Deux lesbiennes quand les parents ne regardent pas

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Deux lesbiennes quand les parents ne regardent pas
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LGBT - La derniÚre chose que les lesbiennes s'attendent a avoir entre leurs mains, c'est un pénis. Et c'est justement le sujet de cette nouvelle vidéo aussi drÎle que révélatrice.
Bria et Chrissy, qui se dĂ©crivent elles-mĂȘmes comme un couple lesbien qui chante, ont rĂ©uni quelques amies pour voir ce qu'il se passe quand des femmes qui aiment les femmes se retrouvent Ă  faire quelque chose qu'elle n'ont jamais pensĂ© faire (ou jamais voulu faire).
Inutile de dire qu'il y a de l'appréhension dans l'air.
"J'ai parlé en public et je déteste parler public... J'ai presque été renversée par une voiture... mais je n'ai clairement jamais été aussi nerveuse", déclare l'une des femmes avant d'empoigner le pénis témoin.
"J'ai l'impression que j'ai passé ma vie à éviter ce moment", confie une autre participante.
La Youtubeuse Arielle Scarcella , qui participe aussi Ă  la vidĂ©o, a dĂ©clarĂ© au Huffington Post amĂ©ricain: "Je voulais le faire pour prouver au monde que tous les corps sont beaux, qu'on n'est pas forcĂ©ment attirĂ© par tous mais qu'on peut tout de mĂȘme les apprĂ©cier."
On vous laisse découvrir l'expérience dans la vidéo ci-dessus et Bria et Chrissy ici . DerniÚrement, la chaßne YouTube "The Human Experiment" qui aime mettre en scÚne des anonymes dans une situation inédite, a demandé à des lesbiennes d'embrasser des hommes hétérosexuels pour la premiÚre fois .
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04/11/2017 Ă  21:00 , mis Ă  jour le

28/06/2019 Ă  11:19








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MĂ©lissa aime regarder des films porno mettant en scĂšne des femmes mais elle ne se sent pas lesbienne. Photo d'illustration.
"Je me masturbe rĂ©guliĂšrement depuis l'adolescence. Lorsque l'accĂšs au porno a Ă©tĂ© facilitĂ© par l'avĂšnement d'internet, j'ai pris l'habitude de regarder des vidĂ©os de femmes qui se caressent en solitaire. J'ai essayĂ© la premiĂšre fois par hasard et j'ai pris beaucoup de plaisir. Je cherchais Ă  voir Ă  l'Ă©cran ce que j'Ă©tais moi-mĂȘme en train de faire. Non pas pour me dĂ©culpabiliser mais parce que je trouvais ce mimĂ©tisme excitant. 

J'adoptais le rythme de l'actrice et je reproduisais ses gestes, un peu comme si elle me guidait et m'indiquait la voie, avec les surprises que cela implique. J'aimais regarder son sexe comme si je regardais le mien. Je me sentais sur la mĂȘme longueur d'onde qu'elle. C'est l'effet miroir qui me plaisait et que je retrouve dĂ©sormais Ă  travers les films pornos lesbiens . 

Depuis environ trois ans, lorsque je me masturbe , je reviens toujours Ă  cette catĂ©gorie de vidĂ©os avec une variante: maintenant je regarde deux actrices ensemble. Je m'imagine Ă  la place de celle qui se fait lentement dĂ©shabiller, caresser les seins puis le sexe. Dans mes fantasmes , j'aime me sentir soumise Ă  une femme , ĂȘtre son objet d'un soir. 

Je me projette toujours comme Ă©tant celle qui se fait caresser, jamais celle qui donne. Je me laisse aller, je me touche en imaginant que quelqu'un d'autre le fait pour moi, que ma main appartient Ă  une inconnue, les caresses sont directes, elles sont celles que j'attends et qui me procurent du plaisir. Pour moi, c'est comme si cette femme Ă  l'Ă©cran me connaissait parfaitement. Il y a cette idĂ©e qu'entre femmes, on se comprend, mĂȘme si j'ai conscience qu'avoir le mĂȘme corps ne signifie pas que l'on fonctionne pareil. 

Je pourrais aussi imaginer qu'un homme me touche en regardant un porno de scĂšnes hĂ©tĂ©ros-normĂ©es. J'ai d'ailleurs essayĂ©. Cela n'a pas marchĂ©. Les pĂ©nis Ă  l'Ă©cran ne me font pas vraiment d'effet. J'ai compris que mon excitation Ă©tait en grande partie visuelle. Si j'aime imaginer qu'une femme me touche, j'ai besoin d'en avoir la preuve, de voir son corps nu Ă  elle, en mĂȘme temps que le corps de sa partenaire. Cela alimente mon imagination et permet de m'identifier parfaitement comme Ă©tant la femme qui jouit sous les caresses d'une autre. 

J'ai beaucoup douté de moi et de mon orientation sexuelle , notamment parce que mes amies -du moins celles qui se confient- apprécient les pornos classiques. Elles sont excitées par les hommes nus, les pénis en érection. C'est ce qu'elles recherchent à l'écran. Quand nous en parlons, je reste muette. Je n'ai jamais osé dévoiler mes préférences. 

Longtemps, je me suis demandĂ© si mes habitudes en matiĂšre de films X ne signifiaient pas que j'Ă©tais une lesbienne qui s'ignore. Pendant quelques mois, l'idĂ©e m'a obsĂ©dĂ©e, notamment parce que j'Ă©tais cĂ©libataire. J'ai toujours pris du plaisir avec les hommes, mais Ă©tant seule, j'Ă©tais censĂ©e ĂȘtre en manque de leurs corps Ă  eux. Pourtant, je continuais de visionner des films lesbiens. 

C'est grùce à quelques rencontres d'un soir puis celle de mon partenaire actuel, Victor, avec qui je suis depuis plus d'un an, que j'ai su que j'étais hétéro, parce que j'ai tout de suite pris du plaisir quand nous avons fait l'amour. Mes doutes se sont envolés. Il y a d'un cÎté ce que je vis, de l'autre ce que je fantasme. 

Les pénis ne m'attirent pas à l'écran, pas plus que les scÚnes de pénétration et les rapports avec un homme: c'est sans doute parce que je les vis dans le réel. Je me sentirais avec deux mains gauches face à une fille. Je ne saurais pas y faire. Quand j'ai compris que l'on pouvait prendre du plaisir dans deux mondes différents, de deux façons différentes, je me suis posé nettement moins de questions. 

Aujourd'hui, je distingue complĂštement ma vie sexuelle avec Victor de mes moments intimes de visionnage. J'adore dĂ©tailler son corps nu et je prends Ă©normĂ©ment de plaisir avec lui. Nos rapports peuvent ĂȘtre doux ou parfois brutaux, tout me va, on change de ton et j'adore ça. Lorsque nous faisons l'amour, je ne ressens aucun manque, je ne pense pas aux relations lesbiennes. De la mĂȘme façon, lorsque je regarde un porno lesbien, je ne pense pas Ă  Victor. 

Récemment, une amie m'a parlé d'une ses collÚgues qui avaient tenté l'expérience avec une fille. De fil en aiguille, le sujet des films pornos lesbiens est venu sur la table. J'ai été plutÎt soulagée d'entendre son point de vue. Elle m'a confié en visionner parfois. Elle trouve ça beau et trÚs excitant. Pour elle, c'est dans ce genre de rapport que le mot 'érotisme' prend tout son sens. 

Ce qui nous étonnait toutes les deux, c'est cette impression que les mecs hétéros ne sont pas attirés par les rapports gay à l'écran, comme si ça allait les bousculer dans leur masculinité. Je dirais qu'un homme a peur de ne plus se sentir homme, tandis qu'à l'inverse, une femme qui regarde un porno lesbien se sent d'autant plus femme. 

Je n'en ai jamais parlĂ© Ă  Victor. Au dĂ©part, je me disais que j'allais lui dire, que ça pourrait mĂȘme l'exciter de partager ce genre de vidĂ©os avec moi, parce qu'il nous arrive de regarder des pornos en couple. Un jour, alors que nous cherchions un film, j'ai proposĂ© innocemment: 'Des lesbiennes?', il a rĂ©pondu 'bof'. Il a dĂ» penser que j'Ă©mettais l'idĂ©e en Ă©tant soucieuse de son plaisir , sans imaginer que c'Ă©tait ce que je voulais, moi. 

NĂ©anmoins, il est ouvert et trĂšs attentif. Mais une part de moi a peur qu'il s'inquiĂšte, qu'il imagine qu'il n'est pas assez 'bon' pour moi car je prends du plaisir en regardant des femmes faire l'amour. Je ne voudrais pas qu'il pense que je ne suis pas satisfaite de notre vie sexuelle. Si lui me disait demain qu'il veut regarder un gang bang, j'aurais beau faire la diffĂ©rence entre l'imaginaire et la rĂ©alitĂ©, je m'interrogerais peut-ĂȘtre. Comme si nos fantasmes en disaient long sur nous alors qu'ils ne sont pas le reflet de nos dĂ©sirs rĂ©els ou de nos frustrations. 

Je ne crois pas que voir un pĂ©nis Ă  l'Ă©cran l'excite plus que ça, mais il doit rechercher Ă  travers les rapports hĂ©tĂ©ros un sentiment d'identification. Le compromis que nous avons et qui demeure tacite, c'est de regarder des plans Ă  trois, avec deux filles et un garçon. Ainsi, nous trouvons tous les deux notre compte sans nous l'avouer ouvertement. Je ne me dis mĂȘme pas qu'il me faudrait assumer devant lui ma prĂ©fĂ©rence, l'essentiel est d'ĂȘtre au clair avec moi: c'est mon jardin secret, ma source de plaisir, et c'est trĂšs bien comme ça. Si la vie sexuelle se joue Ă  deux, elle se joue aussi en solo." 


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Juliette Harau
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La cinéaste turque Dilara Elbir, installée aux Etats-Unis, a décidé de rendre hommage au cinéma lesbien. Dans cette compilation qu'elle a postée sur Twitter, elle rassemble des scÚnes issues de 34 films.
« Ce ne sont pas tous mes prĂ©fĂ©rĂ©s, et tous les films lesbiens que j'aime n'y sont pas , prĂ©cise-t-elle dans un tweet, avant que vous me demandiez 'OĂč est tel film ?' » . Le rĂ©sultat est rĂ©ussi en tout cas. On adore !
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Source : EnquĂȘte sur les fantasmes autour du sexe entre femmes, communiquĂ© de presse et enquĂȘte Ifop, 25 avril 2018
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Publié par Anne Valois , le 25/04/2018 à 12:13
L'amour entre femmes figure parmi les thématiques les plus recherchées sur les sites spécialisés dans la pornographie . Mais qu'en est-il en réalité ? C'est la question qu'a posé l'Ifop à 2 001 personnes (1). En dehors des films X, il semble que le sexe lesbien n'affole pas la population féminine.
Environ une sondée sur six a déjà ressenti du désir pour une autre femme . Les jeunes sont un peu plus nombreuses à l'affirmer, mais le phénomÚne reste marginal. A peine davantage font preuve de curiosité à l'égard des rapports sexuels saphiques.
17 % des Françaises ont dĂ©jĂ  regardĂ© deux femmes faire l'amour, ou le souhaiteraient. Du cĂŽtĂ© de ces messieurs, deux tiers de la population proclame la mĂȘme chose. Et il n'y a pas que sur ce plan que l'industrie du X diffĂšre des dĂ©sirs fĂ©minins.
Les pratiques qui font fantasmer les femmes varient largement de celles qui excitent les hommes 
 et encore plus de celles qui sont présentées à l'écran. Tout d'abord parce que ces messieurs expriment un enthousiasme bien plus élevé à l'égard des pratiques lesbiennes.
Mais alors qu'est-ce qui excite ces répondantes ? Plus d'une sondée sur deux se dit trÚs vivifiée en imaginant deux amantes s'adonner au cunnilingus . Une pratique encore peu représentée dans les films pornographiques, comme le note l'Ifop dans un communiqué.
Ces rĂ©ponses s'expliquent "sans doute parce qu’il est encore le parent pauvre des scĂšnes de sexe entre hommes et femmes visibles dans les films X, films qui s’avĂšrent encore trop souvent le fruit d’une vision trĂšs phallo-centrĂ©e de sexualitĂ©".
Au second rang des gestes qui attisent la libido des sondĂ©es, la stimulation des seins – que ce soit en caressant, lĂ©chant ou suçant. 30 % des femmes interrogĂ©es aimeraient voir cela reprĂ©sentĂ© – contre 52 % chez les hommes. Arrive ensuite l'Ă©change de baisers entre deux amantes.
La pénétration est, en revanche, un geste qui ne suscite pas une excitation folle . Seule une sondée sur cinq se dit stimulée à l'idée d'une telle pratique. Les hommes, eux, sont 58 % à exprimer un désir avivé par cette image.
Autre sujet qui divise : les rapports anaux . Seuls 11 % des femmes interrogĂ©es expriment un intĂ©rĂȘt, que ce soit pour la pĂ©nĂ©tration avec un objet ou avec ses doigts ou un anulingus. Du cĂŽtĂ© de la gent masculine, un peu plus d'un tiers des sondĂ©s tireraient du plaisir d'un tel visionnage.
(1) Étude Ifop pour le site RĂ©fĂ©rence Sexe rĂ©alisĂ©e par questionnaire auto-administrĂ© en ligne du 27 au 28 mars 2018 auprĂšs d’un Ă©chantillon de 2 001 personnes, reprĂ©sentatif de la population française ĂągĂ©e de 18 ans et plus
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