Deux bombes paradisiaques

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Deux bombes paradisiaques
RTL INFO , publié le 26 août 2019 à 06h00
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"Faites découvrir la vérité au peuple" , demande une personne via notre bouton orange Alertez-nous. Il évoque une récente étude indépendante menée par des chercheurs américains et publiée cet été dans la revue PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences of the USA).
Elle démontre que les catastrophes de Tchernobyl et de Fukushima ne sont rien comparées aux radiations présentes sur une grande partie des îles Marshall, un archipel situé au beau milieu du Pacifique, entre Hawaï et les Philippines.
Autrefois, ces bouts de terre étaient des paradis grâce à une nature d'une beauté rare. Mais les 67 tests d'armes radioactives menés par les Etats-Unis pendant la guerre froide les ont défigurés. 
Explosion d'une bombe H en octobre 1952 sur l'atoll corallien d'Eniwetok Des niveaux alarmants d'éléments radioactifs
Les îles concernées sont aujourd'hui inhabitées. Les chercheurs y ont analysé le sol, les sédiments et des fruits pour se rendre compte de l'impact de ces essais. Résultat: ils ont détecté des niveaux alarmants d'éléments radioactifs comme l'américium, le césium et deux types de plutonium dans des échantillons prélevés sur 11 îles différentes qui ont subi des précipitations radioactives. Les scientifiques ont découvert que certaines îles présentaient des taux dix fois supérieurs à ceux de la zone d'exclusion de Tchernobyl.
C'est en 1946 que les Etats-Unis ont lancé leur programme d'essais nucléaires dans les îles Marshall. Cette année-là, l'armée américaine a fait exploser deux premières bombes nucléaires sur l'atoll de Bikini. Ce qui a marqué le début d'une période de tests nucléaires de 12 ans sur plusieurs îles. De nombreuses charges étaient posées à l'intérieur des lagunes. En 1954, la plus importante détonation a eu lieu à Bikini. La bombe appelée "Castle Bravo" était mille fois plus puissante que les bombes larguées sur Hiroshima et de Nagasaki au Japon. Quatre îles particulièrement touchées
La dose de rayonnement radioactif la plus élevée a d'ailleurs été constatée sur l'atoll de Bikini. Les chercheurs ont notamment découvert que les fruits de l'île comme les noix de coco contenaient plus de césium 137 que ne l'autorisent les normes internationales de sécurité. En manger pourrait donc provoquer la mort. Les îles de Runit, d'Enjebi et de Naen possèdent aussi des niveaux de plutonium radioactif "largement" supérieurs à ceux enregistrés après les catastrophes de Tchernobyl et de Fukushima. Et les scientifiques veulent approfondir leurs recherches pour évaluer l'impact réel sur les fonds et animaux marins.
Avant le début de ces tests nucléaires, les habitants avaient été évacués dans d'autres parties de l'archipel. D'après l'agence de presse Sputnik, les natifs de l'atoll de Bikini ont demandé d'être reconnus comme victimes des recherches atomiques américaines, mais peu d'entre eux ont obtenu ce statut et tous restent condamnés à une vie d'exilé.
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Les deux engins explosifs, de fabrication artisanale, ont fait un blessé léger et d'importants dégâts matériels.
Deux engins explosifs de fabrication artisanale ont explosé, mercredi 2 septembre, l'un devant la Bourse d'Athènes, l'autre à Salonique, près du ministère de Macédoine-Thrace, faisant un blessé léger et d'importants dégâts matériels.
Un inconnu avait prévenu la rédaction du quotidien Eleftherotypia de l'imminence de l'explosion à Athènes, qui s'est produite à 5 h 39 locales (6 h 39 à Paris), permettant à la police de prendre des mesures de précaution et d'isoler le quartier. Malgré ces mesures, une femme a été légèrement blessée par des bris de vitres. L'explosion de la bombe, placée dans une voiture volée, a détruit six autres véhicules et endommagé la façade de la Bourse, située sur une grande avenue de l'ouest de la capitale. A Salonique, un inconnu avait également prévenu la police et la rédaction d'une chaîne de télévision. L'engin, placé derrière le ministère de Macédoine-Thrace, a provoqué des dégâts matériels limités.
On ignore pour l'heure si les deux explosions sont liées. Ces actes n'ont pas été revendiqués, même si les premiers éléments de l'enquête conduisent la police à penser que l'auteur de l'attentat d'Athènes pourrait être le groupuscule d'extrême gauche Lutte révolutionnaire, apparu en septembre 2003 après le démantèlement de l'organisation du 17-Novembre. Selon la police, la composition de l'explosif utilisé à Athènes était comparable à celle d'autres bombes posées par le passé par Lutte révolutionnaire.
En 2007, cette organisation de guérilla urbaine avait lancé une grenade contre l'ambassade des Etats-Unis à Athènes, endommageant sa façade. Cette année, elle a grièvement blessé un policier devant le ministère de la culture, au cours d'une fusillade. Les violences – coups de feu et explosions – se multiplient en Grèce depuis les émeutes de décembre, provoquées par la mort d'un adolescent tué par la police.
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Publication 29 avr. 2021, 14:44 CEST , Mise à jour 1 juin 2021, 14:03 CEST
PHOTOGRAPHIE DE Robert Dodd , Bridgeman Images
PHOTOGRAPHIE DE Jackson Harris Collection, Bridgeman Images
PHOTOGRAPHIE DE Newell Convers Wyeth , Bridgeman Images
PHOTOGRAPHIE DE Illustrated Papers Collection, Bridgeman Images
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Le 28 avril 1789, les hommes à bord du H.M.S. Bounty, un navire de la marine britannique commandé par le capitaine William Bligh, ont organisé une mutinerie légendaire. Après avoir passé plusieurs mois idylliques sur l’île de Tahiti, ces hommes souhaitaient établir une colonie au sein du Pacifique Sud.
Des îles paradisiaques. Un voyage homérique. Un équipage rebelle. Lorsque le H.M.S. Bounty quitta l’Angleterre en novembre 1787, ni son capitaine ni son équipage ne pouvaient se douter que leur paisible voyage se terminerait devant la cour martiale et aurait pour conséquence des générations de colons sur une île lointaine du Pacifique Sud.
Aujourd’hui célèbre pour sa mutinerie, le Bounty est devenu légendaire sur grand écran. Au 20 e siècle seulement, près de cinq longs-métrages lui ont été consacrés. Cette épopée et ses imprévisibles conséquences, sont, elles, bien réelles.
Le Bounty était un navire de la Marine britannique. Sa mission, elle, était pacifique. Le vétéran capitaine William Bligh avait été chargé d’effectuer un voyage pour récolter des fruits à pain , une variété de fruits tropicaux au goût de figue. La Couronne britannique voyait là des rations nutritives et bon marché pour les esclaves des plantations de canne à sucre des Antilles britanniques.
À son bord, quarante-six hommes, dont deux botanistes, mais aucun officier hormis Bligh. Le navire voguait seul, sans la protection d’un autre bateau britannique. Bligh prévoyait un voyage paisible jusqu’à Tahiti, que le capitaine James Cook avait visitée en 1769. L’île était vue par les marins britanniques comme un paradis riche en fruits à pain.
En octobre 1788, après un voyage de dix jours sous la tempête, le Bounty débarqua enfin à Tahiti. L’île était aussi paradisiaque que ce que l’équipage imaginait. Ils en profitèrent pleinement. Ils furent accueillis par les Tahitiens, qui commercèrent avec eux et les invitèrent même dans leurs foyers. Ils établirent également des liens avec les femmes de l’île, qui leur échangeaient des faveurs sexuelles contre certains objets, comme des clous.
Le jour, l’équipage récoltait les fruits à pain et s’occupait des plants. La nuit, ils s’amusaient. Au cours des cinq mois passés sur l’île, plus de 40 % des hommes furent traités pour soigner des maladies sexuellement transmissibles, introduites à Tahiti des années auparavant par des explorateurs britanniques et français.
Portrait de Thursday October Christian, fils du mutin Fletcher Christian. Les mutins se sont établis sur les îles Pitcairn. Ils y ont fait de nombreux enfants avec les femmes autochtones. Leurs descendants vivent toujours sur l’île aujourd’hui.
Lorsque le Bounty reprit le large le 1 er avril 1789, l’idée d’une mutinerie avait déjà germé dans l’esprit de l’équipage. Les hommes gardaient un souvenir paradisiaque de Tahiti. Bligh, réputé pour être un fervent disciplinaire, était contrarié par le manque de discipline de son équipage. Au cours du voyage, le capitaine se montrait « critique, insultant, mesquin et condescendant », selon les écrits de Sven Wahlroos, auteur et expert de l’histoire du Bounty. Il « semblait avoir pris plaisir à humilier tous ses officiers ». Il fit de Fletcher Christian un bouc émissaire, le punissant devant tout l’équipage. Le 27 avril, il accusa Christian d’avoir volé la réserve de noix de coco du navire et punit l’ensemble de l’équipage pour ce vol.
Bien que la véritable cause de la mutinerie soit toujours discutée par les historiens, il leur semble clair que pour Christian, l’accusation de son capitaine fut le coup de grâce. Le 28 avril, un groupe de révoltés commandés par Christian s’armèrent des mousquets qui se trouvaient sur le Bounty pour débarquer dans la cabine de Bligh et le faire prisonnier. Christian aurait déclaré à Bligh « Je suis en enfer depuis des mois avec toi ».
Puis vint le chaos. L’équipage du navire se divisa en deux factions : l’une fidèle à Bligh, l’autre déterminée à déserter. Les vingt-trois mutins isolèrent le capitaine ainsi que dix-huit autres hommes sur un bateau. Ils leur donnèrent quelques rations et un sextant pour les aider à la navigation, après quoi ils envoyèrent le bateau au large. Le Bounty était aux mains des rebelles.
En 1940, la tristement célèbre mutinerie a inspiré Charles Nordhoff et James Norman pour l’écriture du roman Bounty Trilogy , illustré par N.C. Wyeth.
Christian et son équipage, qui comprenait quelques otages encore fidèles à Bligh, souhaitaient établir une colonie. Ils jetèrent leur dévolu sur Tubuai, l’île des Tonga, à plus de 600 km au sud de Tahiti. Ils y rencontrèrent un groupe de natifs hostiles, qu’ils tuèrent. Ils retournèrent à Tahiti en quête de travailleurs et de ravitaillement. Les rebelles maquillèrent leur mutinerie et mentirent au sujet de leur mission car ils étaient certains que les chefs tahitiens, entretenant de bonnes relations avec la Grande-Bretagne, auraient refusé de les aider en apprenant ce qu’il s’était passé. Les Britanniques repartirent ainsi à Tubuai avec trente Tahitiens. Les hostilités avec les insulaires et les divisions au sein de l’équipage s'aggravèrent jour après jour. Les hommes abandonnèrent bientôt la lutte pour s’établir à Tubuai.
Lorsque les révoltés revinrent à Tahiti, ils découvrirent que leur mensonge avait été dévoilé. Pensant qu’une nouvelle mutinerie se préparait, Christian, désespéré, attira un groupe de Tahitiens à bord du Bounty pour festoyer, avant de les faire prisonniers et de mettre les voiles. Seize marins britanniques furent abandonnés à Tahiti.
Parallèlement, Bligh et ses fidèles poursuivaient leur voyage effréné de leur côté. En premier lieu, ils se dirigèrent vers une autre île des Tonga. Ils la quittèrent rapidement après la rencontre hostile avec ses occupants, qui lapidèrent le quartier-maître du navire. Les rations s’amenuisaient. L’équipage décida donc de mettre le cap vers une colonie hollandaise à Timor, à plus de 6 000 km de là. Après quarante-sept jours, ils débarquèrent et dévoilèrent la mutinerie à la Couronne.
Plusieurs marins périrent sur le voyage de retour vers l’Angleterre mais Bligh, lui, survécut. « J’ai perdu le Bounty », écrivit-il à sa femme juste avant son départ pour le Royaume-Uni. « Ma conduite a été exemplaire, et j’ai montré à tous que, dévoué comme je l’ai été, j’ai défié tous les ennemis de me faire du mal. »
À son arrivée, Bligh fut traduit en cour martiale pour avoir abandonné son navire et acquitté. Le H.M.S. Pandora prit la mer depuis l’Angleterre avec pour mission de capturer les mutins. Lorsque l’équipage débarqua à Tahiti en mars 1791, ils firent quatorze mutins prisonniers, que Christian avait abandonnés. Le Pandora coula peu après, après avoir percuté la Grande Barrière de corail. Quatre des captifs encore enchaînés se noyèrent.
Gravure du 19 e siècle des îles Pitcairn, où les descendants des mutins du H.M.S. Bounty vivent encore aujourd’hui.
En septembre 1792, les dix hommes de retour sur le sol anglais furent jugés en cour martiale . En vertu de la législation anglaise, tout homme resté sur le navire était reconnu coupable de mutinerie, qu’il y eût participé activement ou non. Quatre des mutins furent acquittés, les six autres condamnés à mort par pendaison. Trois des six condamnés furent finalement graciés. Les trois restants, Thomas Burkett, John Millward, et Thomas Ellison, furent pendus le 29 octobre 1794.
Entre-temps, le reste des mutins et leurs prisonniers tahitiens avaient trouvé un refuge au sein de l’île Pitcairn, perdue dans le Pacifique Sud. Cette île déserte et verdoyante avait tout d’un paradis. Les révoltés y brûlèrent rapidement le Bounty et s’établirent sur place.
Toutefois, les tensions qui avaient gâché leur voyage persistaient sur l’île. Les Tahitiens que les mutins avaient faits captifs reprochaient aux Britanniques d’avoir abusé de leurs femmes, qu’ils avaient traitées comme des objets sexuels. Tevarua , une Tahitienne, se serait même donné la mort suite aux violences qu’elle avait subi. En septembre 1793, les Tahitiens assassinèrent quatre des huit mutins, dont Christian. Au cours de la décennie suivante, tous les révoltés moururent, à l’exception de John Adams.
Les descendants des mutins s’établirent sur l’île Pitcairn, l'abandonnant à de multiples reprises avant d'y revenir en quête de provisions et de terres à cultiver. Ils vivent toujours sur la petite île aujourd’hui, considérée comme un territoire britannique d’outre-mer peuplé par une cinquantaine de personnes. En 1957, Luis Marden , explorateur National Geographic , retrouva les vestiges du Bounty, tout du moins, ce qu’il en restait, au large de la côte est de l’île.
Aujourd’hui, l’histoire du Bounty reste dans les mémoires en raison de la place notoire qu’il tient dans le passé colonial de la Grande-Bretagne, mais aussi pour son caractère dramatique. En 2017, l’historienne Diana Preston s’est confiée à National Geographic . Entre les maladies, le débarquement des missionnaires de Christian et l’exploitation sexuelle des femmes, les explorateurs européens ont « en effet détruit tout ce que les gens avaient trouvé d’exotique et d’attrayant dans la culture tahitienne ».
Cet article a initialement paru sur le site nationalgeographic.com en langue anglaise.
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