Deux filles bisexuelles font une fellation

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Deux filles bisexuelles font une fellation



10% des femmes interrogées ont déjà eu une relation homosexuelle. William Perugini/william87 - Fotolia




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La prostate est une glande génitale masculine, de la taille d’une châtaigne, située à l’endroit où l’urètre sort de la vessie.



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Les femmes françaises ont une tendance à avoir des pratiques bisexuelles de plus en plus marquées, selon un sondage Ifop. Une évolution surtout visible chez les moins de 35 ans.
10% des femmes interrogées ont déjà eu une relation homosexuelle. Bien que la pratique reste minoritaire, le chiffre est en nette évolution depuis les années 1970. À l’époque, seules 2% des femmes déclaraient avoir couché avec une personne du sexe féminin.
C’est la conclusion d’une enquête Ifop/Référence Sexe, menée en ligne du 14 au 17 décembre 2016, auprès d’un échantillon représentatif de 2003 Français, dont 1055 femmes, âgés de plus de 18 ans . Cette étude reprend la formulation de questions posées lors de précédentes enquêtes (1970, 1992, 2006 et 2014) pour observer les évolutions des pratiques sexuelles .
Avec cette augmentation, la France se situe dans la moyenne des pays occidentaux, sur le plan des expériences homosexuelles féminines. Une grande enquête menée aux États-Unis montre que la proportion de femmes ayant eu des relations sexuelles avec d’autres femmes a plus que doublé entre 1990 (3.6%) et 2014 (8.7%). Si aux Pays-Bas, 14% des femmes ont déjà eu une relation homosexuelle , elles ne sont que 7% en Espagne et 3% en Italie.
Concernant l’expression d’un désir, une femme sur quatre de moins de 25 ans, déclare avoir été attirée sexuellement par une autre femme, soit une proportion qui a triplé en 10 ans: 24% en 2016, contre 18% en 2013 et 7% en 2006.
Seuls 10% des jeunes hommes du même âge, admettent avoir déjà eu une attirance homosexuelle. Le chiffre est tout autre chez les plus de 60 ans qui ne sont que 9% à avoir déjà été attirée par une autre femme.
Le baiser sur la bouche est le geste le plus répandu, même si cette expérience n’est pas forcément le signe d’une réelle attirance. 21% des Françaises s’y sont déjà essayées et chez les moins de 25 ans, cette pratique concerne 45% des jeunes filles.
Attention cependant l’attirance et les pratiques sexuelles sont à dissocier de l’identité sexuelle de ces femmes: seules 2.9% des Françaises se disent «bisexuelles» et 1,5% se considèrent comme «lesbiennes». La France se situe, là encore dans la moyenne des pays européens, oscillant entre 1% en Italie et 8% aux Pays-Bas.
ghislainedullier le 07/02/2017 à 20:38
Il y a de plus en plus de féministes ... Le sondage a t'il abordé cet aspect ?
Qu'est-ce que cela vient faire dans le Figaro Santé ? Serait ce pour magnifier la forme de vie du candidat des media mondialisés. Mr M. ?
jean-loup brochet le 04/02/2017 à 15:50
Au-delà du phénomène de mode, cela ne fait que conforter et ce que je dis depuis près de 60 ans et mon explication de l'évolution spirituelle du monde, que je vois en 3D, contrairement au plan triangulaire de Teilhard de Chardin.
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1750 - Le dernier bûcher de Sodome - Jean Diot et Bruno Lenoir, sont surpris par le guet rue Montorgueil à Paris en flagrant délit d'homosexualité, alors généralement considéré comme un outrage à la pudeur. Finalement condamnés à la peine maximum, ils sont brûlés vif sur la place de l'Hôtel de ville le 3 juillet 1750. Ils resteront comme les derniers homosexuels en France à avoir été exécutés pour ce motif. En 2011, le Conseil de Paris a voté à l'unanimité un voeu du groupe communiste demandant la pose d'une plaque dans le quartier Montorgueil pour leur rendre hommage.
Certified Sex and Relationship Therapist
SEXUALITÉ - Bon nombre d 'hommes ont des relations avec d'autres hommes pour de multiples raisons, que je vais tâcher d'analyser pour vous. En voici quelques unes.
J'ai récemment écrit un billet de blog sur le clip de la chanson All american boy, par l'auteur-compositeur Steve Grand. On y voit un homosexuel tomber amoureux d'un hétérosexuel et échanger avec lui un baiser furtif. Dans mon billet, je me demandais comment un homo peut être attiré par un hétéro, mais cette question en amène une autre : comment un homme hétérosexuel peut-il être sentimentalement ou sexuellement attiré par d'autres hommes ? Pourquoi l'hétéro apparaissant dans le clip en vient à rendre le baiser ?
Voici un scénario très fréquent : un homme entre dans mon cabinet, sur les conseils de son thérapeute et des livres sur le coming out qu'on lui a donnés. Il m'explique que son thérapeute a tenté, sans succès, de lui faire révéler son homosexualité ou sa bisexualité, mais bien qu'il ait eu des relations sexuelles avec d'autres hommes et visité des sites pornos gay, il insiste sur le fait qu'il n'est pas gay. Il dit ne pas être homophobe non plus ; s'il s'avérait en effet qu'il était gay ou bisexuel, il l'accepterait sans problème, mais le fait est que l'étiquette ne lui semble pas appropriée.
Au cours des trois dernières décennies, en réaction aux idées préconçues et aux comportements homophobes, le vent a tellement tourné que la thérapeutique et le politiquement correct veulent qu'un homme qui a des relations sexuelles avec des hommes soit "dans le déni" et ait besoin d'aide pour reconnaître et accepter son "véritable" penchant homosexuel. Le fait est qu'aucun des deux extrêmes ne correspond au ressenti de bon nombre d'hommes. En réalité, beaucoup d'entre eux, qui ont des relations sexuelles avec des hommes, ne sont pas gays ou même bisexuels. Les hommes homosexuels ou bisexuels en viennent à développer une identité gay ou bisexuelle. Ce n'est pas le cas des hommes en question, bien que leur situation psychologique et émotionnelle corresponde aux premières étapes vers le coming out.
Lorsque j'écris sur les hommes hétérosexuels qui ont de l'attirance, voire des relations sexuelles, avec d'autres hommes, je reçois bon nombre de réactions négatives, en particulier de la part d'homosexuels qui ont vécu dans le placard, tâchant de se convaincre de leur hétérosexualité, allant parfois jusqu'à se marier avec des femmes. "Vous ne laissez pas ces hommes sortir du placard, vous leur faites du mal !", me crient-ils. Mais ce qu'ils ne comprennent pas, c'est que je ne m'adresse pas à des hommes comme eux. Eux rejetaient une identité : une image sexuelle et romantique de l'homosexualité. Ce n'est pas à ce genre d'hommes que je m'adresse.
En 2008, j'ai lancé Straight Guise , un site et un blog ouvert à toute personne désireuse de lire, poster des commentaires ou discuter sur le sujet des relations entre hommes. On y explore les nombreuses raisons qui font qu'un homme a des relations sexuelles avec un homme. Seules quelques unes d'entre elles ont à voir avec l'homosexualité ou la bisexualité.
Bon nombre d 'hommes ont des relations avec d'autres hommes pour de multiples raisons, que je vais tâcher d'analyser pour vous. En voici quelques unes :
Il ne s'agit en aucun cas d'une liste exhaustive des raisons qui mènent un homme à passer à l'acte avec un autre homme. Quoi qu'il en soit, il est primordial de fournir à tout homme ayant des relations sexuelles avec des hommes des informations sur l'homosexualité, la bisexualité et le processus d'un coming-out, ainsi que sur les agressions sexuelles, la dépendance au sexe, les problèmes familiaux et les problèmes de comportement qui pourraient conduire au désir d'avoir des rapports sexuels avec des hommes. Cependant, seul l'homme concerné est en mesure de décider si son attirance pour les hommes est le début d'une marche vers le coming out, la marque d'une agression sexuelle ayant eu lieu pendant l'enfance, une addiction au sexe, ou tout autre type de réaction. Peut-être est-ce aussi qu'un homme peut simplement vouloir, de temps en temps, une relation sexuelle avec un homme et que ça ne veuille rien dire de plus. A ce qu'on dit, Freud aurait déclaré : "Parfois un cigare n'est qu'un cigare !"
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La grande majorité des femmes sont bisexuelles de nature, il n'existe pas e pure hétéro ni de pure lesbienne, chez les garçons c'est très différent, il y a des hétéros et des homos, la bisexualité n'existe quasiment pas.
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« Sur Facebook, la semaine dernière, j'ai posté une vidéo de moi et de ma meilleure amie où on s'échange un bonbon avec la bouche, comme dans "La belle et le clochard" , raconte Nina, 14 ans. Tout le monde a cru qu'on sortait ensemble. Et j'ai eu plein de "like" avec des commentaires disant qu'on formait un supercouple ! En ce moment, c'est l'obsession à l'école : savoir qui est bi et qui ne l'est pas . » Charlotte, professeure d'anglais dans un lycée public parisien, confirme : « J'ai toujours constaté une ambiguïté entre filles, propre aux premiers émois de l'adolescence. Regards, petits mots doux glissés dans les cahiers, etc. Mais depuis quatre ou cinq ans, c'est beaucoup plus visible et affiché. Plus assumé. On voit les filles en bandes, avec des duos qui ressemblent à de vrais couples, qui s'affichent comme tels, en tout cas. J'en ai même eu, plusieurs fois, qui s'embrassaient sur la bouche dans ma classe ! Qu'est-ce qui est de l'ordre de la provocation ou de sentiments plus profonds ? Difficile de savoir. »
Sur Facebook , les clichés de baisers entre ados du même sexe défilent, validés, voire applaudis, par des « like » et des commentaires enthousiastes. Entre filles, on s'appelle « ma vie », « mon amour », « mon bébé ». Et on affiche sans complexe, à 15 ans, « mariée à Machine » comme statut de profil. Quitte à changer, une semaine plus tard, pour inscrire « en couple avec Machin ». Sur les sites d'ados, les forums consacrés à la bisexualité se multiplient. Avec des questions, mais aussi des témoignages de jeunes, filles ou garçons, qui s'assument et parlent sans tabou de leur orientation sexuelle , de leur coming out , de leur(s) amour(s). Judith Silberfeld, rédactrice en chef de Yagg , site Internet spécialisé dans les questions LGBT (lesbiennes, gays, bi et trans), souligne : « Dans la communauté de notre site, il y a beaucoup d'internautes très jeunes (autour de 14 ans) qui assument leur bisexualité. Ils sont bien dans leur tête par rapport à ça, il y a un vrai changement avec les générations précédentes. »
« Cela traduit surtout une incertitude , analyse le sociologue Michel Fize, spécialiste de l'adolescence. A 15 ans, on se cherche, on tâtonne d'un sexe à l'autre. C'est le temps de l'errance. Mais attention à la distorsion entre la réalité et le discours. Pour ce qui est du passage à l'acte, deux filles qui s'embrassent, ça ne prouve rien. Se déclarer bi est une manière de se grandir soi-même. Se hausser sur une marche, mais pas forcément celle qu'on occupe... Cela correspond à une quête identitaire, non à un choix. Il est encore trop tôt. Donner l'illusion qu'on est "autre" est propre à cette période de la vie où on est dans le mimétisme. Comme sur Facebook, il faut provoquer pour créer le buzz, être différent pour exister. » Certaines le reconnaissent : pour elles, il s'agit juste d'un code pour « faire sexy », draguer, exciter les garçons en jouant la fille libre, provoc.
« La sexualité des ados est devenue extrêmement complexe », alerte Véronique Pigny, conseillère dans un centre de planning familial à Paris, qui intervient régulièrement en milieu scolaire. « Ils sont bombardés d'infos et savent beaucoup de choses, parfois très techniques. En grandissant dans une société qui prône la performance, les jeunes, eux aussi, subissent une forte pression dans le domaine de la sexualité. Ils doivent être à la hauteur. Et les filles sont les premières victimes de ce diktat. Elles doivent jouer un rôle. Souvent, elles pensent qu'il faut se comporter comme dans les pornos. D'où cette image sexy de bisexualité, celle qui fait fantasmer les garçons. Pour leur plaire, il faut tout essayer. Être sulfureuse, comme dans les clips. Effacer les barrières du genre fait partie de ce processus : il faut avoir une sexualité décomplexée, tout oser. »
Le credo d'une génération qui, même si elle continue de faire l'amour pour la première fois à 17 ans, revendique une sexualité dédramatisée, plus ludique. « Je suis fière d'appartenir à une génération plus désinhibée que celle de mes parents, déclare Salomé, 16 ans. J'ai pas mal d'amis bi, surtout des filles. Moi je suis hétéro, mais je trouve ça bien de ne pas s'enfermer dans une cage, de ne pas être "labellisé". On a le droit d'aimer qui on veut ! »
Un phénomène de mode porté, plus que jamais, par celles (là encore, surtout des femmes) qui donnent l'exemple. Madonna, Britney Spears, Lindsay Lohan, Lady Gaga, Katy Perry (avec son tube « I kissed a girl ») mais aussi Amber Heard , la fiancée de Johnny Depp... Aujourd'hui, qui dit « it-girl » dit « bi ». Tout récemment, c'est Enora Malagré, animatrice vedette d'une émission de radio culte pour ado, qui a fait son coming out « bi ». En octobre dernier, le magazine « Voici » faisait, lui, sa « une » avec un dossier choc intitulé « Si t'es pas bi, t'as rien compris ».
Même combat du côté des séries : dans « Skins », « Lost girl » ou « The L word », les personnages homos ou bi sont de plus en plus fréquents. Sur le Net, dans les forums qui leur sont consacrés, les débats se créent, et chacun évoque son actrice préférée avec les fantasmes que cela peut, parfois, engendrer (« Je la kiffe trop ! », « Avec elle, j'aurais envie de faire l'amour »).
La téléréalité aussi contribue à lever le tabou. Dans « Secret Story », dont le jeu consiste à deviner ce que cachent les candidats, la bisexualité a souvent été le mystère à découvrir. Encore plus symptomatique, « Tila, célib et bi » a inventé le « bi dating » : seize hommes et seize femmes chargés de séduire la sulfureuse Tila Tequila... Et les garçons dans tout ça ? Dans cette grande vague bisexuelle, ils semblent ravis de leur rôle de témoin-voyeur. Open, mais surtout pour elles... Théo, 20 ans, typique de sa génération, résume sans complexe sa sexualité épanouie : « Ma copine, avec laquelle je suis en couple depuis trois ans, m'a toujours avoué que les filles l'attiraient. Qu'elle ne pourrait pas tomber amoureuse d'une fille mais qu'elle a envie de faire l'amour avec une belle blonde. Avec elle, on explore plein de trucs, on va au sexe-shop, on s'éclate. Peut-être qu'un jour on essaiera un plan à trois, mais avec une fille, jamais avec un autre garçon ! »
Malgré la mode, la bisexualité semble toujours plus taboue pour les garçons. « Entre potes, même si on s'adore, on ne peut pas se permettre d'être ambivalents, confie Pierre, 17 ans. On aurait trop peur que ça ne dérape. En fait, on se chambre, on blague, on n'est pas très à l'aise avec ça. » Selon le décryptage du sociologue Arnaud Lerch (1) : « La transgression de la norme hétérosexuelle a un coût plus élevé pour les garçons, à un âge où la construction balbutiante de la masculinité via les groupes de pairs se fait en partie par "désidentification" ­ parfois brutale ­ avec la figure du "pédé" ».
Cela dit, même côté mâle, la tendance gagne discrètement du terrain. « C'est plus caché, toujours plus stigmatisant, mais j'ai pu observer que ça devient de plus en plus acceptable pour eux, qu'ils se censurent moins », affirme Laure Michel, coréalisatrice du documentaire « La
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