Deux lesbiennes bonnes comme jamais se broutent

Deux lesbiennes bonnes comme jamais se broutent




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Deux lesbiennes bonnes comme jamais se broutent
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Laurence, qui a 18 ans, a invité sa meilleure amie à la maison pour le week-end. Celle-ci s'appelle Isabelle et elle a 20 ans. Elles sont toutes les deux brunes avec les cheveux courts coupés "à la garçonne". Laurence devra juste s'absenter quelques heures ce soir car elle travaille comme informaticienne pendant la nuit les week-ends. Elles sont à la maison avec Fabienne, la mÚre de Laurence, ùgée de 39 ans.

Il est un peu plus de 20h et elles sont assises toutes les trois sur le canapé devant la télévision. Elle regardent d'abord le journal télévisé puis zappent à qui mieux mieux. Mais les programmes ne sont pas terribles, il faut le dire. Alors elles se mettent à parler de choses et d'autres. D'amour par exemple. Elles avouent qu'elles sont déçues par les hommes en général. Mais bon que faire alors ? Il faut bien s'en contenter, selon Laurence.

Celle-ci se lĂšve car elle doit maintenant partir travailler. Elle sera de retour en fin de nuit. Elle souhaite une bonne fin de soirĂ©e aux deux femmes et elle s'en va. La voiture s'Ă©loigne laissant Isabelle et Fabienne seules Ă  la maison. Fabienne se lĂšve Ă  son tour et va fermer les rideaux et volets de toutes les fenĂȘtres, elle s'assure aussi que les portes sont bien fermĂ©es Ă  clĂ©. Puis elle vient se rasseoir devant la tĂ©lĂ©vision. Le problĂšme est que le niveau des programmes n'est pas meilleur qu'avant. Alors elles discutent encore de choses et d'autres.

Isabelle est une belle brune : 1m65 et des formes qui remplissent bien ses vĂȘtements. Et ce que personne ne savait, c'est que Fabienne n'y est pas insensible. Elle a dĂ©jĂ  vu l'amie de sa fille nue lors de leurs sĂ©ances de bronzage Ă  poil dans le jardin, Ă  l'abri des regards. Ces fois-lĂ  il lui a fallu foncer aux toilettes pour se masturber comme une folle. La derniĂšre fois, elle a enfoncĂ© son poing droit entier dans son sexe et s'est fait jouir comme une malade en imaginant qu'elle faisait l'amour Ă  Isabelle.

VoilĂ  que ce soir l'envie la reprend soudain. Mais elle sait que les choses sont diffĂ©rentes et qu'elle va peut-ĂȘtre pouvoir rĂ©aliser son fantasme lesbien. Elle se lĂšve et dĂ©clare qu'elle va se mettre Ă  l'aise pour le restant de la soirĂ©e. Elle quitte la piĂšce et revient quelques minutes plus tard. Elle ne porte plus qu'un long t-shirt blanc qui met en valeur la courbe de ses seins et le bas de ses cuisses que l'on devine musclĂ©es. Isabelle trouve le spectacle attirant. En fait, dans sa culotte les sensations se bousculent...

Depuis pas mal d'années, Isabelle fait réguliÚrement l'amour à des femmes. Elle jouit beaucoup plus dans les bras d'une femme que dans ceux d'un homme. Et ce soir elle se dit qu'elle pourrait agrandir son tableau de chasse. Fabienne, cette belle blonde, l'allume sans le vouloir. Fabienne lui propose de se mettre à l'aise aussi. Mais Isabelle n'a rien de plus léger à se mettre.

— Va voir dans l'armoire de Laurence si tu ne trouves rien.

Isabelle revient vĂȘtue aussi d'un long t-shirt qui la recouvre jusqu'Ă  mi-cuisses. Fabienne lui fait de la place sur le canapĂ©. Chacune replie ses jambes sous elle et l'autre peut admirer les jambes repliĂ©es et la musculature des cuisses bronzĂ©es et impudiques. Assises l'une Ă  cĂŽtĂ© de l'autre, elles discutent d'un tas de choses. Puis elles en arrivent Ă  parler de l'amour entre femmes. Et lĂ , en quelques instants, toute leur vie bascule.

Fabienne avoue à Isabelle qu'elle la trouve belle et désirable. Isabelle lui répond qu'elle aussi la trouve splendide.

— Fabienne : Mais que va-t-on faire ce soir alors ?

— Isabelle : Je ne sais pas. Tu as une idĂ©e ?

Isabelle a envie de franchir le pas et de risquer le tout pour le tout. Elle déplace sa cuisse gauche et la met sur les genoux de la mÚre de sa meilleure amie. Celle-ci ne la repousse pas.

— Isabelle : Si on faisait l'amour ?

— Fabienne (faussement choquĂ©e) : Toi et moi, faire l'amour ?

— Isabelle : Oui je crĂšve d'envie de ton corps de femme. J'ai envie de toi et de ton expĂ©rience. Je ne suis qu'une jeunette et j'ai besoin d'une femme mĂ»re pour m'apprendre tout ce qu'il faut savoir.

— Fabienne : Maintenant, comme ça ?

— Isabelle : Oui maintenant. Caresse mes cuisses, s'il te plaüt...

Fabienne entame de caresser la cuisse d'Isabelle qu'elle trouve soyeuse et trĂšs douce. Mais Isabelle en veut plus et se lĂšve. Elle vient se placer devant Fabienne et commence Ă  se contorsionner le corps. Les cuisses pliĂ©es, elle danse sur place en fixant Fabienne dans les yeux. Celle-ci n'en croit pas son bonheur. Lentement, Isabelle remonte son t-shirt, dĂ©voilant son corps Ă  Fabienne. Des poils bruns entre les cuisses et deux jeunes seins dĂ©jĂ  dressĂ©s. Puis elle laisse retomber le tout et continue Ă  se tordre en gĂ©missant. Fabienne commence Ă  ĂȘtre trĂšs excitĂ©e.

— Isabelle : J'ai envie de ton corps mais de façon perverse.

— Isabelle : Oui allons nous aimer dans le lit de Laurence.

— Fabienne (ne tenant plus en place) : Dans son lit ?

— Isabelle : Oui, suis-moi, maintenant.

Elle se dirige vers l'escalier qu'elle gravit lentement en fixant Fabienne dans les yeux. Celle-ci suit du regard les déplacements des cuisses musclées de cette jeune pouliche qu'elle désire. Isabelle arrivée en haut se place contre le balcon et laisse voir sa toison déjà humide et le reste de son corps que désire tellement Fabienne. Puis elle disparaßt dans la chambre de Laurence en laissant la porte contre.

Fabienne est trempĂ©e dans sa culotte. Elle a chaud sur tout le corps et sait que quelque chose de merveilleux va arriver dans quelques minutes. Elle n'entend plus un bruit. Puis soudain elle dĂ©cide de se jeter Ă  l'eau et d'aller au-delĂ  de ses rĂȘves sexuels les plus fous. Elle Ă©teint toutes les lampes et grimpe l'escalier Ă  la suite de son amie. Elle se caresse le sexe en mĂȘme temps. Devant la porte de la chambre de Laurence, elle fait passer son t-shirt par dessus ses Ă©paules et le laisse tomber sur le sol. Les seins sont dressĂ©s et elle a chaud entre les cuisses. Doucement elle pousse la porte de la chambre et fait un pas. Les volets sont fermĂ©s. Encore un autre pas : elle entend une respiration lourde et suggestive.

Soudain, Ă  deux mĂštres devant elle, elle aperçoit Isabelle. Celle-ci la fixe droit dans les yeux. Le dĂ©sir brille au fond de ses yeux. Isabelle, le plus naturellement du monde, retire aussi son t-shirt par dessus les Ă©paules et offre Ă  Fabienne le spectacle de seins dressĂ©s et de cuisses galbĂ©es. Fabienne souhaite aller au bout de son rĂȘve qui ne fait que dĂ©buter. Elle avance alors et se jette sur Isabelle. Elle l'encercle de ses deux bras qu'elle serre sur les reins et les omoplates tandis qu'elle plonge la tĂȘte la premiĂšre entre les deux seins dressĂ©s. Isabelle aussi enlace Fabienne tandis que celle-ci lĂšche l'entre-seins comme une possĂ©dĂ©e. Elle aime l'odeur du corps d'Isabelle et s'enivre encore plus qu'elle ne le croyait possible. Les cuisses emboĂźtĂ©es, les deux femmes Ă©changent un trĂšs long baiser au cours duquel les langues se mĂ©langent et les salives s'Ă©changent.

Il est deux heures du matin quand, totalement soudĂ©es, elles basculent dans le lit de Laurence. Fabienne baise Isabelle qui en redemande. Fabienne lĂšche les cuisses de son amante. Et Isabelle lĂšche les seins de sa maĂźtresse. Elles se promettent soudain d'aller au bout de leurs fantasmes les plus fous, les plus osĂ©s, les plus crades. Fabienne place sa tĂȘte entre les cuisses d'Isabelle qui les referme aussitĂŽt. La langue de Fabienne plonge dans le sexe humide d'Isabelle tandis que de la main gauche elle caresse les cuisses de sa chĂ©rie. De l'index de la main droite, elle sodomise Isabelle qui gĂ©mit de plaisir. Elle fouille vĂ©ritablement l'anus de son amante avec son doigt. Fabienne toujours aux commandes, elles se tordent de plaisir, dĂ©jĂ  inondĂ©es de sueur, dans les draps de Laurence. Isabelle n'est pas en reste et vient Ă  son tour placer sa tĂȘte devant le sexe de Fabienne qu'elle commence Ă  brouter. Elle broute les poils et elle aime ça. De la mouille plein la bouche elle broute comme une dingue. Fabienne se place alors en 69 et chacune emprisonne la tĂȘte de l'autre entre ses cuisses. Les deux femmes, lesbiennes et amantes, sont accouplĂ©es et ne forment plus qu'une. Une structure qui lĂšche, sodomise les anus, embrasse les cuisses, avale les gouttes de pisse qui s'Ă©chappent des vagins dilatĂ©s et devenus incontrĂŽlables.

Les lÚvres embrassent les lÚvres des culs. Les langues forcent les anus et lÚchent encore plus loin. Totalement trempées de sueur, elles ne se retiennent plus du tout. Fabienne ne sait plus qui elle baise car elle sent l'odeur de sa fille dans les draps tandis qu'elle embrasse les seins de sa meilleure amie. Totalement soudées et encastrées, elles se distribuent des coups de langues et des coups de doigts dans les culs. Les cuisses totalement offertes offrent un superbe spectacle en ondulant au gré de leurs amours saphiques. Les corps se tordent de plaisir et roulent les uns sur les autres dans le lit trempé de bonheur et de plaisir.

Elles se retrouvent l'une sur l'autre et continuent Ă  se rouler des pelles tandis que les mains s'attardent tantĂŽt sur les seins, tantĂŽt entre les cuisses moites.

Ce qu'elles ne savent pas c'est que Laurence vient de rentrer Ă  la maison. Le petit matin Ă  succĂ©dĂ© Ă  la nuit... Les deux amantes sommeillent maintenant les membres totalement enlacĂ©s et les lĂšvres soudĂ©es. Laurence pousse doucement la porte de sa chambre et trouve Fabienne, sa mĂšre et Isabelle, sa meilleure amie enlacĂ©es. Et ce spectacle l'excite. Elle va dans la salle de bain et se dĂ©culotte. Puis elle revĂȘt un string et rentre dans la chambre Ă  coucher. Elle ferme la porte Ă  clĂ©. Puis elle se place juste au-dessus des deux corps enlacĂ©s et se couche dessus en commençant Ă  se caresser. Fabienne trouve sa fille couchĂ©e sur elle et est prise d'une envie terrible de lui faire l'amour. Elle commence Ă  caresser Laurence et Ă  embrasser sa nuque tandis qu'Isabelle entame de lui lĂ©cher les cuisses.

— Laurence : Je suis votre pute cette nuit, prenez-moi par tous les trous. Baisez-moi, culbutez-moi. Je suis votre putain anale. Je veux tout de vous : vos langues, vos cuisses, vos doigts, vos pisses.

— Fabienne : Oh oui ma chĂ©rie, nous allons te faire l'amour comme une prostituĂ©e.

— Isabelle : Et si on te payait pour te faire l'amour ?

— Laurence : Oui, je fais la passe à 2000 francs par personne cette nuit.

Fabienne et Isabelle sortent de la chambre et reviennent avec leur portefeuille. Elles sortent chacune deux mille francs qu'elles tendent à Laurence qui les accepte. Puis elle referme à nouveau la porte à clé et déclare :

— Je suis à vous, mon corps est à vous !

Fabienne et Isabelle se jettent sur Laurence. Fabienne roule une pelle à sa fille et Isabelle embrasse les poils de cul de sa meilleure copine. Fabienne embrasse les seins et la nuque de sa fille tandis que celle-ci lui caresse les cuisses et les fesses comme jamais. La mÚre et la fille s'emboitent en un 69 trempé tandis qu'Isabelle donne des coups de langue parfois dans le cul de Fabienne, parfois dans le cul de Laurence. Les trois femmes sont encastrées et se baisent sans aucune limite.

Lorsque Fabienne décide de pisser sur sa fille, celle-ci répond par un jet que sa mÚre avale aussitÎt. Puis Isabelle pisse aussi sur le corps de Laurence qui ne rate aucune goutte délicieuse. Les trois corps ne font plus qu'un et les orgasmes anaux succÚdent aux orgasmes vaginaux tandis que les odeurs de pisse renforcent les excitations des trois maßtresses unies dans l'amour et le bonheur lesbien.

Il est dix heures du matin lorsqu'elles se déssoudent pour prendre une douche à trois bien méritée.

Maintenant que Fabienne a fait l'amour Ă  sa fille, d'autres sĂ©ances de baise devraient succĂ©der entre les deux femmes. Fabienne rĂȘve par exemple de faire l'amour Ă  sa fille Ă  l'arriĂšre d'une voiture le long de la route.

Dernier courriel connu de l'auteur : cheridamourbe@hotmail.com


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