Deux grosses queues en même temps

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Publié le
10/11/2018 à 07:30







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Pour faire l'amour à plusieurs, il faut avoir dépassé certains stéréotypes intériorisés.
L'envie revient avec une régularité quasi-métronomique. Tous les deux mois environ, Sarah, 27 ans, propose à son conjoint, Guillaume, de retourner dans le club libertin où ils ont leurs habitudes. "Ce rendez-vous me permet d'assouvir mon fantasme de faire l'amour à plusieurs", détaille Sarah. 

Le couple a découvert cet univers il y a bientôt trois ans. Au fil du temps, ils ont développé un rituel bien rodé. Ils ont leurs habitudes dans une autre ville pour limiter les chances de rencontrer une connaissance. "On arrive en général vers minuit. Guillaume s'habille 'classe', moi je tâche d'être le plus sexy possible, reprend Sarah. On prend d'abord un verre tous les deux au bar pour repérer les personnes qui nous plaisent. On les aborde en douceur et on finit par leur proposer de faire l'amour tous ensemble." 

Orgie, partouze, échangisme : les termes ne manquent pas pour décrire cette envie de se laisser aller à une sexualité à plusieurs. Du gang bang au plan à trois entre amis, le panel des pratiques est tout aussi large. Les clichés, eux, sont toujours les mêmes : l'homme serait toujours à l'origine de l'acte. Il manoeuvrerait pour convaincre sa compagne, forcément réticente. Une image bien loin de la réalité de Sarah. "Cela faisait longtemps que j'avais envie de faire l'amour en groupe. Avec mes autres compagnons, je n'arrivais pas à me lancer. J'avais peur de leur jugement. Je me suis lancée avec Guillaume car je suis persuadée que c'est le bon." 

Hélène, 32 ans, n'avait jamais eu l'envie de faire l'amour à plusieurs. Elle s'est simplement laissée aller avec deux amies et trois inconnus l'été dernier. "Nous étions dans une auberge de jeunesse en Thaïlande. Nous avons sympathisé avec un groupe de garçons. Après une soirée alcoolisée en boîte, nous avons fini par nous retrouver à six dans une chambre. Au départ, nous avions chacun notre partenaire attitré. Chose allant, nous nous sommes tous mélangés et nous avons fait l'amour toute la nuit. Le lendemain, j'étais très gênée de les croiser au petit déjeuner." 

Par peur de se faire traiter de salope, de nympho ou de fille facile, elles sont nombreuses à taire leur goût pour l'amour en groupe. "Ces jugements sont le lot de toutes les femmes qui dépassent les frontières de la sexualité jugée 'acceptable' par la société, déplore Anouk Perry, créatrice de podcasts dont un épisode a été très remarqué, La délicatesse des gang bangs. Emma, la jeune femme que j'ai rencontrée pour le podcast, assume parfaitement son goût pour cette pratique, reprend-elle. Il ne faut pas chercher à tout intellectualiser. Il n'y a pas toujours de raisons psychologiques profondes à analyser pour justifier telle ou telle préférence." 

Que l'on parle de gang bang, de plan à trois ou de soirée entre amis qui dérape, il s'agit toujours pour les femmes qui y participent de faire fi des stéréotypes et d'assumer leur désir. Ce cheminement peut prendre du temps. On vient rarement à cette pratique aux débuts de sa vie sexuelle. Pour certaines, cela témoigne d'une progression dans la connaissance de soi. " Passer du fantasme à sa réalisation m'a donné un puissant sentiment de pouvoir, s'enthousiasme Sarah. En faisant l'amour avec des inconnus, je me suis enfin sentie libre." 

Clémence, 31 ans, a toujours eu de la curiosité pour le sujet. Après une première expérience à 20 ans, elle s'est de nouveau lancée il y a quelques mois. Elle s'est rendue avec son copain dans un club échangiste. "Contrairement à ce que l'on pourrait penser, tout est mis en oeuvre pour que ça se passe bien. Les lumières sont tamisées. Il y a des masques à l'entrée pour se cacher. Le décor est glamour, plein de recoins. On découvre les choses petit-à-petit. Surtout, les gens sont très respectueux. C'est très sensuel." 

"Les clubs libertins ont tout intérêt à faire respecter des codes de conduite et à faire du consentement une priorité pour que les femmes reviennent. Faire l'amour en groupe passe par cette reconnaissance et cette valorisation de la femme", éclaire Anouk Perry. 

Sonia est célibataire. Elle se rend régulièrement à des soirées libertines dans des appartements parisiens, parfois accompagnée de l'un de ses amants, parfois seule. "Il n'y a jamais de violence ou de mots déplacés. Tout le monde est là pour la même chose : prendre son pied dans une atmosphère agréable." 

Se sentir ainsi protégées permet à ces partisanes du sexe en groupe de vivre pleinement l'excitation de l'inconnu , le plaisir de l'abandon total et le pouvoir des sensations exacerbées. "Je ne connais pas les personnes avec qui j'accepte de faire l'amour. Je ne sais rien d'eux mais j'ai confiance. Je peux me concentrer sur mon attirance. Il y a quelque chose de très primitif, de très animal dans ce choix", détaille Sarah. 

Quand les corps se mélangent à trois, quatre, voire plus, les barrières tombent. On contrôle moins l'origine de son plaisir. Sonia ne s'estime pas bisexuelle mais elle aime faire l'amour avec des femmes et des hommes en même temps. "Quand on se fait pénétrer et que l'on pénètre soi-même, avec des doigts par exemple, le plaisir est décuplé. On ne sait pas d'où il vient exactement mais il parcourt tout le corps." 

Pour Sarah, coucher avec plusieurs personnes en même temps est une manière de vivre pleinement son fantasme de domination . "J'aime me faire pénétrer tout en faisant une fellation par exemple", raconte-t-elle. Dans le club échangiste, Clémence a pu se laisser aller. "Deux hommes se sont occupés de moi en même temps. J'en garde un souvenir impérissable." 

LIRE AUSSI >> Quand la femme pénètre 

Le plaisir est aussi sexuel qu'intellectuel. Ces femmes transgressent les règles de la monogamie bien-pensante pour assouvir leur fantasme. En couple ou célibataire, elles ont le sentiment d'avoir "tout gagné". "J'aime voir Guillaume faire l'amour avec d'autres femmes. Il arrive aussi que nous donnions du plaisir à la même femme en même temps. Cela fait partie de mon excitation, raconte Sarah. Notre lien de confiance est renforcé par ces échanges avec les autres." 

Le couple tient tout de même à conserver une vie sexuelle à deux, "très différente mais tout aussi riche que celle en groupe", note Sarah. Son expérience en Thaïlande a donné des idées à Hélène. Elle y repense souvent avec exaltation. "Je me dis que j'ai dépassé un tabou, que je me suis affirmée. Surtout, j'ai trouvé cette approche de la sexualité très joyeuse, sans questionnements ni prises de tête. Du pur plaisir." Un vaste programme que la jeune femme compte bien approfondir. 


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Je mets assez de temps (2 à 3 heures) pour reprendre une érection après un premier rapport sexuel. Est-ce normal? Bonjour, Après une première érection, il faut un certain temps pour pouvoir obtenir une deuxième érection. Cette durée est variable selon les hommes et surtout selon l’âge. La période réfractaire après l’orgasme, temps pendant lequel un orgasme est impossible augmente avec l’âge. De quelques secondes à 17 ou 18 ans, il peut atteindre un jour ou deux à 80 ans. Et entre les deux, il peut être de 2 à 3 heures comme c’est votre cas… C’est un phénomène naturel contre lequel on ne peut pas grand chose. Cependant, vous pouvez noter que si votre excitation est plus élevée, cette période réfractaire peut être plus brève.
j'éjacule comme je veux toutes les 2 h mes moins de sperme apres la premiere
Le temps à attendre la deuxième erection est directement proportionnelle à l'énergie perdue pendant l'éjaculation de la première erection.
En ejaculant au premier coup restez fixe et arrêtez de les va et vient. Au mieux sortez le machin et sans le frotter, laissez couler le sperm.
Quand je commence le rapport sexuel ,une minute j'éjacule
Étant ejaculeur précoce c’est normal que j’ejacule vite l’hors Du 2e et du 3e rapport ?
Pourquoi les excitants ne marchent pas sur moi??
Y'a t'il un conseil pour se faire excité après le premier rapport avec sa partenaire le même jour au lit?
Comment peut on expliquer la diminution du désir ,quand un couple dévient âgé?
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«Ce mec, c'était une tête de bite avec une grosse bite.»
«Je suis sortie avec un type qui en avait une de 30 cm. Dans le meilleur des cas, avoir des relations sexuelles était quelque chose d'inconfortable, et en plus il refusait de me faire des cunnilingus. Je l'ai quitté après avoir passé un an a essayer de trouver des excuses pour ne pas coucher avec lui. Le pire, c'est qu'il n'avait aucune idée d'à quel point sa bite était grosse, à chaque fois qu'on parlait de sa taille, il ne voulait pas me croire quand je lui disais qu'il était plus gros que la moyenne.»
«Étant lesbienne, je n'ai pas vu beaucoup de pénis depuis que j'ai perdu ma virginité à 17 ans. Mais ma première expérience avec quelqu'un du sexe opposé a été un homme qui, à ce jour, a le plus gros pénis que j'aie jamais vu. On faisait du camping avec un grand groupe, sous tentes et à cheval, près de la rivière Suwannee en Floride. Mon petit ami de lycée et moi sommes allés tôt dans ma tente, et l'on s'est lancés dans une session de câlins assez chauds. Après m'avoir demandé mon accord, il a sorti un pénis extrêmement long, dur comme un roc et très massif.
On a passé les 10 minutes suivantes à essayer de faire rentrer juste le bout. C'était épuisant et ça faisait mal, mais lui était déterminé et moi j'étais en pleine période "j'ai pas envie d'être lesbienne" donc je faisais preuve de beaucoup de patience, même si je souffrais terriblement. Heureusement, une fois qu'il était rentré, ça n'a pas duré très longtemps. Mais parfois quand j'y repense, je me souviens de la force avec laquelle cet énorme membre rentrait dans ma chair. C'est pas que cette expérience m'a dégoûté pour toujours des hommes — je pense que c'était déjà réglé à ce moment là —, mais j'ai clairement appris à apprécier le lubrifiant.»
«Il y a quelque temps, j'étais vraiment AMOUREUSE de ce type qui était apparu dans mon émission de télé-réalité préférée. J'étais fan, et j'allais sur son Instagram dès que j'en avais l'occasion. Un jour, il a remarqué un de mes commentaires, et m'a envoyé un message. On a échangé nos numéros et on a commencé une relation à distance, et un jour il m'a envoyé une photo de sa bite qui m'a fait avaler mon café de travers. Vu sa taille, je pensais qu'il aurait une bite de taille moyenne, mais il était ÉNORME. J'étais certaine qu'il allait me casser en deux. Malheureusement, on a rompu avant que je puisse aller le voir pour un weekend. J'ai raté cette bite.»
«Je prenais un verre avec mon meilleur ami, et il a invité un de ses potes. On est allé aux toilettes en même temps, et, pour faire court, elle était si grosse qu'il avait besoin de la tenir à deux mains pour pisser. Je n'étais même pas jaloux à ce niveau-là, seulement effrayé.»
«Je rencontré un mec sur Tinder, et après l'un de nos rencarts, on a fini chez lui. Honnêtement, j'ai voulu résister, mais je n'ai pas pu me retenir, et nos vêtements ont volé à travers la pièce. Un truc que j'aime faire, c'est avoir la tête qui dépasse du lit et défaire le pantalon du mec pendant qu'il est debout, avant de lui faire une fellation. Quand je lui ai retiré son pantalon, sa bite m'a tapé le front, et j'ai eu le souffle coupé en pensant que cette chose allait finir dans ma gorge. Je ne crois pas que je sois parvenue à mettre plus de 3 cm de ce monstre dans ma bouche, et le sexe a été presque désagréable. PRESQUE, car l'épaisseur de cette bite-bûche était incroyable. Cela va sans dire, si un jour j'en ai le courage, je le rappellerai.»
«Quand j'étais plus jeune, il y avait ce type qui m'a dragué pendant des mois. Il n'arrêtait pas de me dire qu'il avait une bite de la taille d'un clavier, et je n'arrêtais pas de l'ignorer. Finalement, j'ai changé d'avis. J'étais dans sa chambre, et, quand il l'a sortie, j'ai d'abord pensé : "Oh mon Dieu, elle fait vraiment la taille d'un clavier pour enfants." J'étais prête pour le challenge mais je me suis vite rendue compte que c'était juste trop gros pour moi. Il arrivait à peine à faire rentrer le bout sans que ça fasse mal, que je me plaigne et que ça glisse. Un jour ça a glissé et j'ai juste serré les cuisses très fort et je l'ai laissé baiser comme ça en faisant comme si c'était mon vagin parce que y'avait pas moyen que ça rentre de toute façon.»
«Mon ex en avait une d'environ 30 cm. C'était une grosse tête de bite, je suppose que c'est normal qu'il en ait eu une grosse.»
«J'étais en deuxième année de fac, et j'étais vierge. J'avais flirté avec ce mec rencontré en cours, et un soir, il m'a invitée chez lui. Bien sûr, la première fois que j'ai vu son pénis, j'ai pensé qu'il était de taille normale, parce que je n'en avais pas vu beaucoup auparavant, mais j'arrivais à peine à le mettre dans ma bouche. Quand il a essayé de me pénétrer, seul le bout rentrait. J'étais très gênée, parce que je pensais que c'était ma faute. Mais bon, il l'a bien pris. J'ai appris par la suite qu'il tournait dans des pornos à côté pour se faire un peu d'argent. »
«J'ai rencontré ce type quand je bossais dans une boutique de chaussures. Il était gênée à cause de sa grande pointure de chaussure, et je lui ai dit en plaisantant, «Vous savez ce qu'on dit des hommes à grands pieds» en lui faisant un clin d'œil. Quelques temps plus tard, on commence à se voir, et putain, cette blague était plus qu'adaptée. il en avait une ÉNORME ! Au moins 30 centimètres. Les relations sexuelles étaient... compliquées. Je me souviens qu'il m'avait dit "Les mecs ont toujours envie d'avoir une grosse bite, mais en fait, c'est vraiment chiant."»
«J'avais un plan cul avec un mec, et, sans déconner, sa bite était grosse comme une cannette de Monster. Je parle en longueur et en largeur. La première fois que je l'ai vue, j'ai honnêtement eu une exclamation de surprise. Jusqu'à aujour
Une bite explore tous les trous
Chanel Preston et India Summer dans une baise échangiste
Une vilaine double pénétration

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