Deux superbes blacks pour moi tout seul

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Deux superbes blacks pour moi tout seul
ArchivĂ© de: Lettres Gay – NumĂ©ro 95
Date de parution originale: Novembre 1998

Date de publication/archivage: 2017-12-06

Auteur: Éric
Titre: Avec deux blacks et un caméscope
Rubrique: Sexe, photo & vidéo
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant Ă©tĂ© publiĂ©s au fil des ans, Ă  titre d'archive, notre but premier Ă©tant que la littĂ©rature homo-Ă©rotique se prĂ©serve au fil du temps. Si vous ĂȘtes l'auteur de ce texte ou si vous dĂ©tenez des droits lĂ©gaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans dĂ©lais.
Ce texte a été lu 6620 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Beaucoup de gays refusent la vie de couple. Vivre Ă  deux, c’est pour eux, synonyme de routine sexuelle et donc d’ennui. Moi aussi, je l’ai longtemps pensĂ©. Il me fallait aller de l’un Ă  l’autre, comme un papillon insatiable qui ne veut butiner que des fleurs nouvelles Ă  chaque fois. Je multipliais les expĂ©riences et n’acceptais pas de revoir mes partenaires d'un soir.

Aujourd’hui, j'ai quarante-et-un ans et je viens de tomber amoureux! Amoureux d’un garçon de vingt-quatre ans, Arnaud. Heureusement pour moi, c’est rĂ©ciproque et lui aussi Ă©prouve un sentiment trĂšs fort pour moi. Notre entente sexuelle est parfaite, ce qui ne gĂąche rien.

Nous essayons de diversifier nos plaisirs. Nous baisons lĂ  oĂč l'envie nous prend, voiture, porte cochĂšre, parking, chiottes de bar... Arnaud est trĂšs cĂ©rĂ©bral. Il aime que je lui raconte une histoire, que j’invente un scĂ©nario pour lui. Style: il est encore puceau et moi, je lui apprends tout, ou bien, je suis un mĂ©decin pervers qui l'examine intimement avant de le sauter... DerniĂšrement, nous avons voulu profiter de son cĂŽtĂ© exhib, et nous avons achetĂ© un camĂ©scope. J’ai pu le filmer. Faire un petit porno en amateur, en quelque sorte! Je bandais comme un fou et j’ai dĂ» Ă©courter la sĂ©ance pour lui sauter dessus. Tout en le baisant, je lui ai avouĂ© que ma vĂ©ritable envie Ă©tait de le filmer en train de s’envoyer en l’air avec d’autres mecs. Ça faisait dĂ©jĂ  longtemps que j’en rĂȘvais, mais je n’avais encore jamais osĂ© lui en parler. Je voulais le filmer dans des rapports hyper-hard avec des mecs fortement membrĂ©s, et, si possible, Blacks.

À mon grand soulagement, ça ne lui a pas posĂ© de problĂšme! Il Ă©tait d’accord. Alors je suis allĂ© draguer pour lui. J’ai fait quelques saunas Ă  la recherche de superbes Ă©talons bien foutus, des salles de muscu, des bars gay et tous les coins de drague que je connaissais sur Lyon. J’ai fini par lui trouver enfin un ravissant mĂąle martiniquais, JoĂ«l, un MĂ©tis dotĂ© d'une bite de 21cm, et Abdou, un danseur sĂ©nĂ©galais, fĂ©lin et longiligne et dont l’engin mesurait 16 au repos et 22 au plus fort de son Ă©rection!

J’ai invitĂ© mes deux athlĂštes, un samedi soir. Pour assurer l’ambiance, Arnaud jouerait les soubrettes dociles. Je le voulais, juste vĂȘtu d’un string noir en cuir. C’est lui qui nous a servi Ă  boire alors que nous Ă©tions tous installĂ©s dans le salon. J’ai commencĂ© Ă  filmer alors que JoĂ«l et Abdou buvaient leur verre et palpaient tour Ă  tour les fesses d’Arnaud. Sa queue Ă©tait dĂ©jĂ  toute gonflĂ©e sous son string ficelle, prĂȘte Ă  se glisser sous l’élastique pour s’ériger sur son ventre. Il provoquait les deux Ă©talons en se tortillant devant eux. Puis il s’est assis Ă  cĂŽtĂ© de JoĂ«l et a commencĂ© Ă  lui palper les couilles et la bite Ă  travers le pantalon.

— Alors? Il paraĂźt que l’on m’a gĂątĂ© ce soir! On peut voir?

Arnaud a dĂ©fait la braguette de JoĂ«l et a plongĂ© sa main Ă  l’intĂ©rieur pour extraire une pine volumineuse qui n’était pas encore en totale Ă©rection. AussitĂŽt l’engin s’est mis Ă  gonfler et Ă  se raidir entre les doigts habiles jusqu’à atteindre des dimensions impressionnantes. Il a continuĂ© un moment Ă  la branler, et pour finir a donnĂ© quelques coups de langue goulus sur le gland. Puis il est venu s’agenouiller devant Abdou en susurrant:

— Et celle-là? Elle est aussi belle?

Abdou, lui, bandait dĂ©jĂ  Ă  fond. Arnaud a dĂ» dĂ©faire complĂštement le pantalon pour dĂ©gager la pine noire et encore plus longue que celle de JoĂ«l. Je filmais en variant les plans et en actionnant le zoom de mon camĂ©scope. Arnaud est restĂ© Ă  genoux sur la moquette mais cette fois, il s’est placĂ© entre JoĂ«l et Abdou. Il a empoignĂ© leur bite et tout en les branlant, il s’est mis Ă  les pomper tour Ă  tour.

C’était fascinant de voir sa bouche avaler presque entiĂšrement ces deux pines phĂ©nomĂ©nales. Je sentais Arnaud trĂšs excitĂ© et prĂȘt Ă  tout. C’est lui qui a prĂ©fĂ©rĂ© passer dans la chambre. LĂ , JoĂ«l et Abdou se sont complĂštement dĂ©shabillĂ©s et sont venus se poster devant Arnaud qui Ă©tait assis sur le rebord du lit. J'ai pu faire de nouveaux plans de pipes, de lĂ©chage de couilles. Arnaud s’est amusĂ© Ă  frotter sur ses seins les deux glands, humides et brillants de salive, avant de les pomper Ă  nouveau. J’avais de quoi ĂȘtre satisfait du porno amateur que j’étais en train de tourner! Je n’avais pas Ă  guider Arnaud, c’est lui qui prenait toutes les initiatives. Je le filmais de prĂšs pour bien voir sa langue s’agiter sur les deux tiges, et sa bouche avaler tour Ă  tour les deux pieux. Il a Ă©galement lĂ©chĂ© le cul de ses deux amants d’un soir avant de se placer Ă  quatre pattes sur le lit. Il a Ă©cartĂ© ses cuisses, bien cambrĂ© ses fesses et a commencĂ© Ă  se prĂ©parer tout seul pour se faire enculer, mouillant ses doigts dans sa bouche et les passant entre ses fesses alors qu’ils Ă©taient inondĂ©s de salive. Il s’est enculĂ© avec son index et a ensuite ajoutĂ© son majeur pour mieux s’ouvrir.

C’est JoĂ«l qui s’est proposĂ© de l’enculer le premier. Il est venu s’agenouiller derriĂšre Arnaud. Abdou, lui, a empoignĂ© les fesses de mon jeune amant pour les prĂ©senter. J’ai demandĂ© Ă  JoĂ«l de s’enfoncer trĂšs lentement. Mon camĂ©scope se trouvait Ă  quelques centimĂštres de sa bite et j’ai pu filmer son gland pĂ©nĂ©trer lentement le cul distendu d'Arnaud, puis toute la hampe noire et raide qui a disparu jusqu’aux couilles avant de rĂ©apparaĂźtre Ă  nouveau. C’était superbe! La bite de JoĂ«l rencontrait de moins en moins de rĂ©sistance, les va-et-vient se faisaient plus faciles et plus rapides. Arnaud gĂ©missait et ondulait des hanches pour venir s’empaler sur le pieu qui le dĂ©fonçait. Au bout d’un moment, Abdou est venu se placer Ă  genoux sur le lit, juste Ă  cĂŽtĂ© du visage d'Arnaud pour se faire pomper.

À partir de lĂ , les choses ont complĂštement dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©. Il m’aurait fallu plusieurs camĂ©ras judicieusement placĂ©es pour ne rien rater! JoĂ«l n’a pas joui dans le cul d'Arnaud et Abdou est venu le remplacer. Ils l’ont fait changer de positions Ă  plusieurs reprises, s’arrangeant toujours pour que mon jeune amant garde une bite dans la bouche et l’autre dans le cul. Ils ont commencĂ© Ă  l'insulter, Ă  le traiter de chienne, de pute, de salope... Ils se sont mis Ă  le fesser Ă  grands coups de claques, Ă  lui travailler le bout des seins sans mĂ©nagements et Ă  l'enculer de toutes leurs forces. Arnaud n’a pas pu rĂ©sister Ă  un tel traitement, il a Ă©tĂ© le premier Ă  jouir. Ce qui n'a pas empĂȘchĂ© les deux autres de ne lui laisser aucune seconde de rĂ©pit... De mon cĂŽtĂ©, j'essayais de varier les plans, de trouver les plus bandants ou ceux qui en montraient le plus.

Mais Ă  mon tour, j’ai craquĂ© et ai dĂ©laissĂ© mon camĂ©scope pour rejoindre le trio et baiser, moi aussi, le petit cul bien ouvert de mon mec. La soirĂ©e s’est terminĂ©e trĂšs tard, le sperme a coulĂ© Ă  flots et le film est plutĂŽt pas mal, malgrĂ© des dĂ©fauts d'Ă©clairage. Je me mets tout de suite Ă  bander chaque fois qu’on se le repasse, Arnaud et moi. Nous avons l’intention d’en rĂ©aliser d'autres, dans d’autres dĂ©cors et dans de nouvelles situations avec un scĂ©nario Ă  l'appui. Mais il nous faudra un camĂ©scope plus performant. Ce sera notre prochaine dĂ©pense...


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Valérie pensait que le plaisir n'était pas fait pour elle.
SEXE- Mariée à un homme depuis des années, Valérie n'a eu son premier orgasme qu'à 35 ans... Dans les bras de sa voisine.
Les propos de cette histoire ont été recueillis par la rédaction de Elle.fr et retranscrits à la premiÚre personne.
Les premiĂšres lueurs du jour me rĂ©veillent doucement. Le corps engourdi, mais Ă©trangement apaisĂ©, je flotte entre le rĂȘve et le sommeil. J'ai mal au crĂąne, j'ai un peu trop bu la veille. Des images de Marie me reviennent : Marie qui pleure, puis Marie qui sourit ; Marie qui a les yeux qui brillent, Marie qui est jolie ; Marie qui joue avec mes bracelets, Marie qui vient se blottir contre moi... Toutes les deux sur le canapĂ© du salon. Une bouteille vide sur la table basse. Des braises dans la cheminĂ©e. Je ne sais plus quelle heure il Ă©tait quand ça a basculĂ©, ni comment ça s'est passĂ©, ni qui a commencĂ© rĂ©ellement. Je revois juste nos corps nus, fĂ©briles, ma bouche cherchant la sienne, ses mains serrant les miennes. Marie et moi avons fait l'amour, toute la nuit. Aussi simplement et naturellement que ça. Aussi formidablement que ça.
Pour la premiĂšre fois de ma vie, j'ai joui. Pourtant, je suis hĂ©tĂ©ro, je le sais. Et, mĂȘme lĂ , je n'en doute pas. En revanche, moi qui croyais que les joies du sexe Ă©taient rĂ©servĂ©es aux autres... Ce matin-lĂ , troublĂ©e et heureuse de l'ĂȘtre, j'ai su que je m'Ă©tais trompĂ©e. Moi aussi, je pouvais.
J'ai grandi dans une famille oĂč le sexe n'Ă©tait pas tabou : il n'Ă©tait pas, voilĂ  tout. Mes parents, artisans, bossaient comme des fous pour joindre les deux bouts, et seul le travail avait de la valeur Ă  leurs yeux. Je ne les ai jamais vus se dĂ©tendre, goĂ»ter le bonheur d'ĂȘtre Ă  deux, encore moins s'embrasser. Pas une marque de tendresse entre eux ; pas plus pour nous, leurs enfants. D'ailleurs, ma mĂšre ne nous lavait pas, elle nous briquait. Quand j'ai eu mes rĂšgles, elle m'a giflĂ©e : chez ses parents, paysans, c'Ă©tait la tradition, paraĂźt-il. En revanche, pas un mot sur mon corps qui change ou sur la pubertĂ© qui me tombe dessus... Ma grand-mĂšre, catholique pratiquante, vivait chez nous. Avec le recul, je pense que c'est sa duretĂ© qui Ă©touffait tout ce qui aurait pu ressembler Ă  du plaisir ou Ă  de la sensualitĂ©.
Une premiĂšre fois, ni bonne ni mauvaise
Au lycée, j'ai eu la chance de vouloir suivre une option qui me contraignait à partir en internat. Loin des miens, j'ai découvert un monde que je ne soupçonnais pas. Mes nouvelles amies se racontaient le soir, sous la couette, comment elles avaient dragué celui-ci, embrassé celui-là... Et elles ne brûlaient pas en enfer pour autant ! Alors j'ai voulu essayer. C'était la boum de fin d'année, j'étais en seconde, lui terminait son CAP, mais il était plus ùgé et plus expérimenté que moi. Il m'a invitée à danser et m'a embrassée. Plus précisément, il a enfourné sans aucun préalable sa langue dans ma bouche. Une limace aurait été plus appétissante. J'ai détesté et me suis enfermée dans les toilettes pour le reste de la soirée.
Les mois passent, mon corps se transforme. Tant que je vivais chez mes parents, il se faisait, lui aussi, trĂšs discret. Mais l'internat lui fait du bien et me voilĂ  nantie d'une belle poitrine et de fesses rebondies. Les garçons du lycĂ©e s'intĂ©ressent Ă  moi, ça me met mal Ă  l'aise. Le regard noir de ma grand-mĂšre me l'a fait comprendre : j'ai raison d'avoir honte de mes formes. Mes copines, elles, me chahutent, me poussent Ă  mettre des jupes, Ă  me maquiller. J'envie leur lĂ©gĂšretĂ©, leur audace. Alors, quand elles me proposent de me joindre Ă  elles pour fĂȘter notre bac au bord de la mer, je fonce. À l'usure, je convaincs mes parents de me laisser partir. Officiellement, on travaille pour une association qui offre des vacances Ă  des enfants dĂ©favorisĂ©s. Mais, quand les petits sont couchĂ©s, c'est la fĂȘte pour les animateurs.
Un soir, je dĂ©cide qu'il est temps de sauter le pas. Je prends l'un de mes camarades par la main et l'entraĂźne vers la plage. Pas anxieuse, dĂ©terminĂ©e : il me paraĂźt inconcevable d'entrer vierge Ă  la fac. Ma premiĂšre fois n'est ni une bonne ni une mauvaise expĂ©rience. Je ne ressens pas un gramme du plaisir promis par mes copines, mais je me dis que ça viendra. Évidemment, de retour au camping, je fais comme elles et clame que j'ai joui Ă  pleins poumons.
Il se préoccupe seulement de son plaisir
Les annĂ©es de fac, de ce point de vue-lĂ , ne sont pas celles que j'espĂ©rais : on ne change pas une Ă©quipe qui perd. L'amour, le sexe et moi, ce n'est toujours pas ça. J'ai honte en famille de paraĂźtre trop libĂ©rĂ©e ; honte avec mes amies de paraĂźtre trop coincĂ©e. RĂ©sultat, je ne parle de mes doutes Ă  personne. Est-ce normal de ne pas aimer telle ou telle caresse ? Le jour oĂč j'aurai un orgasme, je le saurai ? Et comment fait-on pour en avoir un ? Mais vous, jouissez-vous vraiment Ă  chaque fois ? Ces questions me taraudent. Faute de pouvoir les poser, j'Ă©vacue une partie du problĂšme (la rencontre amoureuse) en me mariant avec le premier venu.
Il s'appelle Sylvain, il est flic, assez beau, et je me convaincs qu'il me plaĂźt. Et que les hommes, les vrais, ne font pas de maniĂšres. Lui, visiblement, elles ne l'embarrassent pas. PassĂ© les quelques mois de lune de miel, la sexualitĂ© avec Sylvain se rĂ©duit Ă  la portion congrue... de son plaisir. Il me pĂ©nĂštre, il jouit. Point. Je le laisse faire, me force parfois un peu, pour avoir la paix. J'ai bien essayĂ© de lui dire que je ne ressentais rien. Invariablement, il Ă©vacue : "Pas de ma faute si t'es frigide ! Regarde ta grand-mĂšre, ça doit ĂȘtre de famille..." Je me demande comment j'ai pu supporter ça. Comment deux enfants ont pu naĂźtre de cette union boiteuse. Mais mes parents m'avaient inculquĂ© le sens du devoir... À 35 ans, l'Ă©pouse et mĂšre que j'Ă©tais ne pouvait pas se plaindre.
Et puis Sylvain est mutĂ© Ă  l'autre bout de la France. Nous atterrissons dans un bled paumĂ©, Ă  des centaines de kilomĂštres de mes amies... À quelques mĂštres de Marie. Comme moi, elle est souvent seule le soir - son mari est commercial, toujours sur les routes. Comme moi, elle est timide et solitaire. Mais, entre elle et moi, le courant passe immĂ©diatement. Le soir oĂč elle frappe Ă  ma porte, c'est parce que, sortie en trombe de chez elle pour faire une course, elle a oubliĂ© ses clĂ©s Ă  l'intĂ©rieur... Évidemment, je lui propose de passer la nuit Ă  la maison, en attendant que son mari rentre.
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TĂ©moignages


J’ai fait un plan Ă  trois avec deux hommes (dont mon mari) et c’était fou




Une madmoiZelle

20 avr 2022


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madmoizelle



TĂ©moignages



Vivre une expĂ©rience sexuelle avec ton compagnon et un autre partenaire, ça te tente ? C’est le fantasme rĂ©alisĂ© par cette lectrice de Madmoizelle lors d’un plan Ă  trois avec son mari et un autre homme.

Superbe rĂ©cit, ça fait rĂȘver d'avoir un mari aussi ouvert et prĂ©venant et de rencontrer une tierce personne aussi respectueuse. Chouette aussi de voir que deux hommes cis peuvent s'ouvrir Ă  autre chose que l'hĂ©tĂ©rosexualitĂ© et accepter de bouger les lignes de la "virilitĂ©". Dommage simplement, pour moi, qu'il faille Ă  tout prix prĂ©ciser in fine qu'ils sont hĂ©tĂ©ros... au final, est-ce si important ? Et dernier petit bĂ©mol pour moi, point de vue perso: dommage que le tĂ©moignage retourne finalement aux basiques : la fell-fell. J'aurais adorĂ© une description de cunni donnĂ© par deux hommes en mĂȘme temps. DĂ©cidĂ©ment, c'est toujours tabou ce mot ou quoi ? Ou une description qui parle de baisers et de caresses plus explicites Ă  destination de la narratrice. Sinon, chouette de constater que deux hommes peuvent prendre soin d'une femme, et d'eux-memes rĂ©ciproquement. Ce genre de tĂ©moignage me rĂ©concilie presque avec nos (pas souvent) amis les hommes.

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