Deux queues pour maman

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la fessée vue des deux côtés



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Souvenirs de jeunesse et de mère de famille
Femme de bientôt 46 ans, fille et femme de militaires comme ma sœur (30 mois d’écart). Nous avons été élevées par des parents aimants, mais strictes concernant la discipline, l’ordre et l’apprentissage scolaire, pardonnant l’incompréhension, mais pas la fainéantise ou le manque de travail.
Ceux-ci étant adepte de la fessée (nés en 1943) pour l’éducation des enfants, vous pouvez donc imaginer que les deux sœurettes espiègles et prêtes à toutes les bêtises, aient connues de belles envolées fessières.
Ma sœur (avocate) et moi (responsable administrative), avons reprit ce principe d’éducation envers nos enfants, en accord avec nos époux (eux-mêmes élevés au martinet et devenus, Officier de Marine).
Comme vous l’aurez tous compris, ma sœur et moi, comme nos maris sommes également adeptes de la fessée, comme punition pour les enfants. Il se trouve que dans le cadre de mon travail à 80%, je bénéficie de tous mes mercredis et des vacances scolaires (sauf exception).
Je bénéficie également d’horaires aménagées depuis ma prise de fonction au sein du club, en 2004. Me permettant de récupérer mon aînée et ma nièce du même âge en maternelle, à partir de 2007.
Et au primaire par la suite, même chose avec mes cadettes (Manon et Gaëlle) et mon neveu (Kevin), ainsi que les enfants de mes amies.
Avec ma qualité de responsable administrative au club et ma seconde Sylvie (36 ans), qui a les mêmes convictions que moi concernant l’éducation des enfants, nous avons eu l’occasion de rencontrer des parents bien sûr. Mais aussi des Mamans seules avec leurs enfants, suite à des drames divers (décès, divorces compliqués, abandon du père) totalement perdues faces à leurs gamins (es).
Telle que Vanessa, rebelle envers les professeurs ou sa mère et les adultes en général. Ou d’autres en perdition face aux évènements subis.
J’ai donc aidé ces Mamans à retrouver une autorité parentale, qu’elles avaient perdues envers leurs mouflets (tes) selon cette méthode commune à ma sœur et Sylvie, que j’ai cité précédemment. Ces Mamans ont repris les choses en mains vis-à-vis de leur progéniture et sont devenues nos amies, à toutes. Ce qui fait que je garde leurs mouflet (tes), le soir, les mercredis et durant les vacances scolaires.
Je dois également préciser que Sylvie (Maman de Nadège, 17 ans), Christiane (Maman de Vanessa,18 ans), ma sœur et moi (Magalie et Nolwen, 17 ans) avons toutes formées nos grandes filles à corriger les plus jeunes, frères, sœurs ou enfants de nos amies en notre absence, lorsqu’ils font des bêtises ou sont insolents (tes).
Ce sont des jeunes filles responsables et de brillantes lycéennes, auxquelles nous faisons confiance. Même si parfois elles passent encore sur nos genoux. Vous trouverez donc quelques récits où ces grandes filles interviennent.
Alors vous comprendrez que ce blog est constitué de témoignages et non de fictions. Par conséquent, j’invite tous les internautes ayant un vécu identique passé ou actuel avec leurs enfants à m’adresser leurs témoignages sur l’une de mes adresses mail: « chloedemaitre@gmail.com » ou « lafesseevuedesdeuxcotes.blog »
Avis à mes lecteurs: Vos commentaires sont les bienvenus, s’ils restent dans le cadre de mes témoignages, car lire c’est bien, mais commenter c’est mieux.
A 13 ans, en 1966. J’avais l’habitude de retrouver mon copain au square près du domicile de mes parents. Ce jour-là, j’arrive en avance et j’aperçois 2 gamines d’environ 10 ans qui jouent à la balançoire et décide de les déloger pour me balancer à mon tour. Alors, je leur lance du sable dans la figure, aussitôt elles se mettent à crier et appellent leur maman.
J’entends une voix derrière moi et me retourne apercevant une jeune femme très jolie qui m’interpelle.
« Dis-moi, jeune homme, tu n’es pas un peu trop grand pour jouer à la balançoire et arrête d’embêter mes filles sinon je me lève et je te donne une fessée ! »
Par bravade, je ne me laisse pas impressionner et lui réponds.
« Vous n’oserez pas et d’abord vous n’êtes pas ma mère pour me corriger et puis il faudrait déjà que vous m’attrapiez, je cours plus vite que vous ! »
Soudain, je vois la jeune femme se lever d’un bond et fondre sur moi, telle une panthère. Je prends mes jambes à mon cou et déguerpis le plus vite possible. Manque de chance, la jeune maman me rattrape en un rien de temps, me prend par le bras et me ramène vers le banc où elle était installée.
« Tu pensais t’échapper, mon p’tit bonhomme mais je cours plus vite que toi, j’ai 30 ans et suis professeure de sport au lycée. Et toi quel âge as-tu pour être si impertinent ? »
« Eh bien, malgré tes 13 ans, je vais te donner une fessée pour ton arrogance et ce, devant mes jumelles ! »
Là je panique littéralement, c’est une étrangère, non ma mère !!!
« Non M’dame, ne faîtes pas ça j’vous en supplie et j’vous d’mande pardon !!! »
Mais la jeune maman attaque déjà les boutons de mon pantalon. Je tente de l’en empêcher en mettant mes mains sur ma braguette. Je reçois alors une gifle en pleine figure qui me tétanise et je la laisse me déculotter, baissant mon pantalon avant de faire suivre mon slip ‘Petit Bateau’ au même niveau. J’entends ses gamines rire et l’une d’elles dire à haute voix.
« Ça y est, maman l’a déculotté on va voir son zizi et ses fesses, c’est bien fait pour lui ! »
En effet, je suis les fesses à l’air et mon petit oiseau tout droit, ce que je ne comprends pas. Mais le joli minois de cette maman doit y être pour quelque chose pour le pré-ado que je suis. Mais elle se moque totalement de cet émoi, sans doute naturel et me couche sur ses genoux pour me fesser. Elle y met toute son énergie, devant savoir qu’à 13 ans je peux subir une fessée magistrale. C’est ce qui va se produire. La fessée est à la hauteur de mon insolence.
Très vite, je me mets à crier car mes petites fesses sont en feu. La maman n’arrête pas de claquer mon derrière tout en me faisant la morale devant ses filles.
« J’espère que tu te souviendras longtemps de cette fessée, ce n’est peut-être pas la première que tu reçois, mais crois-moi que celle-là restera gravée dans ta mémoire. »
Je crie de plus en plus fort et pleure à gros sanglots, puis le souffle couper, j’éclate à nouveau dans d’énormes sanglots pensant absorber la douleur cette magistrale fessée. La jeune maman me relève enfin et me tenant par les mains pour ne pas que je tombe, elle reprend la parole.
« Recommenceras-tu à embêter mes filles comme tu viens de le faire ? »
« Non M’dame, j’vous le promets ! »
« Eh bien maintenant, tu vas quitter le square et que je ne te revois plus jamais ici, sinon !!! »
Je ne bouge plus. Je n’ai plus de force. La jeune maman remonte mon slip et mon pantalon. A cet instant, je n’ai plus 13 ans mais 5 ans. Je ne suis jamais revenu dans ce square où jamais je n’aurais imaginé recevoir une magistrale fessée par une inconnue, qui n’était pas ma mère.
Deux heures plus tard, allongé sur mon lit sur le ventre, digérant bon gré, mal gré celle-ci ! Je repense à cette si jolie maman de 30 ans, revoyant ses doigts de fée en train de me déculotter et dévoiler tant mes fesses que mon zizi dressé qui me surprend. La cuisson qui règne sous mes vêtements provoque alors la même sensation bizarre, qu’à ce moment-là, dans mon bas ventre. Ressentant le même phénomène sur mon anatomie, à l’intérieur de ceux-ci sans en comprendre la raison. Cette fessée n’ayant pas été une source de plaisir ou de joie pour moi à cette époque, mais plutôt de douleurs et de vexations.
J’avais 15 ans et j’étais lycéen en classe de seconde.
Dès que le printemps pointait son nez, maman venait me chercher tous les samedis midi en voiture pour partir en Normandie, dans la maison de campagne de mes grands-parents.
Ce samedi de mai 1968, je sors des cours et je discute devant la sortie du lycée avec des copains et ma petite copine Emeline qui me rejoignait à midi (étant dans un lycée voisin) car la mixité n’existait pas encore.
Nous discutons tous ensemble lorsque ma mère arrive et klaxonne 2 fois pour que je la rejoigne.
Mais, ce fameux samedi, je ne désire pas quitter Emeline pour aller m’ennuyer à la campagne, même s’il y a Anne mon amie d’enfance, mais qui n’est pas mon amoureuse.
Je fais donc celui qui n’a pas entendu l’avertissement sonore de la voiture et continue la conversation.
Re coup de klaxon de ma mère. Je m’énerve et me tourne en direction de la voiture et lui fais un doigt d’honneur puis me retourne vers mes copains.
Soudain Emeline me tape sur l’épaule et me dit.
« Jean-Phi, ta mère sort de sa voiture et court vers toi ! »
Je prends mes jambes à mon cou, sentant le danger. Il faut que je vous précise que ma mère a 36 ans et est professeure d’éducation physique et ancienne championne d’athlétisme en Ile-de-France. Elle me rattrape en quelques secondes et me saisit par le bras. Je suis essoufflé et en nage car il fait chaud. Maman me ramène devant la sortie du lycée et s’installe sur un banc juste en face de mes copains et d’Emeline.
Autant vous dire, que n’étant pas idiot et ayant un vécu avec ma chère mère depuis l’enfance, je saisis immédiatement ses intentions et dans un réflexe inutile, je lui dis.
« Non M’man ! Fais pas ça, pas la fessée, pas devant ma copine, je t’en supplie !!! Nooon !!! »
« Bien sûr que si, mon trésor, je vais t’apprendre, ce qu’il en coûte d’adresser un doigt d’honneur à ta mère qui n’est pas une copine et à laquelle, tu dois le respect !!! »
Et Maman joignant les gestes à la parole baisse mon jean et mon slip ‘Petit Bateau’ . Je suis cul nu devant tout le monde sans pouvoir me défendre. Comment lutter face à une jeune maman déterminée et de surcroît sportive.
Je me retrouve vite fait sur ses genoux comme un petit garçon de 6 ans pour recevoir une bonne fessée. Et celle-ci me calant correctement, m’infantilise davantage.
« Alors, mon chéri, quel effet ça fait de se retrouver le cucul à l’air comme un vilain p’tit garçon de 6 ans, sous les yeux de ta copine et tes amis ? Tu fais moins le fier, maintenant et je suis certaine, que tu ne me referas plus ce geste obscène à l’avenir ! Après ce que tu vas prendre, fais-moi confiance ! »
Ce en quoi, elle a raison, c’est humiliant de se retrouver dans cette position devant tout le monde, même si je n’en suis pas à ma première expérience, comme ma p’tite sœur Christine. Je n’ai jamais reproduit ce geste après cette trempe publique d’anthologie et surtout sous les yeux de ma copine, du moment.
Quelle fessée ! Il faut dire que c’est amplement mérité pour ce geste abominable envers ma génitrice. Je vais crier et pleurer ameutant tous les lycéens qui sortent des cours. Maman me fesse au moins 5 bonnes minutes puis me relève et me fait la leçon, avec une ironie vexante devant Emeline, m’appelant par mon surnom.
« Tu vois, Doudou, je suis ta Maman et non ta p’tite copine, que je connais bien et qui a pu à nouveau constater que je ne plaisante pas sur le respect dû aux parents et les adultes en général !!! N’est-ce pas Emeline ??? »
Ma p’tite copine prise au dépourvu par cette interpellation, se souvenant sûrement de la fessée que lui avait donné Maman au gymnase du collège pour filles où elle enseignait, l’année précédente. Et n’ayant sans doute pas envie de prendre ma suite, répond avec une certaine émotion et en faisant un aveu spontané.
« Oh oui…Madame…nous nous connaissons !!! En effet…j’ai…vu et…euh…pour tout vous dire…avec mes parents…euh c’est pareil que pour Jean-Phi…j’n’y échappe pas…ainsi que mon frère et ma sœur plus jeunes !!! »
« Bravo Emeline, je constate que tu as de la mémoire !!! Et cet aveu spontané me prouve que certains parents savent encore élevés leurs enfants correctement, en utilisant la bonne méthode qui a fait ses preuves !!! Tu es trop mignonne et je suis certaine que tes parents sont fiers de toi. »
« Voui, M’dame !!! J’suis sérieuse dans mes études, mais j’fais encore quelques bêtises que Maman sait corriger de façon cuisante !! Euhhh…vous voyez…M’Dame !!! »
« En effet, ma grande, je vois très bien ce que tu veux dire et ta Maman as raison, rien de tel qu’une bonne fessée déculottée pour te remettre sur les rails, même si ce n’est pas très agréable !!! Dis-toi qu’elle le fait pour ton bien et ton évolution de jeune fille, tout comme moi avec Jean-Phi qui a encore parfois des égarements comme aujourd’hui !!! Je suis contente que mon fils, ai choisi une petite amie, intelligente. »
Je n’écoute l’échange qu’à moitié, dans mon brouillard d’après fessée, ne percevant que les louanges maternelles envers Emeline, apprenant que celle-ci est soumise au même régime que moi.
Néanmoins durant celui-ci, je suis toujours cul nu et je me sens honteux, devant Emeline, mon oiseau en berne !!! Alors je tente de me reculotter mais Maman m’en empêche catégoriquement.
« Tu remonteras ton slip et ton pantalon lorsque je te le dirais, ça t’apprendra ! »
Enfin, maman me dit de me rhabiller et nous quittons la place du lycée pour rejoindre la voiture. Je suis Maman, la tête basse, faisant juste un signe de la main à Emeline tellement j’ai honte.
En fait cette magistrale fessée publique, je l’ai amplement cherchée et reçue, comme il se doit ! Lundi matin, je retourne au lycée et j’entends des élèves dire en rigolant.
« Eh ! C’est le gars qui a reçu une fessée par sa mère samedi ! »
Je n’étais pas fier du tout d’avoir été puni comme un petit garçon alors que j’avais 15 ans. Seule Emeline montra de la compassion envers moi, peut-être parce qu’elle aussi, était soumise au même régime que le mien avec ses parents.
En 2016, me promenant un jour dans mon quartier. Je passe devant le collège vers 17h et j’aperçois la maman de Cassandra Mme Blanc qui attend sa fille et à laquelle je donne des cours particuliers depuis son entrée en 6 ème .
Je m’arrête pour lui dire ‘bonjour’ et la conversation s’engage entre elle et moi. Elle me dit qu’elle est venue chercher Cassandra pour un rendez-vous chez le dentiste et me précise.
« Vous ne savez sûrement pas, Mr Lascombes, que Cassandra a bien progressé dans ses études et muri, depuis vos cours particuliers à domicile depuis son entrée en 6 ème . Tout n’est pas aussi parfait que je le souhaiterais, surtout dans sa relation avec moi ou son père ! Mais bon, elle s’améliore !!! Je suis plus sereine, avec sa p’tite sœur de 7 ans qui suis derrière et a besoin d’une plus grande attention de ma part. Donc je tiens à vous remercier sincèrement de votre contribution, même si je vous l’ai déjà dit. »
Là, j’avoue que ces éloges de la Maman me scotchent, car je ne fais qu’aider sa fille à s’organiser et établir un plan de travail, pour une pré-ado ayant découvert un monde différent du primaire. Je reste donc sans voix, alors que les premiers collégiens/collégiennes sortent des cours.
Soudain, sa fille arrive en compagnie d’une copine et passe devant nous sans s’arrêter, nous ignorant totalement !! La maman l’interpelle donc.
« Cassandra !!! Tu le fais exprès d’ignorer notre présence ou quoi ? Tu sais que l’on a rendez-vous chez le dentiste !!! »
« J’aime pas que tu viennes me chercher au collège !!! Je suis plus en 6 ème mais en 4 ème et j’ai 13 ans !!! »
Le tout prononcé sur un ton d’insolence agressive de la part d’une gamine de 13 ans, envers sa mère. Ce que je supporte difficilement à mon âge (63 ans), ce manque de respect me hérissant le poil.
« Cassandra, tu me parles sur un autre ton et je me fiche complètement de ton avis. Alors tu viens gentiment avec moi ou je te mets une fessée devant ta camarade !!! »
Puis la gamine lui adresse un doigt d’honneur !!! Ce geste m’horrifie de la part d’une fille de cet âge, même si moi-même j’ai fait la même chose envers ma mère à l’âge de 15 ans, qui me valut l’une des plus sévères fessées déculottées de mon adolescence devant le lycée (récit qui suivra, juste après) !!! Alors là, je vois la maman fondre sur sa fille qui n’a pas la possibilité de déguerpir vu le monde qui est présent devant le collège. Elle l’attrape par la main et commence à déboutonner son jean, la mouflette regimbe fortement aussitôt.
« Mais M’man, qu’est-ce que tu fais ??? Tu vas pas faire ça devant tout le monde !!! Non, j’t’en supplie !!! »
La réaction de la gamine confirme, ma pensée. A savoir que Cassandra n’en est pas à sa première expérience en matière de fessée déculottée avec sa Maman, ce que je soupçonnais lors de mes cours privés en faisant le compte-rendu ‘minimiser’ de la séance de soutien. Sauf que la Maman n’était pas dupe connaissant parfaitement sa fille et sachant qu’un Papy n’allait pas l’enfoncer.
Néanmoins je n’avais jusqu’à ce jour, jamais assisté à une fessée de Cassandra (à l’inverse de sa p’tite sœur Manon), comme d’autres d’ailleurs et en premier lieu ses camarades de collège, ainsi que les Profs. Ce que moi-même, entre parenthèses, j’ai vécu avec ma chère Maman à 14 ans pour avoir séché les épreuves du Bepc (autre récit en préparation).
« Tu aurais dû réfléchir, avant de m’adresser ce geste obscène ! Toi, qui à 13 ans comme tu le clames ! Et donc à priori censé avoir du respect envers ta mère, qui n’est pas une copine !!! »
Sa maman, est très déterminée à la corriger. Sans se préoccuper de la présence du public nombreux, la gamine gesticule, tape des pieds mais rien n’y fait. Elle n’est pas de taille à lutter avec sa mère, d’un genre musclé et véloce.
Son jean est déjà baissé et sa mère en fait de même pour sa petite culotte blanche avec dextérité, dévoilant ainsi la lune de sa fille en plein jour. Cassandra commence à pleurnicher, pensant amadouer sa maman qui reste de marbre et poursuit sa tâche, en précisant à sa fille sur un ton ironique et vexant.
« Cesse donc tes larmichettes de fillette, dans quelques instants tu vas avoir une bonne raison de vraiment pleurer, fais-moi confiance !!! Allez hop !!! »
Elle la prend sous son bras et de sa main libre déverse une avalanche de claques qui fait aussitôt hurler de douleur Cassandra.
Je ne saurais vous dire le nombre exact de claques qu’elle a reçues durant ces 2/3 minutes, mais soudain la gamine a le souffle coupé et éclate en gros sanglots, non feint.
Sa maman la remet alors sur ses pieds. Cassandra est défigurée par un torrent de larmes et sautille d’un pied sur l’autre, en frottant ses fesses bien rouges. Mme Blanc la reculotte telle une petite fille puis la saisit par la main en ajoutant.
« Cassandra ! J’espère que cette fessée publique te fera comprendre que tu me dois le respect et que tu ne diriges pas encore ta vie, comme bon te semble !!! Sur ce, Jean-Philippe, je vous dis bonsoir et à demain pour le cours. »
Un peu surpris par la détermination de cette jeune maman de 32 ans, mais également satisfait que de jeunes parents sachent bien éduquer leurs enfants, je lui réponds avec une certaine fierté.
« Je vous en prie, Mme Blanc ! Je vous dis bonsoir à mon tour et à demain ! Et je vous félicite sincèrement pour cette action éducative envers votre fille, pour ce manque de respect. »
La gamine toute penaude et rouge de honte, repart tenant la main de sa mère, le regard fixé vers le sol n’osant pas relever la tête pour regarder alentour.
Actuellement je suis sa p’tite sœur, Manon qui a 13 ans, depuis son entrée en 6 ème , sur demande de Mme Blanc. Aujourd’hui, Cassan
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