Deux lesbiennes y arrivent

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Deux lesbiennes y arrivent
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La sexualité entre femmes est encore un sujet tabou. Comment atteindre l'orgasme ? Quelles positions privilégier ? Quels sont les préliminaires préférés des lesbiennes ? Voici les réponses de la célèbre sexologue anglaise Tracey Cox.
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Publié par Chloé Polidano , le 27/04/2017 à 14:47
Les relations hétérosexuelles se font le plus souvent dans le même ordre : préliminaires d'abord et pénétration à la fin. La plupart des hommes considèrent que c’est uniquement par le pénis que leur partenaire peut atteindre l’orgasme mais ce n’est pas le cas.
"Il est beaucoup plus facile pour une femme d’atteindre l’orgasme avec la stimulation clitoridienne ", confirme Tracey Cox , célèbre sexologue anglaise. Ce que les femmes savent pertinemment d'où des pratiques différentes dans les relations sexuelles lesbiennes.
En pratique : "Les femmes entre elles mettent beaucoup plus l’accent sur les pratiques qui stimulent le clitoris et surtout elles y passent beaucoup plus de temps. Elles mettent plus de temps qu’un homme à obtenir un orgasme c’est pourquoi elles prennent plus le temps sur ce point", ajoute la spécialiste.
Les relations sexuelles entre femmes sont plus longues que la moyenne hétérosexuelle. Pourquoi ? "Simplement parce que les femmes peuvent atteindre l’orgasme plusieurs fois, "il n’y a donc pas d’acte "final" comme la pénétration dans une relation entre homme et femme", explique l’experte en couple. Les relations lesbiennes sont plus constituées de préliminaires.
En pratique : "Les femmes sont beaucoup plus tactiles et se sentent plus excitées par l’ambiance et les caresses en comparaison aux hommes c’est pourquoi les préliminaires commencent bien avant la chambre à coucher. Elles s’embrassent beaucoup, s’amusent avec leur poitrine et bien entendu le sexe oral a une place très importante", ajoute Tracey Cox, sexologue.
Atteindre le septième ciel en même temps que son ou sa partenaire procure une osmose encore plus grande à un couple en plein ébat. "Ce n’est pas une priorité dans les relations lesbiennes, car elles atteignent plus et plus souvent l’orgasme, ce n’est donc pas perçu comme le "saint Graal" dans leurs ébats contrairement aux hétérosexuels", explique la sexologue anglaise. Mais il est tout à fait possible d’en profiter.
- Avec la position du 69 : les deux femmes se procurent un cunnilingus en même temps. "Pour être plus confortable, mettez-vous sur le côté et reposez votre tête sur la cuisse de votre partenaire", conseille la spécialiste.
- La masturbation : se masturber à l’aide des mains ou d’un sextoy est l’un des grands favoris chez les lesbiennes.
Vous voulez prendre du plaisir autrement que via les caresses ? Il existe une position très plébiscitée dans les relations entre femmes qui permet aux deux partenaires de procurer du plaisir à l’autre en même temps tout en mettant leurs corps en symbiose : la position des ciseaux.
En pratique : les deux femmes sont face à face et entremêlent leurs jambes de façon à ce que leurs sexes se frottent entre eux. Cela permet une stimulation clitoridienne tout en admirant sa partenaire et en pouvant la caresser.
Pour Tracey Cox, il est important d’éduquer les femmes et même les hommes sur le fait qu’il n’y a pas de besoin d’un pénis en érection pour atteindre l’orgasme vaginal.
En pratique : "Les doigts peuvent tout à fait faire l’affaire. On peut également utiliser des sextoys et la bonne nouvelle c’est que l’on peut les customiser et les choisir de façon à ce qu’ils vous conviennent parfaitement contrairement à un pénis, plaisante la spécialiste. Pour les femmes qui apprécient de se faire pénétrer, il existe des godes ceintures, des vibromasseurs accrochés à une ceinture que l’on peut s’attacher autour de la taille."
La pénétration anale de la femme par l’homme reste un sujet encore très tabou dans le monde hétérosexuel. Alors la pénétration anale de la femme par l’homme... n’en parlons pas ! Pour les relations entre femmes c’est différent, elles peuvent jouer plusieurs rôles à la fois dans le même rapport.
En pratique : "Comme chez les gays, les rôles sexuels changent, il n’y a pas celle qui va donner" et celle "qui va recevoir" chacun le fera à son tour et vice-versa au cours du même rapport, explique Tracey Cox. Si l’une pénètre sa compagne par masturbation ou avec un jouet coquin, l’autre le fera aussi à son tour.
En août 2014 une étude parue dans le Journal of Sexual Medicine montrait que les femmes lesbiennes atteignent plus souvent l’extase que les hétérosexuelles. La différence de satisfaction viendrait du fait que les femmes entre elles connaissent beaucoup mieux le corps de l’autre et ses attentes.
L’avis de la sexologue : "En effet c’est ce que les études montrent le plus souvent. C’est également une source de jalousie dans les couples hétérosexuels qui tentent une relation à trois avec une autre femme. Souvent la femme est plus excitée et obtient plus de plaisir avec la femme. Cependant tout le monde est différent, il y a certaines choses qu’une femme peut aimer au lit et qu’une autre peut détester.
Les sujets sur la sexualité des homosexuelles sont encore très tabous en France, la preuve il nous aura fallu trouver une spécialiste de l’autre côté de la manche qui accepte d’en parler en détails et sans langue de bois. C’est pourquoi pour celles qui n’ont pas d’expérience mais qui voudraient tenter, il y a très peu de conseils, seulement quelques vidéos pour adultes pas très éducatives et uniquement faites pour faire fantasmer les hommes...
L’avis du sexologue : "Si vous êtes nerveuse, dites-le simplement à votre partenaire et laissez-la prendre les choses en main. Allongez-vous et profitez de l’instant... mais pas trop car les femmes peu actives ne sont pas les préférences chez les femmes homosexuelles. Ne vous focalisez pas sur le besoin d’être performante, le sexe est parfaitement naturel mais pas naturellement parfait ."
Merci à Tracey Cox, sexologue anglaise dont les autres conseils sont disponibles ici et responsable d'une marque de sextoy LoveHoney
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Ces femmes bisexuelles qui n’arrivent pas à sortir avec une femme


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Publié le 28 octobre 2020 à 0h00 Mis à jour
le 28 octobre 2020 à 0h00

Ces femmes bi aimeraient avoir des relations avec des femmes, mais elles ont bien du mal à se débarrasser des codes de la drague hétéro pour concrétiser.
La première fois que Jeanne, 36 ans, a couché avec une fille, c’était il y a deux ans, avec une très bonne amie à elle. “ J’avais envie de coucher avec elle, mais je ne me voyais pas le faire toutes seules. J’ai profité de la présence d’un pote pour lancer un plan à trois, confie-t-elle. J’ai trouvé ça génial!” . Son amie n’ayant pas envie d’aller plus loin, Jeanne a continué sa vie. Elle a couché de nouveau avec des femmes lors de plans à trois avec un homme . Toujours de supers moments.
Et puis elle a essayé de rencontrer des femmes sur les applis. “ J’ai eu un rencard, et ça ne c’est vraiment pas bien passé” , se rappelle-t-elle. Il manquait ce petit truc en plus. “ Mes signaux ont été perturbés par le fait que ce soit une femme , explique-t-elle. Si ça avait été un mec, j’aurais su que je ne devais pas aller chez elle.” Comme si être en rencard avec une femme lui avait perdre toute expertise de drague. “ Avec un mec, c’est très simple. Je suis dans un rapport de force, j’adore les mettre mal à l’aise, être dans un bras de fer” , explique-t-elle. Avec les femmes, elle refuse de jouer ce rôle, mais alors comment agir? Et comment s’habituer à une dynamique de drague moins directe? “ Moi j’ai envie que ça dépote et là tout prenait du temps” , se désole-t-elle.
Céline, 30 ans, connaît bien ce sentiment. “ Sur les applis, les mecs proposent de te voir au bout de trois secondes” , explique-t-elle. Avec les femmes, “ c’est dur de concrétiser. Jamais aucune ne m’a proposé de prendre un verre” , dit-elle. Selon elle, c’est parce que les codes sociaux sont genrés. “ Les mecs ont l’habitude d’assumer qu’ils ont envie de sexe, de faire du rentre-dedans, c’est moins le cas chez les meufs” , ajoute-t-elle. Elle-même n’a jamais proposé de verre, ni à des femmes ni à des hommes. Il faut dire qu’elle n’est pas trop applis, elle préfère draguer en soirée.
“ J’ai construit toute mon identité de drague avec des mecs.”
Mais rencontrer des femmes queer sans appli, surtout quand on est une “baby lesbienne” ou une “baby bi”, ce n’est pas évident. En l’absence de gaydar et d’amies queer avec qui sortir, difficile de savoir qui pourrait être intéressée et de faire des rencontres au sein de la communauté. Céline a forcé le destin, elle s’est invitée à des soirées queer mais a continué à faire chou blanc. “ J’ai construit toute mon identité de drague avec des mecs. J’ai appris à savoir exactement ce qui leur plaisait chez moi et comment les draguer. Je me sens démunie quand il s’agit de draguer des meufs” , explique-t-elle. D’autant que, comme Jeanne, elle a une technique de drague avec les mecs plutôt agressive. “ Je trouverais ça déplacé de faire ça avec des meufs. Je ne veux pas reproduire des trucs patriarcaux de domination” , ajoute-t-elle. 
Tessa a dix ans de moins que Céline, mais le même sentiment d’être perdue. “ J’ai peur de me comporter comme un mec hétéro, de forcer, de mettre mal à l’aise”, explique-t-elle. Mais il y a peu de risque que cela arrive. “ J’ai peur de parler aux filles, on n’a pas été socialisées à les considérer comme des conquêtes amoureuses” , explique-t-elle. Elle blâme les médias. La drague avec des garçons, “ on a grandi avec, on a vu ça partout dans les films, les livres, les séries” , selon elle. En revanche, presque rien sur la séduction entre femmes, sans masculinité toxique . “ Aujourd’hui, cela va mieux, mais cela prend du temps de déconstruire tout ça, d’apprendre comment faire” , ajoute-t-elle. 
Plus le temps passe et plus Céline a peur de se lancer. “ Je me sens comme une meuf qui serait vierge à 30 ans , je me dis que je ne serai jamais à la hauteur” , explique-t-elle. Céline sait qu’elle est bi depuis le début de l’adolescence. Quand elle en a parlé à ses amies, elles lui ont répondu que la bisexualité , ça n’existait pas, qu’on était soit homo soit hétéro. Alors, elle s’est convaincue qu’elle n’aimait que les garçons. À partir de ses 20 ans, elle a rencontré des femmes queer et a enfin compris qu’elle pouvait être bisexuelle. Dix ans plus tard, elle n’a toujours pas eu de relation sexuelle ou amoureuse avec une femme. Elle a alterné des phases de célibat dans lesquels elle ne voulait pas expérimenter, et des relations avec des hommes. “ Je me dis que je n’ai peut-être pas fait suffisamment d’efforts et en même temps, j’ai peur d’avoir l’air désespérée. Plus tu attends, plus tu te dis qu’on te prend pour une loseuse” , explique-t-elle. Les années passent et la pression grimpe. “ Les rares fois où j’ai eu des débuts d’occasion, j’ai paniqué. J’attends ça depuis tellement longtemps que ça me terrifie” , avoue-t-elle. 
Dans les faits, les femmes qu’a rencontrées Céline ne lui ont jamais fait comprendre qu’elle était une loseuse, en revanche, elles ne se sont pas gênées pour lui dire qu’elle n’était pas vraiment à sa place. Un sentiment partagé par toutes les autres femmes qui ont témoigné pour cet article. “ Quand je dis que je suis bi à une lesbienne, elle entend que je suis hétéro” , explique-t-elle. Elle pense souvent à The L Word . Dans la série lesbienne culte, les personnages ne manquent pas de juger les femmes qui, passé un certain âge, n’ont pas eu de relation avec des femmes. “ J’ai tellement interiorisé ce cliché de l’’hétéro bicurieuse’ que j’ai peur de dire que je n’ai jamais eu d’expérience avec les meufs” , avoue Céline. 
“ Quand on me voit comme une hétéro qui veut faire ses expériences, ça me fait mal.”
Jeanne avait prévenu son date qu’elle sortait d’habitude avec des hommes. Ça ne lui avait pas posé de problème, mais quand le rencard s’est mal passé, Jeanne s’est quand même sentie coupable. “ Quand on me voit comme une hétéro qui veut faire ses expériences, ça me fait mal. Il y a une partie de moi qui se demande si c’est vrai” , dit-elle. Jeanne sait qu’elle est attirée par les femmes, que c’est ce qui compte, et que, de fait, elle est bisexuelle, mais elle a du mal à se définir ainsi. “ Si je me revendiquais bi, j’aurais l’impression de revendiquer une médaille que je n’ai pas eue, d’être comme les gens qui prennent de la drogue une fois et qui disent ‘ouais, je prends des drogues’” , rigole-t-elle. Elle préfère se dire queer “ parce que ça me permet de dire tout ce que je suis, c’est-à-dire bizarre” . Tessa n’a pas de mal à se définir bisexuelle, mais elle se rappelle encore la première fois où elle l’a dit à une lesbienne qu’elle venait de rencontrer en soirée. “ Elle a froncé les sourcils et m’a répondu: ‘nan mais t’y crois vraiment?’” Cette réaction a brisé la vision utopique que Tessa avait de la communauté LGBTQ+ : “ être invalidée comme ça, c’est violent” . 
Sur les réseaux, de nombreuses femmes queer indiquent ne pas vouloir faire l’éducation sexuelle des hétéros et “bicurieuses”. “ Je comprends la colère des nanas qui disent ‘si vous êtes là pour un petit frisson, cassez-vous’. Mais moi, ce n’est pas un petit frisson” , explique-t-elle. Avant de préciser: “ En revanche, c’est vrai que je ne sais pas quoi en faire.”
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de Julio Medem
avec
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Drame | 1h49


Synopsis : Lors d'un séjour à Rome, deux étrangères de passage se rencontrent. L'une (Natasha) russe et hétérosexuelle et l'autre (Alba) espagnole et homosexuelle. Une passion torride naîtra entre les deux femmes qui se retrouveront dans une chambre d'hôtel à huis-clos pour le dernier jour de leur séjour à Rome.


de Lilly Wachowski , Lana Wachowski et Andy Et Larry Wachowski
avec
Jennifer Tilly , Gina Gershon , Joe Pantoliano



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