Deux jeunes motivées pour un vieux chanceux

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Deux jeunes motivées pour un vieux chanceux
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1.1.1 Scène 1, au domicile de Courtall

1.1.2 Scène 2, au domicile de lady Cockwood

1.2.1 Scène 1, au jardin des mûriers

1.2.2 Scène 2, au domicile de sir Oliver

1.3.1 Scène 1, à la nouvelle Bourse

1.3.2 Scène 2, au domicile de sir Oliver

1.3.3 Scène 3, au restaurant "The Bear"

1.4.1 Scène 1, au domicile de sir Oliver

1.4.2 Scène 2, au « Jardin de la source »

1.5.1 Scène 1, scène unique au domicile de sir Oliver
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↑ Revenir plus haut en : a b et c
(en) Michael Cordner , Peter Holland et John Kerrigan, English comedy , Cambridge England New York, Cambridge University Press , 1994 , 323 p. ( ISBN 978-0-521-41917-8 et 978-0-521-03290-2 , OCLC 373473138 ) , p. 158

↑ John Palmers, The Comedy of Manners , G. Bell & Sons, Londres, 1913, 308 pages, pg 3 et 4, Il faut attendre janvier 1664 et la pièce d'Etherege "The Comical Revenge, or Love in a Tub" pour voir le théâtre de Charles II affecté par cette sorte de comédie que Macaulay a si solennellement désapprouvée .

↑ Revenir plus haut en : a b c et d Dennis Davison, Restoration Comedies , Oxford University Press , Londres, Oxford, New York, 1970, 399 pages, préface pg xi

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , Oxford University Press , Londres, Oxford, New York, 1970, She would if she could , Acte I scène 1, pg 7, lignes 61 à 77

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte I scène 2, pg 14, lignes 110 à 113

↑ Le Jardin des mûriers (Mulberry Garden) était un parc planté de mûriers se trouvant sur l'emplacement actuel de Buckingham Palace

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte II scène 1, pg 15, lignes 1 à 22

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte II scène 1, pg 16, lignes 45 à 52

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte II scène 1, pg 17, lignes 71 à 81

↑ Par inexcusable péché de bavardage, Ariana parle de l'habitude qu'ont les hommes de se vanter auprès de leurs amis de leurs dernières conquêtes, compromettant ainsi l'honneur de celles-ci.

↑ Farendon : tissu fabriqué à partir d'un mélange de laine et de soie

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte II scène 1, pg 17-18, lignes 89 à 115

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte II scène 1, pg 19, lignes 160 à 171

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte II scène 2, pg 19, lignes 1 à 7

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte II scène 2, pg 20, lignes 11 à 19

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte II scène 2, pg 22, lignes 107 à 108

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte II scène 2, pg 24, lignes 149 à 170

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte III scène 1, pg 29, lignes 136 à 151

↑ The Bear était une taverne située dans Drury Lane

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte III scène 2, pg 36, lignes 82 à 94

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte IV scène 1, pg 43-44, lignes 1 à 6

↑ Le Jardin de la source (The Spring Garden) était un terrain de loisirs situé à Vauxhall . Il devait son nom à l'ancien Spring Garden de Charing Cross , qui avait été démoli, et qui possédait un jet d'eau artificiel qui arrosait les promeneurs non avertis.

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte IV scène 2, pg 51-52, lignes 149 à 182

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte IV scène 2, pg 53, lignes 231 à 234

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte V scène 1, pg 55-56, lignes 1 à 15

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte V scène 1, pg 56, lignes 39 à 40

↑ Dennis Davison, Restoration Comedies , She would if she could , Acte V scène 1, pg 62, lignes 247-248

↑ N. H. Keeble, The Restoration : England in the 1660s , Wiley-Blackwell, 2002, 270 pages, ( ISBN 9780631236177 ) , pg 181

↑ Ici, Bourse : arcade de boutiques dans The Strand

↑ Revenir plus haut en : a et b Phil Gyford, « The Diary of Samuel Pepys » [ archive ] (consulté le 8 juillet 2011 )

↑ William Moseley Kerby, Molière and the Restoration Comedy in England , thèse de doctorat, 1907, 121 pages, pg 28

↑ Richard Steele dans le The Spectator n° 51 et 65







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Elle le ferait si elle le pouvait , titre original She Would if She Could , est une comédie de la Restauration anglaise , en cinq actes et en prose de George Etherege . C'est sa seconde et avant-dernière pièce. Écrite en 1668, elle fut jouée au début de cette même année, le 6 février 1668 [ 1 ] au théâtre de Dorset Garden , quatre ans après sa première œuvre, The Comical Revenge , qui fut un grand succès et qui est parfois considérée comme la première véritable comédie de la Restauration [ 2 ] , [ 3 ] .

Courtall et Freeman sont deux jeunes gentilshommes londoniens. Oisifs et pleins d'esprit, ils passent leur temps à courtiser les femmes et les jeunes filles. Mrs Sentry, la dame de compagnie de lady Cockwood, vient chez Courtall lui annoncer discrètement que sa maîtresse est revenue à Londres pour quelque temps. On comprend que cette lady aimerait bien reprendre un flirt amorcé avec Courtall lors de son précédent séjour. Elle est venue avec son mari, sir Oliver, ami aussi de Courtall, d'un parent, sir Joslin, et de deux jeunes cousines, Gatty et Ariana, tous originaires de la campagne. Ils ont loué une grande maison à Londres pour eux tous.

Sir Oliver vient saluer Courtall, et Sentry, effrayée, n'a que le temps de se cacher dans une armoire. Sir Oliver confie à Courtall qu'il trouve la vie à la campagne terriblement ennuyeuse, et qu'il n'est pas fâché de se retrouver à Londres :

Sir Oliver -- Il me semble véritablement avoir été absent une éternité, mais j’ai l’intention de rattraper ce temps perdu. Combien vont les affaires, je vous prie ? Est-ce que le vin est bon, et les femmes gentilles ? Par ma foi, il vaut mieux pour un homme être un vagabond dans cette ville qu’un juge de paix à la campagne. Je suis moi-même devenu un sot par manque de loisirs de gentleman. Si un homme lâche ne serait-ce qu’un juron, les gens sursautent comme si un coup de feu venait d’être tiré. Et si le hasard fait qu’il s’accouple avec la fille de son voisin sans l’aide d’un pasteur et qu’il laisse derrière lui une petite preuve de sa tendresse, il y a bientôt un tel tumulte que le pauvre homme est contraint de fuir le pays. Quant à l’ivrognerie, c’est vrai qu’on peut la pratiquer sans scandale, mais la boisson est si abominable qu’on s’en abstient par crainte que ce vice nous rende inaptes à l’amour.
Courtall -- Je constate, sir Oliver, que vous avez conservé votre ancienne disposition d’esprit, et que vous êtes résolu à briser le cœur de votre charmante femme.
Sir Oliver -- Vous ne pensez tout de même pas que je sois assez cruel et méchant pour lui apprendre tout cela ! Non, non, ce sont des secrets que je ne partage qu’avec d’honnêtes compagnons tel que vous [ 4 ] .

Avant de prendre congé, sir Oliver invite Courtall et son ami Freeman à dîner le soir même au restaurant. Il leur présentera sir Joslin, qui est, dit-il, un joyeux compagnon.

Sentry vient faire le compte-rendu de son entretien avec Courtall à lady Cockwood. Celle-ci est ravie, tout en craignant pour son honneur, qui est son obsession. Puis sir Oliver vient lui dire qu'il dînera ce soir en ville avec son parent sir Joslin, absence qui n'est pas pour déplaire à lady Cockwood. Tout le monde sort. Les deux cousines, Gatty et Ariana, entrent et se montrent elles aussi enchantées de leur venue à Londres. Gatty, plus intrépide, parle d'aller faire tout de suite un tour en ville :

Gatty — Crois-tu que nous sommes ici pour rester enfermées, ne prenant la liberté que d'aller de notre chambre à la salle à manger, et de la salle à manger à notre chambre ? Comme des oiseaux en cage, sautant éternellement entre deux perchoirs [ 5 ] ?

Courtall et Freeman sont sortis un moment du restaurant où ils dînent avec sir Oliver et sir Joslin.

Courtall (parlant de sir Oliver et de sir Joslin) -- Y a-t-il un couple de fops mieux assorti que ces deux chevaliers ?
Freeman -- Ce sont la harpe et le violon — la nature les a accordés comme si elle voulait qu'ils jouent tous les deux en permanence les bouffons.
Courtall -- Je suis tranquille maintenant du côté de sir Oliver, car il n'osera pas rentrer à la maison tant qu'il ne sera pas complètement ivre. Il sentira alors grandir sa vaillance, insultera et défiera sa charmante femme, pour être contraint, le matin suivant, de feindre un amer repentir, avec des larmes et des prières.
Freeman -- Que faisons-nous alors à perdre notre temps ici, au jardin des mûriers [ 6 ] ? Pourquoi ne pas rendre visite à cette dame ?
Courtall -- Te voilà sur cette piste aussi excité que si tu suivais de près un gibier.
Freeman -- Puisque nous connaissons le fourré, pourquoi ne pas commencer la chasse ?
Courtall -- Doucement, mon bon Franck ! Tout d'abord sache que les lois de l'honneur, prescrites pour ces agréables situations, t'interdisent de m'accompagner. Ensuite, as-tu assez peu d'esprit pour penser que cette femme discrète, qui a été témoin de tant de faiblesses humaines, puisse avoir une si bonne opinion de la fidélité de son amant pour le pousser à la tentation ?
Freeman -- Nous ne devons donc pas espérer que Madame nous fasse faire connaissance avec ses dames de compagnie
Courtall -- C'est tout aussi raisonnable que d'espérer qu'un vieil escroc te fasse connaître ses dupes. Mais on pourra peut-être en tirer plus tard des avantages, lorsque je serai admis dans la famille [ 7 ] .

Courtall et Freeman croisent Gatty et Ariana, portant des masques . Elles traversent rapidement la scène. Courtall et Freeman se demandent s'ils doivent les suivre.

Freeman -- Ha, ha, comme elles sont arrivées d'un pas léger et espiègle ! Rien que leur allure est assez tentante pour réveiller les sangs d'un vieux magistrat. Je t'en prie, suivons-les.
Courtall -- J'ai été si souvent le dupe de ces masques que j'ai juré une bonne douzaine de fois de ne plus m'y intéresser. Ces masques dissimulent la plupart du temps un visage laid ou, pire encore, une vieille connaissance.
Freeman -- Il est vrai que ce sont les raisons les plus vraisemblables pour qu'une femme se refuse le plaisir d'être regardée [ 8 ] .

Malgré la réticence de Courtall, ils se mettent à les suivre. Conscientes et ravies de l'intérêt qu'elles ont éveillé, elles marchent vite et ils ont du mal à les rattraper. Finalement, en prenant deux chemins différents, ils arrivent à les arrêter.

Courtall -- Avec votre permission, mesdames...
Gatty -- Je m'aperçois que vous êtes assez hardis pour vous en passer.
Freeman -- Votre serviteur, mesdames...
Ariana -- Et de toutes les autres dames qui se donneront la peine de vous divertir.
Freeman -- Bon sang, leurs langues sont aussi agiles que leurs jambes.
Courtall -- Comment pouvez-vous être si peu aimables au point de faire perdre contenance à deux jeunes gens timides, qui étaient venus en pure amitié vous proposer leurs services ?
Gatty -- C'était dommage de se moquer d'eux, ma sœur.
Ariana -- On dirait effectivement qu'ils paraissent n'avoir jamais été taquinés auparavant [ 9 ] .

S'engage alors entre eux une joute verbale. Les deux jeunes filles montrent tant d'esprit, qu'elles éveillent de plus en plus l'intérêt des deux jeunes gens. Ils aimeraient les connaître davantage, et pour cela qu'elles enlèvent leurs masques.

Freeman -- Êtes-vous si farouches pour vous masquer ainsi ?
Courtall -- Fi, fi, ôtez ces hontes de tous les beaux visages.
Gatty -- Par égard pour votre réputation, nous les conserverons. Ne comprenez-vous pas qu'on pourrait nous prendre pour des relations à vous, si vous osiez montrer publiquement nos visages avec vous ?
Ariana -- Et quelle honte cela serait pour un couple de jeunes galants ! Il me semble que vous devriez rougir rien que d'y penser.
Courtall -- Ces masques sont de jolis jouets inventés à l'origine pour le bien des pauvres amoureux comme nous, afin de tromper les jaloux et de rendre aveugles les méchants. Mais cet usage bénéfique a été si malicieusement perverti que maintenant tous les honnêtes hommes haïssent mortellement cette mode.
Freeman -- Un visage agréable est aussi rarement couvert par un masque qu'un bon chapeau par une boîte graisseuse — et pourtant, sur ma conscience, vous êtes toutes les deux charmantes.
Courtall -- Retirez-les légèrement pour satisfaire un scrupule ridicule.
Ariana -- C'est un juste châtiment appelé sur vous par l'inexcusable péché de bavardage [ 10 ] .
Gatty -- Vous ne pourrez vous vanter auprès de vos amis que d'une robe en farendon [ 11 ] et d'un morceau de velours noir.
Courtall -- C'est vrai qu'il existe de vaines personnes dont l'attitude relâchée a dernièrement grandement découragé les façons de faire des dames vertueuses.
Freeman -- Mais j'espère que vous avez assez de charité pour croire que nous ne faisons pas partie de cette bande de méchants.
Ariana -- On ne peut faire confiance à aucun homme.
Gatty -- Que la honte soit sur l'ensemble de votre sexe, car une femme a plus de chance de devenir conseiller privé qu'un jeune galant un amoureux [ 12 ] .

Courtall et Freeman leur donnent rendez-vous pour le lendemain au même endroit. Elles conditionnent leur acceptation à leur promesse de ne pas voir d'autres femmes d'ici là. Ils acceptent et s'en vont. Restées seules, elles échangent leurs impression :

Ariana -- Je me demande ce qu'ils pensent de nous !
Gatty -- Tu peux facilement l'imaginer, car ils ne sont pas d'un naturel si démodé pour croire tout ce qui a été dit. Je t'assure que l'opinion la plus favorable qu'ils peuvent avoir est que nous sommes un peu sauvages, et que nous avons besoin d'un bon dressage.
Ariana -- Et toi, je te prie, que penses-tu d'eux ?
Gatty -- Ma foi, tant de bonnes choses que j'ai honte de te le dire.
Ariana -- Que ne les ai-je jamais vus !
Gatty -- Ah, tu en es déjà là !
Ariana -- Je t'en prie, faisons un tour ou deux en marchant et parlons d'eux.
Gatty -- Prenons soin alors de ne pas être trop précises dans nos louanges, de peur de découvrir que nous empiétons sur les inclinations de l'autre et que nous nous querellions. (Elles sortent) [ 13 ] .

Lady Cockwood est mécontente que Courtall ne soit pas venu lui faire une visite, alors qu'elle avait spécialement dépêché sa dame de compagnie, Mrs Sentry, chez lui à l'acte I scène 1, pour lui annoncer son retour à Londres.

Sentry — Chère madame, ce n'est pas raisonnable de vous affliger ainsi. Je mettrais ma tête à couper que ce n'est pas un manque de zèle mais d'opportunité qui l'a retenu.
Lady Cockwood — Quel homme ingrat ! Être aussi insensible à la passion d'une femme !
Sentry — Si je pensais qu'il était aussi méchant, étrangement je le haïrais, mais madame...
Lady Cockwood — Ne prononcez pas un mot pour sa défense — je suis résolue à l'oublier. Homme perfide, négliger une occasion aussi douce [ 14 ] !

Mais voilà qu'arrive Courtall, et le ton de lady Cockwood change du tout au tout.

Lady Cockwood (sursautant à l'arrivée de Courtall) — Mr Courtall, pour l'amour du ciel, comment se fait-il que vous venez ici ?
Courtall — J'ai été guidé par ma bonne fortune et par votre servante, Mrs Sentry.
Sentry — Votre humble servante, monsieur. Mais je proteste, vous m'avez aussi fait sursauter en arrivant ici de façon si inattendue.
Lady Cockwood — Je n'imaginais pas que ma présence en ville fût déjà connue.
Courtall — Sir Oliver m'a fait la faveur de m'inviter à dîner aujourd'hui, et c'est lui qui m'a apporté cette heureuse nouvelle, madame. Aussi, dès que j'ai pu, j'ai pris la liberté de venir avec grand plaisir vous saluer [ 15 ] .

Lady Cockwood propose des chaises et Sentry sort. Lady Cockwood masque son plaisir sous des dehors de femme vertueuse, et Courtall lui dit qu'il doit retourner au restaurant où l'attendent sir Oliver et sir Joslin. Ils se fixent un rendez-vous secret le lendemain à dix heures, Courtall précisant qu'il viendra avec son petit carrosse qui n'a que deux places. Courtall sort.

Peu après Gatty et Ariana rentrent. Elles ont à peine le temps d'expliquer à lady Cockwood où elles étaient, qu'arrivent sir Oliver et sir Joslin ivres tous deux, accompagnés de Courtall et Freeman. Gatty et Ariana, apercevant ces deux derniers, poussent un cri et disparaissent, mais les deux jeunes gens les ont vues et ont reconnu les vêtements des deux demoiselles masquées qu'ils ont rencontrées au jardin des mûriers. Cela contrarie Courtall :

Freeman (à Courtall) — Ce sont exactement les mêmes robes et les mêmes manteaux.
Courtall — Leur surprise confirme que ce sont bien elles.
Freeman — Morbleu, nous nous sommes joliment trahis.
Courtall — Toutes mes intentions et tous mes plans sont annulés à présent, car elles vont tout dévoiler innocemment à lady Cockwood, qui ne montrera aucune indulgence [ 16 ] .

Pendant que sir Oliver, ivre, fait une scène à lady Cockwood, sir Joslin est parti chercher Gatty et Ariana et revient avec elles. Elles se retrouvent face à Courtall et Freeman, qui inventent rapidement une explication à leur présence :

Freeman — Je savais que nous vous surprendrions, jeunes filles.
Courtall — Ma foi, je pensais jusque-là que ce tour de passe-passe n'était guère qu'une plaisanterie, et ne puis croire que ce coquin d'astrologue fût aussi adroit.
Freeman — Comme il les a décrites exactem
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