller chercher un jouet en entrant en interaction avec sa mère, un autre enfant…).
L’enfant expérimente les coordinations entre la droite et la gauche, et le haut et le bas. Par exemple, pour avancer, il faut déplacer un bras et la jambe qui sont opposés (bras droit jambe gauche puis inversement). Ce croisement d’axe représente de nouvelles informations. Ce qui entraîne de nouvelles connexions dans le cerveau. À partir de la position quatre pattes l’enfant trouvera la position assise pour explorer l’objet. 
S i l’utilisation du 4 pattes en mode de déplacement n’est pas obligatoire, il permet d’explorer les transferts d’appui, en contrôlant les déséquilibres qu’ils induisent, mais aussi de développer les réactions parachutes utiles notamment pour la marche. Le 4 pattes est un apprentissage complexe de coordination/dissociation entre le haut et le bas du corps, et les hémicorps droits et gauche , et si on regarde de plus près, les mêmes coordinations que nous retrouverons dans la marche. Le 4 pattes participe à la construction corporelle. Notamment de l’espace de l’enfant et est un des piliers préparant la marche autonome de l’enfant. 
C’est en général entre 8 et 11 mois que l’enfant s’adonne à ce mode de déplacement découvert.
On accordera une importance particulière à mettre l’enfant dans des situations d’exploration de l’environnement qui vont favoriser ses transferts d’appui, les rotations du buste, les repoussés du sol et l’exploration de l’espace antérieur. 
E n étant à l’écoute de l’enfant, dans un climat de sécurité et de jeu , on introduit ensemble les retournements, les pivots, et le 4 pattes : jouer allongés, mobiliser le corps du bébé, jouer avec ses pieds, bouger son bassin… Puis amener les variations des appuis dans un corps-à-corps, proposer des objets sur différents plans de l’espace (en hauteur, à droite, à gauche), varier les hauteurs de tapis, mettre des tunnels dans les parcours, mettre des obstacles à enjamber, etc.
Au cabinet, j’utilise des petites astuces et du matériel que je conseille également aux parents pour accompagner l’enfant dans cette expérimentation : sans forcément vouloir à tout prix empêcher un déplacement assis, mais pour enrichir le répertoire d’habiletés motrices de bébé et gagner en fluidité de mouvement .
On pourra se servir du corps du parent pour amener à ces découvertes : jambes écartées l’enfant assis entre nos jambes on amène l’enfant à se mettre en position 4 pattes pour aller chercher une petite balle lumineuse, on pourra ainsi initier la sortie de la position assise. 
Le u porteur va permettre à l’enfant d’expérimenter la position 4 pattes les transferts d’appui avant arrière, latéraux et d’expérimenter cet espace antérieur. 
Le tapis d’eau qui est un tapis d’éveil se remplit d’eau et devient un mini matelas à eau ultra confortable. On peut s’amuser à essayer d’attraper les petits poissons qui flottent à l’intérieur. 
Le wobbel : très intéressant pour jouer à genoux assis sur les talons ou à genoux dressés avec un jouet très attrayant posé dessus. 
La planche de surf : elle permet l’expérimentation à plat ventre, des appuis droit gauche et avant arrière.
J’utilise un ou plusieurs modules pour réaliser un petit parcours. Ils permettent l’expérimentation de l’escalade. Encourager plutôt son franchissement à partir de la position 4 pattes ou de la position genoux assis avec un petit jouet attractif à aller chercher. Le Module toboggan offre une inclinaison tel un toboggan : on s’amuse à glisser dessus ou à l’escalader. Il encourage le mouvement et la coordination. Il s’utilise avec d’autres modules pour créer un parcours psychomoteur. Le ballon bodyball permet de poser l’enfant à plat ventre dessus, de lui faire expérimenter les appuis en contact avec son parent, les réactions parachutes d’équilibrations, le coté rebond qui stimulera la tenue de la tête.
Les petits jouets que j’utilise pour donner l’envie à l’enfant d’explorer la position quatre pattes ou genoux dressés et suffisamment attractifs pour qu’ils vaillent la peine de se déplacer dans une position assez nouvelle. 
Ventouses : l’oogi bongo conçu pour inspirer des histoires fantastiques et s’animer entre les mains des enfants. Le matériau élastique et les ventouses invitent les enfants à expérimenter et à jouer en utilisant leur imagination et tous leurs sens.
Spoolz : ce jeu stimule les sens de votre enfant, développe son repérage spatial, favorise sa motricité et sa créativité ! 
Souvent j’utilise le spoolz avec le wobbel. Par exemple, en en mettant un dessus, un caché dessous un à droite. Et on construit la tour entre le genoux assis et dressé. Puis certains peuvent rouler légèrement plus loin. On encouragera l’enfant à aller les chercher en 4 pattes. 
Si vous remarquez que votre enfant n’aime pas la position ventrale dès son plus jeune âge, qu’un mode de déplacement atypique apparait ou si vous avez des inquiétudes quant à son développement moteur , n’hésitez pas à vous rapprocher de votre kinésithérapeute pédiatrique sans tarder. 
Laure Bejuy, Kinésithérapeute spécialisée en pédiatrie, DIU de kinésithérapie pédiatrique Paris Descartes, j’exerce exclusivement en activité libérale pédiatrique. Grande admiratrice de Michèle Forestier, avec qui j’ai eu la chance de me former, j’anime aussi des ateliers autour de la parentalité. Il s’agit d’ateliers sur la motricité du nourrisson et du jeune enfant, Sensori moteur, yoga…) auprès des parents, en crèche ou en ram.
Si vous souhaitez la retrouver sur Facebook : les ateliers des minipousses ou sur son site internet.
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *
Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.
Taper la réponse pour valider votre commentaire *
Time limit is exhausted. Please reload the CAPTCHA.
2
 − 
1
 = 








Proposez le portrait de votre enfant, en remplissant
notre formulaire en ligne.
Je propose un portrait


Parce que ce qui est indispensable à certains est aussi plus confortable pour tous, Hop'Toys propose depuis 19 ans des jeux et des outils pour permettre à tous les enfants de développer leur potentiel… qu'ils aient des besoins spécifiques ou non. Hop'Toys propose également sur son blog des supports gratuits de sensibilisation, articles de fond, témoignages d'experts et de familles et bien sûr des idées d'activités pour tous… afin d'œuvrer à la création d'une société plus inclusive !

On a attendu d'être sûrs que le contenu de ce site vous intéresse avant de vous déranger, mais on aimerait bien vous accompagner pendant votre visite... C'est OK pour vous ?
Fonctionnement du site : Notre site utilise des traceurs strictement nécessaires pour vous permettre de naviguer sur notre site.
Publicité personnalisée : Notre site et nos partenaires utilisent des traceurs afin d’afficher de la publicité personnalisée en fonction de votre navigation et de votre profil.
Personnalisation de contenu : Notre site et nos partenaires utilisent des traceurs pour personnaliser le contenu éditorial de notre site en fonction de votre utilisation.
Partage sur les réseaux sociaux : Notre site et nos partenaires utilisent des traceurs pour vous permettre de partager du contenu sur les réseaux sociaux ou plateformes présents sur notre site.
Statistiques de navigation : Notre site et nos partenaires utilisent des traceurs afin de mesurer la fréquentation de notre site.
Axeptio est LE tiers de confiance au service de la confidentialité des internautes.
Vous avez un site et vous voulez prendre soin de la vie
privée de vos utilisateurs ?  Découvrez Axeptio


Was this page helpful?
Yes
No


Performance & security by Cloudflare


You can not access mots-croises-solutions.com. Refresh the page or contact the site owner to request access.
Copy and paste the Ray ID when you contact the site owner.

Ray ID:

73d513addb4106b6


73d513addb4106b6 Copy



For help visit Troubleshooting guide




(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Série : Dressé, formaté, exploité.

Premier texte : Dressé, formaté, exploité. (01)
Texte précédent : Dressé, formaté, exploité. (02)
Épisode final de la série

© Tous droits réservés. Jerome3140.

Louis est entré à quatre pattes et une fois la porte refermée sur lui, il s’est mis à genoux, le corps bien droit et tenant la laisse entre ses dents.

Le client, vêtu tout de cuir, s’est approché de lui et a tâté chaque partie de son corps et Louis, bien sûr, formaté comme il l’était, n’a pas bougé d’un iota. Il lui a ôté la laisse de la bouche. C’était une grosse laisse en cuir tressé qu’il a défaite du collier et la prise en main comme une cravache.

— Raconte-moi, en quelques phrases, ta vie jusqu’à présent.

Ce que Louis fait en parlant de son père trop strict, la prise en main par Alexis et sa formation qui se termine ici. Et le mec de résumer :

— Si je comprends bien, ton père t’a dressé, Alexis t’a formaté, et dans ces lieux-ci, on va t’enseigner comment tes maitres pourront t’exploiter au maximum, tirer le plus de fric possible de ton cul, de ta bite, mais aussi du reste de ton corps, car ici tu vas souffrir un max ; car ici c’est le lieu de rencontre, le repaire de tous les sadiques de 100 km à la ronde… et j’en fais partie !

— Que puis-je vous dire monsieur ? Mon dressage, mon formatage m’ont appris à me taire, à obéir et à souffrir en silence, monsieur.

— Je vais vérifier cela immédiatement.

Et sans plus, Louis toujours agenouillé, reçoit son premier coup de cravache de son premier client durant sa première heure de sa nouvelle expérience, de sa nouvelle vie qui sera consacrée à satisfaire tous les caprices, les excentricités, les extravagances, les sévices ou les tortures de ses clients sous forme de blâmes, châtiments, corrections, raclées, coups, fessées, gifles et comme instrument la main, le fouet, la cravache, le martinet, la schlague et le tout au bon plaisir du client qu’il doit servir.

La première correction que le gars lui a administrée, simplement parce qu’il en éprouvait le besoin ou l’envie, a duré plus d’un quart d’heure et s’il est vrai que Louis chialait comme un gamin, il n’a pas bougé d’un millimètre et à aucun moment il ne s’est plaint ; et quand vers la fin, le gars l’a obligé de compter les coups, les mots sortaient de sa bouche dans les secondes qui suivaient la morsure sans qu’aucune intonation de peur, de peine ne se fasse entendre.

Heureusement pour Louis, le reste du temps, malgré encore quelques baffes et des coups de pied au cul, la séance a comporté pas mal de bondage et son cul a reçu la visite de pas mal de godes et plugs de toutes les tailles, mais aussi d’autres objets détournés, il est vrai, de leur utilisation première.

Quant au corps du maitre, il en connaît toutes les parties pour avoir dû les lécher, les triturer, les sucer. Que ses tétons, ses couilles, sa bite et son cul ont été maltraités, visités et qu’ils ont soufferts entre les mains expertes de son maitre, Louis le ressentait en fait comme une sorte de récompense ; c’est ainsi qu’il concevait les choses après être passé par les mains de son père et celles d’Alexis.

Les deux heures furent vite passées aussi bien pour le maitre que Louis. Et comme récompense, l’esclave a pu prendre sa douche avec son premier client, mais après les 2 heures pile, un cerbère venait déjà le récupérer.

Louis se voyait déjà à nouveau dans la vitrine, mais le cerbère l’a amené dans une pièce arrière où une sorte de toubib l’a examiné sous tous les angles, a soigné quelques ecchymoses, l’a fait prendre un nouveau lavement et après avoir reçu de quoi se sustenter et avoir dû boire plus de 2 litres d’eau pour assouvir sa soif. Louis a été remis en vitrine.

Il a fallu moins d’un quart d’heure pour que le numéro 33 soit à nouveau booké et cette fois son client était nettement plus âgé et en le jaugeant, Louis sentait déjà qu’il allait passer des moments bien plus désagréables qu’avec son client précédent.

Et il ne se trompait pas. Comme Louis avait tout à fait répondu aux exigences de son premier client, le patron avait décidé que bien qu’il soit novice, on pouvait l’utiliser aussi dans le donjon ou dans les catacombes et son deuxième client va l’amener donc dans les catacombes.

Dans ce club-ci, la différence entre donjon et catacombes n’est pas grande ; la seule différence c’est que leur donjon est totalement privé tandis que leurs catacombes comportent certains endroits où, contre rétributions évidemment, des spectateurs sont admis pour zieuter ce que le dominant fait subir à son esclave.

Il parait que c’est, pour la marchandise, le lieu idéal pour se faire connaître et apprécier par la clientèle et, dans la plupart des cas, rapporter plus de fric à son maitre ou à son dominant ; ce club-ci comportant moins de 5 % de soumis libres.

Cette fois, dès qu’il est sorti de la vitrine, on a harnaché Louis comme le désirait le client :

1. Une cagoule totale en cuir, serrée autour de son cou par un gros collier en cuir, mais dont les parties couvrant les yeux sont amovibles comme celle de la bouche, mais qui, en outre, peut recevoir des compléments comme un bâillon, un entonnoir et bien d’autres choses selon les désirs du dominant.

2. Un séparateur de couilles en métal doublé d’un parachute à pointes et d’une laisse permettant au maitre de guider son esclave.

3. Les pieds menottés et reliés entre eux par une très courte chaîne interdisant tout mouvement brusque.


Un cerbère l’a amené à petits pas jusqu’à l’entrée des catacombes où son maitre l’attendait, vêtu uniquement d’un short et d’un gilet en cuir, chaussé de bottines hautes tiges et portant des gants tout aussi noirs. Il a demandé au cerbère :

— Pour nous, c’est le 33, sans plus !

A répondu le cerbère qui leur a ouvert la porte et le maitre et l’esclave s’enfonçaient dans ses lieux lugubres, où régnait une chaleur humide et oppressante. On sentait que des choses bestiales se passaient à tout moment, car les bruits de fouets, les cris des esclaves et les suppliques se faisaient entendre.

Louis, d’une certaine manière, était soustrait à tous ces stimuli négatifs grâce à sa cagoule complète. Par contre, Xavier, le maitre, était déjà bien excité par cette effervescence et cette excitation sonore.

Aussi, dès les premiers pas de Louis dans les couloirs étroits reliant les différentes étapes de son chemin de pénitence, Xavier n’a cessé de le frapper avec la large cravache qu’il avait en main.

Cette fois, dès le départ, Louis s’est mis à gémir au travers de sa cagoule ; il faut dire que durant le bref débriefing qui avait suivi après sa première passe et avant sa remise en vitrine, son mentor du moment, lui avait conseillé, à l’avenir, de crier et de supplier ses tortionnaires, même si lui supportait les coups !

— Cela les fait bander et enflamme leur ego, petit ! Et ainsi tu les fidélises !

Louis avait retenu la leçon. Le long couloir qu’ils avaient parcouru aboutissait sur un endroit où, ceux qui connaissaient les lieux, savaient que cette placette ronde cachait une douzaine de peep-box individuels où les mecs se caressaient en voyant le spectacle que leur offraient le maitre et l’esclave.

Xavier avait demandé d’avoir à sa disposition sur la petite estrade ses instruments d’immobilisation préférés. Cette petite tribune permettait aussi que tous puissent profiter au maximum du spectacle à la différence de Louis que ne savait pas ce qu’il pouvait attendre, aveuglé comme il l’était.

Son maitre du moment l’a fait mettre à genoux et quand il a senti qu’on décadenassait la partie qui libérait sa bouche, il pouvait enfin respirer plus profondément… pour quelques instants.

Mais déjà la bite de Xavier était dans sa bouche et elle ne demandait que de grossir pour le plaisir du maitre, mais cela n’était qu’un échauffement. Alors, Louis, toujours à genoux, a dû prendre place à quatre pattes au-dessus d'un pilori SM et très vite, grâce à l’aide de son maitre, il a trouvé les endroits où mettre ses mains et ses chevilles.

Quand Xavier lui a fait baisser la tête et qu’elle s’est retrouvée immobilisée par une sorte de collier fixe, Louis se doutait déjà qu’il passerait des moments difficiles.

Ensuite, on lui a fixé et immobilisé les chevilles et les poignets aux endroits ad hoc. Louis était à la merci totale de son dominant !

Ne ressemblait-il pas au Sphinx d’Égypte sauf la tête qui, chez lui, était baissée ? Et, pour corser le tout, Xavier lui a encore fixé sur l’ouverture de sa bouche un entonnoir. Pour Louis, qui ne pouvait que se fier que sur les sensations, ce ne devait être qu'une sorte de bâillon avec une partie dans sa bouche…

Le jeu de massacre pouvait commencer !

Muni d’abord d’une tawse bien large, il a frappé les fesses de sa victime durant dix minutes au moins. Louis essayait d’échapper aux coups, mais en vain. Puis muni d’une cravache, il a concentré les coups sur les couilles et la queue qu’il avait fixées avec un pilori pour couilles, de telle sorte que son service trois-pièces se trouve derrière ses cuisses.

Maintenant, Louis hurlait, pleurait, tout en tentant de parer les claques, ce qui n’était pas faisable. Mais plus il recevait de beignes, plus l'instrument de torture bougeait et avait quasi fait un demi-tour. Alors, pour divertir encore mieux les voyeurs, Xavier s'est approché du peep-box qui était le plus proche de la tête de Louis. Xavier a invité l'occupant
Une blonde démontée bien fort
Une milf asiatique se fait baiser par deux mecs
Et une grosse pute

Report Page