Domina en devenir elle continue de le branler alors
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Pour ĂȘtre franche, je savais que Solange Ă©tait une femme dâun genre un peu spĂ©cial, et quâen acceptant de venir prendre le thĂ© chez elle, il se passerait certainement des choses entre nous. Mais par contre, je ne savais pas du tout Ă quel style de jeux Ă©rotiques, jâallais devoir me livrer. Jâimaginais lâamour entre femmes beaucoup plus chaste et pudique. JâĂ©tais habituĂ©e au vice des hommes mais je ne mâattendais pas du tout Ă en rencontrer autant chez une femme. Solange adore dominer et moi, je me suis offerte sans retenue Ă tous ses dĂ©sirs.
Je rĂȘvais depuis longtemps dâĂȘtre initiĂ©e aux plaisirs de lesbos. Solange et moi, nous frĂ©quentons le mĂȘme club de gym. Elle a 38 ans alors que jâen ai seulement 26. Câest une trĂšs belle femme avec les cheveux auburn et un corps parfait. Les salles de sport sont pour elle un bon moyen dâapprocher et de draguer des jolies filles. De cours en cours, ses avances se sont faites de plus en plus prĂ©cises. Je venais de rompre avec mon petit copain et jâĂ©tais totalement disponible pour une expĂ©rience nouvelle et insolite. Solange me plaisait beaucoup et lorsque je me suis retrouvĂ©e chez, jâĂ©tais bien dĂ©cidĂ©e Ă franchir le pas.
JâĂ©tais quand mĂȘme assez mal Ă lâaise, assise en face dâelle dans son joli salon fleuri. Elle mâimpressionnait. Sa façon de me regarder, de me dĂ©tailler de la tĂȘte aux pieds⊠Non, vraiment, je ne mâattendais pas à ça, pas Ă ce quâelle soit aussi directe, aussi crĂ» dans sa maniĂšre de mâattirer vers elle, en me disant :
-« Moi, quand jâinvite une jolie fille comme toi chez moi, câest uniquement parce que jâai envie de la baiser. »
Et sans me laisser le temps de rĂ©agir, elle mâembrasse sur la bouche. Sa langue virevolte autour de la mienne et dĂ©jĂ , elle me caresse partout, dĂ©nudant mes seins pour les malaxer fiĂ©vreusement dans ses doigts. Je me laisse faire et je rĂ©ponds sans rĂ©flĂ©chir Ă ses baisers alors que ma chatte se mouille de plus en plus entre mes cuisses. Solange fait preuve dâautoritĂ© avec moi. Je nâai quâĂ me laisser diriger. Elle mâoblige Ă bien Ă©carter mes cuisses pour me masturber Ă travers ma culotte, elle lĂšche la pointe de mes seins et elle sâamuse Ă les pincer dĂ©licatement entre son pouce et son index. Je ne tarde pas Ă gĂ©mir sous ses caresses habiles et câest tout mon corps qui se met Ă frĂ©mir quand elle glisse sa main Ă lâintĂ©rieur de ma culotte. Je lâentends me murmurer :
-« Quâest-ce que tu mouilles, petite garce. »
Elle joue avec mon clitoris et ma fente, elle me pĂ©nĂštre avec ses doigts. Mon bassin accompagne ses va-et-vient et je me sens dĂ©jĂ au bord de lâorgasme. Tout se passe comme un tourbillon dans ma tĂȘte. Je me retrouve nue devant elle, toujours aussi intimidĂ©e mais trĂšs excitĂ©e. Solange sâassoit sur le canapĂ©. Elle mâĂ©carte bien ses cuisses en me disant :
-« Vas-y, petite vicieuse, lÚche-moi. »
Je mâagenouille devant elle et jâapproche mon visage de son sexe. Sa chatte noire est toute mouillĂ©e et imprĂ©gnĂ©e dâune forte odeur dâexcitation. Je passe ma langue sur le sillon humide et jâaspire son clitoris entre mes lĂšvres, de plus en plus excitĂ©e par les phrases vulgaires quâelle me lance. Solange Ă©carte ses lĂšvres roses dâune façon complĂštement obscĂšne pour les ouvrir sur son vagin rose. Je nâai plus quâĂ darder ma langue Ă lâintĂ©rieur pour la fouiller intimement et le plus profondĂ©ment possible. Elle continue de me guider dâune voix ferme et autoritaire :
-« Câest ça, petite salope. Enfonce-bien ta langue. Tu vas me lĂ©cher le cul aussi, jâadore ça. »
Elle sâĂ©tend sur la moquette du salon et me fait venir sur elle, tĂȘte-bĂȘche, en 69. Alors que je reçois lâordre de continuer Ă la lĂ©cher avec le plus grand soin, elle mâexamine partout. Solange Ă©carte mes fesses et reste un long moment Ă regarder mon anus. Elle tire sur les lĂšvres de ma fente pour lâouvrir. Pendant que je lui lĂšche le cul, je lâentends faire des tas de commentaires. Elle me dit que je suis une drĂŽle de vicieuse, une cochonne, une petite salope⊠Sa langue et ses doigts fouillent mes deux orifices et dâun coup, elle se met Ă me fesser, Ă me fesser trĂšs fort.
Câest ça qui mâa rendue folle. Je jouis une premiĂšre fois sans pouvoir me contrĂŽler. Câest trop bon, cette façon quâelle a de âŠ
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HĂ©lĂšne mâa demandĂ© si je
pouvais passer la voir, disposant de son aprĂšs-midi ce jour lĂ , pour lui donner
quelques conseils sur des achats envisagĂ©s pour lâamĂ©nagement de sa villa en
bord de mer. Il y avait longtemps que nous ne nous étions pas contactés, cela
me faisait plaisir de la revoir, HĂ©lĂšne est trĂšs fantasque et a toujours des
idées originales.
Jâarrive chez elle vers midi et
demi, et suis surpris dâentendre des voix Ă lâintĂ©rieur alors que je pensais
quâelle Ă©tait seule. Elle vient mâouvrir cependant surprise que jâarrive si tĂŽt
dit-elle. Puisque tu es en avance, tu vas patienter, je ne suis pas seuleâŠ.
Elle me fait entrer et me conduit dans une chambre, en me disant que je devais
attendre ici, sans bruit, pour ne pas me faire repĂ©rer, quâelle ne voulait pas
que lâon sache que jâĂ©tais la. Je te connais, tu risques de te manifester aussi
je vais prendre quelques précautions. EnlÚves tes chaussures et étend toi sur
le lit.
Pendant ce temps, elle ouvre
lâarmoire et sort un sac, prenant deux paires de menottes, elle me lie
rapidement les poignets et les chevilles, puis sortant deux cordes, elle relie
les menottes des chevilles au fond du lit et fait de mĂȘme avec les menottes des
poignets Ă la tĂȘte du lit. JâĂ©tais en quelques secondes immobilisĂ©
complĂštement. Bon dit-elle cela devrait aller, tu ne feras pas de bĂȘtise. Ah!
Il manque quelque chose, elle fouille dans le sac, en sort une cagoule qui
recouvre le haut du visage aveuglant entiĂšrement, couvrant aussi les oreilles,
et qui se ferme autour du cou par un collier cadenassé et un bùillon anneau. Je
suis Ă©quipĂ© en un tour de main. VoilĂ dit-elle, je suis tranquille, Ă tout Ă
lâheure.
Je
lâentend dire, en revenant dans le sĂ©jour, que câĂ©tait un livreur, en prĂ©cisant
ces gens lĂ nâont pas dâheure, excusez-moi de vous avoir fait attendre. Je
compris quâil y avait plusieurs personnes, les conversations reprirent sur le
travail, je me dis que ce devaient ĂȘtre des collĂšgues Ă elle.
Le
temps passa, puis ce fut le moment du départ pour ses collÚgues. Le silence
rĂ©gnait, je me dis que jâallais enfin ĂȘtre libĂ©rĂ© commençant Ă trouver le temps
long.
HĂ©lĂšne
ne venait toujours pas. Tout Ă coup je lâentends parler, elle nâest pas seule
quelquâun se trouve avec elle. Elle dit: tu veux bien aller chercher dans ma
chambre le pot sur la commode? Je sursaute, avait-elle oubliĂ© que jâĂ©tais lĂ ?
Jâentends la porte sâouvrir, et en mĂȘme temps un lĂ©ger cri de surprise, puis
presque aussitĂŽt un fou rire derriĂšre. HĂ©lĂšne dit tu te souviens Nicole de
notre discussion de lâautre jour sur les hommes soumis? Je te prĂ©sente Marc, un
ami de toujours et victime consentante de jeux de bondage entre autre, il est
la depuis tout Ă lâheure, câĂ©tait lui le livreurâŠ
Je
lâai fait venir pour passer lâaprĂšs midi avec nous, on va en profiter
pleinement.
Nicole
fut conviée à me détacher, et HélÚne lui dit déshabilles-le, ce sera mieux pour
la suite. Ainsi
fit-elle, dans les minutes qui suivirent jâĂ©tais nu et elles me remirent les
menottes aux poignets, les mains derriĂšre le dos. HĂ©lĂšne fit la rĂ©flexion quâun
homme nu nâĂ©tait pas beau et puisquâil Ă©tait soumis on devait l'habiller un
peu, un corset et des bas feront lâaffaire dit-elle.
Nicole
chargĂ©e de mâhabiller, me met le corset en serrant les lacets, me fait enfiler
un string et aprĂšs m'avoir fait asseoir mâenfile des bas quâelle attache aux
jarretelles bien tendues. Des chaussures Ă talons complĂštent lâensemble, elle
mâaide Ă me relever, ce qui nâĂ©tait pas facile.
Pas
mal dit HĂ©lĂšne, quâallons nous faire de lui maintenant? Nicole dit quâelle
adorait les cordes et jouer avec. Pas de problĂšme dit HĂ©lĂšne, tu en as plein le
sac, dĂ©brouilles-toi pour l'attacher, pendant ce temps j'irai ranger la salle Ă
manger et faire la vaisselle de tout Ă lâheure.
Je
lâentends partir et reste avec Nicole qui sâaffaire avec le sac. Elle commence
par me lier les mains dans le dos, puis continue par les coudes derriĂšre le
dos. Puis elle sâoccupe des jambes, chevilles, genoux (dessus et dessous),
cuisses, mollets furent serrés, rapidement je ne peux plus bouger. Je sens des
cordes sâenrouler autour de ma taille, de ma poitrine (au-dessus et au-dessous
des seins) et de mes hanches. Elle entreprends enfin de relier chacune dâentre
elles avec les suivantes, d'abord dans mon dos, puis sur le devant; je dois
ressembler à un « rÎti bien ficelé ».
Nicole
me fait basculer sur le lit et me tire au milieu de celui-ci. De nouvelles
cordes servent à me lier au lit de façon à ce que je ne puisse vraiment faire
le moindre mouvement.
Nicole
appelle HélÚne pour venir voir son travail, cette-ci vérifie tour à tour la
tension de toutes les cordes et fĂ©licite son amie pour son chef d'oeuvre dĂ©cide de photographier lâensemble « pour la
postérité ».
HĂ©lĂšne
dit : tout travail mĂ©rite rĂ©compense Nicole, je te propose dâaller en ville
nous distraire un peu, peut-ĂȘtre se faire un cinĂ©? Marc tu es dâaccord bien
sur? Comment faire autrement,
bùillonné, aucun son compréhensible ne pouvait sortir de ma bouche, oui dit
HĂ©lĂšne, qui ne dit mot consent, allons-y.
Je
les entends se préparer et sortir, j'allais rester contraint jusqu'à quand?
Impossible de le savoir, plusieurs heures s'Ă©grenĂšrent dans un silence total.
Enfin
du bruit, j'entends les filles revenir de leur sortie, elles semblent trĂšs
gaies en rentrant dans
la
chambre. Tout Ă coup, quatre mains se mettent Ă me palper
dans un silence complet, sur tout le corps, sans exception, provoquant une vive
réaction de ma part qu'elles ne peuvent ignorer. Les caresses se succédÚrent
et s'arrĂȘtĂšrent subitement comme elles
avaient commencées, je les entendis sortir de la piÚce sans mot dire, me laissant à nouveau.
Ce
n'est que longtemps aprÚs qu'elles revinrent; avant de me détacher, elles me
disent que la soirée n'est pas terminée, qu'elles avaient d'autres projets pour
moi et qu'elles réfléchissaient. Je fus cependant détaché et conduit à la salle
de bains toujours cagoulé pour faire quelques ablutions, puis dans la cuisine
ou HélÚne me fit avaler un sandwich (sans boire pour pouvoir me contenir sans difficulté...)
Il Ă©tait 18 heures me dit-elle (cela faisait plus de cinq heures que j'Ă©tais
attaché).
AprĂšs
m'avoir fait restaurer, on m'amÚne toujours aveuglé dans l'entrée de la maison
l'une d'entre elles me passe un collier autour du cou et relie la laisse Ă la
rampe de l'escalier et me remet le bĂąillon. Pendant ce temps l'autre me menotte
les poignets dans le dos et Ă nouveau les chevilles. HĂ©lĂšne dit Ă Nicole, on va
le laisser un peu prendre l'air ensuite on avisera et elles repartirent au
salon.
Le
téléphone sonna, quelques instants plus tard, HélÚne vient et annonce qu'elle
Ă©tait de permanence et que l'on avait besoin d'elle, donc qu'elle devait partir
immédiatement. Elle charge Nicole de me conditionner à sa guise et qu'elle me
prendrait en main à son retour, Nicole est invitée à fermer la maison avant de
rentrer chez elle.
HĂ©lĂšne
partie, Nicole vient s'occuper de moi. Elle avait été à la buanderie et était
revenue avec du matériel et des idées...
Je
suis libéré de mon collier et Nicole me dit qu'elle allait m'équiper avec le
harnais de sécurité qu'elle avait trouvé au garage. Sans défaire les menottes
des poignets, elle m'enfile le harnais, et attache les diverses sangles autour
de mon corps. (Ce harnais prend le haut des cuisses, la taille, le torse et les
Ă©paules, il possĂšde dans le dos au niveau des Ă©paules un anneau permettant
d'ĂȘtre suspendu).
Elle
me conduit ensuite sous la mezzanine, pose un petit tabouret au sol et me fait
monter dessus (j'étais surélevé de vingt centimÚtres environ). Elle prend une
chaßne fixe une des extrémités à l'anneau du harnais avec un gros cadenas, puis
je l'entend monter l'escalier, la chaßne se tend et elle fixe l'autre extrémité
au poteau supérieur.
Elle
me remet les menottes aux chevilles et entreprend cette fois avec des rouleaux
d'adhésif de me saucissonner méthodiquement. Une fois fait, elle consolide
l'ensemble avec quelques cordes et termine l'emballage avec du plastique
Ă©tirable dont elle recouvre mon corps entiĂšrement ne laissant que mon visage de
libre.
Visiblement,
elle est satisfaite du résultat. Je ne peux pas bouger du tout.
Elle
me dit alors qu'elle allait se préparer et partir. Mais avant de cela, elle me
pousse et donne un coup de pied au tabouret, ce qui me suspend cette fois par
le harnais Ă l'ossature de l'escalier, mes pieds dans le vide Ă vingt
centimĂštres du sol.
VoilĂ
elle a réussi son projet, et peut me laisser ainsi, ce qu'elle fait sans
scrupule et part aprÚs avoir fermé la maison.
Me
voila Ă nouveau seul, pour combien de temps?
J'entends
la clé tourner dans la serrure, quelle heure est-il? Impossible de savoir.
C'est HĂ©lĂšne, elle s'approche de moi et s'exclame du travail accompli. Elle me
dit qu'elle allait chercher les clĂ©s pour me libĂ©rer. Je l'entend parler Ă
haute voix, et passer d'un endroit Ă l'autre, elle revient enfin prĂšs de moi et
me dit : mon cher Marc, je crois que tu vas rester ainsi jusqu'Ă demain, je ne
trouve pas les clés.
Nicole
a du les mettre dans sa poche et n'a plus pensé à les reposer, il est deux heures
du matin, il ne serait pas raisonnable de la réveiller, je l'appellerai demain
matin. De toute façon je suis trop fatiguée pour te libérer à cette heure, et
cela me conforte dans mon idée, puisque je n'ai pas les clés...Bonne nuit.
J'entends
sonner, du mouvement dans la maison et réalise, en me réveillant, la position
qui est
la mienne. Une
nuit suspendu et attaché, les filles n'ont pas mégoté et ont semblé prendre du
plaisir Ă cette situation. Les voix de Nicole et d' HĂ©lĂšne se font entendre
prĂšs de moi, des mains me touchent et je sens tout Ă coup mes pieds en contact
avec le tabouret. Elles rigolent et me disent qu'elles vont me sortir de cette
situation. Les ciseaux s'activent et rapidement les liens de plastique tombent,
puis c'est le tour du harnais et des menottes des chevilles, me voilĂ
« presque libre » de mes mouvements, seules mes mains restent
menottées, et enfin me font descendre du tabouret.
HĂ©lĂšne
dit, tu as bien mérité un bain, on va te conduire à la salle de bains, t'enlever
ton bĂąillon et les menottes, mais tu conserveras la cagoule, tu te
débrouilleras bien avec. Ainsi fut fait.
HĂ©lĂšne
revient me chercher un peu plus tard, cela n'a pas été facile sans rien voir de
faire ma toilette, je suis encore mouillé. Elle prend une serviette de bains et
me bouchonne en riant, elle voit que son action a provoqué chez moi une
réaction bien visible. Elle me remets les menottes aux poignets mains dans le
dos, prenant une fine corde, elle attache mes parties et c'est « en laisse »
qu'elle m'amĂšne Ă la cuisine ou Nicole Ă son tour se met Ă rire. Qu'allons-nous
faire de lui dit-elle? Le week-end est devant nous, nous avons le temps de nous
amuser, Nicole a pris goût à ces jeux et visiblement a envie de continuer cette
expérience.
Elles
décidÚrent de me faire déjeuner, m'assirent sur une chaise, aussitÎt une corde
me lia par la taille à celle-ci, puis une autre relia mes genoux bien serrés
l'un contre l'autre . Ce fut un ballet bien réglé qu'elles avaient concocté.
Qui Ă tour de rĂŽle venait s'asseoir sur mes genoux pour me faire manger ou
boire ? Je ne sais pas, la seule chose Ă©tait qu'Ă chaque fois un corps se
frottait au mien, lascivement. Je ne pus résister longtemps à ce jeu et
m'Ă©panchai finalement honteux de n'avoir pu me contrĂŽler.
HĂ©lĂšne
dit, quel sale garçon, tu vas ĂȘtre puni pour ce que tu as fait. Elle me remet
le bùillon aussitÎt. Je crois que tout cela était prémédité, Nicole sauta sur
l'occasion et dit je pense avoir une idée...que m'attendait-il maintenant ?
J'allais le savoir bientĂŽt.
En
attendant, tu vas aller méditer un peu sur
la terrasse. HĂ©lĂšne
reprit « la laisse », me détache de la chaise et me fait suivre ainsi
dehors ou il faisait doux, c'est vrai j'ai perdu toute notion du temps, ainsi
masquĂ©. Il ne doit pas ĂȘtre tard dans la matinĂ©e, la journĂ©e ne fait que
commencer...Elle m'amĂšne jusqu'Ă la balustrade et en attachant ma laisse Ă
celle-ci me dit : tu n'es pas un cheval, toi tu n'es pas attaché par le mors
mais par la queue...A tout Ă l'heure.
C'est
Nicole qui revient me chercher et me conduit sous l'auvent ou sont garées
habituellement les voitures. Elle me dit que j'allais jouer au poisson. Que
cela cachait-il ?
Arrivé
sur le sol bétonné, je dois m'allonger sur le sol ou se trouve HélÚne et un
filet de pĂȘche. Elles me roulent dedans plusieurs fois, puis pendant que l'une
attache chaque extrémité du filet avec une corde, l'autre à l'aide d'un
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