Deux infirmières s'occupent d'une bite

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Deux infirmières s'occupent d'une bite

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Le fantasme de l'infirmière perdure... au grand dam de celle-ci, peu formée à gérer les manifestations débordantes de la sexualité de leurs patients. C'est la conclusion d'une étude menée en janvier 2013 par Alain Giami, directeur de recherche à l'Inserm.
Cette question, les infirmières y sont régulièrement confrontées lorsque des soins intimes entraînent d'inévitables réactions sexuelles ou que certains patients dépassent les bornes de la pudeur. Et elle a été l'objet de l'étude menée entre 2007 et 2008 sur 64 infirmières et soignants travaillant dans des services de cancérologie, et intitulée "La place de la sexualité dans le travail infirmier", l'érotisation de la relation de soins et publiée en janvier 2013 dans la revue Sociologie du travail .

La figure de l'infirmière demeure ambivalente, à la fois image emblématique du dévouement mais également fantasme sexuel largement relayé par la pornographie. Ce dernier point a longtemps freiné l'implication de cette profession dans la médecine sexuelle, parce qu'elle ne souhaitait pas prêter le flanc aux idées reçues. Mais aujourd'hui, les infirmières tentent d’inclure la sexualité dans leurs pratiques, en dépit de résistances d'ordre professionnel ou parfois personnel.

Alain Giami, devant le peu d'études existantes, a souhaité approfondir les connaissances en la matière. Ses investigations psychosociologiques ont permis d'étudier en quoi consistait la "sexualité" des patients dans le cadre des soins et comment les infirmières s'en arrangeaient.

Un premier paradoxe se dégage de l'analyse des entretiens que les chercheurs ont eus avec les 64 infirmières. Si elles décrivent globalement la sexualité comme positive et importante pour la qualité de vie, la sexualité devient parfois problématique dans le cadre professionnel. " La sexualité devient taboue, interdite, déplacée voire obscène, rendant la communication difficile entre patients et soignants ", commente Alain Giami dans l'étude. Elle peut alors entraver les soins prodigués.

Certaines infirmières décrivent des contextes où l'érotisation crée une complicité : elles évoquent des compliments, comme " ah, il n'y a que des top models dans l'équipe ", des mots qui détendent et qui font sourire... L'intimité physique qui se noue lorsqu'elles lavent leurs patients est rendue plus facile par cette connivence qui peut aller jusqu'à des marques de tendresse, notamment avec les patients jeunes ou âgés. C'est finalement le ressenti qui est essentiel : " le sexuel reste ce qui est considéré comme sexuel par les acteurs de la situation ".

Et la désexualisation des actes s'acquiert avec l'expérience, autorisant une plus grande proximité avec le patient. L'érotisation considérée de cette manière facilite la relation, allège la charge de travail et donne une part d'humanité supplémentaire à cette relation de soins. A la condition que certaines limites ne soient pas franchies et que la soignante conserve un recul professionnel.

Autre situation potentiellement plus gênante : la survenue d'une érection lors des soins. Elle est excusée lorsqu'elle est involontaire ou accidentelle.

Une infirmière cite ainsi une érection réflexe lors de la pose d'un étui pénien pour récupérer les urines, qu'elle avait excusée d'un sourire et d'un commentaire " ne vous inquiétez pas, prenez votre temps ". Le fait de replacer la survenue de ce réflexe sexuel lui ôte sa valeur érotique et le banalise. L'humour apporte une aide non négligeable : " C'est déjà arrivé, quand vous faites un rasage, qu'un homme ait une érection… Cela passe avec un truc "con" : il est en forme aujourd'hui ! ", raconte ainsi une infirmière.

Certains patients psychiatriques ont des délires érotiques et des patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou de cancers cérébraux les désinhibant peuvent avoir des mains baladeuses ou des propos déplacés.

Ces incidents sont pardonnés dès lorsqu'ils sont replacés dans le contexte médical.

Le harcèlement sexuel n'a rien à voir avec un dérapage. Il est impossible pour les infirmières d'excuser des gestes ou des mots s'ils ne sont pas volontaires ou expliqués par la maladie. " Il apparaît une équivalence entre érotisation involontaire/excusable et sexualisation volontaire/condamnable ", expliquent les auteurs de l’étude.

Par exemple, certains patients, quasi exclusivement des hommes, restent volontairement nus sur leur lit, dans leur chambre voire dans les couloirs hospitaliers.

D'autres se masturbent, dans leur lit ou au cours d'un soin. Une infirmière prend l'exemple d'un patient, surnommé le "gros cochon" : " Il s'est carrément branlé quand une collègue lui massait le dos... Plus personne ne voulait rentrer dans la chambre ! ".

" Ces deux types de conduite (exhibitionnisme et masturbation en public) sont considérés comme des déviations au regard des scenarios culturels de la sexualité normale ", analyse Alain Giami. Et la perversion n'est pas explicable par une maladie.

Les avances insistantes, les blagues vulgaires, les gestes déplacés et les demandes de service sexuel (masturbation ou fellation) heurtent également les infirmières. " Quand j'étais étudiante, il y en a un qui m'a carrément demandé de lui faire une petite gâterie ", illustre une infirmière. Une autre raconte qu'un de ses patients "pervers pépères" regardait un film porno durant les soins. Des situations vécues péniblement ou avec humiliation… auxquelles elles ne sont pas préparées. Elles cherchent toutefois à mieux les comprendre et à trouver leurs raisons d'être, comme le symptôme d'un manque, par le fait que ces malades veulent se prouver qu'ils sont encore des hommes malgré le cancer, qu'ils se prouvent qu'ils sont encore séduisants ou qu’'ils masquent ainsi leurs angoisses.

Pour faire face à ces situations, les infirmières tentent de rester ni trop éloignées afin de rester empathiques et attentives aux besoins du patient, ni trop proches pour rester maîtresses de leurs émotions. Elles adoptent également certaines règles : ne pas porter de tenues provocantes, utiliser des gants pour tout contact intime, porter un regard clinique sur le corps du patient, ne jamais parler de soi ou de sa vie privée, "recadrer" le patient s'il dérape en lui rappelant la place de chacun dans la relation de soin, l'éviter ou passer moins de temps avec lui, ne pas faire de soin seule, discuter des situations posant problème avec l'équipe.

" Les infirmières manquent de formation sur les questions de sexualité qui apparaissent dans la relation de soins ", concluent les auteurs. Si certaines situations peuvent faciliter la relation et les soins, d'autres plus gênantes demanderaient des recommandations professionnelles qui font à l'heure actuelle défaut. 

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Cette semaine encore, le web nous aura régalé de ses séquences sexy. Parfois drôles, parfois simplement torrides, Non Stop Zapping a compilé les meilleures séquences de la semaine.


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Reportage: Les autorités à prendre leurs responsabilités et informer l’opinion sur ce drame qui se joue dans la capitale sénégalaise, un journaliste de Actusen.com a réussi à infiltrer l’univers des salons de massage où il s’est fait passer pour un client. Sur les lieux, l’intrus a eu droit à plusieurs choix : massage simple à 15 000 F Cfa, massage « body-body » à 20 000 F Cfa, massage à l’Américaine (30 000 francs), avec à la clé des rapports sexuels.
Reportage au cœur du business et de la mafia du sexe générant des revenus colossaux qui échappent au fisc. Interdit aux moins de 18 ans !
C’est connu de tous ! Le travail du sexe est le plus vieux métier du monde. De Bombay à Kinshasa, en passant par Rio de Janeiro, la Rue Princesse à Abidjan et Dakar…, certaines femmes ont toujours troqué leur plastique de rêve contre des espèces sonnantes et trébuchantes. Loin du racolage dans les milieux torrides et interlopes des capitales du monde pour les plus osées, c’est désormais une prostitution de type nouveau qui fait fureur à Dakar : les salons de massage ouverts 7jours/7 et 15H/24 dans les coins et recoins de la capitale.
Sur les réseaux sociaux, leurs adresses, noms et numéros de téléphones portables ou fixes, défilent comme par enchantement, avec le silence coupable des autorités étatiques. Ce vendredi (saint), après la prière dite « Diouma », Actusen.com, décidé à percer le mystère, dépêche Gaston Mansaly, un de ses reporters qui, sous le couvert de l’anonymat, s’engouffre dans un taxi, pour aller se faire masser. Direction, le quartier de Yoff où il a pris rendez-vous dans un salon de massage. Ce, non pas pour gronder de plaisir, comme le cherchent la plupart des clients qui débarquent sur les lieux, mais plutôt pour aider les internautes de Actusen.com et les autorités étatiques à tâter le pouls de ce qui se joue dans ces salons et qui a les relents d’un péril humain en vue pour la jeunesse du Sénégal.
Acte 1 – scène 1 : ici, pour s’entourer de toutes les garanties, voici le modus operandi des masseuses avant d’accueillir le client.
Au bout du fil, c’est une voix suave qui répond dans un français approximatif et oriente le poisson qui vient de mordre à l’hameçon. « Vous connaissez le rond-point de Yoff ? », a-t-elle demandé avec un ton fascinant. « Oui », a rétorqué le reporter d’Actusen.com qui ne s’imaginait pas encore, alors pas du tout, à quoi son aventure ressemblerait. Mais ce n’est qu’une question de minutes.
En effet, à peine est-il arrivé au dit endroit que votre serviteur rappelle son interlocutrice, l’une des masseuses, qui lâche au bout du fil : « Maintenant, contournez le rond-point en prenant la direction de la Foire après le Bar Club Saxo. Devant vous, se dresse une Pharmacie, à votre droite. A quelques mètres, un restaurant Fast Food tient pignon sur rue puis… ».
Suivant scrupuleusement les explications, le reporter d’Actusen.com dépasse de 10m la maison indiquée. Une manière pour elle (avons-nous déduit plus tard) d’avoir un aperçu du type de personne avec qui le Rv a été pris. Une, deux, trois, voire 5 minutes, c’est la dame préposée à la réception qui rappelle : « Comment êtes-vous habillé ? « En tenue traditionnelle » (Ndlr : vendredi, oblige). Ok, je vous vois, faites demi-tour ». Le signal donné, le tour est joué. Au rez-de-chaussée d’un immeuble R+3, un appartement meublé de quatre pièces avec une douche intérieure dont le bureau de la gérante et cuisine est entièrement aménagé. Et accueille à bras ouverts, comme le Christ à Rio de Janeiro, les clients venus se faire masser ou passer un bon temps dans l’intimité d’un salon avec des « expertes » du sexe.
La beauté de ces filles peut envoyer aux urgences l’Islamiste le plus résistant
Noirceur captivante, robe courte de même couleur couvrant à peine ses cuisses et de nature à faire abjurer un islamiste, Bijou avance allègrement et traîne sa carapace de basketteuse. Jolie à couper le souffle d’admiration, elle a toutes les qualités pour envoyer au septième ciel un adepte de la chair fraîche. Visage ovale assorti de deux piercings dont l’un sur le côté gauche du nez et l’autre, sous la lèvre inférieure, en dessous du menton, elle a l’air d’une tueuse en série. Sur le lit, évidemment !
Avec ses yeux de biche, elle s’introduit dans une pièce parfumée à l’odeur de menthe. Derrière elle, une perruque de cheveux naturels qui lui tombent sur les fesses. Sa tenue décolletée laisse apparaître ses seins juvéniles, le tout dans un « pathial » qui peut donner du tournis à plus d’un fût-il reporter d’Actusen.com qui a pris le risque de se muer en chasseur de masseuse, pour investir, incognito, ce milieu.
Sur les murs de ce « mouroir », on est accueilli par « les mains du bonheur » ou « saf loxo »
Les tétons bien pointus, la glande mammaire arrondie et sans ride aucune, témoignent de sa jeunesse. Bijou est une perle noire, en plus d’être une gazelle comme du temps des vraies « Linguères » (ces femmes reconnues pour leur forme généreuse et leur beauté légendaire). Sans pudeur, elle installe son « client » du jour dans une atmosphère détendue. Dans cette chambre d’à peine 3 m sur 3 avec toilette intérieure et un petit salon, Bijou accueille dans une ambiance torride.
Tout autour, serviettes, produits massant, lingettes, parfum enivrant, les dessous de femmes servant de tenues d’échange accrochées sur un fil, font le décor de « mouroir ». Sur le mur, les serviettes et les draps, on peut lire : « les mains du bonheur » ou « saf loxo » en langue locale.
Acte 2- scène 2 : « Relax, chéri. Que puis-je faire pour vous ?», demanda-t-elle. La réponse coule de source. « Un massage », répondit le reporter de votre site. « Mais lequel ? », poursuit la pétillante Bijou, en faisant un clin d’œil accompagné d’un sourire en coin. C’est sur ces entrefaites que le reporter de Actusen.com réalise qu’il y a différents types de massage : simple, intégral ou à la Sénégalaise et à l’Américaine.
Avec 15 000 F Cfa, la masseuse ne se déshabille pas et le client, pas du tout autorisé à faire promener ses mains sur son corps
Dans un entretien qu’elle nous a accordé et pour lequel elle a requis l’anonymat, une esthéticienne lève un coin de voile sur le travail dans certains instituts de beauté ou de massage. Il s’y passe des choses : si ce n’est pas le client qui avance de l’argent pour aller au-delà…
Avec le temps et la routine, la sexualité des couples perd de la vitesse et cette situation peut facilement entrainer des infidélités, voire la séparation. Pour relancer le couple et redonner du piment à votre sexualité de couple, il y a plusieurs solutions, dont les massages dits érotiques, dont le…
Ainsi, renseigne Sunubuzz, aux Alamdies, à Ngor et à Yoff, plusieurs immeubles voient fleurir sur les paliers de leurs étages au milieu des familles de supposées enseignes d’esthétique et de massage mais qui en fait abritent des lieux pour l’exercice du plus vieux métier du monde : la prostitution. Comme…
Seul Dieu sait si tu es passé à l’étape 3 ou pas. Wait and see.
Mon frère, tu as parfaitement raison. Vu les commodités de l’étape 2,ce serait très difficile voire impossible de ne pas accéder elico presso à l’étape 3.Puisque déjà au niveau 2 ,on est déjà au 6 ciel en ce moment ,on n’est plus sur terre. On n’est donc perdu,on n’est noyé. Si notre repo
Salope envoutante baisée en missionnaire
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Etudiante russe mince et légère en solitaire torride

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