Deux types s'éclatent avec le cul d'une italienne pas farouche

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Deux types s'éclatent avec le cul d'une italienne pas farouche
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Récemment consacrées plus belles femmes d’Europe par un site de voyage, brunes charbonneuses, sensuelles et toujours apprêtées aux limites de la décence: les clichés sur les femmes italiennes ont la vie dure. D’autant qu’elles y prêtent souvent le flanc. Et si on faisait le tri?
Les clichés existant rarement sans raison, commençons par la plus connue mais sans doute pas la moins frappante des réalités sur la vie des femmes italiennes: elles vivent chez leurs parents. Plus précisément: quand elles ne sont pas fiancées.
Oui, quelque soit leur âge, les femmes italiennes n’ont aucun, aucun, aucun scrupule à retourner vivre chez leurs parents pour des semaines, des mois ou des années.
S’individuer? Couper le cordon, se loger, subvenir à ses besoins? Quel intérêt, quand maman (et papa) continuent de s’occuper de vous toute votre vie comme si vous aviez huit ans.
NDLR: cette stratégie d’évitement du réel et de refus de l’individuation est à l’origine d’au moins la moitié des comportements suivants
Le refus de s’assumer seule ne disparaissant généralement pas dans les larmes de l’angoisse post-séparation, vous ne les rencontrez généralement jamais en agence immobilière ou bien à leur banque à négocier un crédit, elles plient illico bagage pour la maison familiale ou bien, si l’espace (et l’ex) le permettent, continuent d’habiter le foyer marital à la seule condition de ne pas (trop) y inviter d’amants.
Chronologiquement le premier constat qu’il m’ait été donné de faire, les femmes italiennes n’attendent pas longtemps après avoir fait de vous le « bon cheval » pour vous surnommer de tous les noms de l’amour et de ses déclinaisons (amore, amorruccio, tesoro, tesoro mio), ce qui semblera complètement excessif à votre caractère de français pondéré, pour ne pas dire timoré en émotions.
et les autres s’appellent Antonella.
Connues pour une réputation assez abstraite de « fort caractère » que nul ne cherche généralement à approfondir ni à expliquer – surtout pas elles- mêmes -, le paradoxe de l’âme de la femme italienne réside dans l’étrange combo masculinité/féminité de ces filles en stilettos arpentant les petits pavés inégaux des centres urbains avec une maestria incompréhensible à leurs voisines transalpines.
Dotées d’une très forte féminité (d’où la tendance à dramatiser et à se comporter en princesses, nous y reviendrons) mais simultanément capables de monter frontalement au conflit, sensibles à la vitesse mécanique (à 2 ou 4 roues), et pas dépourvues d’intelligence manuelle, soit les goûts, facultés et propriétés habituellement reconnues aux hommes, nombreuses sont les femmes italiennes à posséder à leur insu l’ union sacrée de la Femme et de l’Homme « purs » . Occasionnant à la marge de nombreux conflits intérieurs. Qui ne se gêneront pas pour déteindre sur la vie à l’extérieur. Et donc sur vous. Conséquence:
S’il fallait choisir le pire défaut des italiennes ce serait probablement celui-ci: leur forte dose de féminité, de masculinité, et tous les conflits qui en découlent, font de la plupart d’entre elles des personnages de tragédie Grecque.
Les plus petites contrariétés prennent des proportions sans commune mesure avec leur importance dans le réel, aussi il est rare de s’ennuyer avec une femme italienne . Du moins tant que vous appréciez les cris, les larmes et les scènes de jalousie, et surtout tant que vous ne cherchez pas relativiser ses traumas. Traumas qui dans l’ensemble méritent la requalification en « soucis » et se résumant principalement à sa relation de compétition avec sa mère et/ou sa tante. Rappelons que l’Italie, nonobstant les difficultés économiques de l’après-guerre, sort néanmoins d’une séquence historique de 50 ans relativement privilégiée, où lui furent épargnées les affres de la mondialisation, de l’immigration de masse, de l’insécurité, etc.
A l’instar de ses consoeurs de la plupart des pays occidentaux, l’italienne n’échappe pas à la déferlante des valeurs du progrès (liberté, droit à l’avortement, vote des femmes, etc.), à l’unique différence qu’elle y opère une sorte de tri sélectif visant à n’en conserver strictement que ce qui l’arrange:
Leur construction mentale repose sur un subtil conglomérat de paradoxes que le petit français doit passer un certain temps à déconstruire avant de parvenir à « l’âme de l’Italie » (pas celle de Buitoni). Au premier lieu d’entre eux, celui qui pousse l’Italienne à réclamer à corps et à cris une modernisation / laïcisation / libéralisation, qu’elle se dépêche ensuite de fuir en se réfugiant derrière son petit doigt. Petit doigt matérialisé par le confort du schéma de la famille traditionnelle. Et à propos:
Autant là autant être clair: je n’ai jamais, jamais ja-mais rencontré une italienne éprouvant un quelconque intérêt pour son travail, quelle que soit sa catégorie sociale, et donc aucune qui s’opposerait à le troquer à terme pour une vie de famille où son quotidien consisterait à régner sur son petit foyer et à tenir la (les) maison(s).
Elles en sont gaga. Fille, mère, grand-mère, grand-mère, elles font de l’éducation des enfants leur fierté, leur absolue priorité, leur nirvana, le graal. Un nouveau né morve et rote à côté d’elles au restaurant? Elles ne peuvent s’empêcher de trouver ça merveilleux et de retomber en enfance pour aller lui voler des câlins dans le feu de l’action.
Et si elles vous proposent de partager l’addition, c’est pour vous signifier de façon cristalline qu’il ne se passera jamais rien entre vous, fussiez-vous le dernier humain sur la planète.
Corollaire de leur feuille de route, de leur éducation (la mamma ne se limitant pas à faire de très bonnes pâtes, mais leur expliquant également l’intégralité des astuces et stratégies pour s’attacher à vie les services d’un homme prêt à travailler pour leurs besoins jusqu’à son dernier souffle, le peuple Italien ayant déjà été exclu, pas une suite de réformes en cascade, du concept de « retraite » tel que nous le connaissons encore en France), mais aussi d’une compétition entre copines pour dénicher le « bon cheval », la vision de l’Italienne d’un flirt avec un homme (italien ou pas) ne souffre guère de discussion: l’intégralité des frais associés directement ou indirectement à la sortie avec une femme italienne vous revient. Indépendamment de ses revenus à elle, indépendamment des vôtres. Ce qui est à vous est à elle, ce qui est à elle est à elle + ses enfants. Ça s’appelle se comporter en gentleman.. L’idée même de contester cet « acquis culturel » vous affublera dans la seconde du sobriquet de tirchio (radin),vous disqualifiant par la même ad vitam dans la course aux femmes italiennes .
Raisonnement qui s’applique non seulement à l’échelle individuelle, mais aussi aux groupes: quand elles vous proposent que des « amies » vous rejoignent, elles pensent vous faire un faveur, presque un cadeau: celui d’être vu en présence de jolies femmes à votre table. Prix du cadeau: vous règlerez l’intégralité de leurs dépenses (cigarettes comprises)
Si elles se comportent ainsi, c’est avant tout qu’elles peuvent se le permettre. Dans la société Italienne, les sédiments de la noblesse argentée subsistent partout. Leur 1789 à eux, c’est le milieu des années 50. Du XXème siècle. Autrement dit, c’était hier.
Le centre de Rome, Florence, Naples, est littéralement rempli de descendants, grands neveux et petits cousins des familles où se concentrent, depuis plus de 500 ans, bien culturels, immeubles et exploitations terriennes. Et même si un grand démembrement est en cours (descendance, disputes, revente à la découpe ou appartements loués au noir sur airbnb ), ces gens vous rappellent tous les jours le postulat de Piketty: le capital s’enrichit plus vite que le travail.
Concrètement, si un couple de bobos-parisiens, avec son 10-12k€ de revenu mensuel et son appartement du Marais de 90m2 acheté à crédit, pense avoir la grande vie, ici la grande vie c’est 200-300m2 dans le centre de Rome avec 5m sous plafond (appartement hérité de père en fils comme il se doit), et vivre du revenu de 4 ou 5 autres biens en location à Florence, Milan, Venise ou encore dans les pouilles. Une autre vision de la relativité.
Conclusion provisoire: entrepreneur, salarié, profession libérale, quel que soit votre revenu, si vous n’êtes fils de personne, ici vous êtes « pauvre » (et relativement anormal).
En tous cas pour une relation sérieuse, l’intégralité de votre patrimoine (actifs, passifs, bien familiaux) sera passée au peigne fin. Parfois, pour les moins observateurs, à votre insu.
Au cas où vous l’ignoreriez, la mode du hipster n’est pas encore arrivée en Italie. Contrairement à Paris centre, le mec « cool » n’a pas un physique androgyne, un accent américain, une chemise boutonnée jusqu’au menton et des préoccupations de tapette (mode, antiquité, galerie d’art).
Les codes de l’élégance « académique » (souliers, pantalon, veston ajusté et pochette colorée) font toujours forte impression dans la plupart des milieux et vous pré-valideront aux yeux des italiennes de toutes provenance sociale.
Hors de Naples et de ses faubourgs (qui ressemblent comme deux gouttes d’eau à ceux de Marseille), l’insécurité est encore un phénomène marginal, aussi une femme italienne osera t-elle vous regarder effrontément dans la rue sans baisser les yeux, si vous lui plaisez ( ndlr cela explique aussi probablement la pénétration tardive des sites de rencontre ).
Quant au cliché du dragueur de rue invétéré accoudé à chaque feu rouge, soyons honnête, je n’en ai encore jamais rencontré et il me semble tenir plus de la légende urbaine que d’une quelconque constatation empirique.
Si elles socialisent relativement facilement, et connaissent l’existence des sites de rencontre (voire les pratiquent), dans la réalité elles n’envisagent rien de sérieux avec quiconque n’a pas été contrôlé, validé et revalidé par sa fameuse « famille élargie ».
Son mode de vie basé sur la famille élargie et le réseau rend le multiple dating disqualifiant, aussi l’italienne prend elle soin de rappeler à qui veut l’entendre qu’elle n’envisage de relation qu’exclusive et s’interdit de cumuler les mandats.
C’est aussi probablement pour la même raison qu’elle ment effrontément sur le nombre de ses relations passées, le chiffre magique s’arrêtant toujours miraculeusement à « 3 ». Sans plus de détails.
Les hommes italiens leur en font tout le temps. Ça leur devient vite aussi naturel que l’air ou que l’eau. Elles vous feront immédiatement remarquer si/que vous n’en faites pas suffisamment. Elles en ont besoin.
Corollaire du point précédent, elles éprouvent en permanence le besoin de se rappeler au bon souvenir de leur cour de prétendants. Ce qui se manifeste par une dépendance maladive à l’iPhone, à facebook et à ces selfies pris en voiture au feu rouge, qu’elles uploadent la journée durant afin de compter le soir venu combien de likes ceux-ci leur ont récolté.
Il semblerait que les campagnes de prévention sur les cancers de la peau et le vieillissement prématuré ne soient jamais arrivées en Italie du Sud. Sicile, Sardaigne, même combat: plein été, plein midi, plein soleil, et tant pis si à 50 ans elles ont l’air d’en avoir 75, et une peau de noix de coco.
Du moins dans les deux tiers Sud du pays. Ce que vous voyez comme une tentative de se défausser (et donc un signe de désintérêt ) est en réalité une manie très italienne (du Sud) de remettre au lendemain toute forme de confirmation et/ou d’engagement, donnant ainsi l’impression qu’elle s’en fout. En réalité, vous êtes dans sa tête depuis plus d’une semaine, elle aime simplement la sensation de liberté que lui donne la confirmation du rdv au dernier moment .
Les reconnaissez-vous dans ces 15 traits de pinceau? Partagez-ici vos expériences, en commentaire.
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Je suis italienne de mon papa et française de maman. J’ai ris ! je me suis tellement reconnu que j’ai éclaté de rire. C’est drôle et dramatique à la fois…. si cet article ne vous plait pas. Vous êtes soit jaloux, soit vous ne connaissez pas vraiment….. Les italiennes évidement il y a toujours des exceptions mais les généralités existent bien !
Merci pour cette vidéo très rafraichissante.
La « Femme Japonaise » est à l’Asie ce que la « Femme Italienne » est à l’Europe , la Femme Russe étant la réunion des 2 continents. (pour ce que je connais)
A mon tour je dirais que pour s’approcher de l’une de ces 3 espèces rares et impénétrable, il faut forcement une connaissance anthropologique et culturel du sujet.
Mais avant de voir l’invisible , il faut préalablement savoir qu’il existe et réussir à l’approcher ne pas dire pouvoir vivre à ces cotés.
Il n’existe qu’un seul moyen pour parvenir à touché l’insaisissable ..! C’est de vivre comme « HOMME », si le devenir demande beaucoup d’effort, le rester en demande encore plus.
Aujourd’hui 2 avril 2022, qui est prêt à de tel efforts ?
Malgré les explications claires et la tenu exemplaires de l’auteur, lire certain commentaire en dessous, nous laisse comprendre pourquoi une partie du monde veux se séparer de cet occident malade. Une certaine idée du monde à disparu et Homme et les Femmes avec.
Renaitra-t-il ailleurs..!? ..(peut-être entre Italie et Japon)
Gréggory
Après de longues années de mariage avec une italienne du sud, je suis obligé de reconnaître que bon nombre de points son en adéquation avec ce que j’ai vécu de la belle italienne du sud. T’as une bombe et le package qui va avec. Tu mangeras toujours bien, mais souvent pas que avec elle…Good luck guys.
J’ai jamais lu autant de FAUX clichés en un sol article!!
Bonjour,
J’ai toujours adoré d’être en couple avec une italienne, elles m’attirent beaucoup par leur beauté extraordinaire, cheveux longs noirs, yeux marrons ou verts. Mais je n’ai pas encore l’occasion de me rendre sur place, et pourtant Lyon-italie c’est à côté. C’est parti je vais programmé un voyage pour les prochains jours.
Avez-vous des choses à régler avec des femmes italiennes ?
Car la question née spontanément…
Vous avez pas honte des choses que vous dites ? Rien de ce que vous dites est vrai et puis, généraliser autant de clichés sans fond…
Pauvre mec…
Merci beaucoup pour ces informations précieuses qui m’aident à comprendre la femme italienne.
Cet article est une honte. rien à ajouter.
Mdr, un beau ramassis de clichés et on ressent bien que l’auteur est un gros frustré qui se défoule tout en laissant transparaitre son obsession malsaine envers les italiennes (cf les photos de femmes sans soutif…franchement faut avoir 12 ans pour faire ce genre de remarques). Malheureusement pour lui les italiennes ne sont pas des petites poupées sexuelles stupides et capricieuses. Et non, si t’as pas reussi a leur plaire cest pas parce que tu es pauvre, cest parce que tu es con. Et non l’italie n’est pas un pays qui a été ou qui est privilégié par rapport a la France, quelle audace de dire ça…Et si vraiment, les femmes italienns que tu as rencontré correspondaient a la description que tu viens de faire…cest probablement que tu recherches les connasses. Generalement une bonne personne attirera des bonnes personnes, et il y a de gens bien et intelligents partout dans le monde. Mais bon si tes critères de recherche sont « du drama et pas de soutif » cest sur que ca va etre ecomplexe de faire ses belles rencontres.
je pense que l’auteur de cet article à dû prendre quelques râteaux avec des italiennes et la, c’est la vengeance .
Je suis d’origine Italienne, j’ai une famille très hétéroclite malgré ça, la famille de mon père est d’origine france/belgique/ecosse et celle de ma mère Italie/france/pied-noir. Physiquement, j’ai tout hérité quasi du côté italien, et en fait… pas seulement visiblement ! J’ai toujours été très intense pour tout et je corresponds à beaucoup de ces critères, excepté peut-être que je ne travaille pas mais que par contre, je donnerais tout pour avoir un emploi. Mais visiblement, mon intensité d’italienne ne plait pas beaucoup en belgique ou en france….
je voudrais une femme italienne
nom:Niyungeko égide
pays:Burundi
ville:Bujumbura
watsap:+25769071082
email : egniyu@gmail.com
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J ai bien rigolé perso, surtout le truc qui parle de quand elles paient, c est a dire pour eriger une montagne entre elle et lui.
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