Double pénétrer la mexicaine

Double pénétrer la mexicaine




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Double pénétrer la mexicaine

Pour L'Histoire, le respect de votre vie privée est une priorité Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal


Actualités
Agenda
Archives
L'Histoire Juniors
Newsletter
Flux RSS



Cartes
Livres
Classiques
Vidéos
Dossiers web
Préparer les concours


Nos formules d'abonnement
Ma bibliothèque numérique


Anciens numéros
Coffrets reliures
Livres


Mentions Legales
Contact
FAQ
CGV
Politique de confidentialité
Politique des cookies


CGV
Politique de confidentialité
Politique des cookies


Serge Gruzinski dans mensuel 146
daté juillet-août 1991 -

     Expositions

     Cinéma

     Portraits

     Livres

     Bandes dessinées

      Les Classiques


     Expositions
     Cinéma
     Portraits
     Livres
     Bande dessinées
      Les Classiques

La seconde découverte de l'Amérique fut celle du Mexique. Là, les franciscains et d'autres missionnaires se chargèrent d'évangéliser une population qui avait vécu l'invasion espagnole comme un bouleversement de l'ordre du monde. La conquête des âmes se fit par la parole, par l'école, mais aussi par la musique et le théâtre.
La découverte de l'Amérique fut à l'origine une entreprise destinée à rapprocher l'Asie des ports de l'Andalousie ; mais la rencontre de populations inconnues souleva très tôt la question de leur chris-tianisation. Loin de constituer l'alibi commode d'une agression militaire, la diffusion du christianisme fut donc bien, pour la Castille des Rois-Catholiques, un aspect essentiel de la mission des envahisseurs. Conquérir, en effet, signifiait à la fois soumettre les hommes et convertir les âmes. La Castille ne venait-elle pas, en janvier 1492, d'achever l'annexion du royaume de Grenade et d'abattre la dernière puissance musulmane de la péninsule ibérique ? D'ailleurs, les bulles pontificales et le traité de Tordesillas (1494) justifiaient la cession d'une grande partie de ce qui deviendra l'Amérique aux souverains espagnols, en leur confiant la responsabilité d'amener dans le giron de l'Eglise les populations païennes que l'on découvrirait (cf. Bartolomé Bennassar, p. 86). D'une manière plus générale, à la fin du XVe siècle, la croisade demeurait pour les Espagnols et le reste des Européens un idéal singulièrement vivace, qui se mêlait à des espérances messianiques et apocalyptiques.
Or dans le climat exalté de la fin du Moyen Age et de la Renaissance, la découverte de terres nouvelles apparut comme un signe providentiel. Elle s'inscrivait dans la lutte menée contre 1 Infidèle, c'est-à-dire les Turcs dont la puissance dominait la Méditerranée orientale et menaçait l'Europe centrale, l'Italie et l'Afrique du Nord. Charles Quint, qui succéda à Ferdinand le Catholique en 1516 et fut élu empereur en 1519, était lui aussi profondément imbu de ses responsabilités spirituelles, et son entourage leur prêta une dimension universelle. C'est sous son règne que se déroula l'évangélisation d'une pièce majeure de l'Empire espagnol, le Mexique envahi par Cortés en 1519-1521. Il est donc essentiel de garder à l'esprit que la chris-tianisation des Indiens d'Amérique fut contemporaine de celle des musulmans de Grenade, qu'elle eut pour toile de fond l'affrontement séculaire de la chrétienté contre l'islam et qu'elle fut vécue à partir des années 1520 comme la contrepartie du schisme luthérien qui commençait à déchirer l'Europe catholique.
Mais l'évangélisation n'eut guère le temps d'exercer ses effets dans les Antilles où les mauvais traitements et les maladies exterminèrent les populations indigènes. La catastrophe qui balaya les êtres et les cultures des Caraïbes convainquit le prêtre Las Casas de se lancer corps et âme dans la défense des Indiens et incita la couronne de Castille et les autorités ecclésiastiques à prendre des mesures pour que cette expérience désastreuse ne se répétât pas sur le continent.
L enjeu était de taille. La conquête du Mexique constitua, en effet, à bien des égards, la seconde découverte de l'Amérique. C'est elle qui, pour la première fois, à partir de 1519, mit en contact les envahisseurs européens avec des sociétés nombreuses, riches et sophistiquées, qui vivaient dans des villes et élevaient de grandes pyramides de pierre. Si l'on omet les initiatives spectaculaires mais ponctuelles de Cortés, qui ne dissocia jamais la conquête de la conversion en détruisant les idoles et en installant des images de la Vierge et des saints, l'entreprise de christianisation ne débuta effectivement que deux ans après la chute de Mexico, avec l'entrée en scène en 1523 d'un premier contingent de trois franciscains flamands, originaires de la terre natale de Charles Quint. Ils furent suivis en 1524 par douze franciscains venus d'Estréma-dure, que Cortés reçut avec les plus grands honneurs.
Cette équipe dérisoire confrontée a la tâche colossale d'évangéliser près de vingt millions d'Indiens ne débarquait pas les mains vides. Les Flamands introduisaient au Mexique la piété des béguinages des Pays-Bas et l'idéal humaniste d'un christianisme intériorisé et épuré. Ils étaient aussi l'œil de l'empereur puisque l'un d'eux avait été son confesseur, et qu'un autre, Pierre de Gand, lui était étroitement apparenté. Les franciscains d'Estré-madure rêvaient quant à eux de revivre la naissance de l'Église primitive et de reproduire le modèle apostolique, symbolisé avec éclat par le nombre des membres de la mission, douze comme les Apôtres. Ils apportaient de leurs cloîtres une ferveur fondée sur la pauvreté, la discipline et l'ascétisme.
Pour réaliser leurs fantastiques ambitions et épargner aux Indiens l'apocalypse humaine des Antilles, les missionnaires tentèrent de dresser entre les conquistadores et les vaincus le « cordon sanitaire » de leur apostolat. Les évangélisateurs étaient soucieux de soustraire les indigènes au contact direct et quotidien des Européens car « la masse des Indiens montrait des dispositions pour être de la meilleure et de la plus saine chrétienté du monde entier » (G. Baudot, cf. « Pour en savoir plus »). Ils furent les premiers à concevoir et à mettre sur pied des structures adaptées aux réalités américaines. Leur projet s'appuyait sur une Église missionnaire essentiellement composée de franciscains, de dominicains et d'augustins, dotés par la papauté d'attributions et de pouvoirs étendus.
C'est donc l'Église régulière qui diffusa le projet de « civilisation » destiné aux populations indigènes. C'est elle qui mit partout au point les modalités, les stratégies et les tactiques d'une entreprise tentaculaire destinée à soumettre les Indiens aux valeurs et aux critères de la civilisation occidentale portée par le christianisme. Par ce biais, l'Église contribua puissamment à ancrer la domination espagnole sur le sol mexicain, en prenant la mesure du choc que subissaient les populations vaincues et en exploitant tout ce qui subsistait des sociétés indigènes.
L'invasion espagnole, la victoire de Cortés et la chute de Mexico-Tenoch-titlan furent vécues par les Indiens comme un ébranlement du cosmos, tandis que les cadres de vie traditionnels étaient démantelés : « Ce sort triste et lamentable nous a plongés dans l'angoisse. Les eaux sont rouges comme si elles avaient été teintées, et quand nous les buvions, c'est comme si nous buvions de l'eau saumâtre. Nous frappions les murs de terre et notre héritage n'était plus qu 'un filet troué... » (Anales histô-ricos de la naciôn mexicana, Copenhague, 1945, t. II, p. 34).
A partir de 1525 les franciscains - avec à leur tête Pierre de Gand, Martin de Valencia et le chroniqueur Motolim'a - lancent des raids dans la vallée de Mexico. Les jeunes Indiens formés par les religieux sont le fer de lance d'équipées dévastatrices qui sèment la surprise et l'effroi. Ils sortent chaque dimanche de Mexico et des monastères des alentours pour renverser les temples du démon et répandre la bonne parole dans les bourgades riveraines des lacs. Les sanctuaires païens de Texcoco, de Mexico et, au-delà des volcans, de Tlax-cala et de Huejotzingo fournissent les premières cibles (cf. carte, p. 98). Les idoles et les temples sont démolis, les anciens prêtres pourchassés.
Le message diffusé est simple : les jeunes néophytes et les religieux expliquent aux populations « comment le dieu du ciel était le véritable Seieneur. Créateur du ciel et de la terre ; qui était le démon qu'elles honoraient et adoraient et de quelle façon il les avait trompées » (Motolim'a, Memoriales, Mexico, UNAM, p. 119). L'image de ces enfants ôtés à leurs parents, élevés dans des monastères puis retournés contre leurs propres familles comme espions et troupes de choc n'est pas sans évoquer de sinistres rapprochements. Mais l'embrigadement semble d'autant plus s'imposer que les missionnaires ne sont qu'une poignée face à des millions d'hommes massivement hostiles ou indifférents, et il se révèle efficace.
Plus tard, les Indiens, bon gré mal gré, se mettent à bâtir sur les ruines des temples de nouveaux lieux de culte : ce fut le cas de la chapelle royale de Cholula ou de l'ermitage de la Vierge de Guadalupe édifié sur la colline du Tepeyac où naguère s'élevait le sanctuaire de la déesse-mère Tonantzin. Des années plus tard, le franciscain Pierre de Gand dressera pour l'empereur Charles Quint le bilan de ses chantiers : « J'ai construit plus de cent maisons consacrées au Seigneur, des églises et des chapelles ; certaines sont des temples aussi magnifiques qu'appropriés au culte divin, elles ne mesurent pas moins de trois cents pieds [entre 100 et 60 m] er d'autres pas moins de deux cents » (Ernesto de la Torre Vil-lar, « Fray Pedro de Gante... », Estudios de Historia Novohispana, V, 1974, p. 53).
C est qu on ne pouvait guère, comme on l'avait fait à Grenade à partir de 1501 et comme Cortés l'avait tenté dans les cités mexicaines qu'il soumettait, se borner à consacrer les édifices païens et à les réaménager en églises. La pyramide couronnée d'un sanctuaire auquel n'accédaient que les officiants n'offrait pas un espace reconvertible. Seuls les palais des princes indigènes étaient temporairement susceptibles d'accueillir les premiers monastères. Il fallait donc détruire, quitte à réemployer les matériaux, ce qui n'interdisait pas, bien au contraire, de reconstruire sur place. Notons que ces substitutions ménagèrent dans l'espace, dans les esprits et dans les croyances toutes sortes de transitions, de rapprochements et de confusions qui détournèrent le cours de la christianisation. La plupart des Indiens qui se rendaient à la chapelle de la Vierge de Guadalupe s'imaginaient qu'ils continuaient d'adorer la déesse-mère, naguère vénérée en ces lieux.
En plus de six ans, cinq cents temples furent ainsi abattus et plus de vingt mille « figures de démons » mises en pièces et brûlées. Au chapitre des destructions figurèrent également des manuscrits pictographiques qui conservaient le calendrier des fêtes et des rites mexicains : comme à Grenade où le cardinal Cisne-ros avait organisé un autodafé de livres arabes, des évangélisateurs cherchèrent à effacer les traces démoniaques du passé païen.
Prêchant au milieu des ruines des sanctuaires immergés au sein de communautés majoritairement païennes, les religieux entreprirent de les conduire au christianisme, tâche infiniment plus ardue que d'organiser des raids contre les anciens cultes. Il est vrai que les premiers pas furent lents : « Durant cinq ans les Mexicains se montrèrent très froids » (Motolim'a, p. 116). La résistance des Indiens, le désordre de la société coloniale, les grands travaux qui occupaient la ville expliquent les difficultés initiales. Il fallut attendre le début des années 1530 pour que l'évangélisation du Mexique acquît sa vitesse de croisière grâce à la conversion des nobles et des notables. A partir de ce moment les adhésions se multiplièrent avec les églises et les chapelles.
C est alors que débuta le temps des conversions et des baptêmes de masse, l'ère des comptabilités millionnaires, des estimations optimistes dignes de l'Église des Apôtres : un million de baptisés en 1531, neuf millions après quinze ans d'apostolat, des moyennes de 100 000 indigènes par religieux, avec des pointes de 300 000 âmes. Dorénavant, les religieux attiraient des foules, qui leur semblaient enthousiastes et qui affluaient de loin : valides et invalides, aveugles et muets, hommes, femmes, enfants et vieillards. A lire Motolim'a et d'autres chroniqueurs, les records pleuvaient : 14 200 baptisés en deux jours dans un monastère franciscain, une moyenne de 300 à 500 enfants par semaine à Tlaxcala dans les années 1530. Reste à savoir si les Indiens, incontestablement séduits par la forme de ce rite nouveau, en saisissaient le contenu.
Les missionnaires durent alors affronter des situations sans précédent : que faire face à des millions d'hommes quand l'Église se limite à quelques dizaines de prêtres et ne bénéficie pas, comme à Grenade, du renfort dissuasif de forces armées chrétiennes accourues des régions voisines ? Comment baptiser plusieurs milliers de personnes par jour en respectant le rituel et les cérémonies de l'Église, quand on ne dispose ni d'édifice religieux, ni même... de vin en quantité suffisante pour dire la messe ? Comment, enfin, se faire comprendre des Indiens ? Les langues indigènes étaient nombreuses et la formation des interprètes aléatoire. Que pouvaient capter ceux-ci des subtilités du christianisme et comment les traduisaient-ils dans leur langage ? On songea au début à employer l'image pour faciliter la communication. Encore fallait-il dominer les parlers indigènes « pour parler, prêcher, enseigner et administrer les sacrements ». De même qu'à Grenade on s'était préoccupé de « capturer » la langue des vaincus, les évangélisateurs du Mexique multiplièrent les recherches linguistiques et les outils susceptibles d'appuyer la communication verbale et écrite. Ainsi naquirent les grammaires et les vocabulaires d'Alonso de Molina, de Mathurin Gilberti et de bien d'autres.
La conquête linguistique partait d ailleurs sur des bases solides. Elle s'inscrivait dans la ligne des travaux du grand humaniste castillan Antonio de Nebrija, qui faisait de la maîtrise de la langue un des instruments de l'expansion impérialiste. Mais l'expérience mexicaine donnait une portée inégalée à ce courant de pensée et ne se bornait pas à prêcher le retour aux langues anciennes : ce n'était plus du grec ou de l'hébreu qu'il s'agissait, mais d'une langue exotique, le nahuatl des Aztèques, dont sept ans plus tôt aucun Européen de la Renaissance n'avait entendu parler.
Allait-on, dans la foulée, comme a Grenade, prôner une politique d'hispa-nisation ? En fait, l'usage du nahuatl, du tarasque, du zapotèque ou du maya demeura la règle durant la majeure partie de l'ère coloniale. Les enfants, une fois de plus, jouèrent un rôle essentiel. Pour assimiler les langues indiennes, les religieux ne répugnèrent pas à partager leurs jeux : « Ils se mettaient à jouer avec eux avec des morceaux de paille et des cailloux pendant les récréations pour surmonter les embarras de la communication. Ils avaient toujours à leur portée du papier et de l'encre et en entendant l'Indien prononcer le mot, ils l'écrivaient [...] Puis, dans l'après-midi, les religieux se réunissaient pour échanger leurs notes et du mieux qu 'ils pouvaient ils rendaient ces vocables en espagnol de la façon qui leur paraissait la plus appropriée » (Jerô-nimo de Mendieta, Monarquia indiana, Mexico, Châvez Hayhoe, 1945, t. II, p. 62).
Les enfants et les jeunes gens - strictement isolés de leurs parents et surtout de leurs mères - furent donc l'objet de toute l'attention des missionnaires dès les premières années. L'expérience n'était pas inédite, même en Amérique. Déjà en 1516, sur la côte du Venezuela, des franciscains avaient entrepris de dispenser un enseignement aux rejetons des notables indigènes. Les franciscains du Mexique jugeaient que « les enfants et les jeunes seigneurs qui étaient dans les monastères [...] constituaient un élément important pour la conversion de tous les autres » (« Parecer de los religiosos », dans Joaquîn Garcia Icazbalceta, Documentes para la historia de México,
Mexico, Porrûa, 1971, t. II, p. 551). On dénombra bientôt plus de mille fils de notables dans l'école du couvent de Saint-François de Mexico soumis à un internat strict.
L'objectif était clair et la méthode radicale : « Pour arracher les racines de cette mauvaise mémoire, nous leur avons enlevé tous leurs enfants, pour la plupart des fils de caciques [seigneurs]et de notables, tous ceux que nous avons pu, afin de les élever et de les former dans nos couvents » (Motolim'a, p. 439). Les enfants étaient des « cires molles » qui se prêtaient aisément à l'endoctrinement ; en outre ils montraient l'exemple à leurs parents et à leurs aînés, leur enseignant la « vérité », partant à la chasse aux idoles et luttant contre les « vices abominables », c'est-à-dire le sacrifice humain, la sodomie et le cannibalisme, fût-ce au péril de leur vie. Que leur enseignait-on ? A lire, à écrire, à chanter « le plain chant et la polyphonie [...], à servir la messe, tout en leur inculquant toutes les bonnes coutumes chrétiennes et religieuses ». Les demoiselles ne furent pas non plus oubliées. Grâce à la générosité de Cortés, une maison des environs de Mexico abrita jusqu'à trois cents jeunes filles de la noblesse, placées sous la direction d'une « matrone vertueuse ».
L'éducation franciscaine se coulait toutefois dans un moule indien : elle prenait corps dans un univers où l'encadrement des enfants avait depuis longtemps atteint une exceptionnelle rigidité. Les astreintes monastiques, études ponctuées de messes et de prières, que découvraient les jeunes indigènes leur remettaient en mémoire les rythmes austères du calme-cac, le collège aristocratique et religieux préhispanique, même si on s'efforçait de rayer de leurs esprits la « mémoire pernicieuse » de l'idolâtrie. Le secret de la réussite
Une fête de cosplayeurs
Jeune brune se fait baiser le visage
Se faire dilater le cul

Report Page