Draguée dans un parc

Draguée dans un parc




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Draguée dans un parc
Confessions-Intimes.com ATTENTION: CONTENU RESERVE AUX ADULTES ENTRER        Sortir



Rechercher :



Les meilleurs sites d’histoires érotiques
Webcams Libertines
Nous contacter
Soumettre votre confession


Dernières confessions


Parcourez les histoires de sexe


Des petites confidences intimes à lire


Initiation et premiers émois


Facile et soumise


Toujours prête !


Bien déchirée…


La mère de ma petite amie


Plaisir féminin


Le tatoueur


Du baby-sitting


Le fantasme Corinne


L’inconnu


Dans le train et avec ma cousine


Dominatrice et lesbienne


Lydie


Avec Fabienne


Exhib à la piscine


Copines de fac


Mon premier amour gay



Catégories

Confessions Gays

Confessions Lesbiennes

Exhibition/Voyeurisme

Histoires érotiques

Récits érotiques

Récits Sado Maso




En visitant ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies qui assurent le bon fonctionnement de nos services afin de vous garantir la meilleure expérience sur notre site Confessions-Intimes.com Ok
Site sur les confessions intimes et les récits érotiques
Accueil » Dans le train et avec ma cousine
Aujourd’hui, j’ai 20 ans. Assez grande et très mince, j’ai de longs cheveux châtains clairs qui ondulent jusqu’au milieu du dos, des yeux bleu ciel, un visage qui mélange douceur et volonté. J’ai de mignons petits seins bien ronds dont je suis très fière et une peau satinée, légèrement bronzée naturellement. Sportive et active, j’ai toujours aimé être habillée assez sexy mais classe. Coquine, je le suis depuis longtemps et c’est ce que je me propose de vous raconter.

À dix-huit ans, j’ai commencé à goûter les plaisirs d’être une femme. Depuis, mes aventures n’ont cessé de s’accumuler et j’avoue que mon expertise, dans le domaine aujourd’hui, vaut celle de plusieurs femmes mûres. Voici donc le récit d’une de mes premières aventures sexuelles.
Cet été là, je viens tout juste d’avoir dix-huit ans et je vais passer deux bonnes semaines chez ma cousine Nathalie en Suisse. Je ne la connais qu’en photo, mais bigre ! Qu’elle est jolie ! On m’a toujours parlé de cette cousine en tant qu’informaticienne travaillant pour une grosse boîte suisse, mais elle ne semble pas avoir la grosse tête. Après les adieux à mes parents, on monte dans le train de nuit pour Genève. Nathalie est avec moi car elle est venue me chercher à Paris. Nous partageons notre compartiment avec une dame et ses deux fils. Le plus âgé, probablement 18 ans, est beau gosse. Blond aux yeux gris-bleu, il porte un chouette T-shirt et un pantalon sport avec des Doc Martens, mais le plus important, c’est qu’il me fait immédiatement un gentil sourire sans rien oser me dire. Moi je fais petite fille bien sage avec ma robe d’été en coton bleu à bretelles sur un chemisier blanc à courtes manches. Je suis assise en face lui, il fait semblant de lire mais je sens bien qu’il ne me quitte pas des yeux. Il a l’air sportif et ses jambes couvertes de petits poils blonds montrent une peau douce. Après avoir mangé, on met les couchettes en place et je prends une des couchettes supérieures. Je sens son regard sous ma jupe quand je grimpe à l’échelle. Comme par hasard il grimpe aussi ! Je m’endors immédiatement en pensant à ce garçon. Plus tard dans la nuit, lors d’un arrêt dans une gare, une main me caresse doucement les cheveux. En me retournant, je le vois se glissant à nouveau sur sa couchette mais il a enlevé son T-shirt et dans la pénombre son torse me semble superbe.
Il me lance de nouveau un merveilleux sourire auquel je réponds. Il me tend sa main et en regardant si tout le monde dort, je lui tends la mienne. En me la caressant doucement, il essaie de remonter le plus haut possible le long de mon bras. J’en frissonne de partout. Il me fait alors signe de le rejoindre sur sa couchette. C’est impossible pour moi, j’ai peur de ma cousine, mais je lui fais comprendre de me rejoindre, ce qu’il fait sans tarder. Je suis brûlante. Il se glisse alors entre moi et la paroi et, en chien de fusil, je me blottis contre lui, mon dos contre son ventre. Je sens son souffle dans mes cheveux, sur ma nuque et la chaleur de son corps. Sa main me serre contre lui et bien vite elle prend place sur un de mes petits seins pointés pendant qu’il inonde mon cou de baisers. Je ne sais que faire mais un sentiment de bien-être m’envahit. On reste d’abord un bon moment ainsi l’un contre l’autre. Puis, se redressant sur son coude sans doute pour mieux me voir, il me fait pivoter sur le dos et doucement comme dans un rêve, il me caresse le ventre au travers de ma robe et de mon chemisier pour revenir régulièrement sur mes nénés. N’y tenant plus, je fais glisser les bretelles de ma robe et guide sa main sous mon chemisier en abaissant le haut de ma robe. C’est alors que se penchant sur moi, il m’offre un merveilleux baiser. Je sens vite une envie de toucher sa langue avec la mienne. Je ne sais plus combien de temps on reste ainsi, mais c’est si doux. Ses bras m’enlacent et mon chemisier, maintenant largement ouvert, laisse libre cours à ses caresses. Je lui laisse enlever mon soutien. Je n’ai plus que ma robe repliée sur mes hanches et ma culotte sur moi. À mon tour, je caresse son torse musclé, pendant que sa main me doigte ma chatte…
L’appartement de ma cousine est superbe. Il donne sur le lac, le long de la rue du Mont-Blanc. Après ce voyage, elle me propose de prendre une douche.
– On la prend ensemble, me dit-elle ?
– Si tu veux, bien sûr !
Elle a à peine vingt-cinq ans et quand je la vois nue, faisant couler la douche, je ne peux m’empêcher de lui dire qu’elle a un corps superbe. Elle sourit, mais avant que je ne puisse réagir, elle fait glisser les bretelles de ma robe.
– Petite coquine, me dit-elle en voyant que je n’ai pas de slip.
Puis avant que je ne me justifie, elle me caresse la peau en me disant :
– C’est un rêve de voir comme on peut être jolie à ton âge.
Dans la douche elle me passe un délicieux bain mousse sur le corps et ça sent si bon. Puis elle me demande d’en faire de même sur elle. Quand nous sommes bien couvertes chacune de mousse, elle me dit :
– Viens, je vais l’étendre parfaitement.
Et me retournant, elle plaque son ventre contre mon dos, m’enveloppant de ses bras. Ses mains caressent d’abord mon ventre puis l’une s’attaque à mes seins tandis que l’autre se glisse sur mon pubis.
Je réponds affirmatif de la tête. C’est vrai que c’est très agréable et ce contact avec un corps adulte est bien plus voluptueux que ceux que j’avais eu avec mes copines plus jeunes. On inverse les rôles et elle me dit très douée. Après la douche, elle me sèche consciencieusement. Comme nous restons nues en séchant nos cheveux, elle me prend par la main et m’attire dans sa chambre. Dans l’obscurité et sur son grand lit, je me blottis contre elle. Après un moment, elle m’embrasse d’abord sur le bord des lèvres, pour voir ma réaction sans doute, puis profondément et d’une infinie douceur. Puis lentement, elle descend le long de mon corps, suçant le bout de mes seins puis mon nombril et mon clitoris. Je replis mes jambes en les ouvrant, elle sourit et puis rentre goulûment sa longue langue dans mon vagin. Déjà fort excitée, je mouille à souhait. Elle épouse complètement mes lèvres vaginales puis, me soulevant lentement, elle continue jusqu’à mon anus, un doigt dans mon vagin pour continuer à m’exciter. Mes petits cris de jouissance l’encouragent sans doute, puis se retournant tête bêche, corps contre corps, couchées sur le côté, elle offre son sexe aux caresses de ma langue. Son odeur intime est plus forte que ce que je connaissais déjà mais je ne peux résister à la lécher à mon tour. Après plus d’une demi-heure, nous jouissons presque ensemble avant de nous endormir dans les bras l’une de l’autre. À notre réveil, de faim probablement, après un dernier câlin, on se lève pour s’habiller.
– Comme tu es assez coquine, mais c’est un secret entre nous, je te propose qu’on ne mette pas de sous-vêtements pendant ton séjour.
Rien que cette idée m’excitait à nouveau, je réponds :
Un jean et un T-shirt moulant et nous sommes habillées, comme deux sœurs. Au resto puis au Makro, les hommes n’arrêtent pas de nous regarder sous toutes les coutures. Quelle drague en perspective ! La nuit, on la passe ensemble comme presque toutes les autres, mais ça c’est une autre histoire. Et dans son appart, on est plus souvent nues ou presque, il faut dire qu’il y fait très chaud. Puis une nuit, c’est la catastrophe ! J’ai mes règles et je salis les draps. Je suis très ennuyée vis-à-vis de ma cousine mais elle ne m’en veut pas du tout.
– Ce n’est pas grave, tu sais, ça arrive. On va vite tout changer, prendre une douche et tout sera oublié.
Elle me prête des tampons et je dois enfiler une culotte, je crois que c’est plus prudent. Au petit déjeuner, elle me demande :
– Dis, Isa, tu prends la pilule ?
– Non, ma mère ne m’en a jamais parlé et j’ai un peu peur de lui demander, elle me croit si sage encore.
– Et tu n’es plus sage ?
Je deviens toute rouge, puis comme un aveu de soulagement, je lui raconte mes galipettes dans le train.
– Et bien je crois que tu dois penser à prendre la pilule, sinon tu vas rater bien des occasions ou avoir des ennuis, ce serait quand même idiot d’être enceinte à ton âge non ?
Bien sûr elle a raison et depuis je prends la pilule.
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.

Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».


Nous respectons votre vie privée Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal


Facebook Twitter Youtube RSS Newsletter


Secteurs d'exercice

Coordinateur
Endoscopie
Hygiéniste
Perfusionniste
Prestation de service
Psychiatrie
Recherche clinique
Santé au travail
Sapeur pompier
Scolaire
Stomathérapie
Tabacologie




Emploi

Offres d'emploi

Grands dossiers

Diabète
Hygiène hospitalière
Douleur

Formation

DPC
Formation continue - universitaire
Prévention santé
Se former en ligne
Salon infirmier



Paramédical

Ambulancier
Auxiliaire de puériculture
Cadre de santé
Diététicienne
Ergothérapeute
Kinésithérapeute
Orthophoniste
Pédicure - podologue
Psychomotricien




Psychologie

Aide-Médico-Psychologique
Psychologue

Médical / Médico - technique

Manipulateur radio
Médecin
Sage-femme
Technicien de laboratoire

Autres professions

Délégué pharmaceutique
Documentaliste
Petite enfance
Secrétaire pharmaceutique
Sophrologue


sur le forum
dans ce sujet
Bonjour, un evenement arrivé hier me laisse perplexe et j'aurais aimé avoir vos avis sur celui-ci:

Lors d'une vac dans mon pavillon psy, je me suis faite ouvertement draguée par un patient SCZ paranoide que je connais depuis longtemps, et bien que je le "sentais" bloquer sur moi pendant la journée je n'ai pas pu m'empecher d'etre surprise par sa question, au demeurant très directe mais faite "dans les rêgles de l'art"...

il m'attendait sur le chemin du depart et me dit "Dites, je voulais vous parler, vous m'interressez beaucoup" alors je lui dit "je vous intrigue, c'est ça?"
et il me repond "non, vous m'interressez sur un autre domaine, vous m'interressez parce que je dois retourner bientot à la villa de transition (comme son nom l 'indique, certains patient y vivent sous surveillance le temps de voir s'ils seront adaptés à une vie seul en appartement) et j'aimerais bien vous revoir pour qu'on fasse mieux connaisance et qu'on sorte ensemble"

....je lui repond tout sourire, mais serieuse : "monsieur X, vous savez très bien que je suis une soignante et que toute relation intime est interdite entre un patient et un soignant"

sur ce il me dit qu'on peut toujours contourner ces regles qu'il trouve idiotes et qu'une fois sorti de la villa, rien ne l'empechera....

et là j'ai eu un vide, aucune idée de ce que je pouvais bien lui repondre, j'ai vaguement dit que de mon coté j'avais signé un contrat de travail et que je m'engageais à respecter les regles de ce contrat...cependant , après coup, je me dit que j'aurais du lui dire clairement que je n'etais pas interressée par une relation avec lui, peut etre meme lui dire que j'etais mariée... bref je pense avoir foiré ma distance therapeutique avec lui, ne pas avoir reussi à le recadrer, et je ne sais comment rattrapper tout ça.... vous en pensez quoi ?
On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui -P.Desproges CLASS- Centre de Lutte Anti SMS : the fight goes on
j'ai eu le meme souci un jour que j'étais encore étudiante (de passage, donc plus facile à gérer)
un patient psychopathe qui un jour, me lancant des regards de braise, m'annonce qu'il sort bientôt et que son appartement est pas loin du mien (comment il a su où j'habitais... aller en stage dans son propre secteur c'est vraiment pas du gateau...)
il voudrait qu'on se revoie en dehors du boulot
j'en suis restée sans voix
de but en blanc je lui dis pareil que toi, je suis soignante et lui patient, rien n'est possible entre nous

après coup je suis allée voir un des ISP qui me dit d'avoir un entretien avec le patient en question pour reformuler ma réponse
en effet, lui dire qu'une relation soignant soigné n'est pas possible, ça sous entend que je suis bloquée par rapport à mon statut de soignante mais nullement que je n'ai pas envie de cette relation
donc le patient peut continuer à s'imaginer qu'il y a moyen
j'y suis retournée en lui disant que je ne voulais pas que nous ayons de relations en dehors du travail car je n'étais pas du tout intéressée
je te passe le blabla nécessaire pour qu'il me lache

mais ça a été efficace (bien qu'il m'ait fait la gueule pendant le reste du stage, j'allais pas insister)
et en plus à mon grand soulagement, son appart était insalubre, il a été relogé à 15km plus loin. ouf...

mais je concois parfaitement que tu aies pu te retrouver démunie devant la situation délicate
je ne pense pas que tu aies mis en danger la relation thérapeutique, il est souvent possible de réparer le lien
essaye peut être de mettre plus de distance entre vous pendant un temps, pour qu'il ne se fasse pas d'illusions
bon courage!
Bonjour C'est assez ennuyeux effectivement. J'ai réfléchi et me dit que tu ne peux échapper a une remise de "cadre en règle". Pour ta "sécurité". Je pense que tu dois en parler a tes collègues. Que vous devez recevoir ce monsieur a plusieurs et lui dire votre conception des choses. Partant du principe que ce qui n'est pas dit sera pensé et phantasmé par ton patient qui n'a pas accès à la symbolique, il faut que l'institution prenne le relais. Nous avons tous des moments de fatigue qui font qu'a "un moment", on ne se sent pas très soignant. Ce n'est pas l'individu qui est soignant, c'est l'institution (principes de thérapie institutionnelle). Il faut t'asseoir et avec tes collègues en discuter calmement et "reprendre"ce monsieur ensuite avec au moins un collègue. Mettre des mots sur ce qui n'a pas été dit, sur tes "faiblesses"(aucun jugement de valeur la dessus bien sur, ca nous arrive a tous) de ce jour la, sans rentrer ds les détails bien sur. Et l'écouter en groupe. Pour finir je dirais que ce sujet trouverais bien sa place ds un post car il arrive régulièrement, les réponses permettrai de s'en sortir un peu mieux. Bon courage, j'espère t'avoir aidée, je reste ta disposition. Bye
"A force de contempler l'abyme, l'abyme te contemple"-Nietzsche
Je crois aussi que tu devrais retourner voir le patient et mettre les choses bien au clair avec lui. Contrairement à Argrath, je ne pense pas que tu doives le revoir à plusieurs car cela va lui donner l'impression d'une intimité violée et d'un jugement. On a beau être psychotique, on a droit à une certaine intimité...

Si possible, rencontre le patient dans le cadre d'un entretien comme le dit sonithckaa (et pas dans le parc), cela te permettra de rappeler clairement le cadre de l'institution et te permettra aussi de te protéger d'une éventuelle réaction violente du patient.
Le cadre est institutionnel en psy, l'individu non. C'est le collectif qui est garant de la Loi. Ceci dit ca se discute Bien sur je pense qu'il ne faut emettre aucun jugement de valeur. Après tout on peux même le comprendre si tu lui plait!!!!
"A force de contempler l'abyme, l'abyme te contemple"-Nietzsche
en fait j'ai eu ce grand moment de vide face à sa question, parce que quelquepart j'etais contente de ce changement . Comprenez moi bien, hein, je n'etais pas contente de le savoir sous mon charme ! mais contente de voir qu'il avait reussi à avoir des affects montrer ses affects de manière tout à fait adaptée et cohérente avoir des projets futurs à son hospi.

toutes ces choses dont il avait été incappable depuis de longs mois .
en meme temps j'ai eu peur de tout faire tomber comme un vieux soufflé s'il prenait mal le fait qu'en aucun cas il n'aurait pu m'interresser.
J'ai eu peur de le voir se dénigrer encore une fois dans le style "je suis bon à rien, personne ne veut de moi" ou pire "elle se croit superieure à moi, mais qui c'est cette pétasse pour me jeter comme ça"

bref....j'ai pas assuré pour deux balles.

enfin je n'y retourne pas avant samedi prochain, là je vais telephoner à l'equipe pour leur en parler , quitte à aller faire un entretien demain avec le psy.
merci de vos reponses
On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui -P.Desproges CLASS- Centre de Lutte Anti SMS : the fight goes on
ben mine de rien avec un psychotiqu
Baisée comme de véritables putes
Une princesse se fait fourrer l'anus
Camra cach un mec paye une femme pour le branler

Report Page