Deux mecs molestés

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Deux mecs molestés
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Vendredi 19 août 2022
 



Proverbe du Jour : «C’est seulement avec astuce qu’on parvient à chasser une mouche, non en agissant rapidement.» Proverbe Africain



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Que de passion autour de ce qu’il convient maintenant d’appeler affaire du gendarme et du journaliste. Deux agents sont affectés, pour accomplir chacun son ‘’job’’ à la journée nationale du paysan à Kaya, dans la région du Centre-nord. L’un pour assurer la sécurité des biens et des personnes, l’autre pour couvrir, assurer une visibilité de l’événement. Le gendarme et le journaliste. Le pandore projette à deux reprises le journaliste au sol pour, parce que, dit-on, ce dernier est passé par-dessus un cordon de sécurité. Le Chef de l’Etat lui-même déplore ce qu’il qualifie d’acte aux antipodes de notre époque. Le Colonel Baggna Boukari, commandant le Groupement de sécurité et de protection républicain (GSPR), la garde rapprochée du président, également condamne l’attitude de son élément en parlant de « violence gratuite ». Il se trouve pourtant des ‘’illuminés’’, loin des lieux, qui tentent de justifier l’acte du gendarme.
Arrivés sur l’aire de la célébration de la journée nationale du paysan à Kaya, les journalistes sont passés au scanner et fouilles. Comme tout le monde. C’est la règle, et personne ne peut se débiner. La tente réservée pour les hommes de média est déjà occupée, que faire ? Munis de leurs badges, certains prennent place à même le sol, au soleil, tandis que d’autres cherchent des solutions pour se mettre à l’abri des rayons de l’astre.
Il semble que Guézouma Sanogo a franchi une barrière (en réalité le ruban attaché autour du hangar initialement réservé aux hommes de médias), pour aller chercher une chaise qu’un tricycle venait de convoyer sur le lieu de la cérémonie. A son retour finalement sans chaise, le passage lui est refusé par l’agent en faction. Que se sont-ils dits ? On ne le saura pas. En tout cas, comme dans une arène de lutte, le journaliste est projeté au sol, une première fois. Puis une deuxième. Résultat, son visage est tuméfié, il saigne.
Voici l’incident qui, théorie de l’agenda oblige, a volé la vedette à la cérémonie pour laquelle tous étaient conviés.
Quand le chef de l’Etat lui-même déplore
Au plus haut niveau, juste après la cérémonie, le chef de l’Etat Roch Kaboré sans détours a condamné l’acte du pandore. "Je regrette sincèrement ce qui s’est passé car il n’est pas normal qu’à notre époque encore de telles choses se passent. Je voudrais simplement présenter mes vœux de prompt rétablissement à M. Sanogo. J’ai toujours dit et répété que la sécurité doit d’abord respecter les individus. Cela est une priorité et même si nous assurons la sécurité, nous devons garder notre sang froid pour éviter de tels dérapages qui dénaturent notre démocratie".
En dépit de ce dérapage, selon le mot du chef de l’Etat, il y en a qui trouvent quand même des explications. Pis, ils le soutiennent et félicitent le gendarme. Loin de toute position corporatiste, nous disons que ce n’est pas parce que c’est un confrère qu’il faut s’en offusquer. Est-ce seulement par des méthodes barbares et rétrogrades qu’il faut résoudre ce genre d’incidents. Si la violence gratuite est l’œuvre d’une force qui a du mal à être tranquille, au lieu d’applaudir, il faut plutôt craindre. Cela n’arrive pas qu’aux autres.
Le chef du Groupement de sécurité et de protection républicaine (GSPR), la garde rapprochée du chef de l’Etat a également condamné l’acte de son élément. Mieux il a rassuré que « les dispositions sont prises pour que l’intéressé soit enlevé du dispositif et les mesures vont suivre ». Qui mieux que son supérieur pour apprécier le comportement de son élément ?
Guézouma Sanogo ne s’était pas invité à la cérémonie. Si les organiseurs ont jugé utile d’établir un badge qu’il a porté au cou, c’est pour que cela serve à quelque chose. Et ce petit identifiant qu’il portait a été conçu au nom de son service, la Radio nationale du Burkina. Il a franchi une barrière ? C’est peut-être une faute. Mais de là à dire comme certains que le gendarme a fait son travail, c’est le triste rubicon à ne pas franchir. Le gendarme n’était pas là pour casser toute personne qui ne respecterait une quelconque consigne de sécurité. Après l’acte, le fautif a été exfiltré par un de ses frères d’armes. Ce dernier s’est-il rendu compte de l’excès ?
Ils veulent une chose et son contraire
‘’ Je pense que le Gendarme ne l’a pas bien eu sinon il devrait se réveiller aux urgences à Yalgado, ‘’le journaliste n’est pas un citoyen au-dessus des lois’’, « Les journalistes, les magistrats ont tendance à penser qu’ils sont des supers citoyens ! », ce sont entre autres les commentaires que l’on a pu lire sur le forum de Lefaso.net. C’est à croire que cet incident a été l’occasion d’exhumer des vieilles rancœurs.
On ne réclame pas une prime à l’impunité ! Entre Forces de défense et de sécurité et journalistes, les couacs sont presque quotidiens dans les cérémonies. C’est souvent plus tendu, mais rarement les débordements ‘’langagiers’’ n’occasionnent de blessés. S’il y a des apôtres de la ‘’violence gratuite’’ pour applaudir à tout rompre parce qu’un pandore a violenté un citoyen, malgré les condamnations du président du Faso et du commandant de la GSPR, il y a de quoi se demander à quelle époque certaines personnes voudraient ramener les Burkinabè.
Mais bon ! Puisque les réseaux sociaux sont parfois une affaire d’officines les unes plus corporatistes que les autres…

1 .


Le 15 mai 2017 à 00:12 , par vérité no1

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

Merci Tiga Cheick Sawadogo, voilà la vérité devant nous !
2 tanties dont je tairai les noms ont voulu même en découdre avec moi !
Je répète encore que ce gendarme doit être puni, point barre !


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Le 15 mai 2017 à 15:26 , par Intrigué

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

Si vous avez suivi l’investiture du président Macron en France (et surtout prêté bien attention), lors du ravivement de la flamme et du dépôt de fleur par M. Macron sur la tombe du Soldat Inconnu, un élément certainement de sécurité (il était en civil) a saisi par l’arrière de sa veste un photographe qui semblait vouloir faire une photo de trop près et l’a ramener fermement vers l’arrière.
Les motards des chaines de télévisions qui suivaient le cortège du président étaient systématiquement tenue a une certaine distance par ceux de la gendarmerie.
Notre Gendarme est certainement allé trop fort. Mais il bénéficie d’une circonstance atténuante. On ne badine pas avec la sécurité du Chef de l’Etat. En France encore, Hollande qui n’est plus président aura droit à la sécurité pendant 5 ans encore, pour dire combien on ne plaisante pas avec la sécurité des Chefs d’États surtout en ces temps de terrorisme. Oui, il serait bien heureux les terroristes qui se paieraient le luxe de tuer un président.
Je voudrais interpeller tout un chacun, respecter les cordons de sécurité. Et aux FDS, soyez un peu plus cool.


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Le 15 mai 2017 à 16:10 , par La Barbe

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

Il faudrait aussi que nous sachions vraiment prendre part dans les discussions. Je pense que nous sommes tous responsables de ce que nous vivons parce nous sommes dans un système sécuritaire très très capital et chaque geste doit être analysé de près. Surtout dans un grand évènement comme cette JNP. Je prend un exemple où si une bombe éclatait, ou quelque chose de grave se produisait au milieu de cette immense foule à l’instant donné, on dirait que c’est la faute de la sécurité. Chacun doit jouer sa partition afin que notre sécurité soit vraiment une bonne sécurité:les gendarmes, les journalistes, les paysans, ainsi que autre citoyen. Nous sommes dans un pays de droit et je pense que chacun est libre de donner son point de vue face à une situation. Et pour ça je pense que la situation socio-politique est telle que les condamnations au plus haut niveau ne pouvaient en être autrement ! Je suis désolé mais je suis d’avis avec celui qui a dit je cite "vous voulez une chose et son contraire". On veux être sécuriser mais on ne veut pas qu’on nous exige aussi un peu d’effort.
Salut. Je pense que vous n’avez pas compris ni le President ni l’auteur de cet article. Tous s’accordent sur la necessite de la securite. Mais il faut que ceux qui assurent notre securite nous respectent et soient professionnelles. Ne le souhaitons pas comme vous le dite. Si c’etait un terroriste avec une bombe ce nest certainement pas en le violentant que l’agent aurait reussi a eviter quoi que ce soit. Alors ne penser pas que ca n’arrive qu’aux autres. Le pays a besoin de tous pour sa securite et son developpement. Calmons nos esprits et oeuvrons pour la paix. Mes salutations fraternelles

2 .


Le 15 mai 2017 à 00:12 , par le patriarche

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

Bonsoir le Faso.net, bonsoir mes confrères journalistes. Je partage votre indignation en tant que concitoyen. Certains diront que j’ai pris parti avec les journalistes ; au contraire, non. Juste signaler une remarque : il y a certainement un problème dans le commandement de la Gendarmerie. Ce qui est inadmissible est encouragé par le commandement de la gendarmerie. Ils en font une fierté voire une leadership. Même les autres corps habillés subissent la barbarie de ces gendarmes mais à tout moment, leurs hiérarchies les soutiennent. Cela a commencé sous la transition et a eu de l’ampleur sous le régime de MPP. Leurs attitudes vont des actes matériels d’agression jusqu’aux propos diffamatoires contre les autres corps. Les preuves sont énormes, pas la peine de citer quelques unes. Souvent ils le font avec la complicité de certaines médias devenues pandores.
CE QUI EST INOUI EST QUE LES GENS LES CAUTIONNENT, ILS LES CONSIDERENT COMME DES SAINTS ENOYES POUR INSTAURER L’ORDRE DIVIN. Aussi, aucune autorité ou sage ne se prononce là dessus.
POUR MA PART, J’INVITE TOUT BON CITOYEN A RAPPELER SUR LES COMPORTEMENTS D’AVANT DE NOS MILITAIRES. QUELLES ONT ETE LES CONSEQUENCES ?
ENSUITE FAIRE UNE ANALYSE DES COPORTEMENTS DES GENDARMES A NOS JOURS. QUELS SERONT LES RISQUES ? Merci !


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Le 15 mai 2017 à 10:06 , par citoyen lamda

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

Entièrement d’avis avec vous. Il faut que l’on comprenne qu’avant de défendre l’ordre public il faut veiller à ne pas dénigrer ou violenter quelqu’un parce que tout le monde fait partie de ce grand public pour qui ils se disent assurer la sécurité. Salut !


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Le 15 mai 2017 à 10:13 , par citoyen lamda

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

Entièrement d’avis avec vous. Il faut que l’on comprenne qu’avant de défendre l’ordre public il faut veiller à ne pas dénigrer ou violenter quelqu’un parce que tout le monde fait partie de ce grand public pour qui ils se disent assurer la sécurité. Salut !
Je crois qu’il faut revoir la formation des uns et des autres : d’abord celle des gendarmes et ensuite celle des journalistes ; est-ce que le fait de porter un badge, aussi officiel soit-il nous autorise à passer par les murs ? Est-ce que la gendarmerie doit systématiquement violenter tout porteur de badge officiel ? Le gendarme est en tenue et le journaliste aussi. Entre eux, la formation et la courtoisie ont fait défaut ; à moins que la JNP de Kaya ne se soit subitement transformée en "doumbélane".


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Le 15 mai 2017 à 11:44 , par LE CITOYEN OMEGA

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

C’est vraiment dommage. Les journalistes !!!,TOUJOURS EUX ! LES DISEURS DE LEÇONS ET DÉTENTEURS DE LA " VÉRITÉ ABSOLUE". GRATTENT TOUT LE MONDE ET N’IMPORTE QUI A LEUR GUISE ET NE SUPPORTENT JAMAIS ETRE CHATOUILLES... vous savez combien d’âmes vous avez saignées et détruites par vos actions intéressées et personnelles malhonnêtement élaborées à des fins de destruction délibérée sous le sceau du journalisme ? Noble fonction éducative en détresse.....L’autre n’a saigné que du nez et à même poursuivi sa mission avec une leçon du respect d’autrui ...
Oui la "redoutable génération de journalistes" avec en son sein des "journalistes" extra-compétents dans ce qu’ils font et inventent, excellents dans l’ arrogance, le défi à l’autorité, les "au-dessus des autres", l’exhibitionnisme, pédants dans les analyses,experts en ragots de toute sorte, excessivement ambitieux et surtout croyant que le commun des mortels avalent les absurdités qu’il balance impunément à la société. Des rigollots, vous aimez vous adonner à des comparaisons absurdes,inadaptées et de façon éhontée.
"le Président a dit , le Col.chef de sécurité du GSPR à dit, donc..." vous êtes vraiment simplistes dans la vision et l’analyse des choses des conclusions de facilité et dépourvues de tout professionnalisme ; et ça ! c’est tout sauf du journalisme.
Cette nouvelle génération connait tout sur la sécurité, veut apprendre aux forces de sécurité leur travail, et se fait le malin plaisir à tout contester des mesures sécuritaires élaborées et mises en place à l’occasion par des professionnels pour la sécurité des journalistes, des citoyens, des installations ....
L’autre génération qui nous a toujours inspirés, responsable, professionnelle, avec des moyens rudimentaires a fait la fierté de nos organes de presse durant des décennie et en bonne intelligence avec les forces de sécurité du faite de leur professionnalisme avéré et personne n’a eu le nez traumatisé... Soyons sérieux et responsable, certains journalistes sont experts en provocation des forces de sécurité dans l’exercice de leur service par des enfreints aux dispositifs sécuritaires en place, des contestions gratuites risquées, des propos méprisants manifeste de la provocation pure et simple...Chacun doit œuvrer à la réussite de sa mission tout en respectant les autres collaborateurs sans préjugé ni défiance.
Rien n’a échappé aux citoyens avertis et responsables dans ce pays. Alors restons sereins dans le respect et la considération mutuelle dans l’intérêt du Burkina et du peuple Burkinabè.
LEÇON : L’arrogance est comme la tempête, qui provoque la frustration, récolte la violence.
L’humilité crée l’Amour et le respect mutuel...A bon entendeur .....


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Le 15 mai 2017 à 15:42 , par mardimatin

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

Soutien. Tu as tout dit de ces individus qui se prennent pour les enfants gâtés du Faso.


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Le 15 mai 2017 à 16:18 , par Rocky 1er

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

Tout à fait d’accord avec vous citoyen Omega. Il y a vraiment à dire sur le comportement de ces journalistes nouvelle génération. Ils sont trop arrogants, et ne font pas le poids devant leur ainés qui on travaillé sans moyens.
J’étais vraiment déçu d’eux quand j’ai lu et écouté leurs analyses lorsque les Algériens leur avaient refusé le visa pour le match du RCK

3 .


Le 15 mai 2017 à 00:14 , par Triste

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

Quelle époque ? Pendant que le peuple se bat pour que la lumière soit faite sur la mort de Norbert Zongo, un journaliste assassiné, il se trouve une race de burkinabé de l’ère précambrienne à louer un gendarme aigris et frustré qui envoie sans management les gens au tapis on dirait un brave lutteur du Nayala mais sauf que là nous sommes loin de l’arène.
Il faut sanctionner ce monsieur qui va sans doute faire perdre encore a notre pays des points dans le classement sur la liberté de la presse.
Et dans tout cela je ne vois pas ce que les magistrats ont a voir avec cette histoire ... Probablement que la personne qui trouve que journalistes et magistrats qui ne sont d’ailleurs pas les meilleurs amis, se pernnent pour des super citoyen à un différend avec ces corps, ou des rancœurs. Il faut boire de l’eau ça va passer. J’espère seulement qu’ils ne t’on pas retiré ta copine.

4 .


Le 15 mai 2017 à 00:17 , par vérité no1

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

Vive les journalistes ! Vive les médias !
Celui qui n’aime pas les journalistes, eh bien qu’il saute et atterrisse à Adjamé, point barre !!!!!!!

5 .


Le 15 mai 2017 à 01:08 , par Le borgne

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

Franchir une barriere de security c’est de l’incivisme. Le gendarme etait la pour faire respecter la regle. Il a bien fait son boulot. C’est paa parce que l’on a un badge au coup qu’il faut pas respecter la regle. Il a eu sa dose alors la prochaine fois il va faire le tour et entrer par la voie prevue pour le passage.
Si le badge est un paase alors il devrait le presenter au point d’entree prevue. Mais si ce journaliste laisse le point de passage pour franchir les barrieres alors la voie doit lui etre barrer y compris par la force.
Bravo au gendarme m’en deplaise au chef de l’etat et sa suite. La civisme cimmence par la. L’existance de regles claires qui s’appliquent a tous sans exception. C’est ça le vivre enswmble.
C’est parce que vous avez l’information que vous commentée n’est ce pas si et seulement vous saviez ce qu’endure le journaliste pour vous ramener l’info, vous ne le traiterait pas ainsi bien qu’il ne soit pas un super homme


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Le 15 mai 2017 à 10:45 , par El Hadj YANOGO

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

Mon fils, laisse Le Borgne dans ses errements ! C’est certainement un ex RSP !
Bonjour mon frère.
Un incident est arrivé,il faut le gérer avec sagesse.C’est à dire que chacun de ses deux agents doivent reconnaître avec humilité sa part de responsabilité dans cet incident.Oui,c’est parce qu’on a l’info qu’on commente,mais si le journaliste est en insécurité là où se trouve l’info,nous n’aurons pas d’info à commenté.Il m’est préférable que le pandore présente ses excuses au journaliste pour sa blessure,et que celui-ci reconnaisse son erreur de franchir la barrière sécuritaire.
Ces deux corps doivent travailler en parfaite collaboration.Mes chers journalistes,ça ne sert à rien de chercher une quelconque sanction contre le Pandore.M.Sanogo,prompt rétablissement :ne soyez pas responsable de malheur de votre prochain et bon vent dans votre carrière.


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Le 15 mai 2017 à 11:33 , par Naaba

En réponse à : Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’

Pour reprendre tes propos "vous saviez ce qu’endure le journaliste pour vous ramener l’info". Mon frère, ne le fais pas et attend de voir si la sirène ne va pas verser toute sa furie sur toi. Chacun en ce qui le concerne en son lieu de travail, endure la même situation. C’est pas parce qu’on est journaliste qu’on se cro
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