Deux beautés qui veulent essayer une chose interdite

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Cigarettes, chocolat, télévision… Elles en étaient accros, elles ne pouvaient plus s’en passer, jusqu’au jour où… ça s’est arrêté. Avec des efforts ou facilement, ces douze filles disent comment.























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Finie la cigarette depuis 9 ans, fini l'esclavagisme, mauvaise odeur, souffle coupé. Bon courage à toutes

merci katia de ton témoignage je n'en suis pas sortie je suis dans la phase prete pour un dernier café mais je tiens bon efin j'essaye
bravo à toutes

je suis très impréssionnée par la force de caractère de toutes ces filles (femmes), si j'avais 1/4 de leur volonté, je serais belle, mince et sportive ;) Felicitation à toutes !

Je me reconnais tellement dans l'amour toxique... sauf que j'en suis toujours pas sortie... alors katia33 ans si tu me lis : au secours! I need some help!!
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Au bout de dix ans de pilule et de cigarettes, je m’inquiète pour ma santé. Il faut que j’arrête. Je me fixe une date trois mois plus tard. Jusque-là, je ralentis sans patch, rien que de la volonté : je passe de quinze à trois cigarettes par jour. Arrivée au jour J, je ne me sens pas prête, mais je m’y tiens.Au bout de deux semaines, plus personne ne fait attention, je me sens très vulnérable. Je dors mal et je suis à fleur de peau, jusqu’à pleurer toute seule à la cantine sans raison. Un soir de dîner à la maison, alors qu’il épluche les patates, Mathieu me rappelle qu’il faut équeuter les haricots : j’en balance une poignée à l’autre bout de la cuisine. Il craque : « Tu es devenue ingérable. » Je dois me prendre en main. J’arrive en larmes le lendemain chez mon généraliste qui me prescrit plein de trucs naturels pour gérer le stress : oméga 3, magnésium, et de la valériane pour dormir. Ça met trois semaines à faire effet. Pendant ce temps, je jette cendriers, briquets et allumettes de mes sacs, mes vestes, toutes mes poches. Pour m’occuper les mains et la bouche, au début, je mâchouille un bâton de réglisse et j’ai toujours des chewing-gums sur moi. Un beau jour, je réalise : depuis 48 heures, je ne pense plus à fumer. J’aurais peut-être dû consulter un médecin dès le début.
Aujourd’hui . Même si j’ai parfois des flashs où je tuerais pour une cigarette, je suis tellement fière d’avoir arrêté. Ça fait deux ans maintenant. Et je me réjouis d’avoir les cheveux et l’haleine intacts. Lola, 32 ans
Déjà à l’époque de « Friends » et de « Sex and the City » , je sens mon potentiel de séries-addict. Avec l’arrivée de « 24 heures chrono » , « Lost » et « Desperate House wives » , c’est confirmé. Ça révolutionne les longues soirées d’hiver, en rouleau de printemps dans mon plaid. Ça sauve quand on a une grosse grippe. C’est une activité en soi le dimanche… et puis le soir avant de dormir. Un plaisir quotidien qui me creuse les cernes. Et puis un jour je me retrouve à annuler un dîner avec des copines pour un épisode de « Dexter » . Halte. Il y a quelque chose qui cloche. Je ne veux pas être une larve qui préfère sa vie parallèle à sa vie réelle. Je ne suis pas la seule, mais ça ne me rassure pas vraiment. Arrive l’été, c’est le bon moment pour me sevrer. Sauf que, si j’emporte mon ordi, les sites de streaming seront à portée de clics. Ou alors je ne l’emporte pas ? Carrément ? Hum hum. C’est décidé, je pars deux semaines sans. C’est la révélation : je peux aussi lire un livre ou voir des gens. Dingue. J’arrive même à lire une fois rentrée ! Et puis, entre les risques du téléchargement illégal et les sites de streaming qui ferment, ça aide.
Aujourd’hui . Je regarde maxi deux épisodes par jour. Et quand on m’a appris que la dernière saison de « Dr House » venait de se finir, j’ai su que j’étais guérie, puisque je n’étais même pas au courant. Je la regarderai avec plaisir… quand j’aurai le temps. Valentine, 29 ans
Ça fait déjà un certain temps que Thomas me met en garde : « Tu devrais faire gaffe, tu bois pas mal, tu sais. » Mais comme on boit au même rythme, je ne vois pas pourquoi je devrais m’inquiéter juste pour moi. C’est vrai, il nous arrive souvent de siffler une bouteille de vin à deux pour l’apéro… Sans compter le dîner ensuite. Et puis, on se retrouve un week-end à la campagne chez des amis. C’est quand je propose de préparer l’apéro qu’il y a comme un moment de flottement. Katia me répond : « OK super, vas-y, il y a des jus, des sirops et de la limonade. » Je m’aperçois qu’il n’y a pas d’alcool. Je n’ose rien dire mais ça me contrarie plus que je ne le voudrais. De retour chez nous, prise de conscience, je décrète : « On boit pareil, donc on arrête ensemble. » Thomas est à fond pour, alors on se serre les coudes. On passe au Coca light sept jours sur sept, et il n’y a plus la moindre bouteille de vin ou canette de bière à la maison. Au début, ce n’est pas évident, ça me manque, et ça me gêne de constater cette dépendance. Je repense à la honte ressentie quand j’ai réalisé que j’en avais besoin. C’était affreux de l’admettre. Maintenant, je ne me pose même pas la question en semaine, et je savoure quelques verres le week-end. Plus qu’une mauvaise habitude, c’est une mauvaise hygiène de vie et je ne veux pas de ça.
Aujourd’hui. Je dors mieux, je digère mieux, ma peau a perdu ce côté cireux, et j'ai réussi à perdre du poids . Ben oui, c’est plein de calories l’alcool… Marion, 31 ans
Quand je découvre cette merveille de réseau social , je suis totalement fascinée. Je me jette dedans entièrement. Geek dans l’âme, je veux en explorer toutes les fonctionnalités, je me construis un profil ultra-complet, avec tout bien rempli. Je me choisis de belles photos : c’est l’occasion de se faire une jolie vitrine de soi, et de partager ses centres d’intérêts avec son entourage. J’y vois aussi le potentiel professionnel. Je détaille bien mon parcours. Bref, je suis à fond sur l’ordi tous les soirs à la maison, au bureau à l’heure du déjeuner, et puis, oh, un onglet ouvert parmi tant d’autres toute la journée, qu’est-ce que ça peut bien faire ? Je jette un coup d’œil de temps en temps. Jusqu’à ce que mon boss s’en rende compte, et comme je ne suis pas la seule, il interdit l’accès à Facebook à toute la boîte – beaucoup d’entreprises le font. Ça me calme bien mais patatras, voilà que l’application mobile débarque. Là, il ne peut pas m’en empêcher, mais je vais essayer d’être une grande fille… Au bout d’une semaine, je réalise que ne pas être connectée de la journée, ce n’est pas un drame. J’y passe une petite heure par soir à la maison, histoire de voir ce qu’il s’est passé dans la journée, et ça me suffit largement. En fait, ça ne change rien de ne pas être la première à commenter les infos des autres.
Aujourd’hui. Je gagne au moins une heure par jour à ne pas y aller. Du coup, je suis beaucoup moins speedée pour le reste. Sidonie, 28 ans
Problèmes de poids moi ? Jamais. De santé ? Non plus. De cellulite ? Qu’est-ce que c’est ? Tout ça jusqu’à mes 25 ans, où je réalise que je n’ai plus mon corps d’avant Petite déprime. Karine, ma grande sœur, m’explique la vie : « Euh ma chérie, tu es toujours toute fine, mais c’est vrai que tu ne peux pas continuer à te nourrir comme ça toute ta vie. » « Comme quoi ? » Elle me soutient que si j’arrête le grignotage, ça va déjà aller mieux. « Tu veux dire, pas de barre de chocolat à 11 heures, ni de biscuits dans l’aprèm, ni les petits bonbons de 17 heures ?? » Elle se moque de moi, comme si je découvrais que les autres se nourrissaient autrement. OK, j’essaye, mais gloups, c’est dur les premiers jours. Ce besoin de sucre me tiraille. Donc je me lâche sur les fruits rouges. J’ai toujours besoin d’avoir un truc dans la bouche, alors autant miser sur des choses saines. Je réapprends les bases, je saute le goûter, j’espace les repas. Et je découvre ce que c’est que d’avoir faim à table. Mais j’ai quand même une pomme ou des fruits secs dans mon sac au cas où. Et je bois des litres de thé.
Aujourd’hui. Je sens que ça fait du bien à mon estomac de ne pas travailler pendant quelques heures. Maintenant, je ne mange que trois fois par jour, je suis un régime équilibré comme tout le monde. J’ai grandi, tout simplement. Olivia, 27 ans
« Moins on en fait, moins on a envie d’en faire », c’est vrai et ce n’est pas mon canapé qui va me sculpter un corps de rêve. Après les échecs du sport en salle , des abonnements payés à l’année pour n’y aller que trois fois, et la piscine bien trop contraignante, je ne sais plus quoi faire pour m’appâter moi-même. Et puis un jour, un copain qui travaille dans un magasin de sport m’offre la panoplie de la parfaite joggeuse : les baskets de compète, le jogging d’hiver, la jupette d’été, tout. Je le regarde vaguement méprisante, « Euh ? Tu m’as vue ? C’est pour quoi tout ça ? » « Ben pour quand tu iras courir. » À force de voir cet équipement flambant neuf chez moi, un matin, j’enfile mes baskets et je vais courir en me disant « de toute façon qu’est-ce que je risque ? ». À ma grande surprise, j’adore faire de l'exercice . Je me fais des compiles qui donnent la pêche, et en à peine deux mois, je cours une heure. Maintenant, c’est mon plaisir de la semaine.
Aujourd’hui. Je palpe mes cuisses toutes dures, je ne les veux plus jamais comme du Flanby. Un vrai miracle. Et cette fierté… J’apprécie encore plus mon canapé après. Manon, 31 ans
Je ne finis jamais un repas sans une touche de chocolat . Plus qu’une habitude, c’est une évidence, comme le pain et l’eau. Le problème, c’est la modération. Parce que si je pouvais m’arrêter à un petit carré, tout irait bien. Mais c’est souvent la plaquette entière qui y passe. Jusqu’à l’écœurement – oui, les derniers carrés sont forcément en trop, mais il faut bien finir. Impossible de me contrôler et pas envie de me contraindre dans un tel moment de plaisir… La seule solution : l’abstinence. Je zappe le rayon chocolat au supermarché. Ne pas en avoir chez soi, c’est déjà un grand pas. Par contre, au resto je m’autorise tout, c’est la fête. Et une fois de temps en temps, je me fais un repas entier de chocolat .
Aujourd’hui. Je ne suis plus de mauvaise humeur si je n’ai pas mon chocolat quotidien et je l’apprécie d’autant plus quand j’en mange. Marie, 26 ans
Je me sens mieux avec mon téléphone à portée de main, et son chargeur est toujours dans mon sac . À table avec des copains, il est dans ma poche, à portée de vibration. J’ai du mal à l’éteindre, sauf la nuit pour éviter les ondes néfastes. Mais sinon, tant que je suis éveillée, j’ai toujours un tchat, un texto ou un mail en cours. J’écoute de la musique donc j’ai le casque sur les oreilles en permanence, pratique aussi si j’ai un appel. Comme ça, j’ai mes deux mains libres pour faire encore plein de choses en même temps : regarder mon agenda, le journal, la météo, bref, j’ai les yeux et les pouces rivés sur ce micro écran. J’en ai bien conscience, c’est un peu ridicule. Mais quand je regarde autour de moi, tout le monde fait pareil. N’empêche que je n’aime pas trop l’idée de cette dépendance. D’autant plus qu’on me le fait remarquer. J’ai même intégré un groupe qui s’occupe de ce genre d’addiction : ça s’appelle la « nomophobie », la phobie du « no mobile ». Ça m’a rassurée et paniquée à la fois de voir qu’on était autant dans ce cas. Pour ralentir, déjà, dans les transports, je lis. Le téléphone est dans mon sac, je peux toujours le sentir vibrer, mais je ne l’ai pas en main. Pareil quand je suis avec des gens, il reste dans ma veste, loin. Maintenant je le mets en silencieux, ça me détache un peu. Sinon, c’est la dictature de l’alerte au moindre message.
Aujourd’hui. Il n’est plus greffé à ma main comme si ma vie en dépendait. Je commence même à me moquer de ces gens-là. C’est un peu bête et méchant, mais ça y est, j’ai du recul. Cécile, 30 ans
À cet anniversaire surprise, où je me suis juré de ne rester qu’une heure, j’aperçois un garçon au loin. Argh, je ne peux pas m’empêcher de le regarder. Mais quand il vient vers moi en murmurant « Viens boire un verre au bar », ma première réaction est de faire comme si je n’avais rien entendu. Pourquoi, je n’en sais rien. Du coup, il me poursuit toute la soirée jusqu’à ce que je daigne discuter. L’effet qu’il me fait, je ne me l’explique pas. Très vite, on joue à « C’est quoi ton parfum ? ». Résultat : trois mojitos et deux heures de bla-bla plus tard, on rentre chez moi. Je n’ai jamais fait ça de ma vie. Je ne le sais pas encore, mais je viens de m’attacher à un courant d’air. Il me fait attendre, me frustre, me fait souffrir, me déçoit, mais toute cette douleur s’envole quand on se voit. Le tout pendant deux ans. C’est beaucoup trop. J’ai beau le savoir, je ne peux pas m’empêcher de le relancer, et les rares fois où il se manifeste, impossible de refuser, comme si c’était une chance unique. Au bout de deux engueulades par téléphone , après des semaines de silence, on passe un cap dans l’irréel. Il faut que ça cesse. Le pire, c’est de ne pas avoir su, la dernière fois qu’on s’est vus, qu’on ne se reverrait plus. Je m’interdis le coup du « dernier café pour se dire au revoir ». Ça ne fait que relancer l’obsession, réveiller l’envie et le besoin. Donc je prends sur moi de ne rien faire. Quand il me recontacte comme une fleur, des semaines plus tard, je puise dans mes ressources pour ne pas répondre. J’arrive enfin à couper les ponts. Oui, c’est difficile : de ne plus répondre au téléphone ni aux textos, d’effacer ceux qu’on a gardés ainsi que son numéro, son adresse mail, et aussi de le bloquer sur les réseaux sociaux. Je me répète qu’une relation qui s’embourbe si longtemps n’est pas viable. Même si je suis nostalgique des bons moments, je me concentre sur les mauvais. Aujourd’hui ça va mieux, mais je ne le dois qu’à ma volonté et au temps qui s’est écoulé. Avec le recul, je ne comprends pas comment ça a pu se passer, j’ai l’impression d’avoir été quelqu’un d’autre.
Aujourd’hui. Redevenue moi-même, je sais que je vaux mieux que ça. Et à l’avenir, j’espère pouvoir éviter ce genre de prédateur. Notamment en suivant mon premier instinct. Katia, 33 ans
Oui, c’est plus rare chez les filles que chez les garçons, mais je suis addict à tout ce qui se joue sur un écran. The Sims , Angry Birds , et même le bon vieux Tetris sur lequel je peux scotcher des heures. La console à la maison c’est une chose, je fais ce que je veux. En vacances, hors de question de partir sans mon ordinateur portable , et encore moins dans un endroit sans connexion. Sinon je perds le fil de mes jeux en réseau. En société, avec mon téléphone portable , j’ai pourtant l’impression de ne déranger personne, et c’est bien le coeur du problème. Selon mes amis, je frôle l’autisme. Mais c’est vrai qu’à table, quand on attend nosplats au resto, ou que la conversation ne m’intéresse pas, ça change quoi, que je joue ? J’ai droit à une flopée d’yeux au ciel. Je ne vois pas le problème. Un soir, ils me mettent au défi de ne pas toucher à mon téléphone. Je n’y arrive pas. Ce challenge m’énerve au plus haut point, je trouve qu’ils sont sadiques. Au fond de moi, je sais qu’ils ont raison, j’ai un problème. Je prends sur moi, j’essaye de me trouver d’autres activités à la maison. C’est sympa aussi de lire un livre, regarder un film ou sortir avec des amis. Deux semaines plus tard, je me débarrasse de ma console, un petit pincement au coeur. Et cet été, je pars sans mon ordi. Le défi !
Aujourd’hui. Je ne pense pas qu’à ça toute la journée. Je sors. Et je ne suis plus au courant des nouvelles versions des jeux. Valentine, 29 ans
Je me ronge les ongles depuis mes 11 ans, parfois jusqu’au sang… un vrai désastre. Je ne sais même pas s’ils repousseraient. C’est un véritable complexe en société, dans la vie professionnelle et amoureuse. Ça fait négligé, sale, hyper- stressée, ado tourmentée. Il faut que j’arrête. J’essaye le fameux vernis au goût amer repoussant. Pfff, ça ne me retient pas, c’est plus fort que moi. Mes parents m’avaient même promis 100 € par main si j’arrêtais une semaine… impossible. Je passe des soirées entières chez moi avec des gants, mais sitôt enlevés, ça repart tout de suite. La honte. Il ne me reste plus qu’à aller voir un psy : il paraît qu’en comprenant les mécanismes de l’addiction, on la contrôle mieux. C’est vrai. Grâce à la thérapie, petit à petit je ralentis. Je ne pensais pas en reven
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