Deux lesbiennes américaines

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Deux lesbiennes américaines
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L'abrogation du "Don't ask, don't tell" a rendu possible ce baiser. (J. Clark/NBC/AP/SIPA )
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La Marine de guerre américaine est entrée dans une nouvelle ère : le fameux "premier baiser" donné aux matelots de retour au port après une longue mission a réuni deux lesbiennes, baiser rendu possible par l'abrogation de la loi sur le tabou gay dans l'armée américaine.
Juste après l'arrivée au port de l'USS Oak Hill mercredi à Virginia Beach (Virginie, est), Marissa Gaeta, maître dans l'US Navy, a débarqué du navire pour aller embrasser sa partenaire Citlalic Snell, elle-même marin, a annoncé le capitaine de corvette Bill Urban, un porte-parole de la Marine jeudi.
Marissa Gaeta, 22 ans, était vêtue de son uniforme noir et blanc lorsque Citlalic Snell, 23 ans, l'a accueillie sous les vivats et les applaudissements d'une partie de l'équipage.
La tradition du "premier baiser" donné à un marin de l'équipage à l'arrivée d'un navire de la Marine américaine "est très ancienne", a souligné le capitaine de corvette Urban. Selon les responsables de l'US Navy, c'est la première fois que deux personnes du même sexe sont choisies pour se donner le "premier baiser". Marissa Gaeta avait été tirée au sort parmi l'équipage.
La loi abrogeant la législation "Don't ask, don't tell" ("Ne rien demander, ne rien dire"), qui interdisait aux soldats américains de divulguer leur orientation sexuelle sous peine de renvoi, a été promulguée par le président Barack Obama il y a tout juste un an.

Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
Ancien député (Génération.s) de la Loire de 2007 à 2022, expert en politique publique sportive
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Comédiennes, chanteuses, journalistes… Les stars américaines sont nombreuses à s’affirmer en tant qu’homosexuelles et à se servir de leur notoriété pour faire avancer la cause des lesbiennes.
Ne leur parlez surtout pas de La Vie d’Adèle (Abdellatif Kechiche) : elles ne l’ont pas aimé. La scène de sexe entre deux actrices, « filmée par un homme avec un regard hétéro », a heurté beaucoup d’entre elles. Auréolé de la Palme d’or à Cannes en 2013, le film est pourtant un tournant pour la visibilité des lesbiennes, comme a pu l’être, il y a vingt ans, le coming out d’Amélie Mauresmo.
A la télévision, les rôles de lesbiennes se multiplient, dans des fictions grand public comme Plus belle la vie, Candice Renoir ou Dix pour cent, la série à succès de France 2, dans laquelle Camille Cottin campe l’agent de stars Andréa Martel. « Les lesbiennes l’adorent, elle devient une icône ! Sauf que dans la deuxième saison, elle couche avec son patron. A la télé, c’est toujours la lesbienne qui perd », regrette Camille, 29 ans, ingénieure au CNRS.
Pour trouver des représentations fortes au cinéma, dans la musique ou les médias, les lesbiennes regardent plus facilement de l’autre côté de l’Atlantique. L’animatrice star de télévision Ellen DeGeneres y fait figure de précurseur depuis son coming out en « une » du Time en 1997. Les séries The L Word, Orange is the New Black ou encore How to Get Away With Murder ont cartonné en France. « Question de culture », explique la journaliste Alice Coffin, qui enquête depuis six mois à New York sur le traitement médiatique comparé des questions LGBT en France et aux Etats-Unis : « Aux Etats-Unis, les minorités ont une culture de la revendication : le mot “lesbienne” est dans les conversations. Certaines lesbiennes célèbres affichent leur expérience pour être utiles à d’autres. En France, on dirait que ça disqualifie les gens s’ils revendiquent leur identité. »
La journaliste Rachel Maddow, lesbienne engagée, présente en prime time sur la chaîne MSNBC le talk-show d’info le plus regardé du pays. Et pas un mois ne s’écoule sans une mise en scène de coming out de stars : ceux, autrefois, de Jodie Foster, d’Ellen Page ou de Kristen Stewart, aujourd’hui de la jeune actrice Amandla Stenberg ( Hunger Games, 2012).
Côté politique, l’actrice Cynthia Nixon est actuellement en campagne pour le poste de gouverneur de New York. Et Jennifer Aniston incarnera bientôt la première femme présidente des Etats-Unis lesbienne dans First Ladies, nouveau long-métrage produit par Netflix, dans lequel elle emménage à la Maison Blanche avec son épouse.
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Bria Kam et Chrissy Chambers sont deux jeunes homosexuelles américaines dont la chaîne YouTube remporte un joli succès sur la toile. Leur vidéo " Des lesbiennes touchent un pénis pour la première fois ", publiée il y a 15 jours, a déjà été vue plus de 20 millions de fois, soit leur plus grand carton à ce jour. "On peut la faire bouger. Ça ne fait pas mal ?" Comme le titre l'indique, cette vidéo montre des jeunes femmes homosexuelles en train de tâter le sexe d’un homme pour la première fois. " Je crois que j’ai passé ma vie à essayer d’éviter ce moment ", déclare l’une d’elles. " On peut la faire bouger. Ça ne fait pas mal ? ", interroge une autre. Entre malaise et curiosité, l’expérience ne durera pas bien longtemps. " Je crois que j’en ai assez ", indique une de ces jeunes femmes. Une autre de conclure : " Je suis décidément lesbienne. " "Bria and Chrissy" ont aussi publiées d’autres variantes sur leur chaîne YouTube, comme " Des homosexuels touchent des seins pour la première fois " (voir ci-dessous).
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Delphine
98 jours ago




Roxanne Valin
201 jours ago




Delphine
212 jours ago




Blandine
323 jours ago




Delphine
435 jours ago

Ces séries présentent des personnages de lesbiennes certes secondaires, mais assez écrits, souvent très bien interprétés, et qui me forcent à me poser cette question : ces lesbiennes, sur l’écran, ne sont-elles que des éléments narratifs parmi d’autres ou bien sont-elles au contraire les preuves d’une visibilité plus grande d’une communauté multiple, complexe et riche ?
Jane The Virgin raconte l’histoire un peu rocambolesque d’une jeune femme américaine d’origine sud-américaine qui veut rester vierge jusqu’au jour de son mariage. Problème, voilà que son frotti gynécologique devient erreur médicale et se transforme en insémination artificielle. La faute à qui ? A cette femme médecin, brune très perturbée d’avoir surprise la veille au soir sa femme dans le lit conjugal, au bras de son assistante. Ce médecin, c’est le Docteur Luisa Alver, jouée par Yara Martinez. Elle est médecin, ancienne alcoolique et son monde se complique un peu plus quand elle se rend compte de la faute professionnelle qu’elle a faite. C’est le point de départ de la série, et finalement, ce n’est pas cela que l’on va analyser ici. Ce qui est marquant, c’est que ce n’est absolument pas sa sexualité que l’on va remettre en cause quand elle va avouer sa faute, mais sa condition de femme, de sœur, d’adulte qui n’a pas réussi à marcher bien droit longtemps. Ce qui est joli à voir aussi, même si c’est extrêmement chaste, c’est de la voir, en sueur, dans les bras de sa jeune amante, profiter malgré tout de ses désirs et du sexe qui s’ensuit.
La deuxième comédie s’appelle The Mindy Project , et l’on y parle aussi de gynécologie. Mindy, américaine d’origine indienne est gynécologue dans un cabinet où elle est entourée d’hommes. C’est assez drôle. Ce qui l’est plus, c’est l’arrivée d’un personnage lesbien dans la troisième saison de la série en la personne du Docteur Jean Fishman -interprétée par Niecy Nash- , chef du service de Gynécologie et d’Obstétrie de l’hôpital dans lequel opèrent Mindy et ses collègues. Elle prend en grippe Mindy, arrivée en retard à l’une de ses conférences. Pour rattraper le coup, celle-ci l’emmène se promener à travers New-York. Au moment de se quitter, voilà Jean embrassant Mindy – qui ne la détrompe pas, ne lui mentionne pas qu’elle est en couple avec un homme. S’ensuivent des jalousies de part et d’autres des deux couples, compagne de Jean, et compagnon de Mindy. Il y a un traitement de l’homosexualité féminine parfois caricatural dans The Mindy Project – une curiosité un peu bas de gamme, pas vraiment nuancée. Mais ce qui est assurément plus fin est le personnage de Jean, à la relation stable, au poste hiérarchique élevée, qui est une figure adulte observant avec amusement, ou consternation tous ces soubresauts souvent idiots des relations hétérosexuelles autour d’elle. Au final, on rit avec elle.
Au tour des séries plus sombres. Masters of sex , d’abord. Il est question de William Masters, gynécoloque, et de son assistante, Virginia Johnson, étudiant dans les années 1950 aux Etats-Unis la sexualité et ses comportements. La personne qui nous intéresse, ce n’est pas ce couple de chercheurs, mais Betty DiMello ( Annaleigh Ashford). Au début de la série, c’est une prostituée fournissant à William Masters des corps à étudier – tous ceux entrant au bordel. Elle change de vie, se marie. Veut savoir si le Docteur Masters peut faire quelque chose pour ses trompes qu’elle a faite ligaturer, puisque son époux veut absolument des enfants. La réponse est cinglante. Pourquoi voudrait-elle le faire, puisqu’elle n’aime pas son mari, qu’elle est lesbienne ? Dans la deuxième saison de la série est explorée cette homosexualité, ce lien de Betty à la femme qu’elle aime, et qu’elle repousse, sans cesse, tâchant de se faire une place dans un monde où être une femme est un combat acharné, et où être une femme, lesbienne n’est pas toléré. Ce personnage de Betty est d’une grande force, il est magnifique de tempérance, de patience, de volonté et de colère. Il témoigne d’une homosexualité qui lutte à chaque instant pour être vécue beaucoup plus que pour être visible. Il montre aussi deux figures de femmes fortes, Virginia Johnson, hétérosexuelle relativement libre, et Betty DiMello, lesbienne cachée, qui ne veulent pas s’embarrasser de ce que la société leur inculque, même si malheureusement, elles doivent souvent plier sous ses injonctions à se taire et à être soumise.
La deuxième série dont je vais parler est la dernière création de Shonda Rhimes, hautement addictive : How to get away with murder . Annalise Keating est avocate en droit pénal, et accessoirement professeur. Autour d’elle, ses collaborateurs, Franck et Bonnie, et puis cinq élèves qu’elle pousse à la compétition et forme. A lieu un meurtre, puis deux, sur le campus de l’université à laquelle tous sont liés. Ce qui vaut le coup, ici, ne sont pas les flash-backs incessants, mais une relation un peu trouble et perverse qui lie Annalise à Bonnie. Je m’avance peut-être, la première saison n’a pas encore été diffusé entièrement – mais il y a une scène terrifiante et dure où Bonnie implore Annalise ( qui est mariée à un homme) de ne pas l’abandonner. On entrevoit ici une relation entre deux femmes construite comme une domination de l’une sur l’autre. Elles sont d’intelligences égales, ont presque le même âge, sont toutes deux spécialistes de droit pénal. Pourtant, cette soumission de Bonnie à Annalise marque, alerte. Qu’une femme soit dominée par un homme dans une relation hétérosexuelle est une chose souvent représentée au cinéma, ou dans les séries. Mais qu’il s’agisse ici de deux femmes confère à leur attachement mutuel une sorte de pouvoir très étrange.
Presque tous les personnages lesbiens présentés ici sont des femmes fortes, au statut social élevé – ou en devenir-, à qui il arrive de faire des erreurs. Sont-elles des clichés ? Parfois. Mais au même titre que les personnages hétéros qu’elles côtoient dans leur série respective ! C’est d’ailleurs assez cool d’explorer ces clichés, de les remettre en question, de les détruire, ou bien de les affirmer comme ce qu’ils sont, une caractéristique commune à certaines lesbiennes, dans certains endroits, à certains moments. Ces personnages lesbiens ne sont certes pas les personnages principaux de leurs shows, mais ils ont une importance autre que narrative. Ils sont nécessaires à une sorte de normalisation de la visibilité lesbienne dans l’univers des séries. Plus il y aura de personnages lesbiens dans des séries avec des publics larges et plus il sera aisé de montrer à quel point les lesbiennes sont multiples, plurielles, puissantes.
Ce qui semble resortir des différents personnages lesbiens que tu nous présentes, Margaux, c’est surtout leur côté “normal”, dans le sens où, contrairement aux séries/film où l’homosexualité est le thème principal, ces protagonistes ne semblent pas torturées par leur orientation sexuelle.
Les doctoresses dans les deux premières séries assument franchement leur homosexualité, et personne ne la remet en cause. Elle est parfaitement acceptée, comme partie intégrante de leur personnalité.
Quant à Betty DiMello, le souci proviendrait plus des normes de l’époque que de l’acceptation de son orientation ; du moins c’est ce que j’en retiens après avoir regardé la première saison, où Betty tente de se conformer pour faire partie intégrante de la société, et non plus y rester en marge (évolution sociale, tout ça).
Quant à l’affaire Bonnie/Annalise … suite au prochain épisode =P
En bref, même si certains personnages lesbiens peuvent rester stéréotypés, je trouve tout de même rafraîchissant, oserais-je même dire rassurant, que des scénaristes aient décidé non seulement d’en intégrer dans les séries qu’ils écrivent, mais surtout de considérer leur sexualité comme normale. Comme quoi, oui, il est tout à fait possible d’être une femme, médecin, mariée, stable mentalement …et lesbienne !


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