Deux savoureuses filles explorent leur côté lesbien
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Deux savoureuses filles explorent leur côté lesbien
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Deux petites filles explorent leur arrière-cour luxuriante de banlieue. Ralentir. Version 3. MARTINA
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Published 4. Sep. 2020, 9:56 nachm.
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"The Lost Daughter" et "Lamb" : ces deux films explorent chacun à leur façon les méandres de la maternité
15h00
, le 28 décembre 2021
Olivia Colman dans "The Lost Daughter" et Noomi Rapace dans "Lamb".
(Yannis Drakoulidis/Netflix et Go to Sheep 2021)
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Dans des registres très différents, deux films, The Lost Daughter et Lamb , racontent la difficulté de femmes à gérer l'arrivée ou le deuil d'un enfant.
La mère est l'un des sujets de prédilection des cinéastes, de Pedro Almodóvar à Xavier Dolan ; elle est le plus souvent glorifiée, voire sacrificielle, et on entrevoit rarement son côté obscur : indigne, absente, toxique ou abusive. Si en 2014 une veuve s'en prenait à son fils, responsable selon elle de la mort de son époux dans Mister Babadook , le thriller psychologique et horrifique de l'Australienne Jennifer Kent
, une autre artiste se distingue en optant sans détour pour ce point de vue périlleux et subversif : l'Américaine Maggie Gyllenhaal, qui entame ses débuts derrière la caméra avec The Lost Daughter.
Récompensé par le prix du scénario à la Mostra de Venise et par quatre Gotham Independent Film Awards, ce premier long métrage raconte les vacances en Grèce d'une quadragénaire britannique prénommée Leda. Tous les jours, elle côtoie à la plage une jeune mère et sa gamine turbulente et capricieuse, qui la renvoient à un passé longtemps occulté. À mesure que les souvenirs remontent à la surface, elle est assaillie par le trouble, spectatrice de cette relation fusionnelle perturbante...
Ce drame intimiste, adaptation de Poupée volée , le roman d'Elena Ferrante, figure une femme qui a découvert la maternité trop tôt et qui, écrasée par le poids des responsabilités, a préféré mettre les voiles pour se consacrer à sa carrière, abandonnant ses filles en bas âge et leur père. L'héroïne s'auto-flagelle en se qualifiant elle-même de méchante, de cruelle et d'égoïste, rongée par la culpabilité d'avoir tout quitté, par crainte de ne pas être capable d'assumer, et de privilégier son désir et son épanouissement personnel à son rôle de mère.
Il y a beaucoup d'histoires de femmes filmées par des hommes, souvent de qualité, mais on ne s'y retrouve jamais complètement
Dans une atmosphère sensorielle et souvent inquiétante, Maggie Gyllenhaal fait preuve de délicatesse en dressant le portrait humain de Leda, assaillie par les regrets et jouée par la phénoménale Olivia Colman. "Je voulais me rapprocher de la réalité du quotidien d'une femme, note la réalisatrice de 44 ans. Évoquer sa vie domestique, familiale, sexuelle, intellectuelle de la façon la plus honnête. Il y a beaucoup d'histoires de femmes filmées par des hommes, souvent de qualité, mais on ne s'y retrouve jamais complètement. Je tenais à restituer toutes les nuances pour que les spectatrices se reconnaissent."
Notamment en parlant de liberté, d'indépendance et de la possibilité de dire non. "J'ai puisé dans ma propre expérience, poursuit-elle. Aujourd'hui, mes filles, Gloria et Ramona, ont 9 et 15 ans. J'ai plus d'espace dans ma tête pour penser à moi. Je n'ai jamais envisagé d'incarner Leda : mettre en scène me permettait de prendre du recul." Elle prolonge la mise en abyme en dirigeant son mari, Peter Sarsgaard! "Il n'a pas protesté, je sais que je peux compter sur lui."
Surfant sur l'idée de la progéniture monstrueuse (déjà explorée cette année dans Annette , de Leos Carax
), Lamb s'impose quant à lui comme une fable cathartique et fantastique qui, à travers la métaphore, a le courage d'aborder le sujet de la mort d'un enfant tout en misant sur l'économie de dialogues et la tension ambiante. Maria et Ingvar sont des éleveurs de moutons habitant en autarcie totale dans une ferme en Islande et selon une routine immuable. Un jour, ils assistent une femelle qui s'apprête à mettre bas dans la bergerie au milieu du troupeau. L'agnelle naît avec une particularité physique stupéfiante qui pousse Maria à la couver comme son propre enfant, après l'avoir soustraite à sa mère biologique, qui vient bêler sous sa fenêtre de dépit. Maria n'hésite pas à abattre sa rivale pour élever l'étrange créature, qui exorcise un traumatisme refoulé et scelle le bonheur retrouvé avec Ingvar.
Je privilégie le malaise au confort
Isolée dans une lande enneigée qui n'a pas livré tous ses secrets, Noomi Rapace, productrice au côté de Béla Tarr, interprète cette femme en deuil comme dans Babycall (2011), du Norvégien Pal Sletaune. Divorcée, maman d'un fils de 18 ans, la comédienne suédoise, qui brille par ses choix éclectiques, se délecte à composer des personnages à la psychologie tourmentée. "Je privilégie le malaise au confort, souligne-t-elle. Je n'ai pas peur de me confronter à mes démons. Maria est une mère désespérée et prête à tout! Perdre un bébé est la pire chose qui puisse arriver. Comment en guérir, tourner la page et revenir à la vie? Une tragédie universelle."
Grâce à laquelle elle a pu se reconnecter à ses racines, puisqu'elle a grandi en Islande. "Une terre de superstitions, murmure-t-elle. Et hostile envers les enfants. Ils ne doivent jamais regarder le reflet d'un lac, car les elfes qui le peuplent les attirent dans l'eau et les noient. Sans oublier Gryla, la sorcière de Noël, qui arrive la nuit pour les emporter..."
De Maggie Gyllenhaal, avec Olivia Colman, Ed Harris. 2h02. Vendredi sur Netflix.
De Valdimar Jóhannsson, avec Noomi Rapace et Hilmir Snær Gudnason. 1h46. En salles mercredi.
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