Deux femmes perverses prennent les choses en mains

Deux femmes perverses prennent les choses en mains




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Deux femmes perverses prennent les choses en mains











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2016-08-30 21:04:39




Tags:
une gorge profonde , sucer , fellation , lécher des couilles , éjaculation faciale


Catégories:
Blondes , Brunettes , Compilation , Filles , Fellation , Masturbation , Sperme , Cumshot

Les femmes prennent les choses en mains - powered by FilmyPorno.TV



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Les
deux femmes s’étaient entendues pour augmenter progressivement la sĂ©vĂ©ritĂ© des
fessées en les administrant dans un ordre croissant de gravité des motifs de
punition. Les fautes les plus lourdes sanctionnées en fin de séance
justifiaient la montée en puissance des derniÚres fessées. Dans un souci de diversité et pour éviter une
accoutumance prĂ©judiciable Ă  l’efficacitĂ© des corrections, elles Ă©changeaient
les paires de fesses à chaque séquence. Les fesses de ces messieurs passaient
alternativement entre les mains de l’une et de l’autre et profitaient ainsi
pleinement de la qualité des fessées à travers la diversité des forces de
frappe. /

Gladys
termina son thé et reposa sa tasse sur la table basse. Elle se sécha
délicatement les lÚvres avec sa petite serviette. Elle croqua dans un dernier
biscuit.

 « Ces petits sablés sont vraiment
délicieux... Mais bon, ce n'est pas le sujet, revenons aux punitions de ces
messieurs. Nous ne sommes pas encore au bout. Les plans d’action c’est trùs
bien, mais rien ne vaut les « travaux pratiques. Il leur reste encore deux
fessées chacun. 

– C’est exactement ça ! dit Patricia avec
enthousiasme. Elle aussi tenait les comptes avec précision et ne risquait pas
de se tromper.

Gladys
prend un plaisir manifeste Ă  faire le point sur le tarif des punitions Ă 
appliquer jusqu’à la fin de journĂ©e. Les fautes et dĂ©sobĂ©issances cumulĂ©es des
deux hommes nĂ©cessitent des mesures disciplinaires radicales qui doivent ĂȘtre
prises sans faiblesse. Pas question de leur Ă©pargner une seule des corrections
programmĂ©es. La succession de fessĂ©es Ă  administrer constituent l’activitĂ©
physique habituelle du week-end et 
permet ainsi de joindre l’utile Ă  l’agrĂ©able. 

– Robin, une fessĂ©e pour indiscipline et une
fessée pour insolence. Edouard encore une tournée de fessées pour les deux pubs
qui restent ! On est loin d’en avoir fini avec leurs fesses ! C’est le moment
de s’y remettre ma chĂ©rie !

–
Oui, parce qu'elles sont en train de refroidir !

–
AprĂšs avoir dĂ©pensĂ© autant d’énergie Ă  les faire monter en tempĂ©rature, ça
serait vraiment dommage. »

Rires
des deux femmes qui discutent sans vergogne devant leurs victimes, en attente
docile de leur bon vouloir Ă  se remettre en action. Gladys redresse le buste,
poitrine en avant, menton levé, sûre de son autorité. Elle tape joyeusement
dans ses mains comme pour annoncer une bonne nouvelle.

–
Edouard ! Mon chĂ©ri, je t’attends, c’est l’heure de la fessĂ©e suivante ! »


Il
obéit, se lÚve du tabouret en grimaçant, et avec un petit gémissement craintif,
se dirige d’un pas mal assurĂ© vers sa dompteuse. SĂ»re de son emprise sur lui,
elle le regarde s’approcher avec un sourire triomphant.

–
Viens là mon trésor bien obéissant. Viens là que je te claque les fesses !
Campagne de sensibilisation aux bienfaits de la discipline conjugale
 Un pub,
une fessĂ©e !! Trois pubs, trois fessĂ©es! Et ainsi de suite jusqu’à cuisson
intégrale du derriÚre !

Patricia jamais en reste pour alimenter la
conversation.

 « Et au bout de trois fessée déculottées
à la main, une fessée au martinet en supplément gratuit ! » 

TrĂšs
fiĂšre de sa rĂ©plique la jeune femme continue sur le mĂȘme ton avec une de ces
idées un peu perverse dont elle est coutumiÚre. Elle interpelle son frÚre,
toujours Ă  se morfondre au coin.

 « Robin, tu te reculottes et tu viens
t’allonger sur mes genoux en face de maman. »

Elle
s’est positionnĂ©e sur l’autre tabouret, devant le canapĂ©, de maniĂšre Ă  ce que
les deux hommes se retrouvent cĂŽte Ă  cĂŽte en position inversĂ©e. La tĂȘte de l’un
au ras des fesses de l’autre et inversement. Elle poursuit avec jubilation.

 « Je veux que tu sois aux premiÚre loges
pour regarder les fesses ton beau-pĂšre pendant sa correction. Tu pourras comme
ça te faire une idée précise de ce qui attend les tiennes.»

Gladys
hoche la tĂȘte avec une moue d’approbation.

 « Excellente idĂ©e ma chĂšre, j’aime quand
tu fais preuve d’imagination ! » 

Les
mains toujours sur la tĂȘte le garçon se retourne un peu Ă©berluĂ©. Il commence Ă 
sentir des crampes dans ses mollets.

 « Tu... tu veux que je regarde
 mais
 mais Patricia
!

–
J’ai dit, tu viens te mettre en position sur mes genoux! Tu n’as pas à discuter
! Exécution ! »  

Les
consignes fusent pour accélérer la préparation des fessées, contraignant les
deux hommes Ă  rĂ©agir instantanĂ©ment. L’obĂ©issance c’est au doigt et Ă  l’Ɠil,
sans discuter les ordres. Le petit doigt sur l’élastique du slip!

Gladys
Ă©carte les jambes et pointe du doigt le sol entre ses talons aiguilles.

« Edouard,
qu’est-ce que je viens de te dire? Baisse ton pantalon et viens ici chercher ta
fessĂ©e ! DĂ©pĂȘche-toi !»

Le
ton ferme n’admet aucune rĂ©plique. Le mari tĂ©mĂ©raire s’y essaye quand mĂȘme.

« Mais
chĂ©rie, s’il te plaĂźt
 J’ai du mal Ă  marcher le pantalon entre les jambes.

–
Et alors, c’est ton problĂšme mon cher ? Tu viens chercher ta fessĂ©e ! En slip,
le pantalon sur les chevilles !

Si
ça ne te convient pas tu n’as qu’à marcher à quatre pattes
 et à reculons,
tiens ! Pour que je me régale à voir onduler ton gros derriÚre pendant que tu
me l’amĂšnes Ă  corriger. » Elle rit de sa plaisanterie en retroussant la
manche de son chemisier pour dégager la main qui va fesser.

 Patricia, comme à son habitude surenchérit.
Elle tapote négligemment le postérieur de son frÚre qui vient, sans dire un
mot, de le repositionner docilement sur ses cuisses.

 « On a beau les corriger réguliÚrement,
il n’y a rien Ă  faire, il faut toujours qu’ils discutent... Ă  chaque fessĂ©e !

–
Oui s’en est mĂȘme agaçant, confirme Gladys. Nous ne sommes pas assez sĂ©vĂšres
avec eux. Ils mettent encore trop de temps à obéir.

–
D’aprùs ce que j’ai cru comprendre de ses derniers exploits nocturnes, Edouard
devrait pourtant faire profil bas et ramener ses fesses comme on le lui demande
! N’est-ce pas maman ?

– Je
ne te le fais pas dire ma chérie ! »

Edouard
est arrivé à destination entre les jambes de sa femme, à quatre pattes et à
reculons, les fesses orientĂ©es vers elle. Elle s’amuse ouvertement du ridicule
de la situation qu‘elle lui impose.

 « Ne reste pas comme ça voyons, tourne toi et
mets-toi à genoux... Là ! »

Il
s’exĂ©cute, fait demi-tour sur les genoux et, pantalon toujours aux chevilles,
se traĂźne entre les cuisses ouvertes de sa femme qui le saisit par les oreilles
en lui redressant la tĂȘte. 

 « Maintenant regarde-moi dans les yeux et
raconte-moi un peu ce que tu as fabriqué cette nuit pour rentrer si tard,
dans un Ă©tat pareil !

Edouard
en pleine sĂ©ance d’humiliation devant sa belle fille et son beau-fils, n’a plus
grand chose à voir avec le fringant 
cadre supĂ©rieur respectĂ© dans son entreprise. Soumis Ă  l’autoritĂ© de sa
sévÚre épouse, il doit rendre des comptes sur son comportement avant de venir
s’allonger sur ses cuisses, se faire dĂ©culotter et recevoir la fessĂ©e qu’elle
va lui administrer pour ses Ă©carts de conduites. Sans illusion d‘y parvenir, il
se fait humble et coopĂ©ratif pour essayer d’obtenir un semblant de clĂ©mence de
sa part.

 « Mais...mais chĂ©rie, c’était juste une

une petite sortie avec Stephen pour
fĂȘter sa promotion. Il
 il a Ă©tĂ© nommĂ© 


–
Avec Stephen
 tiens donc, comme c’est amusant ! Relùve Gladys avec un petit
sourire narquois. Stephen, le mari d’Edwige ! Le hasard fait bien les choses.
Figure toi qu‘ils viennent dĂźner ici samedi prochain pour une petite soirĂ©e
fessĂ©es entre amies ! Ça risque, en fin de soirĂ©e, de chauffer dans les slips,
encore plus dur que je le pensais ! »

Patricia
d’abord Ă©tonnĂ©e puis ravie de la nouvelle.

 « Telle qu’on connaĂźt Edwige, l’ami
Stephen a dû se faire sacrément rougir les fesses lui aussi !

Edouard
essaye un peu naïvement de détourner la conversation qui prend mauvaise
tournure.

 « Ah oui
 une, une soirĂ©e
 Euh
 Mais on
fĂȘtait sa promo...

–
Oui Edouard, on a compris ! Que veux-tu que ça me fasse, sa promo
 comme tu
dis! Vous avez fait la tournée des Pubs oui, et tu es rentré à une heure du
matin complùtement ivre! C‘est tout ce que je retiens !

–
Mais chĂ©rie... C’était l’occasion 
 Ce n’est que


–
Ce n’est que quoi ? Hein ? Qu’est-ce que tu vas inventer encore. On a attendu
monsieur toute la soirĂ©e pour le dĂźner. VoilĂ  ce que c’est ! Tu sais ce que ça
va te coûter cette plaisanterie ?

–
Oui chĂ©rie! Oui chĂ©rie ! C’est tout ce que tu sais dire ! ArrĂȘte avec tes... « Oui chĂ©rie ! » ridicules ! Tu m’énerves ! Tu as une idĂ©e de ce qu’elle
va te mettre ta « oui chérie » ?

Gladys
Ă©tait sur le point d’exploser. Elle gardait cependant son Ă©nergie pour la
fessĂ©e qu’elle lui prĂ©parait.

–
Alors, quoi ? Ça coĂ»te quoi un comportement lamentable comme celui-lĂ  ?

–
Euuuh...Une ...une fessĂ©e Gladys
 Une fessĂ©e
 ooooh non, s’il te plaĂźt.

–
Une fessée, tu dis !!! Mais tu plaisantes mon pauvre ami ! Une fessée, tu
rĂȘves! Tu as fait combien de pub cette nuit ? Hein? Combien ?

Le
ton montait progressivement et Gladys commençait à exprimer, avec de plus en
plus de vĂ©hĂ©mence, une colĂšre qui virait Ă  l’exaspĂ©ration. Edouard plantĂ© Ă 
genoux devant elle, cligna des yeux en esquissant du bras un geste de
protection lorsqu’elle leva la main sur lui comme pour le menacer d’une gifle.
Ce qui arrivait rarement, sa main étant naturellement disposée à claquer sur
ses fesses plutĂŽt que sur ses joues.

–
Trois
 Euh, quatre 
 non, trois ! 

–
Alors, trois ou quatre ? Attention Ă  tes fesses Edouard, tu es en train de me
mentir ! Ça va encore claquer ! 

–
Trois, Gladys... trois ! Oui c’est ça trois!

–
Oui et bien moi, je dirais quatre ! 
Alors... quatre Pub, quatre fessées ! Et une cinquiÚme en prime pour
avoir essayé de mentir !

Edouard
s’effondre en gĂ©missant aux pieds de Gladys qui le toise du regard,
indifférente à sa détresse.

 « Inutile de pleurnicher. J’ai dit cinq
fessées, que tu as toutes méritées ! Et
encore... je suis pour la punition équitable. Tu en as déjà pris une cette
nuit, plus celle de ce matin. Il en reste donc encore trois d’ici ce soir.
Evidemment, trois fessées déculottées !

–
Oh non Gladys, pitié pas encore trois fessées... Pas encore...

Mais
bien sĂ»r que si ! Trois fessĂ©es ! Une que je vais t’administrer tout de suite,
et la suivante par Patricia qui va certainement se faire un plaisir de t’en
flanquer une sĂ©vĂšre depuis le temps qu’elle en attend l’occasion. ».

Patricia,
jamais Ă  court d’idĂ©e, surenchĂ©rit d‘un ton rigolard.

 « Et estime toi heureux ! On
pourrait t’obliger Ă  refaire la tournĂ©e avec nous et te flanquer une fessĂ©e
déculottée en public dans chaque pub ! »

Edouard
se plie en deux vers le sol en suppliant de plus belle. Il se tient les fesses
à pleines mains en prévision de ce qui les attend

 « Je t’en prie Gladys, ne soit pas si
sĂ©vĂšre
 Pas Patricia ! Pas maintenant ... Elle va vouloir  »

 « Vouloir quoi ? Ah tu as peur de la
grosse déculottée, bien cuisante que je vais te mettre? Tu as raison, je vais
me gĂȘner ! D’ailleurs, maman est bien patiente avec toi. Ça ne tiendrait qu’à
moi, cela ferait déjà longtemps que tes fesses seraient en train de claquer sur
mes genoux!

Gladys
lança un regard un peu agacé à sa fille.

 « Patricia, enfin! Je comprends et
j’approuve ton empressement à fesser, c’est trùs bien, mais tu en oublies trop
vite l’aspect Ă©ducatif. »

La
jeune femme fait son impatiente et se dandine sur ses talons aiguille en levant
les yeux au ciel. Imperturbable, le regard sévÚre Gladys continue son petit
sermon sur un ton professoral.

 « Chaque fessĂ©e administrĂ©e doit ĂȘtre
justifiĂ©e quelle qu‘en soit la raison. MĂȘme une fessĂ©e d’entretien sans motif
particulier. Il faut prendre le temps de la faire commenter par l‘intĂ©ressĂ©
pour qu‘il comprenne bien pourquoi il est corrigĂ©. L‘objectif est de lui faire
accepter sa fessĂ©e et de l‘inciter Ă  ne pas recommencer les mĂȘme erreurs.

–
Oui maman, je sais, mais bon, lĂ  il a compris depuis longtemps !

–
Ce n‘est pas une raison, enchaĂźne Gladys. Mais trĂȘve de discours ! Pour
terminer en beautĂ© ce Week-End en famille, nous procĂ©derons Ă  l’inauguration du
nouveau martinet sur ses fesses... aprĂšs dĂźner.

–
Excellent programme ! Merci maman ! »

S’exclame
Patricia en applaudissant sur les fesses de son frĂšre toujours en attente
allongé sur ses genoux. Il réagit en gémissant faiblement. De fait il ne réagit
plus trop, soumis à sa condition entre les mains de sa mùre et sa sƓur.

Gladys
lñche enfin les oreilles d’Edouard et retrousse sa jupe sur ses cuisses jusqu’à
la lisiÚre noire de ses bas nylon. Elle
se cale dans le coussin du canapé pour avoir une bonne assise et fesser à
l’aise. 

 « Pousse un peu la table pour faire de la
place et viens te mettre en position sur mes genoux pour que je te déculotte.
Attention Ă  ne rien renverser, sinon c’est la fessĂ©e supplĂ©mentaire !

Edouard
s’exĂ©cute avec prĂ©caution, il s’allonge docilement sur les cuisses de son
épouse et, bien dressé, arrondit ses fesses, tendues à sa disposition, pour
qu’elle les dĂ©culotte. Ce qu’elle fait avec dextĂ©ritĂ© en un habile un tour de
main. Le bruissement de l’élastique du slip le long des cuisses suivi du
claquement sec sur la peau annonce l’arrivĂ©e de la fessĂ©e.

«
Patricia, regarde! C’est formidable comme ses fesses rĂ©cupĂšrent vite ! Aucune
trace de la fessée de ce matin! Pourtant je lui en ai mis une sévÚre !  

–
C’est exactement ce que je pense ma chĂ©rie. Alors pas d’hĂ©sitation ! »

Gladys
lĂšve haut la main pour prendre de d’élan et donner le maximum de vitesse Ă  sa
main. Edouard la sent arriver. Il frémit en couinant, tremblant sur les forte
cuisses gainées de fin nylon, et la danse des fesses commence, bien cadencée
sous le rythme régulier des claquées.

Patricia
s’est placĂ©e juste en face de sa mĂšre, le corps de Robin allongĂ© sur ses
genoux, la tĂȘte Ă  quelques centimĂštres des fesses claquantes de son beau-pĂšre.
La chaleur irradiante du postérieur tressautant lui monte au visage.

« Regarde
bien comment maman s’y prend pour chauffer les fesses d’Edouard. »

Dit-elle
au malheureux en lui maintenant la tĂȘte prĂšs du fessier en pĂ©nitence. Le visage
grimaçant, Ă©croulĂ©, bras et jambe ballants sur les cuisses de sa sƓur il se met
à pleurnicher, les oreilles éclatées sous les rafales qui retentissent sur le
fessier déculotté de son beau-pÚre.

Consciente
de l’humiliation qu’elle lui inflige, Patricia continue avec un parfait
cynisme.

 « Tu entends comme maman les fait bien
claquer ses fesses! Tout à l’heure, ce sont les tiennes qui vont claquer comme
ça sur ses genoux ! Tu vois, c’est bien, ça te donne une idĂ©e de ce qui
t’attend. »

Robin
n’a pas besoin de tendre l’oreille il est au premiùre loge pour s’en prendre
plein la tĂȘte avec, en complĂ©ment de service la puissante odeur des fesses
chaudes qui montent progressivement en cuisson sous les claques.

 Ça ne fait pas dix minutes que la fessĂ©e a
atteint son rĂ©gime de croisiĂšre et s’accomplit sous l’impulsion de Mada
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