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Du cuir, un fouet et des talons hauts : rencontre avec une dominatrice


L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans


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Publié le 24 avril 2014 à 17h49 Mis à jour
le 24 avril 2014 à 17h49
Le magazine en ligne Vocativ présente cette semaine une vidéo qui pince les tétons: rencontre avec une dominatrice. Au delà des clichés et des fantasmes, on trouve quand même un donjon, du cuir, des fouets et des talons hauts. Rassurez-vous.
Le magazine en ligne Vocativ présente cette semaine une vidéo qui pince les tétons: rencontre avec une dominatrice. Au delà des clichés et des fantasmes, on trouve quand même un donjon, du cuir, des fouets et des talons hauts. Rassurez-vous.
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Des histoires en français sur le travestissement, la féminisation forcée (petticoat punishment), et la transition homme à femme (mtf).
Pourquoi ? À l'heure actuelle beaucoup de sites diffusant ces histoires sont peu ergonomique, vieillie et peu lisible...
Alex n’arrivait pas à s’adapter à la vie en pensionnat. Jusqu’il y a un an il vivait seule avec son père George et ils menaient leur petite vie à deux, bien protégé du reste du monde. Il était fort timide et avait très peu de confiance en soi. Sa mère les avait quittés peu après sa naissance et Georges mettait la timidité de son fils au dos de l’abandon maternelle. Il essayait de compenser au mieux en l’entourant de son affection et son amour. Georges était un type jovial, un peu rude, avec un grand cœur. Sa façon de montrer son amour était de traiter son fils comme un ami, l’emmenant aux jeux de foot, suivi des sorties avec les copains. Il ne comprenait pas que cela intimidait son fils qui devenait de plus en plus timide.
George était un bon vivant, extroverti, qui aimait la bonne bouffe, les buveries avec les copains, mais surtout il aimait les femmes. Avant de connaître la mère d’Alex il avait déjà été marié et avait eu une fille avec sa première femme. Quand son épouse avait appris qu’il avait fait un gosse avec une autre femme elle l’avait immédiatement divorcé.
La mère d’Alex avait été très jeune et après la naissance elle avait été prise de panique. Georges et elles s’étaient installés dans un petit appartement, mais Georges continuait de mener sa vie de vieux garçon, laissant sa maitresse prendre soin du bébé, comme il avait fait avec sa femme. Quelques semaines après avoir accouché elle laissait le bébé chez une voisine prétendant qu’elle avait une course urgente à faire. Georges et Alex ne la revoyaient plus jamais.
Au fond ce n’est pas vrai que Georges aimait les femmes, il adorait être dans leur compagnie, mais il ne les respectait pas. Après le départ de la mère de son fils il s’organisait en mettant son fils dans une crèche. Et les soirs ou les week-ends il emmenait le petit bébé partout ou il allait. Très vite il comprenait que le petit bébé mignon était une attrape gonzesse de format. Comme avant il courrait après chaque jupe qu’il rencontrait, mais maintenant il les emmenait chez lui, avec l’excuse que le petit devait aller au lit.
Il adorait cuisiner, donc souvent il laissait le bébé dans les soins de la conquête du jour, ou de sa compagne de quelques semaines ou mois, pendant qu’il préparait le repas. Avant, pendant et après le repas ils faisaient l’amour et ils passaient la nuit ensemble. Mais jamais il faisait le ménage. Nettoyer sa cuisine et son appartement était le prix que ces conquêtes devaient payer pour partager sa table, son lit, et son bébé.
Ils vivaient ainsi pendant plus que 10 ans. Georges continuait à emmener son fils partout, et même s’il n’était plus aussi attendrissant que quand il était bébé, il était toujours mignon, et le voir avec son père donnait confiance aux femmes.
Quand Alex avait 11 ans George changeait de job et le nouveau boulot impliquait de nombreux voyages. Il décidait de mettre son fils en pensionnat, pensant que cela lui ferait du bien d’être entouré des garçons de son âge, au lieu de passer tout son temps avec son père et ses amis et amies. Mais Alex n’arrivait pas à s’adapter, et était très vite la cible de beaucoup de moqueries.
Le drame était complet quand à plusieurs reprises il mouillait son lit. Comme petit enfant il avait été prône à des accidents, et Georges l’avait périodiquement gardé en couches jusqu’ à l’âge de 6 ou 7 ans. Mais les 4 dernières années il n’avait plus eu d’accident. Quand ces copains découvraient qu’il mouillait son lit il devenait évidemment la cible de taquineries permanentes.
Et puis George apprenait qu’il devrait partir à l’étranger pour toute une année. Quand son père avait annoncé que pendant un an il devrait rester au pensionnat, même les week-ends et les vacances, Alex avait à peine réagit, disant que de toute façon la plus part du temps son père n’était pas là pendant les vacances et les week-ends, ce qui n’était pas totalement faux. Mais le jour avant le départ le garçon déprimait. C’était un dimanche et ils profitaient de leurs dernières heures ensemble. Installé à une terrasse, Alex pensant au départ et se souvenant que ce soir il devrait rentrer au pensionnat, il éclatait en sanglots. Georges, tout à fait désemparé, mettait son bras autour de son fils et petit à petit il se calmait. Georges ne sachant pas ce qu’il devait faire, regardait droit devant lui, avec son bras toujours autour d’Alex, qui avait reposé sa tête sur l’épaule de son père, la figure encore toute mouillé de larmes. Tous les deux étaient tellement perdus dans leurs propres pensées qu’ils ne remarquaient pas la femme qui c’était arrêté devant eux et les regardait. Elle paraissait attendrie par la vision de ce père tenant son bras autour des épaules de ce grand garçon mignon, qui avait pleuré. « Bonjour Georges. Comment vas-tu ? » Georges sortant de ces pensées la regardait et ne reconnaissait pas immédiatement Muriel, sa première femme. Mais puis il la donnait un grand sourire «Muriel, quelle surprise. Et quel plaisir ! »
Mais Muriel n’avait que des yeux pour Alex: « Toi, tu dois être Alex? ». Alex, timide comme toujours, essuyant ces larmes, hochait oui. « Que tu ressembles à ta mère ! » Georges ne lui parlait jamais de sa mère, et il ne possédait que quelques rares photos d’elle. La référence à sa mère touchait le garçon qui ne savait pas comment réagir et rougissait davantage. Muriel voyant la confusion du garçon était aussi désemparé : « Mais excuse-moi. Je crois que je vous ai interpellé au mauvais moment. Je vais vous laisser ».
George, content de la diversion, et comme toujours content d’être en présence d’une belle femme, même une qui le méprisait, la retenait, et extroverti comme toujours, il la prenait en confidence : « Pas du tout. C’est vrai que nous avons un problème, mais justement, tu pourras peut-être nous donner conseil.» Muriel le regardait, avec un petit sourire méprisant: « Ce serait bien la première fois que tu demandes conseil à une femme! Alors tu aurais quand même changé ?» Georges protestait et insistant qu’il apprécierait réellement son avis, l’invitait à se s’assoir avec eux.
Muriel, intriguée, acceptait et Georges racontait qu’il voyageait beaucoup et que maintenant il partait pour un long séjour à l’étranger. Que pour cette raison Alex était en pensionnat et qu’il n’arrivait pas à s’adapter à la vie du collège. Muriel regardait le beau garçon, avec sa figure douce, son corps maigre un peu efféminé, ces yeux tristes, et comprenait que sa vie dans un collège de garçons n’était probablement pas facile. Elle avait toujours refusé de rencontrer ce bâtard de son ex, mais dés la première seconde qu’elle l’avait vu, elle avait été intrigué. A ce moment le garçon du café venait demander si quelqu’un était garé sur la place en face, prévenant que la police était en train de donner des amendes. George, qui en effet s’était garé sur la place, se levait et annonçait qu’il allait changer sa voiture de place, laissant Muriel et Alex seul.
Ils gardaient le silence pour un moment et puis, se surprenant à elle-même, Muriel demandait s’il voulait venir vivre chez elle. Alex la regardait avec des grands yeux horrifiés et protestait d’une manière véhémente : « Avec rien que des filles ? » Muriel ne s’attendait pas à telle réaction. D’abord elle était étonné du fait qu’il savait qu’ elle vivait seul avec ces 4 filles – Juliette la demi-sœur d’Alex de 13 ans, et puis, de son second mariage, lui aussi terminé en divorce, une fille de 8 et des jumeaux de 5, – mais elle était surtout surpris par la véhémence de sa réaction. Elle le regardait et répondait sur un ton sec : « Alors tu n’aimes pas les filles ? » Le garçon, de nouveau timide, haussait les épaules : « Les filles sont ennuyeuses et faibles. » La réponse enfantine faisait sourire Muriel: « C’est ton père qui t’a appris ça ? » C’était le tour d’Alex pour être étonné : « Non, pas du tout, au contraire ! Mon père dit que les filles c’est ce qui rend le piment à la vie.» « Ah, j’entends qu’il n’a pas encore changé.» « Et il dit qu’on a besoin des filles pour s’occuper du ménage, que c’est facile parce qu’elles aiment nettoyer et ranger la maison». Muriel n’en croyait pas ces oreilles et voulait corriger le gamin, mais à ce moment George arrivait de nouveau.
Muriel, sans une seconde d’hésitation, racontait qu’elle avait proposé que le petit venait vivre chez elle, mais que l’idée de partager le toit rien qu’avec des filles n’avait pas l’air de l’enchanter. George était stupéfait par ce qu’il entendait. Muriel avait toujours refusé tout contact avec Alex, elle n’avait même jamais permis qu’il rencontre sa demi-sœur, et maintenant elle proposait qu’il vienne vivre chez elle. Mais spontané comme toujours, il ne réfléchissait pas trop, et se tournant vers son fils, demandait s’il était tombé sur sa tête. Vivre dans une belle maison entouré de 4 belles filles au lieu de retourner au collège qu’il haïssait, il ne devait quand même pas hésiter. À la mention du pensionnat la figure d’Alex s’assombrit de nouveau. Muriel le voyait et sur un ton gentille suggérait qu’il aille se laver la figure et ces yeux toutes rouges. Alex, gênée d’être rappelé au fait qu’il avait pleuré, et confondu par cette possibilité d’échapper au collège, se levait et se dirigeait vers les toilettes.
Pendant son absence George expliquait à Muriel que son fils avait des problèmes d’énurésie, et que c’était une des raisons des taquineries dont il était l’objet. Il ne remarquait pas le petit sourire sournois, et le ton moqueur avec lequel elle réagissait : « Oh le pauvre gosse. Georges, il ne faut pas le laisser rentrer dans cet internat ». Quand il revenait des toilettes Alex aussi était venu à la décision que tout était mieux que de rentrer au collège. Mais il hésitait toujours à accepter l’invitation à cause de son énurésie. George comprenait ce qui se passait et, prenant son fils à part, expliquait qu’il avait mis Muriel au courant. Alex, rougissant se tournait vers la femme, gênée qu’elle connaissait son horrible secret. Mais Muriel lui souriait de loin, et Alex se sentait soulagée : S’il y avait un accident il ne devrait plus lui avouer son problème, elle s’en occuperait. Une demi-heure plus tard tout était réglé. Son sac était transféré de coffre en coffre, et après avoir longuement embrassé son père il montait dans la voiture de Muriel et partait vers sa nouvelle maison.
Dés le premier moment il commençait avoir des doutes sur sa décision. Déjà au moment de monter dans la voiture quand il avait voulu monter devant comme il avait l‘habitude avec son père elle l’avait dit que chez elle les gosses se mettaient derrière. Son père lui avait donné un clin d’œil et il s’était installé à l’arrière sans commentaire. Une fois en route elle l’avait rassuré qu’il allait vite découvrir que les filles n’étaient ni ennuyeuses ni faibles. Il n’avait pas su quoi répondre et elle avait continué disant qu’elle était sûre qu’il allait se sentir bien chez elle mais que bien-sûre il devrait un peu s’adapter puisqu’elle était assez stricte, certainement plus stricte que son père. Quand Alex répondait que le collège était très stricte, elle le regardait dans le rétroviseur, et souriant, hochait la tête : « Oui, sans doute. T’as donc l’habitude. Alors je suis sûre que tu t’adapteras très vite.» Une petite conversation qui ne le rassurait point.
Mais il n’avait pas beaucoup de temps pour réfléchir puisque Muriel s’arrêtait déjà devant une maison expliquant que c’était la maison des copains ou les filles avaient passés l’après-midi. Quand elles avaient tous montés dans la voiture – l’ainée, Juliette, s’installant naturellement sur le siège du passager avant – il était présenté. L’annonce qu’il venait vivre avec eux était d’abord reçu avec un silence incrédule. Puis les trois plus jeunes devenaient toutes excitées et se mettaient à pouffer de rire. Juliette, se retournait et le regardait avec un air curieux, mais méfiant à la fois : «Alors c’est toi mon frère ? » Intimidé par son regard scrutateur il avait rougit sans répondre. Elle haussait les épaules : « Frère ou pas frère tu n’as pas l’air plus intelligent que les autres garçons. » Puis, l’ignorant complètement, elle se dirigeait à sa mère pour demander pourquoi il venait vivre avec eux. Muriel expliquait seulement que son père partait pour long temps et qu’il n’aimait pas son pensionnat. Juliette la regardait d’un air étonné mais n’insistait pas.
Quelques minutes plus tard ils arrivaient à une grande villa entourée d’un grand jardin. Tout le monde voulait sortir de la voiture mais Muriel les retenait. Elle s’adressait d’abord à Emilie, sa fille de 8 ans, annonçant qu’elle devrait partager sa chambre avec Alex. Cela n’avait pas l’air de l’embêter, au contraire elle avait l’air content. Et Juliette, qui sans doute avait craint qu’il viendrait dans sa chambre à elle, avait l’air d’être soulagé. Muriel entre temps s’adressait à son ainée en la demandant d’aider son frère à s’installer et à faire son lit. Puis elle se tournait vers Laure et Sophie, les deux petites : « Pendant ce temps nous 3 on va vite faire quelques courses, ok ? »
Alex sortait son sac du coffre et suivait Juliette et Emilie dans la maison. A l’intérieur elle paraissait encore plus jolie que de dehors, et Alex se rendait très vite compte qu’elle était très grande. Montant à l’étage Emilie lui faisait découvrir les lieux. Il y avait 4 grandes chambres à coucher, chacune avec une salle de bains. La plus grande, avec un grand lit double, était utilisée par Muriel. Les trois autres étaient fort similaires, chaque fois meublées avec des lits jumeaux. Une chambre était partagé par les jumeaux, et Emilie et Juliette avaient chacune leurs chambre propre. Emilie, tout excitée, montrait la chambre qu’elle allait dorénavant partager avec Alex. Juliette rentrait avec une paire de draps et demandait à Alex de l’aider à dresser son lit, en demandait à sa sœur de faire un peu de place dans son armoire pour qu’Alex puisse y ranger ces affaires.
Quand le lit était fait et Alex avait vidé son sac Emilie s’étonnait du peu de vêtements qu’il avait. Alex, soucieux, expliquait que la plus grande partie de ces affaires était au collège, pensant qu’il devait demander à Muriel si c’était possible d’aller les chercher le plus vite possible. Une fois installé Emilie l’entrainait en bas ou elle montrait la « classe ». C’était une grande chambre avec 4 pupitres au milieu. Alex avait déjà appris que les filles n’allaient pas à l’école mais étaient enseignées à la maison. Il observait qu’il n’y avait pas de place pour lui, mais Emilie le rassurait en disant que sa mère ferait certainement placer un 5 ième pupitre et qu’en attendant il pouvait se mettre avec elle à sa table. Sur quoi elle l’entrainait vers la pièce à côté. Jetant la porte grande ouverte elle la présentait à grande voix : « Et voilà la chambre de jeux ! ». C’était un très grand local, donnant avec des grandes baies vitrées sur le jardin, remplit de poupées et de jouets. Il n’avait jamais vu autant de jeux en une pièce, sauf dans les magasins. Impressionné il avançait dans la pièce regardant au tour de lui: poupées, berceaux, vélos, patins, cuisine de jeu, théâtre de marionnettes, …. D’abord il était émerveillé, mais après quelques instants commençait à réaliser qu’il y avait très peu de choses avec lequel un garçon de 11 ans pouvait s’amuser. Mais voyant la figure fière d’Emily il gardait cette réflexion pour lui, et au contraire, exprimait son émerveillement devant cette collection de jouets.
A ce moment ils entendaient les voix de Muriel et des jumeaux dans le hall, et ils allaient vers eux. Muriel lui souriait: « Alors ça te plait ? » Il répondait le plus enthousiaste possible que c’était une maison splendide. Pendant que Muriel le remerciait en répétant encore une fois combien il allait bien se plaire chez eux, il voyait d’un coin d’œil les petites qui, de nouveau excitées comme des puces, racontaient quelque chose à leur sœur. De la façon dont Emilie le regardait il comprenait qu’elles parlaient de lui, mais à ce moment Juliette entrait également dans le hall et Muriel, constatant qu’il se faisait tard, donnait ces ordres.
Juliette était chargée de vider le coffre de la voiture pendant qu’Emilie et Alex dressaient la table. Après ils devaient prendre une douche et se mettre en pyjama. Pendant ce temps Muriel s’occuperait à donner le bain aux jumeaux. Tout le monde était attendu à table en 20 minutes.
Alex, timidement, s’adressait à Muriel pour lui dire qu’il n’avait pas de pyjama. Elle avait clairement anticipé cette question et répondait qu’elle s’en occuperait.
Juliette se dirigeait vers le garage et Emily et Alex allaient à la cuisine ou la fille lui montrait l’em
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