Deux filles et une seule queue

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"Elle a totalement explosé": une ado tend un violent guet-apens à une fille de 13 ans sur fond de jalousies amoureuses
Le 08/09/2021 à 7:06 | MAJ à 12:55
Une jeune fille de 13 ans a été lynchée par une autre dans l'Hérault et son agression filmée sur Snapchat.
"Elle a totalement explosé": une ado tend un violent guet-apens à une fille de 13 ans sur fond de jalousies amoureuses
Une adolescente a été mise en examen mardi à Béziers quelques jours après un déchainement de violences à l'encontre d'une autre jeune fille à Bassan, dans l’Hérault.
Selon les premiers éléments, le 26 août dernier, en fin d'après-midi, trois filles et deux garçons âgés entre 12 et 13 ans, divisés en deux groupes, décidaient de se retrouver dans une rue pour s'expliquer à la suite de messages agressifs échangés sur le réseau Snapchat. Un règlement de comptes sur fond de jalousie entre deux jeunes filles en raison de leurs relations avec l'un des garçons.
Tout dérape: les deux rivales supposées s'affrontent physiquement, selon les enquêteurs. L'une d'elles prenant le dessus avec des coups de poing et coups de pied sur différentes parties du corps dont la tête, pendant qu'elles étaient filmées par les trois autres mineurs avec des téléphones, dont celui de la victime qu'elle venait de confier à l'un des garçons - et personne n'intervient.
Cette scène particulièrement violente est ensuite diffusée la vidéo sur les réseaux sociaux. Tous ces témoins seront convoqués prochainement par le juge des enfants.
Un règlement de compte sur fond de jalousie. C’est dans la commune de Bassan qu’Alicia, 13 ans, a été victime d’un véritable guet-apens. Une pluie de coups portés par une collégienne qui a le même âge. Christophe est le papa d’Alicia :
L’enquête menée par les gendarmes de Servian a conduit à cette rapide mise en examen. Maître Charline Gimeno explique que sa jeune cliente a voulu se faire justice toute seule :
La Justice va poursuivre également les trois mineurs complices, notamment ceux qui ont filmé et diffusé les images violentes sur les réseaux sociaux. 
Selon le parquet, "La loi prévoit que le simple fait de filmer des violences, en s'abstenant d'y mettre un terme sans danger pour soi-même ou les tiers, est un acte de complicité des violences elle-même, susceptible d'être puni par les mêmes peines (article 222–33–3 du code pénal). Ainsi, des violences commises par une seule personne mais filmées par une ou plusieurs autres sont juridiquement des violences commises en réunion faisant encourir la peine maximum de 3 ans d'emprisonnement si l'incapacité totale de travail est inférieure à huit jours et 5 ans d'emprisonnement en cas de blessures plus graves". 
Pour les mineurs de moins de 16 ans, la loi prévoit que les peines maximales encourues sont automatiquement divisées par deux.
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International 22/09/2018 04:20
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La structure accueillait des femmes asiatiques accouchant aux États-Unis pour que leurs enfants obtiennent la nationalité américaine.
ÉTATS-UNIS - Les enquêteurs cherchaient à comprendre pourquoi une employée a poignardé trois bébés et deux adultes vendredi 21 septembre, dans un "centre de naissance" new-yorkais apparemment illégal, où viennent accoucher des femmes asiatiques pour obtenir la nationalité américaine, selon des médias locaux.
De premières informations de la police avaient indiqué que le drame, survenu peu avant 04h du matin (10h à Paris) ce vendredi, s'était déroulé dans une crèche du quartier à population majoritairement asiatique de Flushing, dans le district de Queens.
Mais en fin de journée, la chaîne ABC et le Wall Street Journal précisaient que le petit immeuble où s'est déroulé le drame abritait en fait un "centre de naissance". Il accueillait des femmes d'origine asiatique qui viendraient spécialement accoucher aux États-Unis afin que leur bébé ait la nationalité américaine, selon ces médias.
La suspecte aurait tenté de se suicider
Interrogés, ni la police ni le bureau du procureur de Queens n'ont immédiatement confirmé ces informations. Une porte-parole du procureur a simplement indiqué que le centre, comme l'attaque elle-même, faisaient l'objet d'une enquête.
Selon un communiqué du procureur, les trois bébés poignardés, deux filles et un garçon âgés de 13 jours à un mois, et les deux adultes - le père d'un des bébés et une autre employée de la crèche - ont été frappés de plusieurs coups de couteau par une autre employée du centre, âgée de 52 ans.
Les autorités ont retrouvé la suspecte dans la cave, après qu'elle eut essayé de se couper les veines du poignet gauche, selon la police. Elle a été hospitalisée et fait l'objet d'une évaluation psychiatrique, a indiqué le bureau du procureur.
Les bébés et les deux adultes blessés ont tous été hospitalisés, dans un état "critique mais stable", avait indiqué plus tôt une responsable de la police new-yorkaise, Juanita Holmes. Dans la soirée, le Wall Street Journal affirmait que seul un des enfants était encore dans un état critique.
"Nous prions pour que toutes les victimes soient en bonne santé et survivent à leurs blessures. Nous espérons que ces nourrissons, petits et si fragiles, seront suffisamment forts pour surmonter cet acte terrible de violence absurde" a déclaré le procureur de Queens, Richard Brown, cité dans le communiqué.
Neuf bébés au total se trouvaient dans le centre de naissance au moment du drame, a-t-il également indiqué. Si le procureur ne s'est pas prononcé sur la légalité de ce centre de naissance, un élu local, Ron Kim, a laissé entendre sur Twitter qu'il était illégal.
"Nous allons travailler étroitement avec le gouverneur Andrew Cuomo, le maire de New York et le commissariat pour sévir contre ces centres illégaux pour enfants" et pour "nous assurer que cela ne se reproduira pas", a tweeté l'élu démocrate, d'origine sud-coréeenne.
Selon la loi fédérale américaine, un enfant né aux États-Unis obtient automatiquement la nationalité américaine. Une fois majeur, il peut aider les membres de sa famille à obtenir un permis de séjour, voire la nationalité, à terme.
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Publié
le 13/06/2022 à 21:11 , Mis à jour le 13/06/2022 à 22:13
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RÉCIT - Un témoignage, abondamment relayé sur les réseaux sociaux, prétend que la mairie de Vitré (Ille-et-Vilaine) a organisé «le rapt d'un nouveau-né et d'un enfant de 2 ans pour punir leur mère» après que celle-ci a accouché seule chez elle. Que s'est-il réellement passé ?
Un « enlèvement » ? C'est ce dont sont accusés les services départementaux d'Ille-et-Villaine par une jeune mère, Noémie, qui s'est vue retirer vendredi la garde de ses deux enfants, Nausicaa et Lou. La première est âgée de deux ans, la seconde, de seulement quelques jours : elle est venue au monde au domicile de ses parents, dans la plus stricte intimité familiale... et c'est justement là que le bât blesse.
Sur les réseaux sociaux, les parents reprochent à la mairie de Vitré d'avoir d'abord refusé de leur délivrer un acte de naissance à cause des circonstances de l'accouchement, puis d'avoir alerté sans raison les services de Protection maternelle et infantile (PMI), avant que la gendarmerie ne vienne finalement leur « arracher » leurs deux filles. Si Raphaël et Noémie plaident surtout pour que la garde de leurs enfants leur soit rendue, leur histoire a rapidement pris un tour politique.
Elle a en effet très vite été relayée, d'abord sur Instagram (leur page, « Réunir notre famille »…

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Cultiver sa liberté, c’est cultiver sa curiosité.
curieux ces deux parents, oui curieux...protégeons les enfants des comportement irresponsables de certains parents plus ou moins sectaires.
Est-ce que la maman allaite ce bébé pour rester au plus près de la nature ?...Je ne pense pas qu'on aurait enlevé ce bébé si elle allaitait...
Il n’y a pas de pire maltraitance que de séparer un nouveau né de sa mère. Cette action administrative est une honte absolue. Ces parents étaient dans la légalité. J’espère de tout cœur que cette famille sera vite réunie.
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