Deux hommes lui rendent service

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Deux hommes lui rendent service

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Deux hommes interpellĂ©s avec une cargaison surrĂ©aliste dans leur coffre Alors qu'ils tentaient d'entrer dans Auckland, la plus grande ville de Nouvelle-ZĂ©lande, deux hommes ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s par la police
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Deux hommes interpellés avec une cargaison surréaliste dans leur coffre Ces derniers transportaient dans le coffre de leur voiture, des sacs de KFC remplis de frites et de seaux de poulets frits
© The Guardian / New Zealand Police
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Deux hommes interpellés avec une cargaison surréaliste dans leur coffre Mais aussi des liasses de billets dont la valeur dépassait les 100000 dollars
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Deux hommes interpellés avec une cargaison surréaliste dans leur coffre C'est le Guardian qui raconte les détails de cette arrestation croustillante
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Deux hommes interpellés avec une cargaison surréaliste dans leur coffre Et les policiers n'ont pas été tendres avec les deux interpellés
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Deux hommes interpellés avec une cargaison surréaliste dans leur coffre Les deux hommes ont visiblement pris le confinement en vigueur dans cette ville de deux millions d'habitants un peu trop à la légÚre
© The Guardian / New Zealand Police
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Deux hommes interpellés avec une cargaison surréaliste dans leur coffre Face à la fermeture des restaurants et l'interdiction de la vente à emporter, ils ont donc tenté un go fast du poulet
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Deux hommes interpellés avec une cargaison surréaliste dans leur coffre Mais cela pourrait leur coûter trÚs cher
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Deux hommes interpellés avec une cargaison surréaliste dans leur coffre En Nouvelle-Zélande, enfreindre les restrictions liées à la pandémie de Covid-19 peut entraßner une peine de prison allant jusqu'à six mois ou une amende pouvant atteindre 4 000 dollars
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Anonyme3882177 
Le 27/09 Ă  10:42
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Deux hommes ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s par la police, mi-septembre en Nouvelle-ZĂ©lande, au volant d'une voiture avec le coffre rempli de commandes KFC. Ils tentaient d'entrer dans Auckland en plein confinement.
Pris la main dans le sac... de Tenders et de Hot Wings. Alors qu'ils tentaient d'entrer dans Auckland, la plus grande ville de Nouvelle-ZĂ©lande , deux hommes ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s par la police. Ces derniers transportaient des sacs remplis de frites et des seaux KFC dĂ©bordant de poulets frits dans le coffre de leur voiture. Ils Ă©taient Ă©galement en possession de liasses de billets dont la valeur dĂ©passait les 100 000 dollars .
C'est le Guardian qui raconte les détails de cette arrestation croustillante . Et les policiers n'ont pas été tendres avec les deux interpellés qui ont visiblement pris le confinement en vigueur dans cette ville de deux millions d'habitants un peu trop à la légÚre. Depuis l'apparition du premier cas de variant Delta du Covid-19, l'archipel d'Océanie est soumis à un confinement trÚs strict .
Alors que les restrictions nationales ont été levées début septembre, le confinement a été prolongé à Auckland qui applique à la lettre la stratégie « zéro COVID » du gouvernement néozélandais. Face à la fermeture des restaurants et l'interdiction de la vente à emporter, les deux hommes ont donc tenté un go fast du poulet . Mais cela pourrait bien leur coûter trÚs cher.
En Nouvelle-Zélande, enfreindre les restrictions liées à la pandémie de Covid-19 peut entraßner une peine de prison allant jusqu'à six mois ou une amende pouvant atteindre 4 000 dollars. Les deux voyous gourmets comparaßtront devant le tribunal pour avoir enfreint l'ordonnance sanitaire.
La semaine derniÚre, un homme a été inculpé par la police néozélandaise aprÚs avoir partagé une vidéo sur les médias sociaux dans laquelle il se vante d'avoir franchi la frontiÚre d'Auckland à la recherche d'un... McDonald's . C'est un peu cher payé pour un Big Mac.
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Maintenant ils seront nourris Ă  l'oeil et peut-ĂȘtre, malgrĂ© la mauvaise rĂ©putation de la nourriture en prison, vont manger plus sainement qu'au Mc Do.
Je vous laisse les frites et le poulet et je prends les billets !!!
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Deux hommes ĂągĂ©s de 27 et 30 ans ont Ă©tĂ© placĂ©s en dĂ©tention provisoire, soupçonnĂ©s de viol avec acte de barbarie sur une jeune femme de 26 ans, Ă  Chelles. Ils l’auraient de plus sĂ©questrĂ©e durant deux jours du 8 au 10 aoĂ»t.
Les policiers ont retrouvĂ© cette RĂ©moise pleine de sang Ă  l’entrejambe, en bas d’un immeuble, le 10 aoĂ»t alors qu’ils Ă©taient Ă  sa recherche. Un proche avait prĂ©venu les forces de l’ordre aprĂšs avoir reçu un SMS de la jeune femme, laquelle prĂ©cisait qu’elle Ă©tait menacĂ©e de mort si elle parlait de ce qu’elle a vĂ©cu tout en donnant l’adresse oĂč elle Ă©tait retenue.
Deux jours plus tĂŽt, elle s’était rendue Ă  Chelles au domicile d’un des deux hommes Ă©crouĂ©s. Elle l’avait rencontrĂ© sur les rĂ©seaux sociaux et venait de dĂ©buter une relation avec lui. Une fois sur place, elle a Ă©tĂ© violĂ©e avec la complicitĂ© du colocataire. Dans leur cruautĂ©, ils ont Ă©tĂ© jusqu’à utiliser la lame d’un couteau pour la violer. Les deux autres colocataires ne sont pas intervenus pour sauver la jeune femme et n’ont pas dĂ©noncĂ© les faits. Eux aussi placĂ©s en grade Ă  vue, ils ont finalement Ă©tĂ© placĂ©s sous le statut de tĂ©moin assistĂ© sous le chef de « non-assistance Ă  personne en danger ».
Le 10 aoĂ»t, la jeune femme a expliquĂ© qu’elle devait aller chercher son fils de 5 ans, gare de l’Est Ă  Paris, oĂč le pĂšre de l’enfant devant le lui remettre. Ses bourreaux l’y ont accompagnĂ©e et en revenant Ă  Chelles, ils se sont rendu compte que la police Ă©tait sur place. Les forces de l’ordre avaient fouillĂ© tous les Ă©tages pour trouver la jeune femme, Ă  la suite de l’appel de son proche. Les deux hommes lui ont donnĂ© les clĂ©s de l’appartement et l’ont sommĂ©e de rentrer chez eux comme si de rien n’était. Mais la jeune femme a pu aller au-devant des policiers pour leur dire qu’elle Ă©tait celle qu’ils cherchaient. Elle a Ă©tĂ© conduite Ă  l’hĂŽpital et ses jours ne sont pas en danger.
Les policiers ont interpellĂ© les deux colocataires qui n’ont pas participĂ© aux actes et ont posĂ© des scellĂ©s sur la porte de l’appartement. Croisant un homme qui correspond au signalement de l’ami du « petit ami », ils l’ont Ă©galement arrĂȘtĂ©. Le lendemain, le « petit ami » s’est prĂ©sentĂ© au commissariat de police, se disant Ă©tonnĂ© d’avoir dĂ©couvert des scellĂ©s sur sa porte. Il Ă©tait tout de mĂȘme accompagnĂ© par un avocat. Lui et son comparse ont demandĂ© quelques jours pour prĂ©parer leur dĂ©fense et doivent comparaĂźtre ce mercredi devant le juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention du tribunal judiciaire de Meaux qui doit statuer sur leur dĂ©tention requise par le parquet de Meaux. La dĂ©tention provisoire du « petit ami » a Ă©tĂ© maintenue.
Devant une cour d’assises, les deux violeurs prĂ©sumĂ©s encourent la rĂ©clusion criminelle Ă  perpĂ©tuitĂ©.
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Par Lucile Akrich
Publié le 14 Juin 22 à 12:21 
mis Ă  jour le 14 Juin 22 Ă  12:21


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Deux hommes ont été jugés pour avoir frappé à coups de hachoir et d'un morceau de bois une de leur connaissance, en août 2020 à Luçon. Ils ont été condamnés à 5 ans de prison.  
Les deux hommes qui se prĂ©sentent Ă  la barre du tribunal correctionnel de La Roche-sur-Yon , lundi 13 juin 2022, auraient dĂ» ĂȘtre jugĂ©s pour « tentative de meurtre » devant une Cour d’Assises. L’affaire a Ă©tĂ© correctionnalisĂ©e pour gagner du temps et les faits requalifiĂ©s en « violences aggravĂ©es par trois circonstances » : en rĂ©union, avec armes et sous l’effet de l’alcool.
Il faut dire que ce 5 aoĂ»t 2020, la victime, un grand gaillard d’une cinquantaine d’annĂ©es, avait Ă©tĂ© retrouvĂ©e sur le parking de sa rĂ©sidence Ă  Luçon , « couvert de sang, de la tĂȘte aux pieds », selon la prĂ©sidente du tribunal, qui retrace mĂ©thodiquement le dĂ©roulĂ© de cette journĂ©e ayant abouti Ă  un dĂ©ferlement de violence . 
Les deux prĂ©venus, Simon* et Jason*, commencent Ă  s’alcooliser dĂšs le matin au domicile du premier. Dans la journĂ©e, « 16 biĂšres fortes de 50 cl et deux bouteilles de Volka » y passeront. Ces deux hommes oisifs habitent le mĂȘme quartier de Luçon. Ils ont sympathisĂ© depuis peu, rĂ©unis par leur penchant pour la boisson.
Jason*, 24 ans Ă  l’époque des faits, orphelin brĂ©silien adoptĂ© Ă  l’ñge de 6 ans aprĂšs une petite enfance dans l’errance, « cabossĂ© par la vie », selon son avocat, a un contentieux avec la victime qu’il considĂšre comme « quelqu’un de raciste ». Ce qui n’a jamais Ă©tĂ© Ă©tabli dans la procĂ©dure. Il s’en plaint rĂ©guliĂšrement Ă  son nouvel ami Simon*, un homme de 47 ans peu insĂ©rĂ© qui « tourne en rond dans son appartement ». 
De son cĂŽtĂ©, Jean-Pierre*, le voisin, va s’épancher auprĂšs d’un de ses amis sur cette tension latente avec son voisinage. L’ami dĂ©cide d’aller intimider le voisin et frappe Ă  la porte de Simon*.
J’ai pris une patate chez moi, je suis tombĂ© par terre, je me suis cognĂ© Ă  un meuble et mes lunettes ont Ă©tĂ© cassĂ©es.
Les deux amis échaudés décident de se rendre au domicile de Jean-Pierre* pour « avoir des explications ». Le voisin est absent, mais les deux hommes complÚtement ivres tombent sur sa mÚre, « totalement terrifiée » par leur comportement agressif et menaçant. Quand Jean-Pierre* est de retour chez lui, il trouve sa mÚre en état de choc . Le temps de la rassurer, il retourne seul chez ses voisins.
La porte s’ouvre et c’est le dĂ©ferlement de violence .
J’ai frappĂ© le premier dĂšs que j’ai ouvert la porte. Sans lunettes, je n’y voyais rien. J’ai eu peur, je me suis senti menacĂ©.
Il saisit alors une feuille de boucher et frappe « 3 ou 4 coups » Ă  l’aveugle. La lĂ©gitime dĂ©fense est balayĂ©e par toutes les parties.
Puis, son acolyte, Jason*, prend le relais, et Ă  coup de bout de bois, « un morceau de meuble » retrouvĂ© cassĂ© en trois le lendemain matin, il s’acharne sur Jean-Pierre*.
Quand je bois beaucoup, je ne suis plus moi-mĂȘme.
Le jeune homme assÚne une pluie de coups sur le haut du corps, interminable, ponctuée de menaces de mort, entendues par plusieurs témoins : « Je vais te crever, on va te crever les yeux, te mettre une balle ! »
La scĂšne, « d’une violence inouĂŻe », plaide l’avocate de la partie civile , met la victime – dĂ©jĂ  handicapĂ©e suite Ă  un accident de moto -, « dans l’impossibilitĂ© de se dĂ©fendre ».
Simon* tente un moment de l’arrĂȘter, mais rien n’y fait. Il faudra l’intervention des gendarmes, aprĂšs « 10 ou 15 minutes » de passage Ă  tabac , pour que les coups cessent. La victime a de multiples plaies, des fractures, 21 jours d’ITT et des consĂ©quences psychologiques encore vives deux ans aprĂšs.
À l’audience, Jean-Pierre* est tellement tendu que la prĂ©sidente est Ă  deux doigts de l’interdire d’audience. 
La procureure pointe « la fusion de deux colĂšres » aboutissant Ă  cet excĂšs de folie . Elle dĂ©plore « une non-prise de conscience » pour Simon* et « une absence d’empathie » pour Jason* avant de requĂ©rir six ans de prison pour les deux prĂ©venus .
On ne peut pas faire payer aux autres ce que l’on a vĂ©cu dans l’enfance.
L’avocat de Simon plaide une scùne rendue possible par l’alcool :
L’alcool, c’est la genĂšse du passage Ă  l’acte. Aujourd’hui, mon client est en cours de dĂ©sintoxication et s’investit en prison.
Le tribunal condamne les deux hommes Ă  cinq ans d’emprisonnement, dont un an avec sursis et des obligations de soins et de travail . En prison depuis deux ans, les deux condamnĂ©s vont y rester. Ils devront Ă©videmment indemniser la victime.
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