Deux étrangères se font plaisir

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Deux étrangères se font plaisir

Cet article date de plus de neuf ans.


"Deux étrangers", le nouveau roman d'Emilie Frèche, se dévore plus avidement encore que le précédent ("Chouquette"). Aux côtés de la narratrice, le lecteur s'embarque pour un road-movie Paris-Marrakech, dans l'attente d'un rendez-vous avec un père haï, et peut-être adoré. Un pur délice qui mêle subtilement voyage, réminiscences d'enfance et interrogation sur la famille, la judaïté et l'altérité.



Publié le 08/01/2013 10:51


Mis à jour le 13/06/2013 11:25





























Emilie Frèche
(© Maurice Rougemont / Opale / Editions Actes Sud)



Familles, je vous hais ! Air connu et variation réussie.

Deux étrangers débute par le coup de fil d'un père demandant à sa fille de venir le voir d'urgence à Marrakech. Elise, qui a coupé les ponts depuis sept ans, déteste ce potentat domestique qui a tyrannisé sa mère, son frère, elle-même.

Elle a cru rompre les liens. Pourtant, alors qu'elle est séparée depuis un mois de son compagnon, elle va abandonner ses deux fils pour rejoindre le Maroc dans une vieille Renault 5, "seule chose qui lui reste de sa mère" , en un improbable road-movie.

Aventures cocasses et réminiscences d'enfance

Les étapes de ce voyage initiatique permettent à la narratrice de remonter le fil de sa mémoire. A la première personne, elle livre un récit où s'entremêlent aventures parfois cocasses, réminiscences d'enfance, réflexion sur son couple au bord de la rupture, sur la souffrance familiale et sur une judaïté pas toujours bien vécue.

Ainsi son père, juif d'Afrique du Nord, a t-il décidé "de s'appeler Amour" au lieu de Benhamou et épousé une askhénaze dont il ne supportait "ni la culture ni la nourriture ni l'humour" yiddish.

  "L'envie folle de le finir au pic à glace"

Ce despote familial, se souvient-elle, faisait régner la terreur jusque dans son impeccable Safrane où il ordonnait à ses enfants un silence total, sous peine de "leur en coller une" . Et sa fille, des années plus tard, de se rappeler du visage tremblant de sa mère, de "la voix obscène des animatrices radio et surtout" de son " envie folle de le finir au pic à glace".

Autobiographique, cette terreur ? Pas du tout, souligne la romancière. Et pour éviter toute confusion, réglons la question : il ne s'agit pas ici d'une autofiction scabreuse à la Christine Angot, mais d'une vraie construction romanesque qui se joue du lecteur, et le tient en haleine de bout en bout.

A travers ce personnage fictif, donc, Emilie Frèche s'interroge sur la transmission : pourquoi le personnage du père, dans le livre, est-il si incapable de tenir coorectement son rôle ? "Parce que lui-même n'a pas fait le deuil de son propre père" , tué d'une balle perdue pendant la guerre d'Algérie (anecdote, pour le coup, empruntée à l'histoire personnelle de l'auteure).

Ce deuil qui n'a pas eu lieu le transforme pour toujours en fils orphelin. Et en héritier d'une " guerre qui n'en finit jamais".

 " Comment on s'enracine sans terre ?"

Autre question taraudante du roman, autour de cet anti-héros juif et exilé : " Comment on s'enracine sans terre ? Quand on a une condition d'étranger, comment ne pas l'être à l'autre ?"

Des concepts lourds, que l'auteure, titulaire d'un DEA de philosophie politique, sait allèger d'une plume gourmande et sensuelle dans ce "page-turner" où les chapitres se dévorent, tant on brûle d'en connaître l'issue. 

Dans son sillage, le livre laisse bien plus que du plaisir : un questionnement subtil et l'attachement durable à son auteur.

Dans son prochain roman, Emilie Frèche mettra en scène un frère et une soeur. En filigrane et toile de fond : le thème de l'injustice. Injuste comme le talent de cette fabuleuse romancière.

Prix Orange du Livre 2013

Les internautes et le jury du Prix Orange du Livre ont élu Emilie Frèche pour son roman. Le public pouvait voter du 15 mai au 4 juin sur le site www.lecteurs.com et choisir parmi les six ouvrages sélectionnés par le jury, présidé par Erik Orsenna et composé d'Arthur Dreyfus, Colombe Schneck, Florian Zeller, Eric Reinhardt, Alain Schmidt, Anne-Sophie Thuard et de huit internautes, sélectionnés sur candidature.

Emilie Frèche succède à Fabrice Humbert (L’Origine de la violence, Le Passage), Jacques Gélat (Le Traducteur amoureux, Corti), David Thomas (Un Silence de Clairière, Albin Michel) et Arthur Dreyfus (Belle Famille, Gallimard), respectivement distingués de 2009 à 2012. Elle recevra une dotation de 15 000 euros.

Deux étrangers, Emilie Frèche
Actes Sud, 21 euros (en librairie le 9 janvier)


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Home Genre Animation Deux étrangers au bout du monde, si différents. Deux inconnus, deux anonymes...
Rédacteur en chef de Angle[s] de vue, Boustoune est un cinéphile passionné qui fréquente assidument les salles obscures et les festivals depuis plus de vingt ans (rhôô, le vieux...)
Il aime tous les genres cinématographiques, mais il a un faible pour le cinéma alternatif, riche et complexe.
Autant dire que les oeuvres de David Lynch ou de Peter Greenaway le mettent littéralement en transe, ce qui le fait passer pour un doux dingue vaguement masochiste auprès des gens dit « normaux »…
Ah, et il possède aussi un humour assez particulier, ironique et porté sur, aux choix, le calembour foireux ou le bon mot de génie…
En 2004, un film du nom de Harvie Krumpet remportait l’oscar du court-métrage d’animation et mettait en lumière le talent d’un cinéaste australien surdoué, Adam Elliot. Cette œuvre curieuse racontait la vie d’un homme « différent », un migrant polonais atteint du syndrome de la Tourette, légèrement attardé et particulièrement malchanceux. Un destin sordide fait de brimades, d’exclusion, de drames tragiques, de maladie, de folie et de mort, mais raconté avec beaucoup d’humour et de sensibilité, et véhiculant au passage un bel appel à la tolérance et au respect de l’être humain.
Le premier long-métrage du cinéaste, Mary & Max ,,est de la même veine, en plus abouti encore. Il relate la magnifique relation d’amitié épistolaire qui unit, deux êtres très différents, sur deux continents différents, mais ayant en commun le même de mal de vivre, le même sentiment de solitude.
Il y a déjà la petite Mary Daisy Dinkle, une gamine australienne de huit ans. Elle est mal dans sa peau, complexée par l’hideuse tache de vin de couleur brune qui orne son front, une silhouette un peu boulotte et d’épaisses lunettes. Elle n’a aucun ami, les autres gosses de son quartier l’ayant choisie comme souffre-douleur et lui infligeant brimades et humiliations. Pour couronner le tout, son environnement familial n’est pas des plus stables. Son père passe son temps enfermé dans son atelier pour s’adonner à son hobby favori, la taxidermie, et ne s’occupe donc pas du tout d’elle. Sa mère, dépressive est, elle, un peu trop portée sur le sherry. Pour tromper l’ennui, la jeune fille décide d’écrire à un inconnu.
Son courrier est reçu par Max Horowitz, un juif newyorkais de quarante-quatre ans. Il est obèse et souffre du syndrome d’Asperger, une forme particulière d’autisme qui le handicape dans sa vie sociale. Comme Mary, Max n’a pas vraiment d’amis. Juste une vieille voisine complètement miro, un chat en piteux état et un poisson rouge. Alors il n’a rien à perdre à répondre à la petite australienne qui, comme lui, aime le dessin animé « Les Noblets » et le chocolat et qui semble aussi perdue que lui face au monde qui l’entoure. Il entame ainsi une correspondance qui durera plus de vingt ans.
Les lettres qu’ils s’échangent par-delà l’Océan Pacifique sont chargées de naïveté, de tendresse, de propos futiles et de considérations curieuses, mais aussi de confidences touchantes et de réflexions profondes sur leurs vies respectives, sur les mutations profondes qui s’opèrent autour d’eux.
Mary et Max ne se connaissent qu’à travers leurs courriers, mais malgré l’éloignement géographique, malgré les différences d’âge et de préoccupations, ils se sentent plus proches l’un de l’autre qu’ils ne l’ont jamais été d’autres personnes. Ils se font confiance, ouvrent leur cœur et oublient, le temps d’une missive écrite ou lue, leur profonde solitude et leur morne quotidien. 
Evidemment, sur une aussi longue période, leur relation amicale sera parfois mise à rude épreuve. Certaines questions que Mary pose à Max sur l’amour et la sexualité provoqueront chez lui un certain embarras et pire, de violentes crises d’angoisse qui le mèneront aux portes de la folie. Et plus tard, quand la jeune australienne, devenue une spécialiste du syndrome d’Asperger, le prendra pour sujet d’étude, il se sentira trahi. De son côté, Mary sera profondément peinée des périodes où Max cessera sans explication concrète leur correspondance… Mais à chaque fois, l’affection qu’ils se portent l’un à l’autre sera la plus forte… De quoi mieux supporter les épreuves qui se dressent sur leur chemin. Et elles sont nombreuses…
Ce qui nous est montré au long de ces quatre-vingt dix minutes, c’est la vie et son cortège de grands bonheurs et de joies dérisoires, de rêves et de petits moments de gloire, mais aussi et surtout les moments douloureux, les désillusions, les trahisons, le décès de personnes proches, la maladie, le poids des années, la difficulté de trouver sa place dans la société… Chaque spectateur ne pourra que se sentir proche de ces personnages,s’identifiant partiellement à eux et se reconnaissant dans tout ce qu’ils doivent affronter.
Le tour de force d’Adam Elliot, comme dans Harvie Krumpet , c’est d’arriver à condenser l’existence de deux individus en un temps aussi bref, sans rien omettre de l’essentiel, et d’aborder nombre de sujets graves, existentiels, avec une légèreté qui laisse pantois. Car à lire le résumé de l’œuvre, on pourrait penser qu’il s’agit d’un film sordide et déprimant. Et pourtant, il n’en est rien. 
Bien sûr, l’œuvre dégage une certaine mélancolie, émeut et révolte même parfois. Et l’ambiance visuelle du film n’est guère joviale puisque le cinéaste a opté pour une quasi-absence de couleurs dans son film. Le New York de Max est tout en nuances de gris, noir et blanc. L’univers de Mary est à peine plus gai, rendu dans des tonalités sépia/ocre qui rappellent la couleur de sa tache de vin. La seule couleur autorisée à sortir de cette unité chromatique étant le rouge, couleur de l’amour, de la passion et/ou de la mort.
Mais Mary & Max , grâce à sa mise en scène inventive, précise et sensible, dégage une grâce infinie, une poésie aérienne, et véhicule une énergie communicative. On sent que le cinéaste s’est beaucoup investi dans son projet, qu’un lien intime, viscéral le rattache à ses personnages. Et pour cause : le film s’inspire grandement de la relation épistolaire qu’Adam Elliot a entretenue pendant plusieurs années avec un « aspie » newyorkais.
Chaque plan est donc ciselé avec une finesse rare, est saturé de tendresse, mais aussi d’un humour qui fait voler en éclat les préjugés, qui permet d’accepter les événements les plus graves. On suit avec plaisir et admiration les aventures de ces deux personnages en pâte à modeler presque plus expressifs que de vrais acteurs. Car techniquement, le film est aussi à la hauteur de ses ambitions. Pour parvenir à une telle précision dans les détails, nul doute qu’Elliot et son équipe ont abattu un travail considérable au cours des quatorze mois de tournage et des cinq ans de préparation qui les ont précédés…
Outre la finesse de son animation et la beauté de son design visuel, le film peut aussi s’appuyer sur un environnement sonore réussi. Son casting vocal, déjà, qui réunit Toni Collette (Mary), Philip Seymour Hoffman (Max) et Barry Humphries (le narrateur). Sa bande-originale, ensuite, qui mixe des airs connus revisités (dont une version angoissante de « Que sera sera (whatever will be)» par Pink Martini), des morceaux classiques et des compositions originales de Dale Cornelius.  
Et si cela ne suffisait pas à faire votre bonheur, cette fable sur la différence et les rapports humains vous propose aussi un petit jeu de références cinéphiliques. A vous de repérer les différents clins d’œil adressés à des films et des artistes majeurs – ou non – de l’histoire du cinéma. Par exemple, la silhouette d’une femme élégante traînant dans les rues de New York au petit matin fait immanquablement penser à Audrey Hepburn dans Diamants sur canapé ; une des scènes où Max tape sur sa vieille Underwood reprend la musique du sketch de la machine à écrire de Jerry Lewis ; dans une autre, il arbore un T-shirt « Save Ferris », hommage à Ferris Bueller, le personnage créé par le regretté John Hughes ; un hommage à Zorba le grec et bien d’autres citations encore…
Intelligent, subtil, beau, drôle, poétique, tendre, bouleversant, entraînant, rafraîchissant,… Les qualificatifs ne manquent pas pour décrire ce film admirable, mais ne peuvent en restituer la force. Alors dépêchez-vous d’aller rencontrer Mary & Max dans les salles obscures. Il s’agit, vous l’aurez compris, d’un chef d’œuvre… 
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Mary & Max
Mary & Max

Réalisateur : Adam Elliot
Avec les voix de : Toni Collette, Philip Seymour Hoffman, Barry Humphries
Origine : Australie
Genre : Pâte à modeler existentielle
Durée : 1h32
Date de sortie France : 30/09/2009
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entre deux filles, les gestes qui donnent du plaisir...
J'aimerais avoir plus d'infos sur les gestes qui font frissoner les filles... Alors pour vous c'est quoi qui vous donnent le plus de plaisir...avec une autre fille? bisous Donner moi vos expériences quelle soient bonnes ou mauvaises... merci d'avance  👋
ba alors les filles rien ne vous fais frissoner, les gestes sensuels comme je sais pas moi des bisous ds le cou, les mains sur le ventre... alé svp donné moi des idées! kiss
Suis tes envies, tout simplement 😍
Chacune a sa propre sensibilité... Et rien ne vaut la découverte du corps de l'autre...Découvre la et tu sauras...🙂
moi squi mdonne des frissons cest quand la fille descend tranquillement jusquau bas de mon ventre avec des tit bisous partout partout!! 🤪 et les bisous ds le cou aussi cest pas de refus!! 😍 mais sa dépend de chaque personne bien sure ,tu va vite savoir ce quelle aime!! 🙂 sa va faire combien de temps tu es avec ta copine maintenant kikou?? je te demande sa pcq jai suivie ton post de pres "amoureuse de ma meilleure amie" et jai vraiment aimer le dénouement! 🤩 chow!! 👋 
9a fait 1mois bientôt en fait j'ai peur de mal m'y prendre pour les bisous qui descende je le fais déjà... 😙 j'aimerais des idées histoir de voir... je sais que je ferais ma propre expérience ms ça m'aiderais d'avoir des conseils... gros bisous 
une histoire...ummm jai pas bcp plus dexperience que toi jai 15 ans moi aussi! 🙂 mais ques que tu vx savoir exactement?? ❓ précise et je te répondrai avec plaisir!! 😁 et puis pr les bisous qui descende tu dois pas etre si mal si sa fait deja 1 mois tu es avec elle 😉 loll bisou!!
Si tu fais ça avec envie et amour tu fais forcément ça bien 😉 Et puis d'ailleurs si tu t'y prenais si mal que ça je pense que tu t'en rendrais vite compte... J'ai l'impression que tu as déjà toutes les idées en tête, et que seule la peur te retient de les mettre en application 😏
ce que je veux savoir exactement? bon ok je me lance: Comment lui faire plaisir sans alé forcément au rapport sexuel...pas tout de suite en tout cas je me sens pas prête. Dés fois on s'amuse je lui enlève les boutons de son pantalon et sa fermeture, ou un moment je sortais de la douche et j'étais en soutif... en tout cas moi dés qu'elle descent... ça me donne la chair de poule et waou keske c bien 😙 keske je pourrais faire?
 oki...humm comment dire ce genre de choses sans parraitre grossiere...loll 🙂 ok ben je trouve que tu as vs êtes très bien partit toutes les deux!! ques que tu pourrais faire sans néceisserement aller a une relation sexuel...ben plein de chose 😛 si pas avoir de relation sexuel pour toi on px p-t rentrer la dedans " les seins" tu lui otes son chandail tu lui donne des bisous ds le cou(je sais jme répetes mais c tellement bon 🤪 ) tu descend tranquillement au limite de sa brassiere si tu te sent prete tu px lui oter et faire jouer ta langue sur le bout de ses seins...hummm a part de sa lui caresser la poitrine tu px meme lui caresser entre les jambes si tu vx sa ne mene pas neceisserement a une relation sexuelle..ah oui je sais!!! 😁 fait lui des chatouilles!! 🙂 tu tassis sur elle soit quelle est coucher sur le dos ou sur le ventre et tu lui fait des minouche sur tout le corp!! 😇 sa cest vraiment tres agréable!!! 🙂 jespere tavoir un tout tit peu aider 😓 bisous
a jtadore t tro kiffante comme fille! lol pour le cou du soutif, ça aussi j'ai déjà commencé 😙 enfait je v dormir ché elle vendredi et samedi soir... le truc ke kon fait ki est trop bien c ke je me met a cheval sur elle je lui bloque les bras en hauteur et je lui fait des bisous partout en
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