Deux gays dans les toilettes d'une station service

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Deux gays dans les toilettes d'une station service
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29 décembre 2014 par SimonTuxboard

Site de divertissement et de découvertes – Vous ne reviendrez plus chez nous par hasard !

Il commence à tourner à l’extérieur en nous expliquant qu’il va nous montrer les toilettes de cette station service. On s’attend donc à voir quelque chose de répugnant et pas du tout hygiénique. Mais l’intérêt de cette vidéo repose sur la surprise.
En effet, à l’intérieur on découvre des toilettes de luxe, tout confort, d’une propreté impeccable avec une belle décoration. De quoi donner envie de s’arrêter plus souvent.

(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Nous sommes rendus vers la mi-juillet, mes amis sont placés dans des camps de vacances. Je m'étais débarassé du vieux à cause des photos que nous avions prises de lui à son insu. Il nous laissa tranquille, de peur de se faire prendre; c'était une bonne chose car il devenait de plus en plus exigeant et violent.

Par contre, je commençais à m'ennuyer royalement et après quelques expériences avec les filles, je n'aimais pas trop. J'essayais mais le seul plaisir que je recevais, c'était quand elle me sucaient pour me vider sauf une amie de ma soeur qui m'avoua qu'elle savait que j'aimais mieux les garçons que les filles et qu'elle, elle aimait mieux les filles que les garçons.

Nous étions sur la même longueur d'onde. Je lui proposai de venir au centre-ville avec moi car je me disais si dans les toilettes des hommes, je pouvais rencontrer, que possiblement ça devait être la même chose sur le côté des femmes. Alors nous voilà en direction de la Place Victoria et elle se dirigea côté femme et moi côté homme. On se donna rendez-vous dans environ une heure, près de l'escalier et nous nous racontrions nos conquêtes ou non.

De mon côté, je m'installe devant un urinoir; la place était vide jusqu'à ce qu'un beau noir haïtien comme moi vienne se planter à côté de moi. Dans notre communauté, les gays à ce moment, ce n'était pas très bien vu, même très mal vu. Je me poussai vers l'intérieur de l'urinoir pour cacher ma queue en demi-érection mais à ma grande surprise, lui de son côté commence à jouer avec la sienne. Elle était grosse, immense! Me regardant avec un grand sourire, il me dit: "Ça te tente?" Je me suis mis à bander comme un cheval.

Il devait faire près de 10 pouces avec un gland noir ébène. Je le regardai et je m'approchai de lui craintivement et je me suis mis à le caresser. Sa queue était de la douceur du velour et il m'attira dans la cabine. Il me fit asseoir et me mit sa grosse bite dans la bouche. Jamais ô grand jamais je ne pensais que je pouvais l'entrer dans ma bouche. Il poussa au fond de ma gorge et je pouvais mettre une main complète sur celle-ci. Je le suçais et le masturbais du mieux que je pouvais et en quelques minutes, il éjacula dans ma bouche. Ça me coulait le long du menton.

Je lui lêchai les couilles qui étaient encore pleines et il me dit: "Ce sera ton tour la prochaine fois!" et me glissa un numéro de téléphone en me disant: "Téléphone-moi ce soir. S'il le faut, j'irai te chercher!" Il releva son pantalon et sortit. Je me suis dit "il prend tout et me donne rien"! J'étais en furie car je n'avais rien eu. Je restai là quelques minutes et personne, donc je suis sorti.

J'attendais Marielle sous l'escalier. J'ai dû attendre près d'une heure et la elle arriva le sourire fendu jusqu'aux oreilles en me disant: "Comme tu es gentil Jean Thomas, ce fut merveilleux! Je vais revenir souvent." Mais en me voyant elle me dit: "Ho! Ça ne semble pas avoir été trop bien pour toi?" et je lui explquai ce qui venait de m'arriver. Elle me dit:

— Jean Thomas, je pourrais bien te contenter en arrivant à la maison.

— Non mais raconte-moi ce qui t'es arrivé, toi.

— En arrivant dans la toilette, il y avait un femme qui sortait d'une cabine. Son jeans n'était pas attaché et elle se rendit vers le miroir en me faisant un grand et beau sourire. Je me dirige vers la cabine du centre en fermant la porte. Je releve ma jupe en écartant les jambes le plus que je pouvais et je pouvais l'appercevoir par la fente de la porte qui me toisait par le mirroir. Elle se retourna, cogna à ma porte qui était verrouillée et entra dans la cabine à côté de la mienne.

Rendus à la maison, je téléphonai à ce beau mec. Je me suis dit: "ce ne sera pas le bon numéro" mais non, c'était vraiment le bon. Il s'appelle Franck, habite le quartier à côté du mien. Je me rendis a pieds.

Arrivé chez lui, je suis face à un magnifique bungalow. Je sonne à la porte mais c'est un autre mec qui vient m'ouvrir. Il me dit: "Entre Frank t'attend." et il se présente: "Moi c'est Marcel!" J'hésite un peu, dans quoi je me suis je encore embarqué. Franck arrive, il a un large sourire. Il me dit: "Viens mon chéri, n'aie pas peur." Je décide d'entrer.

Marcel est blanc. Il est aussi grand que Frank, ils font six pieds minimum tous les deux. Je passe au salon, la décoration est superbe, la lumiere est tamisée, une petite musique douce d'ambiance. Puis Marcel vint s'asseoir à côté de moi. Je peux voir sa bosse à travers son jogging. Il me dit: "Peux-tu rester longtemps?" Je lui répondis: "Une heure, une heure et demie..." Il me passe la main dans les cheveux, il est très doux et en moins de deux, je me suis mis à bander et il le remarqua assez vite merci!

Frank arriva sur ce et me dit: "Nous allons te faire plaisir, mon chéri!" et ils commencèrent tous les deux à me déshabiller ensemble et lorsque je fus complètement à poil devant eux, ils ne tarrissaient pas d'éloges à mon égard. Puis ils enlevèrent leur vêtements à leur tour. Nous voilà tous les trois à poil. Frank dit à Marcel: "Je te l'avais bien dit que Jean Thomas était beau! Ce soir, nous allons lui faire plaisir tous les deux..."

Ils commencèrent avec délicatesse à me careser, m'embrasser sur tout le corps. J'avais l'impression qu'il y avait pus d'une dizaine de mains qui me caressaient doucement. Je me tortillais comme un ver, c'était merveilleux. Frank commença à me caresser la verge et Marcel me présenta la sienne, beaucoup plus petite que celle de Frank, uncut, toute blanche, avec un gland rose un peu plus foncé, que je m'empressai de mettre en bouche. Frank pendant ce temps me suçait d'une facon sublime. Ma queue dans cette bouche, sa langue qui se promenait autour de mon gland, je lui dis: "Arrête! Je vais venir!" mais il continua de plus en plus fort et trois ou quatre jets emplissaient sa bouche.

Il se retira, moi je continuais toujours à sucer Marcel. Frank s'occuppa à me caresser les couilles, toujours avec délicatesse. Ça faisait changement de l'après-midi et il embrassa Marcel pour qu'il goûte à mon sperme, dans un long baiser entre eux. Ce qui eut pour effet que Marcel éjacula en même temps dans ma bouche. Je me joignis à leur baiser et nous nous embrassions tous les trois.

Frank, n'ayant rien reçu encore, demanda à Marcel de le sucer. Ce qu'il fit pendant que moi je m'occupais à lui caresser les couilles. Il vint assez vite aussi et encore une fois, nous nous embrassions tous les trois. Nous nous somme couchés sur la peau d'ours en triangle et nous nous sommes lavés nos queues mutuellement.

Ce fut une journée inoubliable qui avait drôlement commencé mais qui finit d'une façon merveilleuse



Reference #18.a589ef50.1661717920.6321d151




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