Donc... c'est ce qu’on fait à la bibliothèque

Donc... c'est ce qu’on fait à la bibliothèque




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Donc... c'est ce qu’on fait à la bibliothèque


 
Accueil
 
Portail lexical
 
Corpus
 
Lexiques
 
Dictionnaires
 
Métalexicographie
 
Outils
 
Contact
 



Police de caractères:

Arial
Verdana
Helvetica
Times
Times New Roman



Surligner les objets textuels

1. Le professeur Barth calculait à quelle heure l'affaire serait finie, et s'il pourrait revenir à temps pour terminer encore dans la journée un travail commencé aux manuscrits de la Bibliothèque Nationale.
R. Rolland , Jean-Christophe, Dans la maison , 1909 , p. 1020.
2. Un manuscrit de la Chronique de Meisterlin (1456), à la Bibliothèque municipale d'Augsbourg, contient des portraits de cette ville avec la porte et la tour Perlach.
P. Lavedan , Qu'est-ce que l'urban.? 1926 , p. 200.
Rem. De nos jours la bibliothèque n'est pas uniquement un endroit précis où le lecteur se rend. La bibliothèque va aussi au devant de lui (cf. bibliobus) :
3. Le gouvernement des Provinces-Unies, et celui de Birmanie ont monté des bibliothèques qui circulent dans les villages.
La Civilisation écrite, 1939 , p. 4614.
4. C'est un homme d'une grande valeur, qui sait énormément, et cela ne l'a pas racorni, n'a pas fait de lui un rat de bibliothèque comme tant d'autres, qui sentent l'encre.
Proust , La Prisonnière, 1922 , p. 289.
5. Notre nouvel appartement, 2, rue de Tournon, au second étage, formait angle avec la rue Saint-Sulpice, sur quoi donnaient les fenêtres de la bibliothèque de mon père...
Gide , Si le grain ne meurt, 1924 , p. 350.
6. ... dans la bibliothèque d'acajou, tous les livres sont à leur place, entre les vases grecs et les statues de marbre.
Morand , Londres, 1933 , p. 260.
2. P. ext. Bibliothèque de gare. Rayonnages où, dans une gare, sont rangés des livres et des périodiques destinés à la vente.
7. Un mot encore sur un détail : dans ma solitude, je n'ai plus de livres, et ma mémoire est toute ma bibliothèque .
Hugo , Correspondance, 1862 , p. 394.
8. X. m'a envoyé le catalogue de la vente de sa bibliothèque . Il y a une grande tristesse là-dedans.
Larbaud , Journal, 1935 , p. 364.
9. ... le citoyen docteur socialiste révolutionnaire moraliste internationaliste revint donc me voir. Il avait à la main (...) un livre de bibliothèque .
Péguy , De la Grippe II, 1900 , p. I.
10. Mais aller plus loin, c'est de la chevalerie. Engager sa montre ou sa signature pour une lingère que protège un baron, et que l'on n'a pas l'honneur de fréquenter, cela ne s'est pratiqué, de mémoire humaine, que dans la Bibliothèque bleue.
Musset , Mimi Pinson, 1845 , p. 241.
11. À cette nomenclature il sied d'ajouter le théâtre enfantin, né tout récemment, et qui emprunte le plus souvent ses sujets aux contes de Perrault ou aux œuvres les plus connues de la Bibliothèque rose, celles de M me de Ségur et de M me du Genestoux.
La Civilisation écrite, 1939 , p. 3010.
− P. anal., INFORMAT. Bibliothèque de programmes. ,,Collection de programmes et de sous-programmes standard soigneusement testés, au moyen de laquelle on peut résoudre plusieurs types de problèmes ou de parties de problèmes`` ( Électron. 1959 ).
12. ... je n'ai pas assez d'esprit ni de théologie pour apprécier à son mérite M. l'abbé Lantaigne, qui est une bibliothèque vivante.
A. France L'Orme du mail, 1897 , p. 59.
PRONONC. ET ORTH. : [biblijɔtεk] ou [bibliɔ] ( cf. bibliographe ). Buben 1935, p. 56, § 45 : ,,Il n'y a et il ne devrait y avoir aucune différence phonétique entre jette − achète, nette − discrète, cruelle − fidèle, etc. parce que l' e est également bref dans les deux cas. Et pourtant beaucoup d'étrangers, ceux surtout qui parlent une langue où le redoublement de la consonne marque la brièveté de la voyelle précédente, prolongent volontiers, par contre-coup, l' e ouvert qui porte l'accent grave et introduisent ainsi une différence de quantité entre les deux séries de mots. Ils s'y croient autorisés par le fait que l'accent grave peut vraiment être considéré comme un signe de longueur dans les mots savants d'origine latine ou grecque qui, même dans la prononciation française, conservent la quantité étymologique, comme par exemple carène, cène, hyène, hygiène, obscène, scène, blasphème, stratagème [...] règle, etc. Par analogie avec ces mots on prononce long un è qui était bref en latin ou en grec : célèbre, indigène [...] et au contraire on abrège un e étymologique long : cautèle, bibliothèque (bibliothéca), fidèle, athlète, complète, diète, planète, secrète ``. Ac. 1798 écrit bibliothèque avec é accent aigu. À partir de 1835 l' Ac. écrit bibliothèque. Clédat 1930, p. 49 déplore que l' Ac. n'ait pas pris le parti de simplifier bibliothèque en bibliotèque, thèse en tèse, théologie en téologie, graph. que l'on trouve chez Molière. Il rappelle également que th (du t aspiré grec) est absent de l'orth. de l'ital., de l'esp. et de la lang. de Mistral.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1493 « collection de livres » (Mansion dans Gdf. Compl. ); d'où 1690 ( Fur. : Bibliothèque [...] est aussi un Recueil, une Compilation de plusieurs ouvrages de même nature, ou d'Auteurs qui ont compilé tout ce qui se peut dire sur un même sujet); 1627 « livre qui contient les Catalogues des livres des Bibliothèques » (cité par Fur. 1690); d'où 1647 fig. bibliothèque vivante « savant, érudit capable de citer de mémoire beaucoup d'auteurs » ( Corn. , Disc. de récept. à l'Acad. dans Rob. ); 2. fin xvi e s. « armoire qui renferme des livres » ( Mont. , Lett. V dans Littré ); d'où 1690 ( Fur. : Bibliothèque [...] bâtiment plein de livres).
Empr. au lat. bibliotheca « salle où sont enfermés des livres » (Cicéron dans TLL s.v., 1956, 1); « armoire » ( Pline , ibid., 1956, 36); « ensemble de livres » ( Cicéron , ibid., 1955, 83), ce sens, surtout en lat. médiév., 731 (Beda dans Mittellat. W. s.v., 1462, 52).
STAT. − Fréq. abs. littér. : 2 948. Fréq. rel. littér. : xix e s. : a) 3 911, b) 5 152; xx e s. : a) 3 809, b) 4 147.
BBG. − Duch. 1967, § 42, 70. − Gottsch. Redens. 1930, p. 342. − Ritter (R.). Les Quatre dict. fr. Rem. lexicogr. B. de l'Inst. nat. genevois. 1905, t. 36, p. 360.

© 2012 - CNRTL
44, avenue de la Libération BP 30687 54063 Nancy Cedex - France
Tél. : +33 3 83 96 21 76 - Fax : +33 3 83 97 24 56



Aucun
Auteur d'exemple
Code grammatical
Construction
Crochets
Date d'exemple
Définition
Domaine technique
Entrée
Exemple
Indicateur
Mot vedette
Plan de l'article
Publication
Source
Synonyme/antonyme
Syntagme
Titre d'exemple




Aucun
Auteur d'exemple
Code grammatical
Construction
Crochets
Date d'exemple
Définition
Domaine technique
Entrée
Exemple
Indicateur
Mot vedette
Plan de l'article
Publication
Source
Synonyme/antonyme
Syntagme
Titre d'exemple




Aucun
Auteur d'exemple
Code grammatical
Construction
Crochets
Date d'exemple
Définition
Domaine technique
Entrée
Exemple
Indicateur
Mot vedette
Plan de l'article
Publication
Source
Synonyme/antonyme
Syntagme
Titre d'exemple




Aucun
Auteur d'exemple
Code grammatical
Construction
Crochets
Date d'exemple
Définition
Domaine technique
Entrée
Exemple
Indicateur
Mot vedette
Plan de l'article
Publication
Source
Synonyme/antonyme
Syntagme
Titre d'exemple




Aucun
Auteur d'exemple
Code grammatical
Construction
Crochets
Date d'exemple
Définition
Domaine technique
Entrée
Exemple
Indicateur
Mot vedette
Plan de l'article
Publication
Source
Synonyme/antonyme
Syntagme
Titre d'exemple




Aucun
Auteur d'exemple
Code grammatical
Construction
Crochets
Date d'exemple
Définition
Domaine technique
Entrée
Exemple
Indicateur
Mot vedette
Plan de l'article
Publication
Source
Synonyme/antonyme
Syntagme
Titre d'exemple


catégorie : toutes
substantif
verbe
adjectif
adverbe
interjection




Afficher / masquer la barre latérale











Sur cette version linguistique de Wikipédia, les liens interlangues sont placés en haut à droite du titre de l’article. Aller en haut .
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

↑ La préface de l'ouvrage en annonce 279, mais toutes les éditions depuis la princeps en distinguent 280. L'un des deux manuscrits-sources (le Marc. 451 ) contient un codex (sur la Chrestomathie d' Helladius ) inconnu de l'autre. D'autre part, certains codices analysent plusieurs ouvrages successivement.

↑ D'après la lettre, il lui a fallu trouver un « scribe » ( ύπογραφεύς ), ce qui lui a pris un petit moment.

↑ Il précise qu'il a eu du mal à tout reconstituer, « du temps s'étant écoulé ».

↑ Certains ont compris qu'il s'agissait de livres lus par Photios pendant son ambassade, mais le texte ne paraît pas se prêter à cette interprétation : il parle de livres à la lecture desquels « tu n'as pas été présent » (en grec ancien : μὴ παρέτυχες ), passé par rapport au moment où Photios a été choisi pour l'ambassade, et surtout il dit que l'écrit doit servir à Tarasios de « consolation » ou de « dérivatif à la séparation » ( τῆς διαζεύξεως παραμύθιον ), ce qui suppose qu'il lui soit remis avant le départ.

↑ D'après la lettre-préface de l'auteur, l'ordre était indifférent, correspondant seulement à l'ordre de ses souvenirs, et le destinaire pouvait prendre le recueil par le bout qu'il voulait.




↑ Die griechische Literatur des Mittelalters , Berlin-Leipzig, 1905, p. 274.

↑ Cf. dans le cod. 77 (la Chronique d' Eunape ) : « Nous avons retrouvé ces deux éditions dans de vieux exemplaires ».

↑ Franz Dölger, Regesten der Kaiserkunden des oströmischen Reiches , t. 1, Munich, 1924, p. 54 ; Alexander A. Vasiliev, Byzance et les Arabes , t. 1 : La dynastie d'Amorium , Bruxelles, 1935, app. A, p. 275 sqq. Théoctiste le Logothète fut assassiné le 20 novembre 855 , sans doute après le départ de l'ambassade.

↑ Emil Orth, Die Stilkritik des Photios , Leipzig, 1929.

↑ « L’Encre et le feu – Editions Libel : Maison d'édition – Lyon » [ archive ] (consulté le 11 février 2021 )







La dernière modification de cette page a été faite le 22 mai 2022 à 23:32.
Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques . En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence .
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc. , organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.



Politique de confidentialité
À propos de Wikipédia
Avertissements
Contact
Version mobile
Développeurs
Statistiques
Déclaration sur les témoins (cookies)
Modifier les paramètres d’aperçu











Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus


Sommaire

déplacer vers la barre latérale


masquer


Pour les articles homonymes, voir Bibliothèque (homonymie) .

La Bibliothèque ( Βιβλιοθήκη ) ou Myriobiblos ( Μυριόβιβλος ), œuvre de Photios , patriarche de Constantinople entre 858 et 886 , est une collection de 280 notices [ note 1 ] (appelées traditionnellement « codex », parfois au pluriel « codices ») sur des textes littéraires de genres variés lus par le recenseur. L'ouvrage fut commencé vers 843. La longueur des « codices », très variable, va de la simple mention d'un nom d'auteur avec un titre à une analyse de plusieurs dizaines de pages. Ils traitent des auteurs, du contenu des textes, du jugement porté par Photios sur eux, et comprennent souvent des citations plus ou moins longues. Selon Karl Krumbacher , c'est « le plus important ouvrage d'histoire littéraire du Moyen Âge » [ 1 ] .

Les auteurs mentionnés, tous grecs, vont chronologiquement d' Hérodote ( V e siècle av. J.-C. ) au patriarche Nicéphore I er de Constantinople (mort en 828 ). La littérature profane couvre 122 codices , représentant 99 auteurs ; le reste (157 ou 158 codices ) relève de la littérature religieuse chrétienne (not. traités de théologie, actes de conciles, histoire ecclésiastique). Parmi les 99 auteurs profanes :

Aucun poète n'est mentionné. Thucydide , Xénophon , Platon , Aristote sont cités au passage, mais aucune notice ne leur est consacrée. L'auteur juge inutile de recenser les ouvrages scientifiques d' Euclide et de Ptolémée . Environ les deux tiers des œuvres profanes recensées ne sont pas parvenues jusqu'à nous (la moitié des œuvres sur l'ensemble).

Parmi les œuvres qui ne nous sont pas parvenues et dont Photios fait un compte-rendu relativement développé, qui est l'essentiel de ce qu'on en connaît, on peut citer :

Le recueil est chapeauté par une préface en forme de lettre adressée par Photios à son frère Tarasios : « Après la décision unanime des membres de l'ambassade et le suffrage du souverain, qui m'ont choisi pour aller en mission chez les Assyriens, tu m'as demandé, Tarasios, mon frère bien-aimé, qu'on te mette par écrit les sujets des livres à la lecture desquels tu n'as pas été présent. Tu veux avoir en même temps un dérivatif à la séparation qui t'est pénible, et un moyen de connaître, même de façon sommaire et tout à fait générale, les livres que tu n'as pas encore lus avec nous » .

Photios avait l'habitude de lire ou de faire lire, au moins partiellement, et de commenter brièvement, devant un groupe d'étudiants et d'amis (dont parfois son frère), des œuvres dont il avait retrouvé des manuscrits, souvent anciens [ 2 ] . En conclusion de la lecture, il résumait le contenu de l'ouvrage ou en faisait transcrire des passages, et ajoutait quelques remarques personnelles, avec presque toujours un jugement sur le style de l'auteur. À un moment donné, il a été choisi pour faire partie d'une ambassade envoyée chez « les Assyriens » (c'est-à-dire les Arabes, selon la terminologie anachronique souvent utilisée par les lettrés byzantins). Cette mission a été identifiée grâce à des recoupements entre des sources byzantines, arabes et slaves : il s'agit d'une ambassade auprès du calife de Bagdad Jafar al-Mutawakkil , dirigée par le palatin Georges, et chargée de négocier un échange de prisonniers ; elle quitta Constantinople vers la fin de l'année 855 , l'échange eut lieu en février 856 , et les diplomates revinrent en avril [ 3 ] . Après sa désignation pour participer à l'ambassade, son frère lui ayant adressé sa requête, Photios a mis à profit le court laps de temps qui le séparait du départ (sans doute quelques semaines, au début de l'automne 855 ) pour réunir et faire transcrire [ note 2 ] les notices de dates variées (au cours des années précédentes [ note 3 ] ) correspondant aux séances de lecture auxquelles Tarasios n'avait pas été présent. Il a donc remis le recueil à son frère avant son départ, avec la lettre d'introduction.

C'est en tout cas l'interprétation la plus simple de cette préface, qui a fait couler beaucoup d'encre (avec beaucoup d'hypothèses variées, dont la pure et simple fiction littéraire) [ note 4 ] .

Pour sa documentation sur les livres et leurs auteurs, Photios a pu utiliser des ouvrages de consultation comme l' Όνοματολόγος d' Hésychios de Milet , également exploité par l'auteur de la Souda au X e siècle, mais aussi les notices biographiques qui figuraient souvent dans les manuscrits. La terminologie de sa critique littéraire l'apparente à la tradition d' Hermogène de Tarse , dans laquelle il a dû être formé. Ses jugements, autant qu'on puisse le dire sur des exemples, sont personnels et non empruntés à des critiques antérieurs [ 4 ] . Les contenus des notices peuvent être très différents dans la forme, tantôt axés sur l'histoire littéraire, tantôt sur l'analyse et le jugement stylistique ou intellectuel, tantôt suite d'extraits littéraux, tantôt citations enrobées dans un sommaire. Photios imite souvent dans les notices le style, le lexique ou la « manière » de l'œuvre qu'il présente, si bien qu'il peut être difficile, quand il les résume, de distinguer les extraits littéraux des phrases d'introduction ou de raccord de l'abréviateur.

Les deux manuscrits les plus anciens conservés, le Marcianus 450 ( X e siècle) et le Marcianus 451 ( XII e siècle), sont complètement indépendants l'un de l'autre : l'ordre des codices est différent [ note 5 ] , certaines lacunes ne leur sont pas communes. Tous les autres manuscrits dépendent, soit de l'un, soit de l'autre. Un seul autre manuscrit, le Parisinus gr. 1266 ( XIII e siècle), qui est une copie du Marcianus 450 , permet de combler une lacune vers la fin.

L' editio princeps est celle de David Hœschel , publiée à Augsbourg en 1601 , après plusieurs tentatives avortées au XVI e siècle. La première traduction latine de cette édition, due au jésuite anversois André Schott , a paru également à Augsbourg en 1606 . Les deux ont été réimprimées ensemble à Genève en 1611 par les soins de Paul Estienne , et à Rouen en 1653 par Jean et David Berthelin. Pour une histoire très documentée de l'édition de Rouen, en 1653, il faut lire La bibliothèque du Patriarche - Photius censuré dans la France de Mazarin de Luciano Canfora (Belles Lettres - Collection l'Âne d'Or - 2003)

La première édition
Ma meilleure amie veut filmer des vidéos de sexe
Je trompe ma femme avec une taille plus
Une pipe pour s’excuser avec leur producteur

Report Page