Deux jeunes s'enfilent dans le train
🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻
Deux jeunes s'enfilent dans le train
Espace membre
Mon compte
Fermer ma session
Se connecter
Mot de passe oublié ?
Radio
Fréquences
Applications
ENVOYEZ UN MESSAGE AUX ANIMATEURS
C'était quoi ce titre ?
Info Aisne
Actualité
Météo de l'Aisne
Jeux
N'Radio, donne-moi du cash
Vidéos
CONTACT / PUB
Je suis en train d’écouter [$1] sur [$2] !
Je suis en train d’écouter le podcast [$1] !
Je suis en train d’écouter l’extrait [$1] !
News
Deux jeunes axonais décèdent dans un dramatique accident
Deux jeunes axonais décèdent dans un dramatique accident
Vous devez renseigner un pseudo
(Vous devez renseigner un pseudo)
Vous devez écrire un message
(Vous devez écrire un message)
Mot de passe oublié ? Pas de problème.
Saisissez votre adresse email ici :
RadioKing © 2022 | Site radio créé avec RadioKing . RadioKing permet de faire une radio en ligne facilement. Politique de confidentialité | Mentions légales
Nous utilisons des cookies pour fournir les services et les fonctionnalités proposés sur notre site et pour améliorer l'expérience de nos utilisateurs.
Durant la nuit de lundi à mardi, deux axonais de 16 et 19 ans ont perdu la vie dans un accident de la route sur l'A26 dans le Pas-de-Calais.
Tragique accident sur les routes du Pas-de-Calais en cette fin de mois d'août. D’après les informations de nos confrères de La Voix du Nord , il était environ 2 heures la nuit dernière lorsqu'une voiture, seule, a fait des tonneaux sur l’autoroute A26, dans le sens Reims-Calais, après avoir percuté le terre-plein central. Les quatre occupants du véhicule, originaires de l’Aisne, étaient sur le chemin du retour vers le Laonnois. Deux des quatre occupants de la voiture, éjectés du véhicule, sont morts dans l’accident. Les victimes sont âgées de 16 et 19 ans.
Les deux autres axonais, blessés, ont été transportés à l'hôpital. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame.
Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».
Pour nous soutenir, acceptez les cookies
Pour soutenir le travail de notre rédaction, nous et nos partenaires utilisons des cookies pour stocker et/ou accéder à des informations sur votre terminal. Le traitement de certaines données personnelles (telles que les adresses IP, les données de navigation, d'utilisation ou de géolocalisation, les identifiants uniques ou les interactions avec les réseaux sociaux) nous permet de financer l'information disponible sur notre site et d'améliorer notre offre via l'analyse et la mesure d'audience ainsi que l'affichage et la mesure de performance des publicités et/ou des contenus personnalisés.
Cliquez sur "Accepter" pour consentir ou paramétrez vos choix. En cliquant sur "Continuer sans accepter", vous refusez tout dépôt de cookies sur votre terminal. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment sur notre site. Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de cookies, consultez notre charte cookies .
Ils ont 17 et 23 ans, habitent Valenton et étaient toujours en garde à vue au commissariat de Montereau (Seine-et-Marne) hier soir. Ces deux jeunes sont entendus pour des agressions commises samedi, dans un train, à la gare SNCF de Montereau. Les faits se sont produits vers 16 heures. La police est alertée pour une agression et une tentative de vol sur un couple de voyageurs. Mais dans le wagon, ces derniers ne sont pas seuls. Les autres voyageurs et un contrôleur SNCF vont leur prêter main-forte. Les mots doux et les insultes pleuvent. Les agresseurs sont expulsés du wagon et la police les interpelle. Mais les deux jeunes se rebellent et l'un d'eux mord un policier à un doigt, avant d'être maîtrisé.
Profitez des avantages de l’offre numérique
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer
Se connecter
Rechercher sur le site
Elle
Psycho & Sexo
C’est mon histoire
Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur pinterest
Suivez-nous
Lien vers réseau social facebook
Lien vers réseau social twitter
Lien vers réseau social pinterest
Lien vers réseau social youtube
Lien vers réseau social instagram
Lien vers réseau social snapchat
Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris
Contacts
Annonceurs
Abonnez-vous
La rédaction
Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des données personnelles vous concernant comme celles liées à votre visite sur ce site. Nous pouvons également utiliser des traceurs exemptés du recueil du consentement pour le dépôt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer' ou dans notre page 'Données personnelles et cookies' .
Carine, 28 ans, est juriste à La Rochelle. Une nuit, il y a trois ans, dans le train qui l’emmenait vers Nice, elle a rencontré un inconnu. Elle se souvient de ce moment de bonheur, étrange et salvateur...
Cet article issu de l’édition abonnées vous est exceptionnellement offert. Découvrez nos offres d’abonnement
C’était la fin du printemps, il y a trois ans, je terminais mon cursus de droit. Je venais de passer des semaines à broyer du noir en pensant que jamais je n’arriverais à boucler mon mémoire. Je ne sortais plus, je m’enfonçais dans une déprime stérile. Mes amis me disaient : « Allez, sors, détends-toi, aie des aventures d’un soir, ça te fera du bien », mais je n’en ressentais ni l’envie ni même le besoin. Jusqu’à ce matin de mai où j’ai décidé de partir chez une tante qui vit seule à Nice et qui m’accueille quand je me sens du vague à l’âme. J’emportais mes livres et mon ordinateur dans l’espoir que l’air de la Méditerranée me sortirait peut-être du marasme. J’achetai une place dans le train de nuit pour le soir même. Il n’y avait pas d’arrêt jusqu’à Nice, la destination finale. Je me suis installée dans un compartiment vide, bien heureuse de pouvoir être tranquille, et je me suis étalée, j’ai sorti mon ordinateur, mes dossiers, mes bouquins. J’étais contente d’être dans cet espace nouveau où personne ne viendrait me déranger, où le téléphone ne passait pas. Je me suis même dit : « Je voudrais rester là des jours et des jours. »
Au bout d’une heure, un jeune homme en uniforme de contrôleur est venu me demander de lui montrer mon billet. Il a juste demandé si je partais en vacances et, quand il a vu mon fatras, il s’est ravisé : « Non, visiblement, vous n’êtes pas en vacances, vous avez du travail. » J’ai, à ce moment-là, aperçu un visage doux et calme, rien de l’attitude habituelle du dragueur insistant ni du contrôleur de train un peu terne. Et, sans me troubler, je me suis remise à travailler. Un moment plus tard, il est revenu me demander si je voulais boire quelque chose, il a commencé par me proposer un jus de fruits, un verre de vin, une bière, une vodka. Je trouvais ses propositions très inhabituelles, mais sans plus. Chaque fois, je faisais non de la tête, sans vraiment lever les yeux de mon écran. Puis il s’est assis sur la banquette en face de moi, et il a dit : « Et un câlin, est-ce que vous voulez un câlin ? »
Et là, je ne sais pas ce qui m’a pris, en le regardant à peine, j’ai dit oui. Un oui qui m’est sorti du coeur. Il s’est approché, m’a embrassée très doucement. C’était la première fois de ma vie que je donnais un baiser à un parfait inconnu. Il m’a juste glissé qu’il avait 26 ans et qu’il était contrôleur pour arrondir ses fins de mois. Je trouvais son contact agréable mais, dans le baiser, je ne pourrais même pas dire que je le voyais vraiment. Je sentais des lèvres douces, un souffle caressant, rien de plus. A aucun moment je n’ai eu peur de lui alors que nous étions seuls dans un train presque vide qui filait dans la nuit au beau milieu de la France. A l’extérieur du compartiment, on entendait des va-et-vient, mais rien de rassurant en cas de danger. Nous n’avons pas parlé, à peine quelques mots, je lui ai murmuré mon prénom. « Carine, a-t-il répété, Carine a besoin d’un câlin. » Je ne lui ai même pas demandé comment il s’appelait, et, chaque fois qu’il s’apprêtait à me dire quelque chose de lui, je posais un doigt sur ses lèvres en chuchotant : « Je ne veux pas savoir. »
Quelques minutes plus tard, nous avions défait l’une des couchettes et nous étions blottis l’un contre l’autre. Et nous avons commencé à nous caresser puis, tout en douceur, à faire l’amour. Je ne savais pas qu’une telle douceur était possible entre deux inconnus. Ce n’était pas comme au cinéma où ce genre de situation donne toujours lieu à des scènes torrides et sauvages. C’était à la fois plus modeste et plus étonnant que cela. C’était plutôt comme dans une chanson de Jeanne Moreau : deux inconnus se sont unis dans le train de nuit… Ou comme dans une pub : quelques grammes de douceur dans un monde de brutes. Dans la soirée, un de ses collègues a frappé, est entré, nous a vus enlacés, nous a regardés avec étonnement puis nous a laissés. Nous n’avons ressenti ni honte ni gêne, et nous avons repris le fil. Evidemment, un instant, j’ai pensé qu’il était peut être coutumier du fait, qu’il joignait l’utile à l’agréable, que ses collègues le savaient et que je n’étais qu’une parmi tant d’autres, mais ça ne m’a ni troublée ni arrêtée. Au contraire. Jamais je ne me serais crue capable d’une telle audace moi qui suis plutôt réservée dans la vie, une fille sérieuse, comme on dit, peut-être un peu frileuse. En fait, c’est cette audace soudaine qui me plaisait, le sentiment de braver les tabous et les peurs dans lesquelles on éduque les filles.
Plusieurs fois dans la nuit, il s’est rhabillé pour aller s’acquitter de ses tâches. Chaque fois, je me disais : « Bon, allez, maintenant, ça suffit, quand il revient, je lui annonce qu’on s’en tient là », mais c’était comme la voix d’une autre et je ne bougeais pas, je me laissais bercer par le roulis du train et la douceur du moment. Et quand il revenait, il reprenait sa place à mes côtés. J’ai plusieurs fois éprouvé un plaisir intense et profond, une sensation qu’on réserve plutôt aux vraies histoires d’amour. Mais, à bien y repenser, je me dis que le plaisir d’une femme est aussi lié à l’image qu’elle a d’elle pendant qu’elle l’éprouve et j’aimais l’image de moi qui se profilait pendant ces heures-là.
Au matin, il n’était pas frais mais il a remis ses habits de contrôleur, sa casquette vissée sur la tête. Il a griffonné son numéro de téléphone au dos de mon billet. En le regardant faire, je pensais : « D’habitude, ce sont les filles qui veulent ça et qui demandent ça, mais, là, ce n’est pas comme d’habitude. » Ma tante m’attendait sur le quai. Elle m’a vue déposer un léger baiser d’au revoir sur sa joue, l’air juste un peu surpris. « Quelle coïncidence, dis donc ! C’est un ami à toi ? — Oui, on peut dire ça comme ça… – Et comment s’appelle-t-il ce jeune homme ? – Je ne sais pas, ai-je répondu fièrement en jetant mon billet dans la première poubelle venue. » Je crois qu’elle a compris à demi-mot et cette complicité n’a fait que renforcer la tendresse que j’ai pour elle. Elle a juste ajouté : « En tout cas, tu as une mine superbe ! »
Je suis restée à Nice plusieurs semaines. Je me levais tôt, j’écrivais d’arrache-pied, avec une énergie pleine, entière. Jamais je n’ai aussi bien travaillé de ma vie. D’ailleurs, pour mon mémoire, j’ai obtenu la mention très bien et les félicitations du jury. Comme si cette nuit de train avait fait jaillir en moi un sentiment de grande confiance en l’humanité, comme si cette rencontre m’avait réconciliée avec la douceur dont les hommes et les femmes sont pa
Il la filme se déhancher sensuellement sur sa bite
Petit cul et gros nichons
Il baise cette nana ronde et chaude