Docteur abuse des patients jeunes

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Variole du singe : (enfin) on peut-ĂȘtre vaccinĂ© Ă  Saint-Étienne !










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Se garer va vous coĂ»ter moins cher ce mois-ci Ă  Saint-Étienne










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L'info de la Loire et de Saint-Etienne
Ce kinĂ© de 38 ans est spĂ©cialisĂ© dans l’ostĂ©opathie somato-Ă©motionelle Ă  Saint-Etienne.
Le pratiquant profitant d’une jeune cliente, lui a caressĂ© les seins un peu fortement .
Ce jour-lĂ , la patiente de 14 ans a pris ses jambes Ă  son cou et a dĂ©guerpi vite fait de son cabinet. ChoquĂ©e, elle en a mĂȘme oubliĂ© de payer le kinĂ©. Facture qu’elle ne devrait pas payer vu la gravitĂ© de la situation. Ce praticien explique devant le tribunal qu‘il fait de la mĂ©decine douce, sa spĂ©cialitĂ© est l’ostĂ©opathie somato-Ă©motionnelle.
J’étais en burn-out, j’avais beaucoup trop de travail
Le prĂ©sident du tribunal l’interpelle : « Masser les seins, ça ne rentre pas dans la pratique de votre discipline ? » Le prĂ©venu regarde ses jambes et fait profil bas. « Non, Ă©videmment pas
 On est sorti du cadre professionnel ». « Pourquoi » demande le magistrat ?
L’accusĂ© rĂ©pond dans son box : « J’étais en burn-out, j’avais beaucoup trop de travail, il y avait la fatigue nerveuse et physique. Il y avait aussi la tension de manque de rapports avec mon Ă©pouse  »
La mĂšre a portĂ© plainte au civil car, comme elle le raconte : « Ma fille s’est repliĂ©e sur elle-mĂȘme. »
Le procureur de la république souhaite six à huit mois avec sursis.
Pour la dĂ©fense de l’accusĂ©, MaĂźtre Lachaud « on est lĂ  dans une pratique borderline. »
L’OstĂ©opathie somato-Ă©motionnelle est une pratique mal dĂ©finie et pour laquelle on est mal formĂ©. L’ostĂ©opathe est revenu sur quelque chose de trĂšs normĂ© et a toujours Ă©tĂ© trĂšs inquiet des rĂ©percutions sur cette jeune fille de 14 ans.
Ce kinĂ© de 38 ans vient d’ĂȘtre condamnĂ© Ă  8 mois avec sursis et mise Ă  l’épreuve pendant 2 ans.
La mĂ©decine ostĂ©opathique est reconnue par l’État comme une profession Ă  part entiĂšre depuis la promulgation de la loi de Mars 2002 (Loi Kouchner). Formation obligatoire auprĂšs d’un Ă©tablissement agrĂ©Ă©.
Un ostĂ©opathe exclusif professionnel doit ĂȘtre titulaire d’un diplĂŽme sanctionnant un cycle de formation minimum de 4 200 heures (minimum 5 annĂ©es aprĂšs le baccalaurĂ©at), dont un minimum de 800 heures de pratique, auprĂšs d’un Ă©tablissement de formation agrĂ©Ă© par l’État.
Il existe de nombreuses Ă©coles et formations au mĂ©tier d’ostĂ©opathe. De durĂ©e et de qualitĂ© hĂ©tĂ©rogĂšnes, elles n’assurent pas forcĂ©ment le mĂȘme niveau de compĂ©tence. Une formation diplĂŽmante d’une durĂ©e de 6 annĂ©es permet de garantir un niveau d’excellence optimum du praticien ostĂ©opathe.
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L’auteur rapporte ce que l’un de ses Ă©tudiants en mĂ©decine, David, a rĂ©vĂ©lĂ© ce qu’il s’est passĂ© alors qu’il assistait un mĂ©decin qui prĂ©parait une patiente pour une hystĂ©rectomie vaginale : « Pendant qu’il lavait et frottait ses lĂšvres et l’intĂ©rieur de ses cuisses, il m’a regardĂ© et a dit : ‘Je parie qu’elle y prend du plaisir’. Il m’a fait un clin d’Ɠil et a ri ». David a admis avoir ri lui aussi, simplement parce qu’il ne savait pas quoi faire d’autre.
Ensuite, l’auteur donne un exemple Ă©cƓurant de son propre passĂ©, quand un interne dansait en chantant « La Cucaracha » alors que sa main Ă©tait dans le vagin d’une femme. « Il continuait Ă  danser, raconte-t-il, expliquant que son rĂŽle Ă©tait de tenir le genou de la femme pendant que l’interne rĂ©alisait un massage utĂ©rin. « Et puis, il m’a regardĂ©. J’ai commencĂ© Ă  me balancer Ă  son rythme. Mes pieds bougeaient. Je chantonnais et riais avec lui ». Quelques instants plus tard, l’anesthĂ©siste leur a ordonnĂ© d’arrĂȘter et ils l’ont fait. Ces entorses Ă  l’éthique sont choquantes, peut-ĂȘtre parce que les gens sont souvent si angoissĂ©s quand il s’agit de problĂšmes de santĂ©, et que des rĂ©actions insensibles envers leur corps leur paraissent particuliĂšrement dĂ©testables. Mais le problĂšme est plus profond.
MĂȘme si toutes les agressions sont horribles, ces histoires font plus de bruit parce que notre instinct naturel est de faire confiance aux mĂ©decins. « Les professionnels de la santĂ© dĂ©tiennent un pouvoir immense sur les patients, affirme Nancy Hensler, psychologue Ă  Washington. Leur devoir sacrĂ© est de guĂ©rir. Comme le montrent ces rĂ©cits, ils peuvent largement abuser de ce pouvoir ».
Si vous faites partie de ces victimes, en plus de potentiellement perdre confiance en ce corps de mĂ©tier qui est supposĂ© vous garder en sĂ©curitĂ©, le niveau d’impuissance quand vous ĂȘtes sous anesthĂ©sie ne fait qu’empirer la situation. « Être violĂ©e quand vous ĂȘtes dans une situation de vulnĂ©rabilitĂ© est hautement traumatisant, que ce soit enregistrĂ© consciemment ou inconsciemment, au niveau de la mĂ©moire procĂ©durale », ajoute le docteur Hensley.
Oui, c’est vrai : votre corps peut se rappeler de choses qui sont survenues quand vous Ă©tiez inconscient. « De tels traumas peuvent ĂȘtre stockĂ©s dans votre corps pendant de nombreuses annĂ©es et sont connus pour ĂȘtre corrĂ©lĂ©s avec des problĂšmes physiques et mentaux sur le long terme, comme des dĂ©sordres anxieux, du stress post-traumatique ou un dysfonctionnement sexuel », dĂ©clare-t-elle.
Il existe un parallĂšle glaçant entre ce type d’abus sexuels par des mĂ©decins et le type de drogues du viol que l’on peut trouver dans les boĂźtes de nuit. « Ces incidents mĂ©dicaux ne sont pas diffĂ©rents des histoires rapportĂ©es par les participantes Ă  des fĂȘtes universitaires qui ont subi des violences physiques et des plaisanteries crues sur les femmes ivres ou droguĂ©es », dĂ©clare Nancy Hensley. Elle accuse l’attitude blasĂ©e de la sociĂ©tĂ© envers le corps des femmes. « Une rĂ©alitĂ© pernicieuse en jeu est que ces histoires rĂ©sultent de la perversitĂ© de la violence envers les femmes, dĂ©clare la psychologue. Il y a une acceptation dans la sociĂ©tĂ© qui encourage ou consent silencieusement Ă  ce que le corps des femmes soit considĂ©rĂ© comme un objet, soit moquĂ© et violĂ©, que ce soit conscient ou inconscient. »
Cette objectivation participe d’une dynamique qui est au cƓur de diffĂ©rents processus de sexisme, y compris celui-ci. « Ce type de comportements utilise le patient Ă  une fin bizarre, qu’il s’agisse d’une gratification sexuelle ou de l’exercice de son pouvoir sur quelqu’un, analyse le docteur Lawrence Nelson, juriste, bioĂ©thicien et professeur Ă  l’UniversitĂ© de Santa Clara. C’est une terrible violation de l’éthique de la profession que de faire quelque chose qui ne soit pas au bĂ©nĂ©fice mĂ©dical du patient mais un abus de pouvoir. »
PremiĂšre chose : dans un monde idĂ©al, il ne vous appartiendrait pas de prĂ©venir une inconduite. « L’importance de crĂ©er une politique de tolĂ©rance zĂ©ro pour des comportements aussi irrespectueux devrait peser sur la communautĂ© mĂ©dicale, affirme le docteur Hensley. Vous pouvez enquĂȘter sur des praticiens potentiels en vous renseignant sur eux sur le site de l’Ordre des MĂ©decins pour vĂ©rifier qu’ils ne font pas l’objet de plaintes pour abus sexuel, ou pour voir les avis d’autres patients sur eux. »
Une fois que vous avez choisi votre mĂ©decin, demandez-lui quelles garanties il a instaurĂ©es pour prĂ©venir tout abus sexuel. « La façon dont il rĂ©pond vous en dira beaucoup, affirme Nancy Hensley. Est-il dĂ©daigneux ou prĂ©parĂ© Ă  traiter ce problĂšme ? » Cela lui fera aussi comprendre que vous ĂȘtes dĂ©cidĂ©e Ă  garder le contrĂŽle de votre santĂ©, ce qui est une bonne mesure de prĂ©vention . Enfin, Ă©coutez votre instinct, conseille la psychologue. Si votre intuition tire la sonnette d’alarme et si vous n’avez pas confiance en lui, mĂȘme sans preuve, tournez-vous vers quelqu’un d’autre.
« Vous avez plusieurs options si vous pensez ĂȘtre dans une telle situation. D’abord, vous devriez contacter la police », conseille Paul Saputo, avocat Ă  Dallas. La loi varie d’un pays Ă  l’autre, donc le fait que cet acte soit considĂ©rĂ© comme une agression dĂ©pendra des circonstances spĂ©cifiques. Vous pourrez donc engager des poursuites soit pour agression, soit pour erreur mĂ©dicale, prĂ©cise-t-il.
Lawrence Nelson recommande pour sa part de vous adresser Ă  l’institution en cas de harcĂšlement ou d’abus sexuel, en l’occurrence l’Ordre des MĂ©decins, plutĂŽt que d’aller en justice. « La plupart des Ordres de mĂ©decins ne veulent pas que le public sache que leurs praticiens violent l’intĂ©gritĂ© physique de leurs patients, dit-il. Vous devriez essayer d’obtenir un accord Ă  l’amiable sans faire intervenir un avocat car passer par le systĂšme judiciaire est coĂ»teux et lent ». Si d’autres patients se plaignent de la mĂȘme chose, cela pourrait inciter l’Ordre concernĂ© Ă  punir le mĂ©decin pour faute grave.
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L’auteur rapporte ce que l’un de ses Ă©tudiants en mĂ©decine, David, a rĂ©vĂ©lĂ© ce qu’il s’est passĂ© alors qu’il assistait un mĂ©decin qui prĂ©parait une patiente pour une hystĂ©rectomie vaginale : « Pendant qu’il lavait et frottait ses lĂšvres et l’intĂ©rieur de ses cuisses, il m’a regardĂ© et a dit : ‘Je parie qu’elle y prend du plaisir’. Il m’a fait un clin d’Ɠil et a ri ». David a admis avoir ri lui aussi, simplement parce qu’il ne savait pas quoi faire d’autre.
Ensuite, l’auteur donne un exemple Ă©cƓurant de son propre passĂ©, quand un interne dansait en chantant « La Cucaracha » alors que sa main Ă©tait dans le vagin d’une femme. « Il continuait Ă  danser, raconte-t-il, expliquant que son rĂŽle Ă©tait de tenir le genou de la femme pendant que l’interne rĂ©alisait un massage utĂ©rin. « Et puis, il m’a regardĂ©. J’ai commencĂ© Ă  me balancer Ă  son rythme. Mes pieds bougeaient. Je chantonnais et riais avec lui ». Quelques instants plus tard, l’anesthĂ©siste leur a ordonnĂ© d’arrĂȘter et ils l’ont fait. Ces entorses Ă  l’éthique sont choquantes, peut-ĂȘtre parce que les gens sont souvent si angoissĂ©s quand il s’agit de problĂšmes de santĂ©, et que des rĂ©actions insensibles envers leur corps leur paraissent particuliĂšrement dĂ©testables. Mais le problĂšme est plus profond.
MĂȘme si toutes les agressions sont horribles, ces histoires font plus de bruit parce que notre instinct naturel est de faire confiance aux mĂ©decins. « Les professionnels de la santĂ© dĂ©tiennent un pouvoir immense sur les patients, affirme Nancy Hensler, psychologue Ă  Washington. Leur devoir sacrĂ© est de guĂ©rir. Comme le montrent ces rĂ©cits, ils peuvent largement abuser de ce pouvoir ».
Si vous faites partie de ces victimes, en plus de potentiellement perdre confiance en ce corps de mĂ©tier qui est supposĂ© vous garder en sĂ©curitĂ©, le niveau d’impuissance quand vous ĂȘtes sous anesthĂ©sie ne fait qu’empirer la situation. « Être violĂ©e quand vous ĂȘtes dans une situation de vulnĂ©rabilitĂ© est hautement traumatisant, que ce soit enregistrĂ© consciemment ou inconsciemment, au niveau de la mĂ©moire procĂ©durale », ajoute le docteur Hensley.
Oui, c’est vrai : votre corps peut se rappeler de choses qui sont survenues quand vous Ă©tiez inconscient. « De tels traumas peuvent ĂȘtre stockĂ©s dans votre corps pendant de nombreuses annĂ©es et sont connus pour ĂȘtre corrĂ©lĂ©s avec des problĂšmes physiques et mentaux sur le long terme, comme des dĂ©sordres anxieux, du stress post-traumatique ou un dysfonctionnement sexuel », dĂ©clare-t-elle.
Il existe un parallĂšle glaçant entre ce type d’abus sexuels par des mĂ©decins et le type de drogues du viol que l’on peut trouver dans les boĂźtes de nuit. « Ces incidents mĂ©dicaux ne sont pas diffĂ©rents des histoires rapportĂ©es par les participantes Ă  des fĂȘtes universitaires qui ont subi des violences physiques et des plaisanteries crues sur les femmes ivres ou droguĂ©es », dĂ©clare Nancy Hensley. Elle accuse l’attitude blasĂ©e de la sociĂ©tĂ© envers le corps des femmes. « Une rĂ©alitĂ© pernicieuse en jeu est que ces histoires rĂ©sultent de la perversitĂ© de la violence envers les femmes, dĂ©clare la psychologue. Il y a une acceptation dans la sociĂ©tĂ© qui encourage ou consent silencieusement Ă  ce que le corps des femmes soit considĂ©rĂ© comme un objet, soit moquĂ© et violĂ©, que ce soit conscient ou inconscient. »
Cette objectivation participe d’une dynamique qui est au cƓur de diffĂ©rents processus de sexisme, y compris celui-ci. « Ce type de comportements utilise le patient Ă  une fin bizarre, qu’il s’agisse d’une gratification sexuelle ou de l’exercice de son pouvoir sur quelqu’un, analyse le docteur Lawrence Nelson, juriste, bioĂ©thicien et professeur Ă  l’UniversitĂ© de Santa Clara. C’est une terrible violation de l’éthique de la profession que de faire quelque chose qui ne soit pas au bĂ©nĂ©fice mĂ©dical du patient mais un abus de pouvoir. »
PremiĂšre chose : dans un monde idĂ©al, il ne vous appartiendrait pas de prĂ©venir une inconduite. « L’importance de crĂ©er une politique de tolĂ©rance zĂ©ro pour des comportements aussi irrespectueux devrait peser sur la communautĂ© mĂ©dicale, affirme le docteur Hensley. Vous pouvez enquĂȘter sur des praticiens potentiels en vous renseignant sur eux sur le site de l’Ordre des MĂ©decins pour vĂ©rifier qu’ils ne font pas l’objet de plaintes pour abus sexuel, ou pour voir les avis d’autres patients sur eux. »
Une fois que vous avez choisi votre mĂ©decin, demandez-lui quelles garanties il a instaurĂ©es pour prĂ©venir tout abus sexuel. « La façon dont il rĂ©pond vous en dira beaucoup, affirme Nancy Hensley. Est-il dĂ©daigneux ou prĂ©parĂ© Ă  traiter ce problĂšme ? » Cela lui fera aussi comprendre que vous ĂȘtes dĂ©cidĂ©e Ă  garder le contrĂŽle de votre santĂ©, ce qui est une bonne mesure de prĂ©vention . Enfin, Ă©coutez votre instinct, conseille la psychologue. Si votre intuition tire la sonnette d’alarme et si vous n’avez pas confiance en lui, mĂȘme sans preuve, tournez-vous vers quelqu’un d’autre.
« Vous avez plusieurs options si vous pensez ĂȘtre dans une telle situation. D’abord, vous devriez contacter la police », conseille Paul Saputo, avocat Ă  Dallas. La loi varie d’un pays Ă  l’autre, donc le fait que cet acte soit considĂ©rĂ© comme une agression dĂ©pendra des circonstances spĂ©cifiques. Vous pourrez donc engager des poursuites soit pour agression, soit pour erreur mĂ©dicale, prĂ©cise-t-il.
Lawrence Nelson recommande pour sa part de vous adresser Ă  l’institution en cas de harcĂšlement ou d’abus sexuel, en l’occurrence l’Ordre des MĂ©decins, plutĂŽt que d’aller en justice. « La plupart des Ordres de mĂ©decins ne veulent pas que le public sache que leurs praticiens violent l’intĂ©gritĂ© physique de leurs patients, dit-il. Vous devriez essayer d’obtenir un accord Ă  l’amiable sans faire intervenir un avocat car passer par le systĂšme judiciaire est coĂ»teux et lent ». Si d’autres patients se plaignent de la mĂȘme chose, cela pourrait inciter l’Ordre concernĂ© Ă  punir le mĂ©de
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