Deux médecins vont profiter de la patiente
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Deux médecins vont profiter de la patiente
Publié le 26/08/2022 15:33
Mis à jour le 26/08/2022 20:19
A. Lay, A. Domy, C. Chabaud, C. Ricco -
France 2
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Deux faux médecins, inscrits sur Doctolib, ont malgré tout proposé des consultations, révèle Radio France, vendredi 26 août. Le parquet de Montpellier a ouvert une enquête pour "exercice illégal de la médecine". Doctolib promet de renforcer ses contrôles.
Deux faux médecins sur la plateforme de rendez-vous en ligne Doctolib : c’est ce dont a été victime cette mère de famille. Le 18 juin dernier, elle décide de prendre rendez-vous sur la plateforme pour ses deux enfants, car son médecin habituel est absent. La consultation s’effectue en visio avec une certaine Laura Smith, remplaçante d’un certain David Quentin, pédopsychiatre.
Très vite selon elle, la consultation s’avère suspecte. " La pathologie de mes enfants est une pathologie spécifique, avec beaucoup d’acronymes. Et quand j’utilise ces acronymes, j’ai l’impression que derrière, elle ne capte pas ", décrit Carole, la victime. La patiente ne recevra jamais l’ordonnance pour ses enfants. Elle ne recevra qu’une feuille de soins manifestement fausse, sans numéro d’inscription à l’ordre des médecins.
Doctolib a réagi. Auparavant, les médecins qui s’inscrivaient sur la plateforme avaient jusqu’à 15 jours pour prouver leur droit d’exercer. Un délai dont auraient profité les deux prétendus médecins, qui n’ont jamais fourni les documents.
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Deux médecins généralistes âgés de 60 ans, qui étaient dans la Sarthe, ont prétendu partir en retraite après 25 ans dans leur commune pour s’installer dans une autre commune dans la Manche et ils ont reçu l’aide pour s’installer dans un désert médical. Le docteur Jean-Paul Ortiz, président de la CSMF, nous explique.
" Je pense que cela traduit seulement le manque de médecins qui atteint l’ensemble du pays, quels que soient les endroits. On le voit en particulier dans le sud de la France, ce qui n’avait jamais été le cas avant. On a mis en place des aides à l’installation et ce qu’ont fait ces deux médecins est tout à fait réglementaire et légal. Alors bien sûr, c’est choquant, c’est un effet d’aubaine dont ils profitent ", juge Jean-Paul Ortiz.
" Nous manquons de médecins partout. Il faut continuer les aides à l’installation. Ce schéma-là, on ne l’avait jamais imaginé quand on avait mis en place ces aides à l’installation. Il faut probablement redéfinir les choses . Si des médecins quittent des zones sous-denses et qu’ils vont s'installer dans une autre zone sous-dense, ce n’est pas l’esprit de ces aides à l’installation bien évidemment, ça il faut donc l’empêcher. Malheureusement, c’est vrai que c’est compliqué partout ", explique le président d’honneur de la CSMF.
" C’est choquant. Je crois qu’il faut mettre en place un mécanisme qui empêche des médecins qui sont installés dans une zone sous-dense d’aller s’installer dans une autre zone sous-dense et de bénéficier des aides à l’installation. Mais il faut aller plus loin dans le raisonnement ", juge Jean-Paul Ortiz. " Aujourd’hui, pourquoi un certain nombre de médecins peinent à s’installer ? Pourquoi les anciens prennent la retraite à 60 ou 65 ans ? Parce que le métier n’attire pas ".
" Il faut revaloriser le métier de médecins de ville. Il faut, lorsqu’on veut faire du cumul emploi et retraite, dispenser les médecins des cotisations ou leur donner un plus de retraite. Bref, il faut essayer de tout faire pour maintenir une offre de médecins dans le territoire parce que les Français souffrent trop de ça, nous en sommes conscients. Nous essayons de trouver des solutions pour répondre aux besoins de la population, c’est notre responsabilité collective et on voit bien que ce que l’on a mis en place dans certains cas, peut dériver ", explique l’ancien président de la CSMF.
" Je sais que certains départements mettent en place des médecins salariés par exemple. Un médecin salarié aujourd’hui, voit moins de patients qu’un médecin libéral parce qu’il fait 35 ou 40 heures et qu’un médecin libéral en fait 55. Il faut dire aux responsables politiques de faire attention. Chaque fois que vous créez un poste de médecin salarié, quelque part, vous participez à l’aggravation de la diminution de l’offre de soins ", juge Jean-Paul Ortiz. " Il faut au contraire multiplier et soutenir les médecins libéraux parce qu’ils vont avoir plus de patients, ils vont prendre en charge plus de Français qui en ont besoin ".
" On ne peut pas laisser des millions de Français, on parle de 3 millions de Français qui aujourd’hui n’arrivent pas à avoir de médecin traitant. Là-dedans, il y a 600.000 patients qui sont atteints de pathologie chronique . Nous, médecins, ça nous choque, on ne peut pas rester comme ça. Il faut absolument soutenir la médecine libérale, on est prêts à assumer cette responsabilité vis-à-vis de la population et il faut qu’on nous y accompagne ", explique Jean-Paul Ortiz. " Tout le monde doit se retrousser les manches et se mettre autour de la table avec l’État, l’assurance maladie, les professionnels de santé, les médecins libéraux, les collectivités locales dans toutes leurs dimensions, les départements, les communautés de communes, les grosses communes entre elles, etc. On ne peut pas laisser les départements se tirer la bourre pour avoir un médecin".
" C’est choquant mais compréhensible parce que les politiques sont soumis à la pression de leurs élus. Donc, le maire, le président du département, de la communauté de communes, est prêt à mettre la main à la poche et à mettre beaucoup d’argent sur la table pour essayer de trouver des médecins . Je crois que ce n’est pas la bonne solution ", explique Jean-Paul Ortiz. " Voyons comment un maire d’une commune met à disposition d’un médecin, un petit local où il viendra deux fois par semaine alors qu’il vit ou exerce à 20 ou 30 km de là et l’assurance maladie paie le déplacement ", propose-t-il.
" Je trouve, en tant que médecin, qu’ils ont bénéficié d’un effet d’aubaine et en tant que citoyen, ça me choque ", explique-t-il à propos des deux généralistes. " Mais ils n’ont pas fraudé, ils ont utilisé une disposition qui est parfaitement réglementaire, qui est parfaitement cadrée. Ce ne sont pas des voleurs. On peut dire que l’administration n’a pas mis en place tous les garde-fous pour éviter ce type de dérive parce qu'on n'avait pas pensé à ce type de mécanisme. Mais encore une fois, je crois qu' il va falloir que tout le monde prenne conscience que l’on mettra pas un médecin dans chaque village . Il faut inventer une nouvelle façon d’accéder aux soins pour les Français avec en particulier le numérique, mais il n’y a pas que ça et il faut accompagner les médecins libéraux pour qu’ils se réorganisent ", explique Jean-Paul Ortiz.
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En France, patients comme médecins ont longtemps boudé cette forme de consultation. Mais son remboursement par la Sécurité sociale et la crise sanitaire ont fait décoller les chiffres en flèche.
Depuis sa chambre, parfois directement dans son lit. Dans la voiture, garée au parking, ou dans la rue. En balade en forêt, ou sur la plage… Depuis le confinement, les patients ont pris l’habitude de consulter un médecin ailleurs que dans son cabinet. Ce sont désormais eux qui choisissent le cadre de la consultation. Mais dans quelle pièce laisser entrer virtuellement le docteur ? On avait perdu l’habitude de lui donner accès à nos intérieurs. « Ça me rappelle les visites à domicile de mon enfance, constate Marie, 49 ans. Quand j’étais petite, dans le Nord, on allait très peu chez le docteur, c’est lui qui venait chez nous… » Cette pratique ayant complètement disparu, il n’y a plus que la médecine d’urgence qui se déplace désormais au domicile des gens.
La téléconsultation, c’est encore autre chose. Comme une téléportation du docteur, sauf qu’il n’est jamais physiquement là. En France, patients comme médecins ont longtemps boudé cette forme de consultation, seulement envisagée comme une solution aux déserts médicaux. Mais son remboursement à 100 % par la Sécurité sociale et la crise sanitaire ont fait décoller les chiffres en flèche : la caisse primaire d’assurance-maladie comptait 40 000 téléconsultations en février 2020 contre 4,5 millions en avril, au cœur du confinement. Depuis ? 650 000 en août et… 1,2 million pour septembre. De quoi l’inscrire durablement dans les nouveaux usages ?
Pour les médecins, il s’agit littéralement de travailler autrement, qu’ils soient généralistes, ORL, oncologues, dermato ou psy, comme Rachel Trèves. « Il me manque les corps ! », clame cette spécialiste de l’accompagnement des couples en parcours d’AMP (assistance médicale à la procréation). « Dans mon cabinet, beaucoup de choses se disent aussi au-delà des mots. La posture, les yeux, tous les gestes silencieux sont des informations… A travers l’écran, je ne peux pas tendre une boîte de mouchoirs ! »
En faisant valser l’unité de lieu de la consultation, les patients embarquent les soignants sur leur territoire à eux. Certains en profitent pour montrer au docteur leur appartement, tel un agent immobilier. Le docteur doit parfois expliquer qu’on se lève de son lit même pour une téléconsultation, ou qu’on ouvre les volets pour qu’il voie leur mine. D’autres le font bisquer devant la piscine de leur résidence secondaire. « On n’est plus dans le fantasme de l’intimité des patients, on est en plein dans leur intimité réelle » , souligne encore Rachel Trèves. On aperçoit le conjoint qui vient prendre une bière dans le réfrigérateur, ou qui télétravaille sur un coin de table, on entend les bruits de la maison…
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