Deux mecs pour une

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Deux mecs pour une
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Enfin, j'ai trouvĂ© les mots pour expliquer ce que je ressens. Je suis en couple depuis 8 ans et je dois admettre que ma relation va trĂšs mal, de ma faute et de la sienne. Parfois, c'est mĂȘme insupportable. Mon conjoint est trĂšs axĂ© sur lui-mĂȘme: il doit ĂȘtre LE meilleur. Alors, voilĂ  depuis quelques temps, un de ses amis me faisait des avances, sans vraiment ĂȘtre direct. Vous savez, lorsque l'on reçoit des fleurs d'un cĂŽtĂ©, et seulement le pot sur l'autre, le choix n'est pas difficile, notre cƓur se dirige instantanĂ©ment vers les fleurs. Le hic, c'est que je crois ĂȘtre tombĂ©e en amour avec lui. Pour sa part, je ne suis pas certaine. Puisque nous sommes en couple tous les 2, et que j'ai un petit garçon, on n'ose pas se dire les vraies choses. Parfois, il me dit que nous devons continuer nos relations respectives. Et lorsque je l'Ă©coute et que je me retire un peu, il me dit qu'il s'ennuie. Je ne sais plus quoi penser. Je ne veux pas dĂ©truire la vie de mon fils, il n'a pas demandĂ© cela. En revanche, il doit bien s'apercevoir que ça ne fonctionne pas bien entre papa et maman. Et mon amant, lui, c'est l'inverse de mon conjoint. Il est doux, aimant, aime rire, tellement charmant. Tout ce que j'attends de mon conjoint, il me l'offre sans que je n'ai Ă  le dire. Et je parle de sentiment, lĂ , pas de matĂ©riel. Il me fĂ©licite pour des petits riens, est fier de moi. Mais, lorsqu'il s'Ă©loigne, car il a commencĂ©, rĂ©cemment, Ă  Ă©prouver une mauvaise conscience face Ă  son chum, soit mon conjoint, il a tendance Ă  s'effacer un peu de mon quotidien: il ne m'appelle pas, se contente de me saluer lorsqu'il me croise. Alors, je suis son ''beat''. Mais lorsque je le fais, il m'appelle et me dit qu'il s'ennuie Ă©normĂ©ment de moi. Lorsqu'il est en face de moi, il ne peut pas rĂ©sister, c'est plus fort que lui, il dĂ©sire me prendre dans ses bras et m'embrasser. Par contre, lorsqu'il est au tĂ©lĂ©phone, il est plus distant, parfois. Je m'en veux presque d'ĂȘtre stupidement tombĂ©e en amour avec lui car au tout dĂ©but, ce n'Ă©tait qu'une histoire sexuelle. Puis, malgrĂ© qu'il essaie parfois de se convaincre du contraire, nous Ă©prouvons des sentiments de plus en plus intenses l'un pour l'autre. Lorsque je suis sans nouvelle de lui, je ne vais pas bien. Je pense qu'il ne veut plus de moi. Je lui ai demandĂ© ce que nous allions faire plus tard, en lui mentionnant qu'on ne sera probablement plus capable de s'arrĂȘter. Il m'a rĂ©pondu: ''On verra cela en temps et lieu''. Je ne sais plus quoi penser. C'est stupide, me direz-vous, mais j'ai fait quelques petits tests suite aux conseils d'une amie. J'ai jouĂ© l'indiffĂ©rente, la fille qui ne l'aime pas, etc, et Ă  toutes les fois, ça lui a frappĂ© au cƓur...Et lĂ , je m'aperçois que j'Ă©cris depuis tout Ă  l'heure et que je ne parle que de lui. Quelqu'un m'a demandĂ© si je voulais enterrer le fossĂ© qui s'est creusĂ© entre mon conjoint et moi. Bien honnĂȘtement, je ne sais plus. Et si mon amant me disait qu'il plaque tout pour moi et me demandait de le suivre, je ne sais pas plus si j'accepterais, surtout connaissant le caractĂšre de mon conjoint. Je me sens tellement perdue: j'ai l'impression de vivre une peine d'amour avec un homme tout en Ă©tant couple avec quelqu'un d'autre...

il est imposible d aimer deux homme a la foi car par experiance

je vis aujourd'hui la meme histoire , de retrouver celui que l'on a aimé il y a 20ans, je n'étais pas dispo a cette époque, aujourd'hui c'est lui, suivre son instinct, toujours en respectant l'autre, la vie choisit pour nous.

Je vis la mĂȘme situation depuis quelques semaines seulement
Je me retrouve totalement dans ce que vous Ă©crivez.
Je pense qu'Ă  40 ans , on a besoin de ces Ă©motions nouvelles, de ce regard frais et valorisant d'un autre homme mĂȘme si on aime toujours le premier ...
Mais lorsqu'on le peut, l'idéal est de garder les deux (hommes) en essayant de n'en blesser aucun.
Si Didier l'accepte, cette situation est idéale .... pour vous !
Carpediem !

Ne vous emballez pas trop vite , j'ai vĂ©cu Ă  peu prĂšs la mĂȘme situation...J'ai quitter mon mari et aujourd'hui je le regrette plus que tout mais bon moi je ne pourrai plus revenir en arriĂšre sauf que vous il est pas trop tard ! Bonne continuation .
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Peut-on commencer une histoire d'amour avec un ami d'enfance retrouvĂ© sur internet ? Et quelle place lui donner quand on est mariĂ©e et fidĂšle au mĂȘme homme depuis vingt ans ? Autant de questions qui se posent Ă  Catherine, troublĂ©e par le retour de Didier dans sa vie.
"En novembre 2008, j'ai reçu un mail d'un ancien camarade de classe, Didier, via Copains d'avant. On consulte ce site pour retrouver des gens avec qui on était à l'école. Je m'étais inscrite peu de temps avant. Je voulais renouer avec une copine qui était partie étudier aux Etats-Unis, parce que ma fille cherchait un stage là bas. En fait, j'ai retrouvé plein d'autres copains, mais pas elle. Donc j'ai reçu un message de Didier, auquel j'ai répondu par trois mots seulement. Ma fille partait finalement le lendemain au Brésil pour son stage. Je lui ai expliqué que je reviendrais vers lui quand ce serait plus calme. Je l'ai recontacté la semaine suivante.
Nous Ă©tions contents de nous retrouver. Je me souvenais trĂšs bien de lui. Nous avons grandi dans le mĂȘme quartier, et passĂ© deux ans ensemble en primaire. Entre nous il n'y avait pas une complicitĂ© particuliĂšre, mais plutĂŽt une saine Ă©mulation dans le travail. Nous Ă©tions tĂȘtes de classe tous les deux, avec chacun son domaine de prĂ©dilection : les maths pour lui, le français pour moi. Nous Ă©tions proches sans l'ĂȘtre vraiment. Je l'ai perdu de vue quand je suis entrĂ©e en 6 Ăšme , parce que nous n'avons pas choisi les mĂȘmes langues. Nous Ă©tions quand mĂȘme dans le mĂȘme collĂšge et le mĂȘme lycĂ©e. Je me souvenais de quelqu'un de rĂ©servĂ©, calme, rĂ©flĂ©chi, agrĂ©able. S'il avait eu une personnalitĂ© un peu plus exubĂ©rante, comme d'autres copains que j'ai retrouvĂ©s, nous serions peut-ĂȘtre restĂ©s en contact plus longtemps. Mais il Ă©tait trĂšs timide.
Nous nous sommes vite dit que, peut-ĂȘtre, nous avions envie de nous revoir.
Nous nous sommes rĂ©sumĂ© vite fait nos vies d'adultes respectives par mails. Lui Ă©tait sĂ©parĂ© depuis peu, avec deux fils. Il habite en rĂ©gion parisienne, prĂšs de lĂ  oĂč nous avons grandi. Il est cadre dans une grande entreprise. Moi, femme au foyer, mariĂ©e depuis plus de vingt ans avec quelqu'un que j'ai rencontrĂ© au lycĂ©e, mĂšre de deux grands enfants, installĂ©e depuis quelques annĂ©es prĂšs d'Aix-en-Provence. Il traversait une sale pĂ©riode, c'Ă©tait dur moralement. Nous avons commencĂ© Ă  Ă©changer des mails sur un rythme un peu plus soutenu. Puis je l'ai appelĂ©. Nous Ă©tions Ă©mus de nous entendre. Nous nous sommes appelĂ©s de plus en plus souvent, de plus en plus longtemps. Mon mari est tout le temps en voyage. Il dirige une entreprise qui a des filiales dans toute l'Europe. Au travers de ses mails, dĂ©jĂ , je sentais - comment dire, comment qualifier ça ? Une certaine forme de penchant. Nous nous sommes vite dit que, peut-ĂȘtre, nous avions envie de nous revoir.
Mais je l'ai averti tout de suite : j'étais trÚs heureuse en famille , j'étais comblée.
J'ai eu l'occasion de monter en rĂ©gion parisienne en janvier 2009, pour rejoindre mon mari Ă  Paris, oĂč nous avons un pied-Ă -terre. Nous nous sommes donnĂ©s rendez-vous un vendredi soir. Mon mari avait une soirĂ©e, avec des Anglais, Ă  laquelle je n'avais pas envie de participer. Nous nous sommes retrouvĂ©s Ă  la gare la plus proche de son domicile. C'Ă©tait une grosse Ă©motion. Il avait une rose Ă  la main. Je suis sortie du train et je suis tombĂ©e sur lui.
Je l'ai reconnu tout de suite à ses yeux, à son regard bleu. Il n'y avait pas de doute : il a des yeux bleus exceptionnels. Lui, je ne sais pas à quoi il m'a reconnue. Ce que j'ai vu tout de suite c'est qu'il avait les traits trÚs tirés. Il vivait un moment difficile, aprÚs sa séparation. Dans la voiture, il m'a vite attrapé la main, que j'ai reprise. J'étais un peu sur mes gardes. Je sentais qu'il avait idéalisé la gamine de 9 ans qui avait toujours de bonnes notes en classe. Il était trÚs affectueux et, je pense, en demande de tendresse. Cela m'a incitée, dans un premier temps, à garder mes distances.
J'avais envie de revoir la rĂ©gion. Nous nous sommes promenĂ©s dans un parc oĂč nous allions quand nous Ă©tions enfants. Il m'a dit qu'il avait longtemps et souvent pensĂ© Ă  moi. J'ai compris qu'il avait Ă©tĂ© amoureux de moi. Il ne l'a pas dit comme cela. C'Ă©tait subtil. C'est quelqu'un qui est plein de dĂ©licatesse.
Il m'a prise dans ses bras, m'a embrassée
J'avais prévu de rentrer en fin de soirée, aprÚs le restaurant. Nous sommes passés chez lui pour boire un verre avant de ressortir. Nous n'avons pas bu. Il s'est montré trÚs empressé. Je n'ai pas résisté. Nous étions assis l'un à cÎté de l'autre sur un canapé. Il m'a prise dans ses bras, m'a embrassée. Je n'étais pas fiÚre, trÚs chamboulée. J'ai toujours été fidÚle à mon mari. Je n'ai connu aucun autre homme. Il a commencé à me déshabiller. Je lui ai demandé de monter dans la chambre. Voilà, c'est comme ça que nous avons fini la soirée.
Nous ne sommes pas allĂ©s au restaurant. J'ai pleurĂ© beaucoup aprĂšs. Nous avons grignotĂ©. Nous avions faim, quand mĂȘme. Nous avons parlĂ© longuement. Je lui ai dit que ce n'Ă©tait pas moi. Sur le coup j'ai regrettĂ©. J'ai expliquĂ© Ă  Didier que je n'aurais pas dĂ». J'Ă©tais aussi un peu stressĂ©e, parce que je regardais ma montre. Je ne devais pas rentrer trop tard. Il m'a raccompagnĂ©e Ă  Paris. Nous ne nous sommes pas parlĂ© dans la voiture. Nous Ă©tions trĂšs tendus tous les deux. J'Ă©tais un peu effarĂ©e de ce que je venais de faire. Lui se demandait si nous allions nous revoir et nous reparler. Ce qui fait que nous n'avons pas Ă©changĂ© un mot pendant trente kilomĂštres. Tout ça pour dire que nous nous sommes envoyĂ©s des messages, que nous avons recommencĂ© Ă  nous Ă©crire. J'ai dĂ©cidĂ© de le revoir rĂ©guliĂšrement. Nous nous sommes redĂ©couverts. C'est vrai que nous ne nous connaissions pas beaucoup.
Je n'avais pas conscience que c'Ă©tait un enfant qui avait eu du mal Ă  s'intĂ©grer, qui avait souffert parce qu'il avait de l'avance. Il avait sautĂ© le CE2, c'Ă©tait le plus jeune de la classe. Moi j'ai un mari qui est, comment dire, solaire, qui rayonne, qui est trĂšs volubile, alors que Didier est plutĂŽt dans la discrĂ©tion, la rĂ©serve, l'observation. J'ai dĂ©couvert un passionnĂ© d'aĂ©ronautique. Il a travaillĂ© dans des compagnies aĂ©riennes. Il a toujours Ă  cƓur de m'expliquer pourquoi un avion ceci, un avion cela. Ce qui lui a manquĂ©, ces vingt derniĂšres annĂ©es, c'est de l'Ă©coute, de la complicitĂ©, de la tendresse. La deuxiĂšme rencontre, vers la mi-fĂ©vrier, ce n'Ă©tait pas Ă  Paris mais Ă  AlĂšs, oĂč ses parents ont une maison. Il est descendu avec ses parents et ses fils. J'avais rencontrĂ© son papa quand nous Ă©tions petits. Ils m'ont particuliĂšrement bien accueillie. J'ai fait la connaissance de ses fils, tout aussi agrĂ©ables que leur pĂšre.
J'ai passĂ© deux jours lĂ -bas. Nous n'avons rien cachĂ©, ni Ă  ses parents, ni Ă  ses fils. J'essayais de ne pas ĂȘtre trop dĂ©monstrative. Je suis mĂšre aussi : je peux imaginer la rĂ©action de deux adolescents de 12 et 15 ans. Cela ne m'a pas empĂȘchĂ©e d'avoir des gestes de tendresse, d'amour, en public. C'Ă©tait naturel et spontanĂ©, parce que c'est rĂ©ciproque.
Didier est nettement plus fleur bleue que mon mari. Nous nous baladions main dans la main dans la forĂȘt. Nous Ă©tions un peu Ă©patĂ©s de nous retrouver. Lui, aprĂšs ce qu'il s'Ă©tait passĂ© en janvier - j'Ă©tais trĂšs dĂ©boussolĂ©e -, il pensait que j'allais couper court. Moi j'Ă©tais Ă©tonnĂ©e d'ĂȘtre lĂ , mais heureuse, surprise dans le bon sens du terme. Quand on commence une aventure comme ça, Ă  cet Ăąge-lĂ , on veut essayer de rester raisonnable, maĂźtre de ses sentiments, de ses Ă©motions, mais il n'y a pas moyen. On se retrouve comme deux adolescents au dĂ©but d'une histoire.  
Le principal pour lui c'est que je sois heureuse
C'est une seconde jeunesse, physique et Ă©motionnelle. Avec Didier, nous avons une complicitĂ© complĂšte. Nous sommes sur la mĂȘme longueur d'onde, tant au niveau intellectuel que physique. Il y a beaucoup d'attirance, un Ă©lan tout neuf. On vit avec la mĂȘme personne depuis vingt-cinq ans, mĂȘme si ça se passe trĂšs, trĂšs bien, il y a l'adrĂ©naline de quelque chose de nouveau. Et aussi le fait que l'absence entretient le dĂ©sir.
Nous nous voyons au mieux toutes les quatre semaines. Il y a de l'attente exacerbée, disons. Au début nous avions tendance, comment dire, à passer deux jours au lit. Maintenant nous arrivons à équilibrer nos week-ends avec de multiples activités : cinéma, restaurant, balades. J'en ai vite parlé à ma meilleure amie . C'est lourd à porter. En partageant, ça s'allégeait. Elle est d'abord tombée un peu sur les fesses, comme on dit. Sa premiÚre réaction c'était : 'Une autre, oui ; mais toi, j'aurais jamais cru !'
Il a rencontrĂ© cette amie, et aussi une cousine, et ma sƓur. Ça, c'est ma façon d'assumer. Je le sors un peu de ma boĂźte Ă  secrets. Avant je n'avais pas de boĂźte Ă  secrets. Je pense qu'il apprĂ©cie particuliĂšrement. Il sait que ma situation est dĂ©licate. Il n'attend rien. MĂȘme si nous sentons que nous avançons Ă  grands pas. Le principal, pour lui, c'est que je sois heureuse.
Ce n'est jamais lui qui appelle. Il sait que je peux avoir les enfants avec moi. Nous partageons les emplois du temps. Si je suis libre à 11 heures, il n'appellera pas avant 11 heures. Nous nous écrivons le matin, il sait à quelle heure il peut appeler. Au début j'étais un peu insouciante. Il y a des choses qui auraient pu m'échapper au niveau des mails. C'est lui qui m'a dit de créer un compte personnel, avec un mot de passe.
Ce serait plus difficile si nous étions plus prÚs l'un de l'autre et si nous essayions de nous voir réguliÚrement. Cela demanderait alors de l'organisation. Ce qui est pesant c'est le temps. C'est long, entre deux fois. Si nous avions tous les deux 30 ans, nous serions trÚs impatients d'avancer plus vite. Là nous savons bien que ce n'est pas raisonnable, que cela ne se fait pas du jour au lendemain. Que cela se fasse un jour, je ne l'exclus pas. Mais si je l'envisage, je veux l'envisager à ma façon, sans drame, sans déchirement, autant que possible. Je pense que c'est possible.
Lui, il a fait un beau parcours, il a une carriÚre remarquable, mais il n'avait pas une ambition démesurée. Moi, avec mon mari qui voyage beaucoup, j'avais deux enfants en bas ùge, j'ai fait le choix de m'occuper d'eux. Maintenant je vais retravailler. Je suis encouragée à double titre : ils m'encouragent tous les deux. Didier a plus tendance à me mettre sur un piédestal. Si tout va bien, je monte à Paris dans un mois. Nous passons le week-end chez son frÚre. Souvent, je culpabilise un peu avant de partir. Ce n'est pas moral mais ça ne se commande pas.
Je n'aurais jamais cru rencontrer un deuxiÚme homme de ma vie. Et pourtant, si ! 
Didier, c'est le deuxiĂšme homme dans ma vie, dans la mesure oĂč je suis bien avec lui ; je le comprends, il me comprend, mais quelque part, quand on se voit seulement pour le plaisir, quand on ne partage pas les soucis quotidiens, la fatigue, les contraintes, ça reste trĂšs idyllique. Il ne peut pas y avoir d'ombres au tableau. Ça n'empĂȘche pas que tous les deux nous avons trĂšs envie de dĂ©passer ça. Ce n'est pas une vie, d'ĂȘtre ensemble deux jours par mois. Nous nous sentons capables de partager d'autres choses.
Avant lui, je me disais que c'était une chance d'avoir quelqu'un depuis 30 ans dans sa vie. D'avoir partagé plein de choses, surmonté plein de difficultés, évolué ensemble. Nous avons aussi nos enfants. Avec Didier, nous nous voyons depuis un an, mais c'est comme si nous nous connaissions depuis toujours".
Article publié initialement dans le magazine Marie Claire en avril 2010
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ArchivĂ© de: Gay Relations – NumĂ©ro 22
Date de parution originale: inconnue

Date de publication/archivage: 2017-09-23

Auteur: Martin
Titre: Deux mecs et une nana
Rubrique:
Note: Le magazine Gay Relations ayant disparu, nous vous prĂ©sentons alors sur l'archive des textes y ayant paru au fil des ans, Ă  titre d'archive, le but premier de l'archive Ă©tant que la littĂ©rature homo-Ă©rotique se prĂ©serve au fil du temps. Si vous ĂȘtes l'auteur de ce texte, ou si vous dĂ©tenez des droits lĂ©gaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans dĂ©lais.
Ce texte a été lu 6574 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


J’ai rencontrĂ© Emmanuel et Évelyne grĂące Ă  une petite annonce. Ils prĂ©cisaient qu’ils recherchaient un mec pour participer Ă  leurs petits jeux de couple. J’avais dĂ©jĂ  connu un couple comme ça et nous avions pratiquĂ© le triolisme avec beaucoup de bonheur. Il faut dire que le mec Ă©tait pratiquement impuissant et qu’il n’arrivait Ă  bander que lorsqu’un autre type s’occupait de sa femme. Je pensais que sur ce coup lĂ , ce serait plus ou moins la mĂȘme chose. J’ignorais que j’allais dĂ©couvrir ma bisexualitĂ©.

Notre premiĂšre rencontre s’est dĂ©roulĂ©e dans un bar. Je trouvais Évelyne fort mignonne. Emmanuel n’était pas mal non plus : viril et sportif, il n’était sĂ»rement pas impuissant comme l’autre. Comme ça collait bien entre nous, j’ai proposĂ© de poursuivre la soirĂ©e chez moi. Évelyne accepta ma proposition avec empressement. Emmanuel aussi.

Chez moi, les choses se dĂ©roulĂšrent tout naturellement : Évelyne vint se coller contre moi, sa tĂȘte sur mon Ă©paule, son sein Ă©crasĂ© sur mon bras, sa main posĂ©e sur ma braguette. Pendant qu’elle me tripotait la queue, je commençais Ă  l’embrasser, enfonçant ma langue dans sa bouche sous le regard brillant de son amant habituel, qui en sirotant son verre, se touchait la queue, la gonflant lentement Ă  travers l’étoffe de son pantalon. J’avoue que j’étais troublĂ© par son regard, tout autant que par la branlette insistante de sa copine. Lorsque j’ai culbutĂ© la fille, lui Ă©cartant les cuisses pour, l’enfiler, j
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