Deux variables dangereuses

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Deux variables dangereuses





Par Guillaume Promé le

26 Juil. 2020



‱ Risques et B/R




Danger : la cause d’un risque
Aléa : des dangers imprévisibles
Situation dangereuse : la situation qui expose les gens/l’environnement/la sociĂ©tĂ©/
 au danger.
Risque majeur : un risque dont le niveau est supérieur à un seuil que vous ( ou le contexte ) avez défini
Catastrophe : un risque incontrĂŽlable
Gestion des risques : toutes les Ă©tapes allant de l’identification jusqu’au suivi des risques, en passant par leur maitrise
Identification des risques : imaginer les risques qui peuvent survenir, cette identification est constamment mise Ă  jour
Estimation des risques : attribuer un niveau à chaque risque, en fonction de sa probabilité et de sa gravité
Évaluation des risques : Ă©valuer le « caractĂšre acceptable » des risques, en fonction des estimations et des critĂšres d’acceptabilitĂ© prĂ©alablement dĂ©finis
Maitrise des risques : toutes les actions mises en Ɠuvre pour rĂ©duire les risques identifiĂ©s. IdĂ©alement, les risques sont totalement prĂ©venus ( ils sont Ă©liminĂ©s ), sinon ils sont rĂ©duits en frĂ©quence et/ou en gravitĂ©.
Risques rĂ©siduel : le niveau d’un risque aprĂšs mise en Ɠuvre de toutes les mesures de maitrise
Communication : entre les différentes parties concernées, au service de la gestion des risques
Suivi : activités de surveillance, qui alimentent en permanence la gestion des risques


Voir en annexe des exemples d’échelles de probabilitĂ©, gravitĂ© et de niveau de risque, dans des contextes variĂ©s.
Par définition un risque représente un dommage qui « pourrait » survenir .
Ce couple de valeurs permet d’estimer un niveau de risque .
Notez qu’ un risque n’est pas une rĂ©alitĂ© physique , c’est un indicateur entiĂšrement dĂ©fini selon votre façon de voir les choses .
C’est un effet de la dĂ©finition du risque : le risque zĂ©ro n’existe pas . Qu’il concerne la probabilitĂ© ou la gravitĂ© le zĂ©ro annule le risque, qui devient un dommage impossible ou une possibilitĂ© sans dommage

La notion de risque connait deux phases de vie distinctes :
DerniĂšre subtilitĂ© : depuis que l’ISO 9001 est alignĂ©e Ă  la structure HLS , une nouvelle notion est utilisĂ©e dans le monde de la qualitĂ© : celle d’opportunitĂ© , un risque « favorable ».
Ceci permet de mettre en Ɠuvre des analyses par forces et faiblesses ( la mĂ©thode SWOT ) / par risques et opportunitĂ©s , mais cela ajoute surtout du flou Ă  la confusion.
Retenez qu’un risque favorable est un bĂ©nĂ©fice . On pourra le caractĂ©riser comme un risque , avec une probabilitĂ© d’occurrence et une importance de l’incidence positive ( Ă  l’image de la gravitĂ© d’un risque ).
Il faut dans un premier temps clairement définir les tùches à accomplir et établir les responsabilités :
La qualité de votre analyse dépendra directement de votre connaissance du contexte , il est conseillé de le décrire en spécifiant :
Cela passe nĂ©cessairement par une revue de l’état de l’art :
C’est lĂ  que les choses se compliquent, il faut estimer – au moins qualitativement si ce n’est quantitativement – des probabilitĂ©s et des gravitĂ©s , or :
En premiÚre approche les estimations sont clairement « à la louche », elles sont ensuite affinées avec les données issues :
La plupart des analyses sont rĂ©alisĂ©es avec des matrices, classiquement, une matrice 3×3 ( voire 5 × 5 ) donne un niveau de risque en fonction du couple gravitĂ©/probabilitĂ© , exemple :
L’idĂ©e est de dĂ©finir des mesures de rĂ©duction des risques. Beaucoup d’approches s’offrent Ă  vous, il faut nĂ©anmoins les appliquer par ordre d’efficacitĂ© :
C’est une des grandes subtilitĂ©s en gestion des risques : savoir quand arrĂȘter les maitrises . Les risques sont considĂ©rĂ©s suffisamment maitrisĂ©s quand
 vos critĂšres le disent !
L’approche thĂ©orique est dictĂ©e par les normes et les rĂšglementations, qui hĂ©sitent entre deux concepts :
En pratique la rĂ©duction se fait AFACP : “ As Far As Contextually Possible ” la maitrise s’arrĂȘte quand vous ĂȘtes conforme Ă  l’état de l’art . Notez que ceci pousse Ă  mettre Ă  jour la maitrise dĂšs que le contexte Ă©volue .
Vos risques ont été identifiés, un niveau de risque initial a été estimé pour le fun, vous avez réduit les risques AFACP, un niveau de risque résiduel a été estimé.
Et de conclure sur l’acceptabilitĂ© des risques.
L’acceptabilitĂ© doit ĂȘtre maintenue dans le temps , les activitĂ©s de surveillance assureront cela.
Il est capital de correctement choisir les indicateurs qui vont permettre de surveiller les risques connus et de dĂ©tecter les risques Ă©mergents. La dĂ©finition des indicateurs n’est jamais figĂ©e , elle Ă©volue avec votre comprĂ©hension des risques.Le risque observĂ© sera Ă  l’image des indicateurs choisis, avec tous les problĂšmes d’imprĂ©cisions, de biais et de mauvaises interprĂ©tation possibles.
Pour choisir les indicateurs de suivi , on considérera :
Des risques ayant pour cause des phénomÚnes naturels , qui peuvent créer des dommages pour la population, des équipements ou des ouvrages .
Ils sont gérés par les autorités et peuvent impliquer des acteurs privés.
Les risques sanitaires peuvent atteindre la population ( et/ou les animaux ).
Ces risques sont maitrisés par les autorités et au besoin par des acteurs privés.
Les risques sanitaires concernent historiquement les problĂšmes de contamination , mais ils sont aussi Ă©tendus aux technologies, aux risques naturels 

Un risque sanitaire devient une catastrophe sanitaire lorsqu’il n’est plus maitrisĂ©.
Exemple de situation dangereuses ( risques de contamination ) :
Catégories de risques sanitaires en santé animale en France :
Ces risques concernent essentiellement les patients , voire leur entourage et les professionnels de santĂ©. Ils peuvent survenir dans le cadre d’une prise en charge mĂ©dicale .
Ces risques sont à maitriser par les professionnels du secteur ( industriels et professionnels de santé ) sous la surveillance des autorités compétentes.
Statuer sur l’acceptabilitĂ© des risques mĂ©dicaux nĂ©cessite d’impliquer le patient.
Les risques professionnels peuvent impacter les salariĂ©s , ils sont maitrisĂ©s par l’employeur .
Ceci constitue une obligation légale (voir le code du travail ).
Les risques sont Ă  Ă©valuer selon un DUER dont la forme reste libre.
Les risques psychosociaux font partie de la famille des « risques pour la santé au travail ».
Ils dĂ©signent des risques de dommage physique ou psychiques , ils sont essentiellement causĂ©s par l’Homme , sur l’Homme.
Les risques technologies accompagnent l’innovation et peuvent impacter la population , ses infrastructures, son environnement.
En France, les risques technologiques sont maitrisĂ©s dans le cadre de PPRT : des Plans de PrĂ©vention des Risques Technologiques, notamment pour les risques d’inondation et les risques de sĂ©cheresse ( lien ).
Les risques numériques peuvent impacter des produits et/ou leurs utilisateurs , ils sont à maitriser par les concepteurs des solutions numériques.
De nos jours, l’accent est mis sur les risques de cybersĂ©curitĂ© de tous les domaines sensibles.
Exemples de dangers ( attaquants / pirates ) :
En France, l’ANSSI porte l’analyse des risques selon la mĂ©thode EBIOS.
Les risques sociaux sont extrĂȘmement larges, ils peuvent impacter la population et leurs causes sont trĂšs diverses.
Les risques financiers se traduisent par une perte d’agent , pour un individu ou un organisme, dans le cadre d’ opĂ©rations financiĂšres .
Les causes sont multiples, la maitrise est individuelle et, le cas échéant, assurée par les autorités.
Le monde de la gĂ©ographie parlera d’alĂ©a ( le danger ), et de facteur de vulnĂ©rabilitĂ© ( la vulnĂ©rabilitĂ© au dommage ).
Les alĂ©as pourront ĂȘtre naturels, causĂ©s par l’homme, par ses technologies

Ces risques affectent les relations entre les Ă©tats , ils sont le plus souvent causĂ©s par ces derniers, qui devront les maitriser. C’est le dernier niveau de risque, avant les risques climatiques.
Essentiellement causĂ©s par les activitĂ©s de l’Homme , ils impactent les populations, la faune, la flore et l’ensemble des Ă©cosystĂšmes .
Ces exemples sont donnés à titre informatif, chaque contexte utilisera sa propre échelle.
Guillaume PromĂ© : Fondateur de Qualitiso ‱ Expert dispositifs mĂ©dicaux et gestion des risques ‱ Auteur norme XP S99-223
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Fortes crues, endommage considérablement les maisons et les bùtiments urbains
Impacts lourds sur 10 000 000 personnes. Perte dĂ©finitive d’une
infrastructure critique.
DĂ©gĂąts irrĂ©parables peuvent ĂȘtre causĂ©s aux petites habitations.
Impacts lourds sur 1 000 000 personnes. Perturbation de l’économie nationale. Perte temporaire d’une infrastructure critique. Perte dĂ©finitive d’une infrastructure majeure
Dégùts sévÚres à irréparables aux habitations précaires
inondations prĂšs des cĂŽtes
Modification de la situation
financiĂšre
Impacts lourds sur 100 000 personnes. Perturbation de l’économie rĂ©gionale. Perte temporaire
d’infrastructure majeure.
Dégùts structurels aux maisons. Dommages importants à la végétation
Modification de la fréquence
des querelles avec le conjoint
Impacts lourds sur 10 000 personnes. Perturbation de l’économie locale
Dommages limités aux maisons mobiles, à la végétation et aux panneaux de signalisation
Accident bĂ©nin sans arrĂȘt de travail
Changement dans les responsabilités
au travail
Impacts lourds sur 1 000 personnes.
Beaucoup de pluie, dégùts négligeables
Changement dans l’exercice
d’activitĂ©s rĂ©crĂ©atives
Impacts lourds sur moins de 1 000 personnes.
Beaucoup de pluie, pas de dégùts matériels
Effet Ă©tendu sur la santĂ© et l’environnement
Niveau rouge : phénomÚnes
dangereux d’intensitĂ© exceptionnelle
Niveau 4 : agents dangereux ou exotiques avec un fort risque de dĂ©cĂšs et une transmission par l’air, ou les agents similaires dont le risque de transmission est inconnu
Rejet important susceptible d’exiger l’application intĂ©grale des contre-mesures prĂ©vues
Rejet limitĂ© susceptible d’exiger l’application partielle des contre-mesures prĂ©vues.
Niveau orange : phénomÚnes dangereux
Niveau 3 : agents indigĂšnes ou exotiques dont la contagion peut se faire par l’air et qui peuvent avoir des consĂ©quences sĂ©rieuses voire mortelles.
Rejet mineur : exposition du public de l’ordre des limites prescrites.
Exposition du public représentant une fraction des limites prescrites.
Niveau jaune : phénomÚnes dangereux ponctuels
Niveau 2 : agents associés à des maladies humaines dont la transmission se fait par blessure percutanée, ingestion, ou exposition à une muqueuse.
Contamination importante ou surexposition d’un travailleur.
Anomalie sortant du régime de fonctionnement autorisé.
Niveau 1 : agents ne causant gĂ©nĂ©ralement pas de maladie chez l’adulte en bonne santĂ©
Anomalie sans importance du point de vue de la sûreté.

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24. Feb. 2022 Les "déchets dangereux" contiennent, en quantité variable , des éléments toxiques ou dangereux qui présentent des risques pour la santé humaine et l'environnement. C'est pourquoi ils sont soumis à une réglementation particuliÚre pour leur gestion et leur valorisation. Chaque producteur de déchets se doit de caractériser et classifier son déchet.
Deux SÚvres Identifiés et évalués pour chaque département, les risques naturels et technologiques sont variables en fonction de nombreux critÚres géographiques, économiques, industriels et historiques. Il est possible d'en savoir plus en consultant le dossier départemental des risques majeurs (DDRM). Risques identifiés dans votre département
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Généralités sur les tests de comparaison de deux variables 1 Cas des variables quantitatives. Quelques exemples type 1.1 E et d'un traitement, d'une méthode... Exemple : Etude de l'e et de la consommation d'alcool sur les temps de réaction des conducteurs face à des situations dangereuses . ariablesV
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les critĂšres Ă©taient regroupĂ©s en 10 catĂ©gories thĂ©matiques : 1° rupture avec l'environnement d'origine et rejet du monde, 2° statut de l'obĂ©issance, 3° rapport Ă  la vĂ©ritĂ©, 4° « embrigadement » des enfants, 5° culture du secret, 6° sexualitĂ©, 7° rapport Ă  l'argent, 8° idĂ©es religieuses dangereuses , 9° dĂ©stabilisation mentale et 10° infiltration 

Langage du corps, parole, écriture, les trois stades de la langue sont représentés dans les Liaisons Dangereuses , en tant que tels, et combinés, intégrés à un langage dont ils constituent les modalités. Il est dangereux d'ignorer le code des correspondances : la premiÚre lettre le prouve.
défaillances dangereuses de ces systÚmes en utilisant la probabilité de défaillance dangereuse (PFD). Ce document se propose d'expliquer les différentes méthodes permettant de calculer la moyenne de la probabilité de défaillance dangereuse sur demande due aux pannes matérielles aléatoires (cas de la faible sollicitation). On expliquera aussi le calcul de la
La route du Karakoram reliant le Pakistan et la Chine est l'une des plus dangereuses au monde car c'est aussi l'une des routes pavées les plus hautes du monde. Les avalanches détruisent souvent des sections entiÚres, et c'est un chemin étroit à parcourir. De nombreuses zones n'ont que des monticules de pierre comme garde-corps.
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Nous jouons tous à essayer de prédire l'avenir et à juger le passé. Ce faisant, nous créons des équations mentales capables de nous donner des résultats. Cependant, lors de l'ajustement des paramÚtres et des circonstances, nous avons tendance à oublier une variable trÚs importante : les connaissances préalables.
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Notre esprit est fascinant. Il l’est dans son fonctionnement et aussi dans ses productions. Il est capable de se souvenir d’un Ă©vĂ©nement qui se produisit il y a des dĂ©cennies et d’oublier ce que nous fĂźmes deux jours auparavant. Notre esprit peut se fatiguer lorsque nous sommes attentifs, mais cela peut aussi automatiser un processus et nous laisser un espace pour en rĂ©aliser un autre en mĂȘme temps. Il est trĂšs douĂ© pour concevoir une Ă©quation pour prĂ©dire l’avenir. Mais il est aussi esclave de certains vices, comme le fait de ne pas connaĂźtre l’importance des connaissances prĂ©alables.
Il peut apprendre et dĂ©sapprendre, s’enthousiasmer et ressentir, gĂ©rer des motivations si puissantes qu’elles mettent de cĂŽtĂ© nos intĂ©rĂȘts au profit de ceux des autres. Il est capable de rester actif pendant que nous dormons et presque endormi lorsque que nous avons la sensation d’ĂȘtre Ă©veillĂ©.
Le 15 janvier 2009, le capitaine Chesley “Sully” Sullenberger et le premier officier Jeff Skiles pilotaient le vol US Airways 1549 de l’aĂ©roport LaGuardia Ă  l’aĂ©roport international Charlotte Douglas.
AprĂšs trois minutes de vol, Ă  une altitude d’environ 2 800 pieds (environ 850 mĂštres), l’Airbus A320 heurte une volĂ©e d’oies canadiennes, dĂ©sactivant les deux moteurs. La situation est critique. Les pilotes doivent prendre une dĂ©cision.
Il y a un besoin d’atterrir. Maintenant, oĂč ? L’aĂ©roport le plus proche est celui de Teterboro. Cependant, les pilotes prennent une dĂ©cision surprenante et controversĂ©e. Atterrir sur la riviĂšre Hudson.
RĂ©sulta: aucune victime. Le National Transportation Safety Board ouvre toutefois une enquĂȘte sur l’incident. Il effectue diffĂ©rentes simulations pour cela. Ils disent que si les pilotes avaient dirigĂ© l’avion vers Teterboro, ils auraient pu atterrir. Evitant ainsi la dangereuse manƓuvre d’atterrissage sur la riviĂšre.
Sully est le film, rĂ©alisĂ© et coproduit par Clint Eastwood, qui met un rythme cinĂ©matographique Ă  cette histoire. Tom Hanks se met dans la peau du capitaine Chesley “Sully” Sullenberger pour ouvrir la porte sur l’intimitĂ© du pilote. Sur l’angoisse de se sentir questionnĂ© malgrĂ© la voix de l’expĂ©rience qui lui dit qu’il a pris la bonne dĂ©cision.
Il doit nĂ©anmoins trouver un moyen de convaincre la commission du National Transportation Safety Board et mettre Ă  mal leurs simulations. Pour ce faire, il analyse l’équation et se rend compte qu’ils avaient oubliĂ© d’inclure une variable trĂšs importante. Les connaissances prĂ©alables.
“Personne ne nous a prĂ©venus, personne n’a dit que nous perdrions les deux moteurs Ă  une altitude infĂ©rieure Ă  celle de tout autre jet de l’histoire.”
Sully releva le dĂ©fi posĂ© par la commission en disant que, dans leurs simulations, ils ne prirent pas en compte le fait qu’ils savaient dĂ©jĂ  ce qui allait se passer. Qu’ils avaient des connaissances prĂ©alables trĂšs prĂ©cieuses
, alors que, cependant, pour eux, en la situation rĂ©elle, il s’agissait d’une circonstance totalement imprĂ©vue.
Dans les simulations, en essayant de recrĂ©er ce qui se passa, ils oubliĂšrent d’inclure le temps de rĂ©action. C’est-Ă -dire le nombre de secondes nĂ©cessaires pour recueillir des informations sur ce qui se passait et Ă©valuer les alternatives.
Acceptant ce raisonnement, la Commission proposa d’effectuer une nouvelle simulation avec l’inclusion de ce paramĂštre. Le rĂ©sultat fut celui de l’écrasement de l’avion contre un immeuble, comptant alors tous ses passagers au nombre des victimes. Ainsi, la technologie finit Ă©galement par donner raison Ă  “Sully”. Et Ă  enterrer l’ombre de suspicion avec laquelle il dĂ»t vivre jusqu’à ce moment-lĂ . Des secondes, des instants, qui
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