Deux mecs pour une gourmande

Deux mecs pour une gourmande




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Deux mecs pour une gourmande
Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».


Cette publication vous est présentée grâce au fonds d'acquisition auquel les visiteurs peuvent contribuer. Ce fonds sert exclusivement à acquérir de nouveaux périodiques à archiver et que nous ne réussissons pas à obtenir dans les collections personnelles des visiteurs.
Archivé de: H pour H – Numéro 3
Date de parution originale: Septembre 1989

Date de publication/archivage: 2017-12-22

Auteur: Hervé
Titre: Deux mecs pour une première
Rubrique: Apprendre l'amour
Note: Le magazine Hommes pour Hommes ayant disparu, nous vous présentons alors sur l'archive des textes y ayant paru au fil des ans, à titre d'archive, le but premier de l'archive étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte, ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 4963 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Ma première expérience homo, je l’ai eue à dix-huit ans. J’avais déjà baisé avec une nana, mais je n’avais pas pris mon pied. C’était surtout pour faire comme les copains. Le soir, quand je me branlais, seul dans ma chambre, j’imaginais plutôt que je me retrouvais à poil dans un lit avec quelqu’un du même sexe que moi, et pour me faire jouir, je m’enfonçais deux doigts dans le trou du cul après les avoir passés dans ma bouche.

Après mon bac, j’ai trouvé un job de serveur dans un bar de Toulon. Je voulais me faire un peu de fric pour partir en Asie. Tous les jours, je voyais deux mecs, assis ensemble au moment de l’apéro. Ils avaient dans les trente ans, l’un était blond, tout bouclé, avec une forte corpulence, l’autre plus sec, brun et moustachu.

Quand je servais en terrasse, ils n’arrêtaient pas de me regarder et de m’envoyer des sourires. J’ai vite compris qu’ils étaient homos quand le moustachu s’est caressé les couilles en me fixant droit dans les yeux, au moment où je déposais leur pastis sur la table. Pendant deux ou trois jours, je me suis amusé à tortiller mon cul de façon provocante en venant les servir. Une complicité s’est établie entre nous, et je pressentais que c’était par l’un de ces deux types que j’allais me faire dépuceler.

Un soir de semaine, ils sont venus assez tard, à une heure où il n’y a plus grand monde dans le bar. Ils passent leur commande, puis le blond me demande où se trouvent les toilettes. Il savait où elles étaient, mais le petit clin d’œil qui a accompagné sa question était plus que suggestif. Je l’ai suivi. À peine arrivé dans les WC, il colle sa bouche à la mienne et m’embrasse tout en me caressant les fesses. Sa queue tendue s’écrasait contre mon ventre. Il a continué à m’embrasser tout en dégrafant mon pantalon, puis ses mains ont glissé sous mon slip et l’un de ses doigts est venu s’enfoncer dans mon trou du cul. C’est à ce moment-là que j’ai entendu :

— Entre, on est là, la première porte.

C’était son copain qui venait nous rejoindre. J’ai eu un petit moment d’hésitation quand je me suis retrouvé avec ces deux mecs, mais j’étais trop excité pour reculer. Ils m’ont baissé mon pantalon jusqu’aux chevilles. Eux, ils avaient juste sorti leur pine par la braguette de leur pantalon. Celle du blond était longue et fine, tandis que celle du brun était plus courte et plus large. Ils m’ont fait mettre à quatre pattes et ils m’ont longuement caressé le cul en écartant bien mes fesses pour voir ma rondelle. Ils n’arrêtaient pas de dire : «Quel joli cul !» Il fallait faire vite, car mon patron risquait de trouver mon absence louche. En plantant un doigt dans mon anus, l’un d’eux a dit :

— Il va falloir le lubrifier un peu, il est étroit.

J’ai senti une langue râpeuse aller et venir dans la raie de mon cul et s’attarder plus longuement sur mon orifice. Elle s’y est enfoncée plusieurs fois, puis c’est l’autre langue qui est venue entre mes fesses. J’étais excité comme jamais et je me laissais faire tout en me branlant.

— Faites attention, les gars, je suis encore puceau.

Je n’avais pas fini ma phrase que, déjà, la bite s’avançait dans ma chair. J’avais un peu mal, mais en même temps, j’éprouvais un plaisir extraordinaire. C’était le blond qui m'enculait. Je le su quand l’autre mec est venu en me disant simplement : «Allez, suce.» Je l’ai prise d’une main, j’ai ouvert ma bouche et je l’ai engloutie. J’étais excité comme un fou. Je ne ressentais plus aucune douleur, pourtant je me faisais limer très fort. À chaque coup de queue, j'avais du mal à ne pas décharger, mais je voulais jouir avec eux. Puis j’ai senti le foutre du blond gicler dans mon trou du cul. Aussitôt, le brun a dit :

— Attends. Moi aussi, j’ai envie de t’enculer.

Il est venu derrière moi et il m’a pénétré d’un coup sec. Heureusement que son copain m’avait élargi le trou du cul. J’ai quand même eu mal quand cette bite épaisse s’est enfoncée entre mes fesses. Je me cramponnais au tuyau d’écoulement quand l’autre est venu se faire sucer à son tour. Celui qui m'enculait a pris ma queue dans sa main pour me branler. Je me suis déchaîné avec ma bouche tout en bougeant mon cul dans tous les sens pour vite les faire jouir. Nous avons déchargé tous les trois ensemble. Je me suis rapidement rhabillé et je suis allé reprendre mon service. J’étais dépucelé.


Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».


Gros cul pour Queue XXL
La brune de tes rêves
Elle s'encule fbrilement sur son gode noir

Report Page