Deux queues pour la punir

Deux queues pour la punir




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Deux queues pour la punir

16 décembre 2015 5 octobre 2015 par christopheTuxboard

Site de divertissement et de découvertes – Vous ne reviendrez plus chez nous par hasard !

Joseph Hallit a connu l’horreur de la Chaise Allemande. En 1992, les force syriennes le capturent alors qu’il vient d’obtenir un diplôme de médecine à l’Université de Damas. Durant 4 ans, il est réduit à l’isolement et torturé. Après avoir subi ce terrible supplice, il a affirmé que sa chair avait été arrachée si profondément qu’il pouvait voir ses propres nerfs à vif. L’homme souffre encore aujourd’hui et de larges cicatrices consécutives à l’écartèlement subi sont toujours visibles.
Le Chat à Neuf Queues est un instrument de torture particulièrement horrible. Composé d’un manche de bois de 30 à 40 cm de long auquel sont fixées neuf cordes ou lanières de cuir d’une longueur qui varie de 40 à 60 cm dont chaque extrémité mobile se termine par un nœud parfois doté d´une griffe en métal . Les pirates notamment s’en servaient pour punir. Le marin qui allait être fouetté devait lui-même faire les nœuds. Un chat à neuf queues ne servait qu’une seule fois car les cordes ensanglantées transmettaient des infections.
On estime que l’utilisation d’un tel objet remonte au temps de l’Égypte Ancienne. Il est toujours utilisé aujourd’hui comme une forme de châtiment à Trinité-et-Tobago, malgré le fait que la Cour des Droits de l’Homme américaine ait ordonné au pays de verser 50.000 dollars à un violeur qui avait été fouetté à l’aide de ce dispositif.
Ce type de torture n’a pas vraiment d’appellation officielle. Cette technique est couramment utilisée par le gouvernement syrien. Le prisonnier est en fait enfermé dans une sorte de boite bien trop exiguë pour qu’il puisse s’y installer de manière supportable. Il est donc placé dans une position particulièrement inconfortable durant de longues périodes tout en ayant les pieds et poings liés . Pour rendre la torture encore plus invivable, la boite est inclinée de sorte à ce que tous les aliments qui sont jetés à la victime terminent leur course au fond de la boite sans que celle-ci ne puisse jamais les atteindre.
Pour beaucoup de syriens, il s’agit probablement de la forme définitive de torture. Un homme prénommé Jolan a d’ailleurs été maintenu dans ce type de boite durant une semaine, puis finalement transféré dans une chambre minuscule dans laquelle il ne pouvait se tenir debout. Il a finalement terminé son supplice en étant électrocuté plusieurs fois jour.
Voici une torture particulièrement malsaine, il s’ait d’ailleurs peut être de la pire forme de torture puisque celle-ci n’est pas seulement physique mais aussi psychologique. La personne n’est pas battue, électrocutée, ou enfermée dans une boite minuscule, mais elle est maintenu dans un état d’isolement particulièrement extrême. Pour faire simple celle-ci est quasiment privée de ses 5 sens .
Amir Abbas Fakhravar dit être la première personne a avoir été torturée de la sorte par le gouvernement iranien. Les cellules n’ont pas de fenêtres, et leurs murs adoptent une couleur blanche aveuglante. Les repas servis sont composés exclusivement de riz blanc servi sur une feuille de papier blanc . Lorsque le prisonnier souhaite se rendre aux toilettes, il doit glisser une feuille de papier sous la porte de la cellule afin que les gardiens le sachent, puisque ceux-ci portes des chaussures conçues pour étouffer les bruits. Fakhravar n’avait le droit de parler à personne. Un journaliste nommé Ebrahim Nabavi a quant à lui affirmé que ce type de torture était bien le pire qui existait . Des années après sa libération, il a dit ne jamais pouvoir être « libre » à la suite de tels traitements. La torture blanche est donc une forme de torture particulièrement éprouvante mentalement qui laisse des séquelles irréversibles et enferme le sujet dans une forme de psychose profonde.

Recherche BuzzFeed Recherche BuzzFeed
Edition US UK Australia Brasil Canada Deutschland India Japan Latam
California residents can opt out of "sales" of personal data.
Buzz · Contenu promotionnel 13 nov. 2017







1.



On insérait de force des pointes en métal dans la bouche des femmes qui critiquaient constamment ou comméraient.




Votre adresse courriel (requis) Inscrivez-vous
This site is protected by reCAPTCHA and the Google Privacy Policy and Terms of Service apply.
Les peines pour les hommes étaient souvent bien plus légères.
La bride-bavarde était une muselière en fer pour le visage de la femme, utilisée pour punir les «bavardes» – les femmes qui critiquaient sans cesse, comméraient, répondaient ou qui parlaient simplement trop. La bride était verrouillée sur votre tête, et un embout en métal couvert de piques était placé de force dans votre bouche. À chaque fois que vous bougiez la langue, les piques la lacéraient.
La victime de cette torture était parfois enchaînée à un crochet chez elle, ou bien humiliée publiquement.
Variation des piloris, souvent en bois ou en métal, il était utilisé pour punir les femmes qui se disputaient et les commères. Une femme pouvait avoir à le porter seule ou attachée avec la femme avec laquelle elle s'était battue.
Cette punition humiliante pouvait être infligée aux hommes comme aux femmes, mais les femmes accusées d'être des commères ou des filles de joie étaient les premières à devoir s'installer sur un «cucking stool». Attachées sur cette chaise en bois sans siège — souvent une chaise percée —, elles étaient forcées à rester assises, exposées à l'humiliation publique.
Les «cucking stool» ont été modifiés quelques siècles plus tard pour être utilisés comme des sièges à plongeon. Le siège était attaché à de longues poutres en bois, qui reposaient sur un axe. La victime, assise, était ensuite suspendue au-dessus d'une rivière ou d'un étang puis immergée autant de fois que la punition le disait, « afin de refroidir sa chaleur excessive », comme le disait l'écrivain français François Maximilien Misson. Dans certains cas, les femmes étaient immergées un si grand nombre de fois qu'elles en mourraient.
Le «thewe» était un genre de pilori conçu spécifiquement pour les femmes. La femme était enchaînée à un poteau par le cou, mais contrairement aux hommes, ses mains n'étaient pas attachées.
En 1777, Ann Morrow a été accusée de s'être faite passer pour un homme et d'avoir épousé une autre femme. Elle fut mise au pilori, et la foule en colère lui a crevé les yeux en lui jetant des pierres.
Dit aussi «pilori tonneau», cet appareil était utilisé pour punir les hommes coupables de vol, d'ivresse et d'émeutes. Mais les femmes pouvaient également être mises dans un manteau d'ivrogne.
Un homme a raconté avoir vu un tonneau à Delft, aux Pays-bas : «Un lourd récipient en bois, semblable à une baratte, que la femme audacieuse qui a deux maris en même temps porte sur ses épaules, seule sa tête dépassant au sommet, et qui est ainsi promenée en ville, en punition de son intempérance.»
La mutilation ou l'ablation du nez d'une femme était une punition pour les femmes aux mœurs légères, qui a perduré durant le Moyen Âge. En défigurant la femme, on éliminait le pouvoir de sa beauté. La loi britannique de Cnut (1018) imposait qu'une femme accusée d'adultère ait le nez et les oreilles coupés en punition. En comparaison, un homme adultère devait payer une simple amende.
Les marches de la honte étaient une punition traditionnelle pour les prostituées ou les «harpies» – des femmes dominatrices. Ces dernières devaient marcher pieds nus dans les rues, parfois vêtues uniquement de leur jupon. Les chaussées étaient sales, hérissées de pierres irrégulières. La foule, railleuse, se mettait en rang pour regarder les victimes fixement.
C'était une punition populaire pour les prostituées au XVIe siècle. Lady Low , qui dirigeait une maison close à Aberdeen, en Écosse, fut marquée au fer rouge sur les deux joues par un bourreau, puis dû porter une couronne en papier avant d'être bannie de la ville pour sept ans et un jour.
Jusqu'au XVIIe siècle, au Royaume-Uni, l'une des punitions pour les femmes accusées de vol était la noyade . C'était également la cause de la mort dans « l'ordalie par l'eau froide », dans laquelle les chasseurs de sorcières testaient le fait qu'une femme était une sorcière ou non en regardant si elle flottait ou coulait.
La noyade en tant que punition civile simple était d'ailleurs considérée comme une punition clémente, comparée à certaines des méthodes d'exécution plus brutales, comme...
Les femmes accusées de sorcellerie et de communier avec le diable étaient brûlées. Mais c'était également une punition courante en cas de trahison ou d'hérésie. En Écosse, une femme pouvait avoir les membres couverts de goudron, ou devoir porter une robe et un bonnet enduits de cette susbtance. Elle était ensuite attachée par le cou sur un tonneau, le feu allumé, et elle était à la fois brûlée et pendue dans un brasier.
Ce post a été traduit de l'anglais .
Keep up with the latest daily buzz with the BuzzFeed Daily newsletter!

Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».

Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal



Actualités / Politique


Amour / Sexe


Animaux


Art / Photo


Auto / Moto


Bureau / Travail


Cinéma


Cuisine / Gastronomie


Design / Décoration


Economie / Finance


High-Tech / Science


Histoire


Internet


Jeux Vidéo






Life / Société


Livres / BD / Presse


Mode / Beauté


Musique


Nawak


People


Santé


Shopping


Sport


Topito vous parle


TV / Séries


Voyage


Vu en Une

Topithèmes



Par ton

Humour
Insolite
Découverte
Utile



Par format

Du texte
Plein d'images
Du bon son
De jolies vidéos



Hey, on est aussi sur Tumblr
Le tumblr du côté Top !


Inscris toi à notre topissime newsletter




A propos de Topito

A propos
On recrute !
L'équipe
La FAQ
Le Manifeste
Espace Presse
Nous contacter



Les trucs sérieux


Paramètres de Gestion de la Confidentialité

Conditions d'utilisation
Politique de Confidentialité
Archives



Designed by Colorz |
Coded by Ziofix

L’imagination humaine n’a pas de limite quand il s’agit de faire souffrir son prochain. En effet, toutes les cultures ont à un moment donné inventé des techniques plus ou moins élaborées pour couper des morceaux ou rentrer des bouts de métal dans leurs semblables. Est-ce que ça suffit pour dire que la torture lie les peuples ? C’est beau putain.
Il y a un autre point commun entre beaucoup de cultures, c’est que l’adultère est assez rarement apprécié. Surtout pour les femmes d’ailleurs, parce que chacun sait que c’est elles qui provoquent de pauvres hommes fragiles et sans défense.
A Athènes ou à Rome, pendant l’antiquité, une femme plus satisfaite par son collègue que par son mari pouvait se faire buter sans autre forme de procès par le mari en question. L’amant s’en sortait bien mieux puisqu’on se contentait de lui mettre avec amour un radis noir dans l’anus. Et les légumes, c’est bon pour la santé.
A Rome encore, on comprenait que la femme pouvait avoir des envies d’ailleurs. Alors on la mettait en contact avec des esclaves jusqu’à ce qu’elle n’ait plus trop d’intérêt pour la gaudriole. Tant d’humanité, ça donne envie de pleurer.
A Rome aussi, on pouvait aussi décider d’enfermer les viles pécheresses dans un bordel, pour leur apprendre, tiens. Mais comme on était pas des monstres, on leur mettait des petites clochettes autour de la taille pour donner un côté festif à l’ensemble.
A Rome toujours, qui dispose décidément d’un panel complet de punitions, on pouvait aussi décider d’un exil à vie sur une île déserte, histoire d’avoir beaucoup de temps pour se ressourcer et réfléchir à quel point c’était une mauvaise idée de coucher avec ce bel inconnu.
On arrive à la caution « uuuurg » du top. Imaginez mesdames : dans un élan de bonté, vous faites un très gros câlin à un de vos amis qui était un peu triste, sans le dire à votre chéri. Eh bah en Turquie, on punissait cette générosité en s’assurant que vous ne pourriez plus jamais avoir d’enfants ni faire pipi d’une part, puis en s’assurant qu’on pourrait vous enterrer dans un petit cercueil.
Au Danemark, un mari cocu pouvait s’assurer que ça ne recommence pas en pratiquent lui-même une opération de chirurgie esthétique sur sa dulcinée pour la rendre un peu moins attirante. Sinon il y a le divorce, hein.
En Inde, pour punir une femme adultère, sa famille lui confectionne un superbe lit en braises et l’allonge dessus. Fais de beaux rêves little princess.
En Thaïlande, le mec d’une dame un peu curieuse s’est sûrement dit « Bah quoi? De toutes façons les gonzesses elles aiment les chevaux, non ? Alors qu’elle se plaigne pas. » C’est l’explication la plus logique.
Chez les hébreux notamment, même si celle-là elle est très répandue, quand une femme essayait de voir qui était le plus performant entre son mari ou le facteur, on l’enterrait jusqu’à la tête et on lui jetait des cailloux jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Et encore chez les hébreux, si une femme touchait le sexe d’un autre homme, on lui coupait la main. Valait mieux pas être urologue.
La fidélité, c’est une valeur pilier chez les éléphants chinois. Alors quand ils entendent qu’une femme ne respecte pas ça, ils deviennent grognons et la piétinent.
Notez qu’évidemment à côté de ça les mecs qui trompaient leur meuf avaient juste droit à une tape chaleureuse dans le dos. Allez, maintenant que vous savez tout, n’hésitez pas à tagger vos potes cocus.
Source : Le livre Cocus, même les grands hommes peuvent l’être
T'as quelque chose à dire, une réaction ? C'est ici. Oui, c'est bien fait hein ?
Si tu aimes ce Top,
tu aimeras ça aussi. Puisqu'on te le dit.
On sait bien que t'as encore 5 minutes...

Film BDSM Asiatique chaud
Compilation de branlettes espagnoles avec des seins énormes
Une brunette aux gros seins

Report Page