Deux petites teens polues se fistent
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Deux petites teens polues se fistent
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Deux poules se battent pour la zone où elles cherchent de la nourriture devant la cage - Vidéo stock ...
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Deux poules se battent pour la zone où elles cherchent de la nourriture devant la cage
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Deux-Sèvres
Les petites poules de luxe ont de plus en plus la cote
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Publié le
26/01/2014 à 09:46
| Mis à jour le
27/04/2017 à 19:06
Ce superbe coq Sussex et sa femelle rejoindront le poulailler de cette famille d'Arçais.
L’engouement pour les poulaillers domestiques ne se dément pas. Encore une journée pour venir choisir sa variété au Salon de l’aviculture de Niort.
Il fallait presque être là au chant du coq, ce samedi à Niort-Noron. Quelques heures à peine pour s'échanger poules, pigeons, oies, canards d'ornement, dindons, paons, lapins ou pigeons parmi les plus beaux spécimens de l'exposition nationale d'aviculture. Cette Arçaisienne est venue pour compléter sa propre basse-cour qu'elle a créée voilà un an.
« Deux poules soie, plus sept poules pondeuses, de Marans, rousse… Nous habitons presqu'à la campagne en lisière du village et nous possédons un peu de terrain, dit-elle. Une basse-cour, c'est joli, les enfants adorent. Nous les nourrissons avec des déchets alimentaires, du grain que nous achetons chez les agriculteurs et de l'herbe fraîche du Marais. Les poules nous donnent six œufs par jour que nous partageons avec les parents et amis ».
Cette mère de famille entretient sérieusement sa récente passion : « Je vais sur les forums, échange avec des professionnels, demande des conseils pour entretenir et soigner mes poules ». Un classieux coq Sussex et sa femelle rejoindront leurs congénères (prix 53 €). « De plus en plus de monde nous demande des petites poules, notamment des communautés de communes, afin d'éviter le compost, constate Yves Ferru (Pouffonds), le président de la société avicole des Deux-Sèvres . C'est vrai qu'il y a un réel engouement, un effet de mode. Mais nos structures ne sont pas assez grosses pour pouvoir répondre à toutes les demandes. » Egalement éleveur amateur, Jacques Garreau (Nueil-les-Aubiers) en pince pour la wyandotte argentée : « C'est une poule très familière, idéale pour couver les petits » . Aux adeptes de ces nouveaux animaux de compagnie, notamment les citadins, l'éleveur rappelle qu' « en ville, il faut éviter le coq, pour les voisins. Il faut un bon enclos, bien couvert et un peu de terrain ». Lui consacre une heure par jour à sa passion : « Lorsqu'on s'absente, il faut avoir un bon voisin, ou des enfants pour les nourrir ». Bruno Houbion (Ardin) préfère les poules brahma, l'une des plus grosses des poulaillers : « Elles viennent pratiquement manger dans la main ». Pour autant, ce cuisinier hospitalier conseillerait, aux citadins, des races de plus petit calibre : « La Pékin, par exemple, qui s'apprivoise très bien. Et si l'on n'a pas trop de terrain, choisir des poules qui ne sont pas trop gratteuses. Elles feront moins de dégâts ».
Exposition nationale d'aviculture, sous la halle de la Sèvre au parc des expositions de Niort-Noron, aujourd'hui de 9 h à 18 h. Entrée 4 €, gratuit jusqu'à 12 ans.
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Source : Enquête sur les fantasmes autour du sexe entre femmes, communiqué de presse et enquête Ifop, 25 avril 2018
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Publié par Anne Valois , le 25/04/2018 à 12:13
L'amour entre femmes figure parmi les thématiques les plus recherchées sur les sites spécialisés dans la pornographie . Mais qu'en est-il en réalité ? C'est la question qu'a posé l'Ifop à 2 001 personnes (1). En dehors des films X, il semble que le sexe lesbien n'affole pas la population féminine.
Environ une sondée sur six a déjà ressenti du désir pour une autre femme . Les jeunes sont un peu plus nombreuses à l'affirmer, mais le phénomène reste marginal. A peine davantage font preuve de curiosité à l'égard des rapports sexuels saphiques.
17 % des Françaises ont déjà regardé deux femmes faire l'amour, ou le souhaiteraient. Du côté de ces messieurs, deux tiers de la population proclame la même chose. Et il n'y a pas que sur ce plan que l'industrie du X diffère des désirs féminins.
Les pratiques qui font fantasmer les femmes varient largement de celles qui excitent les hommes … et encore plus de celles qui sont présentées à l'écran. Tout d'abord parce que ces messieurs expriment un enthousiasme bien plus élevé à l'égard des pratiques lesbiennes.
Mais alors qu'est-ce qui excite ces répondantes ? Plus d'une sondée sur deux se dit très vivifiée en imaginant deux amantes s'adonner au cunnilingus . Une pratique encore peu représentée dans les films pornographiques, comme le note l'Ifop dans un communiqué.
Ces réponses s'expliquent "sans doute parce qu’il est encore le parent pauvre des scènes de sexe entre hommes et femmes visibles dans les films X, films qui s’avèrent encore trop souvent le fruit d’une vision très phallo-centrée de sexualité".
Au second rang des gestes qui attisent la libido des sondées, la stimulation des seins – que ce soit en caressant, léchant ou suçant. 30 % des femmes interrogées aimeraient voir cela représenté – contre 52 % chez les hommes. Arrive ensuite l'échange de baisers entre deux amantes.
La pénétration est, en revanche, un geste qui ne suscite pas une excitation folle . Seule une sondée sur cinq se dit stimulée à l'idée d'une telle pratique. Les hommes, eux, sont 58 % à exprimer un désir avivé par cette image.
Autre sujet qui divise : les rapports anaux . Seuls 11 % des femmes interrogées expriment un intérêt, que ce soit pour la pénétration avec un objet ou avec ses doigts ou un anulingus. Du côté de la gent masculine, un peu plus d'un tiers des sondés tireraient du plaisir d'un tel visionnage.
(1) Étude Ifop pour le site Référence Sexe réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 27 au 28 mars 2018 auprès d’un échantillon de 2 001 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus
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