Dire au revoir avec le meilleur orgasme

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Improbablogie. Deux chercheuses ont collecté les termes les plus communément utilisés durant l’orgasme auprès d’un panel d’hommes et de femmes. Transcription en 27 langues.
Publié le 05 juillet 2016 à 13h06 - Mis à jour le 13 juillet 2016 à 18h43 Temps de Lecture 2 min.
C’est lumineux, ça fait des bulles ! C’est rouge ! C’est bleu ! C’est vert ! C’est Broadway ! », hurlait, dans une planche de Reiser, une femme en plein orgasme. S’il avait été réel, ce personnage aurait pu enrichir une étude que vient de publier, le 27 juin, la revue Metaphor and Symbol . Anita Yen Chiang et Wen-yu Chiang, deux spécialistes de linguistique de l’université nationale de Taïwan, se sont intéressées à la manière dont, de par le vaste monde, les membres de l’espèce humaine conceptualisaient l’orgasme. Quels mots, quelles ­figures de style décrivaient la chose… et l’annonçaient dans le feu de l’action ? Selon les langues, à quelles sources lexicales puise-t-on les métaphores orgasmiques ? Y a-t-il, pour « le » dire, des expressions que l’on retrouve partout, une universalité sur le théâtre du plaisir, ou bien chaque culture a-t-elle son « Broadway » bien à elle ?
Afin de le savoir, les deux chercheuses ont passé plusieurs mois, dans une variante très chaste du sexe oral, à interviewer des dizaines d’hommes et de femmes afin de collecter les termes les plus communément utilisés dans leurs langues respectives. Au ­total, 27 d’entre elles, maîtrisées par 3,2 milliards de personnes – soit près de la moitié de l’humanité – ont été examinées. Pour un sujet aussi important que l’orgasme, 27 langues, ce n’est pas de trop.
Le mot « orgasme » et ses variantes orthographiques locales étaient présents dans 17 langues. Les auteurs notent que plusieurs vocables et expressions, comme climax en anglais (ou klimaks en ­indonésien) évoquent un point culminant. Les ­Coréens parlent de « pic sexuel » et les Chinois de « marée haute » , ce qui traduirait le déferlement d’un certain nombre d’hormones et de fluides ­durant les ébats amoureux. Est également mentionnée la fameuse « petite mort » en français, qui pourrait être signe d’un « état modifié de conscience » chez un peuple internationalement réputé pour sa propension à la bagatelle.
Dans la manière d’annoncer à son partenaire que le plaisir est imminent, on voit parfois l’évocation d’un embrasement ( nyt mä tulen en finnois, qui ­signifie « maintenant je suis le feu »), voire la réaffirmation de son existence avec un curieux « je serai » tchèque, une sorte de « je jouis donc je suis » que les auteurs n’hésitent pas à rapprocher du dubito ergo sum de Descartes…
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Tout à coup, le désir. Pour un homme qu’on connaît à peine, juste pour le plaisir, sans se poser de questions. Et ça mène… Où, au fait ? Six femmes racontent ce que ce coup d'un soir a changé pour elle.
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A une fête de ville, l'ambiance y était, j'était passablement soule mais déterminée au premier coup d'oeuil quelques heures plus tôt (non soule) sans même m'en rendre compte. C'était l'ami de l'ami de ma meilleur amie (blablabla). Je ne l'ai pas lâché de la soirée, il c'est même laissé faire à flirter amusé par cette fille complètement folle. C'était une nuit amusante….sans parler du matin où le désir ne s'arrêtait plus (magique!) puis la journée entre amis à s'éclabousser d'eau et à bronzer à suivie sans trop d'interactions mais nous nous sommes quitter promptement.

Je suis maintenant parti pour 5 mois pour le travail…j'ai obtenu son facebook via mon amie…. Ce n'est pas mon premier coup d'un soir, il est complètement different de moi et pourtant je meurs d'envie de lui écrire… d'engager quelque chose, car j'ai le sentiment que nous pourrions être ensemble….mais j'ai peur qu'est ce que je pourrais bien lui écrire?…. Peur de la négation… du ridicule… du rejet…

Mon dernier coup d'un soir est devenu mon Mari!

mon plan d'un soir reste mon plan d'un soir, et ca n'ira pas plus loin car ca fait 4 mois que l'on couche ensemble mais je commence a me lasser. Oops.

C'est bien pour un soir et on ne laisse pas obligatoirement le
bon numéro, sauf si ça vaut le coup. C'est la quête de l'amant
parfait

Dans le trésor une poésie.

Comme un
diamant qui
brille dans
l'intensité d'une
âme silencieuse
je l'écoute le
sourire et le
chant du matin.

Francesco Sinibaldi
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Le premier ou le dernier, un coup de folie ou une habitude, mauvais plan ou idée de génie, elles ont dit oui, ce jour-là à un coup d'un soir. Et il a changé quelque chose en elle, marquant au moins un bout de leur vie. 
Marie, 26 ans, rencontre Julian lors d’une soirée au Canada, la veille de son retour en France.
"Je passe un an au Canada pour mes études. Niveau sexe, je traverse un désert amoureux . Mon copain m’a quittée juste avant cette année Erasmus et depuis, je n’ai rien vécu, même pas un flirt."
"J’ai l’estime dans les chaussettes. La veille de mon retour en France, je repère Julian en soirée : impossible de le louper, il mesure 1,90 mètre. Je l’accoste du haut de mon 1,60 mètre : 'T’es grand !' Il enchaîne : 'Mais plus facile à conquérir que l’Everest. ' Grand ET drôle.'
'De blagues en fous rires, sans trop réaliser ce qui se passe, je me retrouve chez lui. Ma seule angoisse ? Je ne suis pas épilée. Je le lui dis et il dédramatise : 'Je te caresserai dans le sens du poil.' Ce que je ne lui dis pas, c’est que je n’ai jamais couché pour un soir . Ça, c’est mon challenge à moi."
Avec Julian, Marie découvre l’orgasme et prend confiance dans son corps. "Rire m’a mise à l’aise. Je me lâche comme jamais. Je pense d’abord à moi et le résultat ne se fait pas attendre : pour la première fois, j’atteins l’orgasme avec un homme." 
"Son 'waouh ' essoufflé de la fin me fait un bien fou. Après ? J’attrape mon avion pour la France, sans même avoir pris son numéro. On sait qu’on ne se reverra pas, mais je lui dois beaucoup."
"Grâce à Julian, je me sens à nouveau désirable et désormais, je sais que je peux avoir du plaisir . Aujourd’hui, j’ai un copain et, avec des sentiments, l’orgasme est encore plus puissant."
Laurène, 29 ans, a pu réaliser un fantasme : coucher avec le chanteur !
"Entre deux journées de séminaire à Lille, j’entre par hasard dans une petite salle de concert. Incroyable : sur scène, c’est un groupe de rock marseillais que j’adore."
"Je me faufile jusqu’au premier rang et le chanteur – un sosie de Jared Leto – me repère en deux secondes : je suis la seule à connaître les paroles. Je joue les groupies, je le mitraille de clins d’œil, je danse et il me mange des yeux."
"Le concert fini, il vient me voir, m’offre un verre, puis on saute dans un taxi jusqu’à son hôtel. Au moins, c’est clair. Je n’en reviens pas : je vais réaliser un fantasme de groupie !
Avec son chanteur, Laurène se fait une belle angoisse. "Arrivés à l’hôtel, on ne parle même pas, il ferme la porte de sa chambre et on se saute dessus. Bonne surprise : il est aussi doué au lit que sur scène, quand soudain, le préservatif craque."
"Je suis à jour de mes tests VIH et toi ? 'Tout est OK.' Je ne suis pas rassurée : c’était quand ta dernière fois ? Avec qui ? 'Hier avec ma copine.' Ah. Bon, ben moi je vais rentrer. Et je suis bonne pour un test." 
Julie, 25 ans, est transportée par son voisin de TGV.
"Dans le train pour Nice, je flashe sur mon voisin : des grands yeux noirs sous des boucles blondes. Timide, je me cache derrière mon livre de Mathias Malzieu. Le soir, à table, je reçois un texto et en le déchiffrant je manque de m’étouffer : 'J’espère que tu ne m’en voudras pas, j’ai noté le numéro inscrit sur l’étiquette de ta valise. Ton voisin de train.'"
"Le truc qui n’arrive que dans les films ! Deux heures plus tard, on se retrouve dans le centre de Nice pour boire un verre. Je réalise en arrivant que je ne connais même pas son prénom. 'Guillaume, enchanté.' Il est timide, comme moi, mais le courant passe bien."
"Tellement bien qu’on prolonge par un dîner, à deux rues de chez lui... 'Qu’est-ce que je suis en train de faire ?' je me demande en montant l’escalier jusqu’à son appart. Est-ce que j’ai vraiment envie d’aller plus loin ? 
Est-ce que j’ai vraiment envie d’aller plus loin ? 
Julie et Guillaume vont devenir amis. "Je l’embrasse, on se déshabille, mais au moment d’enfiler le préservatif, il débande et s’excuse : 'Je suis trop nerveux.' Pas grave, on finit la soirée devant un film."
"Dans ma tête, une petite voix dit : 'Ouf...'"
"On se revoit quelques jours plus tard. Alors qu’on s’embrasse, pas à l’aise, on part dans un grand fou rire. 'On lâche l’affaire ?' Oui, c’est mieux. Cette attirance que l’on a ressentie n’avait rien de sexuel : elle était amicale. Depuis, on est devenus les meilleurs amis !
Anne, 26 ans, rencontre Carlos lors d’un break avec son fiancé.
"Je sors avec Lucas depuis un an quand il m’avoue qu’ il a couché avec une autre . 'Mais je regrette… Et ça ne voulait rien dire.' Pour lui, peut-être, mais pour moi, la confiance est brisée."
"Je le quitte et je vais pleurer dans les bras de Lisa, ma meilleure amie. Lucas me manque à en crever, mais j’ai besoin de temps pour réfléchir. ' Et pour t’amuser !' ajoute Lisa."
"Trois semaines après, j’accepte de la suivre en soirée. Je ne connais personne, mais Carlos, un Espagnol à tomber, me prend par le bras et me présente tout le monde."
"Deux heures plus tard, j’ai oublié tous les prénoms, sauf le sien, on ne se quitte plus, on refait le monde sur un bout de canapé. 'On rentre chez moi ?' il propose."
"Le temps de prévenir Lisa, qui répond avec un grand sourire : 'Enjoy !' Moi, je flippe. Je viens d’une famille tradi, je n’ai eu que deux hommes dans ma vie, pas facile de me défaire de mes blocages ."
"Arrivée chez Carlos, je fais demi-tour : 'Je ne suis pas comme ça.' Deux semaines plus tard, je le recroise en soirée."
"J’ai eu le temps de fantasmer sur le souvenir du corps parfait de Carlos, je me lance et le suis jusqu’à son lit. Et j’ai aussi envie de me venger de mon ex infidèle ."
"Carlos est canon, et sous ses doigts, j’ai l’impression d’être une bombe. Je n’atteins pas des sommets de plaisir, mais je suis fière d’avoir osé."
"Deux jours plus tard, je vois Lucas. Il me sent distante et redouble d’efforts pour me convaincre de revenir. Je le laisse ramer, mais mon histoire d’un soir m’a apporté la réponse que j’attendais : Lucas est fait pour moi. Et maintenant, je suis prête à lui pardonner."
Mon histoire d’un soir m’a apporté la réponse que j’attendais : Lucas est fait pour moi.
Évelyne, 26 ans, prévient Gabriel qu’elle n’a pas envie de s’engager.
"Je rencontre Gabriel en soirée chez Camille, une amie commune. Il est mignon, on s’entend bien, mais quand il me propose de l’accompagner chez lui, je préfère être claire : je sors tout juste d’une relation de cinq ans et je n’ai qu’une seule envie, m’amuser."
"'Pour une fois qu’une fille est d’accord avec moi !' il répond enthousiaste. Caresses, préliminaires, changements de position… C’est sûr, je ne suis pas la première à passer entre les mains expertes de Gabriel. Je le laisse me mener vers le plaisir, la tête sur off, ça fait du bien."
La nonchalance d’Évelyne a séduit Gabriel, mais elle n’est toujours pas intéressée.
"Pour les câlins d’après, je passe mon tour. Je rentre chez moi. J’ai à peine marché 500 mètres que Gabriel me textote : 'J’aurais bien prolongé la nuit avec toi...' Je ne réponds pas."
"Le lendemain, nouveau texto : 'Tu fais la tête ?' Ouh là. Je désamorce l’affaire : 'Pas du tout, j’ai passé une belle soirée. Merci à toi.' Quand il renvoie 'Je t’embrasse fort, à très vite", je décide de ne plus répondre."
Mais quand Camille, notre amie commune, m’appelle pour me convaincre de lui laisser une chance, je m’énerve ! Comme quoi, tenir un homme à distance est le meilleur moyen pour qu’il s’attache. Je garde ça dans un coin de ma tête. Quand je serai prête pour une vraie relation.
Comme quoi, tenir un homme à distance est le meilleur moyen pour qu’il s’attache
Sarah, 31 ans, repère Rémi, un junior de son entreprise.
"Le soir de l’arbre de Noël de ma boîte, tous les collègues débarquent avec mari, femme et enfants. Je repère vite les célibataires : en dehors des vieux garçons, il y a Rémi, chef de projet junior."
"Le bémol : il a 23 ans, soit cinq de moins que moi. Ça ne le freine pas, lui, il m’aborde : 'Vous passez une bonne soirée ?' 'Je rêve ou tu m’as vouvoyée ?' Il rougit. C’est trop mignon."
"Le champagne aidant, il se décoince et m’invite à danser. Moi, j’ai les bulles câlines... J’en oublie son âge, et en fin de soirée, je lui dis cash : 'On va chez moi et je te préviens, ce n’est pas pour boire un verre.'"
"Après avoir enchaîné les trentenaires, je redécouvre avec plaisir la vigueur de la vingtaine. On s’éclate – trois fois ! –, on s’endort et le lendemain, chacun retourne au boulot comme si de rien n’était."
Sarah et Rémi sont ensemble depuis trois ans maintenant.
"Deux jours après, alors que je suis passée à autre chose, Rémi m’envoie un texto : 'Je t’invite à dîner demain soir.' Un prétexte pour remettre ça ? Même pas : quand j’arrive chez lui, le poulet sauce basquaise finit de mijoter." 
"En même temps que ses talents de cuistot, je découvre ses tableaux pop art et sa bibliothèque remplie de littérature coréenne. Ce garçon m’intrigue de plus en plus. Après le dîner, c’est presque naturellement qu’on fait l’amour."
"Le lendemain au réveil, on est toujours collés
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