Deux ados se partage un mec
đ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đđ»đđ»đđ»
Deux ados se partage un mec
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
DonnĂ©es de gĂ©olocalisation prĂ©cises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , PublicitĂ©s et contenu personnalisĂ©s, mesure de performance des publicitĂ©s et du contenu, donnĂ©es dâaudience et dĂ©veloppement de produit , Stocker et/ou accĂ©der Ă des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer
Se connecter
Rechercher sur le site
Elle
Psycho & Sexo
Câest mon histoire
Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur pinterest
Suivez-nous
Lien vers réseau social facebook
Lien vers réseau social twitter
Lien vers réseau social pinterest
Lien vers réseau social youtube
Lien vers réseau social instagram
Lien vers réseau social snapchat
Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris
Contacts
Annonceurs
Abonnez-vous
La rédaction
Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accĂ©der Ă des donnĂ©es personnelles vous concernant comme celles liĂ©es Ă votre visite sur ce site. Nous pouvons Ă©galement utiliser des traceurs exemptĂ©s du recueil du consentement pour le dĂ©pĂŽt de cookies de mesure dâaudience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basĂ©s sur l'intĂ©rĂȘt lĂ©gitime Ă tout moment en cliquant sur 'ParamĂ©trer' ou dans notre page 'DonnĂ©es personnelles et cookies' .
Larguée par l'homme de sa vie, Jeanne sort avec des amies aprÚs plusieurs mois de déprime. Ce soir-là , elle se remet en selle avec non pas un, mais deux mecs...
Mieux qu'un scĂ©nario de film olĂ© olĂ©, cette nuit torridissime a dĂ©passĂ© de loin le plus Ă©rotique de tous mes rĂȘves ! Pourtant, Dieu sait que ce n'Ă©tait pas gagnĂ©. Trois mois avant cette fameuse soirĂ©e, aprĂšs huit ans d'idylle, Thibaut Ă©tait parti du jour au lendemain. En quelques heures, l'ex-homme de ma vie avait claquĂ© la porte pour une blonde rencontrĂ©e lors du dernier sĂ©minaire de notre entreprise de grande distribution. Son grief principal ? Mon manque de crĂ©ativitĂ© et d'appĂ©tit sexuel. Le cĆur en miettes, la tablette de chocolat en main, Netflix en boucle, les semaines qui ont suivi ont Ă©tĂ© les pires de ma vie. AprĂšs que j'ai dĂ©vorĂ© des dizaines de pots de glace sur le canapĂ©, mes amies se sont inquiĂ©tĂ©es. « Ăa suffit, Jeanne !, s'est Ă©criĂ©e Elsa. Faut te bouger ! Tu ne vas pas te laisser mourir pour un crĂ©tin. Le monde est peuplĂ© de mecs sexy. » Ne tenant aucun compte de mes protestations, elle a empoignĂ© son tĂ©lĂ©phone et passĂ© un certain nombre de coups de fil pour me « prĂ©parer Ă revenir sur le marchĂ© », comme elle disait.
AprĂšs un samedi passĂ© chez l'esthĂ©ticienne, la manucure et le coiffeur, j'ai acceptĂ© de retrouver mes amies pour une soirĂ©e. Leurs exigences ? Interdiction formelle de prononcer un mot sur Thibaut, tenue sexy de rigueur et pas de couvre-feu avant cinq heures du matin. En entrant dans la boĂźte de nuit parisienne que je frĂ©quentais avant de connaĂźtre Thibaut, j'ai retrouvĂ© avec plaisir le poids des regards masculins. Ă ce moment-lĂ , je n'avais pourtant aucune envie de flirter avec des inconnus. Sortir, oui, sĂ©duire, non. C'est du moins ce que je croyais. Vers une heure du matin, en sortant fumer une cigarette, un peu pompette, j'ai bousculĂ© un homme et renversĂ© mon verre sur lui. Atrocement gĂȘnĂ©e, j'ai mis un moment avant de relever les yeux et de m'apercevoir qu'il me regardait avec un sourire ravageur. Des boucles brunes, un regard Ă©meraude et une bouche sensuelle, il avait le visage de Jon Kortajarena, le mannequin espagnol sur lequel je fantasmais depuis longtemps. Mains moites, palpitations cardiaques, impression de flou... D'un coup, je me suis sentie aussi fĂ©brile qu'avant mon premier baiser d'ado. On s'est regardĂ©s quelques secondes, puis il s'est penchĂ© vers moi et on s'est embrassĂ©s. Nos langues se sont entremĂȘlĂ©es, tandis que nos mains dĂ©rivaient vite vers nos fesses respectives (fermes, les siennes, me suis-je dit en un Ă©clair). Sous le regard hilare d'Elsa, j'ai bredouillĂ© qu'on y allait et j'ai sautĂ© dans un taxi avec Arthur (oui, j'avais eu le temps entre deux pelles d'apprendre son nom). Tandis que nous montions les marches de son immeuble, en nous embrassant et en nous pelotant, mille questions fusaient : quel regard poserait-il sur mon corps ? Son sexe serait-il minuscule ou gigantesque ? Allais-je avoir mal ? Cela faisait des annĂ©es que je n'avais pas couchĂ© avec un autre homme que Thibaut. Reste que celui-ci avait Ă©tĂ© mis sur ma route et que je n'allais pas bouder mon plaisir. Une fois la porte ouverte, Arthur a allumĂ©. PrĂȘte Ă me jeter sur lui, j'ai d'abord cru Ă une hallucination. J'Ă©tais pourtant sĂ»re de n'avoir bu que trois verres, mais un autre Arthur Ă©tait devant moi, sur le canapĂ©, un ordinateur sur les genoux. Arthur 1, lui, fermait la porte derriĂšre moi. Je me suis pincĂ©e pour vĂ©rifier que je ne rĂȘvais pas. Devant mon air ahuri, les deux Arthur se sont mis Ă rire. « Jeanne, je te prĂ©sente Victor, mon frĂšre jumeau », a dit Arthur. Ouf, je n'Ă©tais pas folle. Victor Ă©tait aussi sĂ©duisant que son frĂšre. « Tu veux un verre ou tu prĂ©fĂšres continuer ce qu'on a commencĂ© ? »
DĂ©sarmĂ©e par le naturel dont Arthur faisait preuve devant son frĂšre, j'ai d'abord hĂ©sitĂ©. Mais leur regard ne me trompait pas. Ce soir-lĂ , je pouvais en avoir deux pour le prix d'un ! Je n'avais jamais couchĂ© avec plusieurs garçons en mĂȘme temps. Alors avec des jumeaux ! Ă vrai dire, je ne savais mĂȘme pas que deux frĂšres pouvaient avoir envie de se partager la mĂȘme fille car, pour ma part, j'ai toujours eu du mal Ă partager quoi que ce soit (de ma poupĂ©e Barbie Ă mon pull prĂ©fĂ©rĂ©) avec ma sĆur. Ă peine le temps de rĂ©flĂ©chir que j'Ă©tais embrassĂ©e par l'un dans le cou, par l'autre sur le ventre, puis sur le pubis. J'ai Ă mon tour ouvert la braguette d'Arthur, puis caressĂ© les fesses de Victor. Ils ont fini de se dĂ©shabiller aprĂšs m'avoir demandĂ© si j'Ă©tais d'accord pour passer la nuit avec eux deux.Â
TrĂšs vite, nous nous sommes retrouvĂ©s tous les trois debout Ă cĂŽtĂ© du canapĂ©, moi, petite brune de 50 kilos presque perdue entre deux hommes identiques qui arboraient le mĂȘme torse ferme, les mĂȘmes jambes longues et musclĂ©es, la mĂȘme pilositĂ© brune, le mĂȘme sexe imposant. TentĂ©e par le jeu des sept diffĂ©rences, j'ai remarquĂ© une tache de naissance en forme de coeur sur la hanche d'Arthur et une lĂ©gĂšre cicatrice sous le menton de Victor. Les choses se sont accĂ©lĂ©rĂ©es. AllongĂ©e sur le canapĂ©, je me suis retrouvĂ©e avec la langue d'un frĂšre entre mes jambes, l'autre m'embrassant en me caressant les seins. Les positions et les combinaisons se sont enchaĂźnĂ©es... Soixante-neuf Ă trois (ça ressemble Ă quoi un « 207 » ?), double « fellation branlette » le plus efficace possible, baisers Ă deux ou trois. Moi, la moins crĂ©ative des filles au lit, j'avais l'impression de m'ĂȘtre rĂ©incarnĂ©e en porn star ! Quand l'un des deux frĂšres a commencĂ© Ă me pĂ©nĂ©trer en levrette, le regard brĂ»lant de l'autre sur nos corps emboĂźtĂ©s a suffi Ă me faire jouir immĂ©diatement. Entre leurs mains expertes, je me sentais la huitiĂšme merveille du monde. Suivant la cadence de Victor allant et venant en moi, Arthur caressait mon clitoris en vrai gentleman. Je vivais un orgasme explosif. Moi qui avais toujours eu du mal Ă jouir, ces dieux du sexe m'avaient emmenĂ©e au septiĂšme ciel en moins d'un quart d'heure. Avec un sourire entendu, le second frĂšre m'a doucement allongĂ©e sur le canapĂ© avant de me pĂ©nĂ©trer avec tendresse, pendant que le premier nous regardait en se masturbant. Pour la premiĂšre fois de ma vie, je jouissais une troisiĂšme fois, en mĂȘme temps que les jumeaux. Le lendemain matin, aprĂšs avoir dĂ©posĂ© un petit baiser sur les lĂšvres de chacun, je suis repartie discrĂštement. Rien que pour cette nuit bouillante (la meilleure partie de jambes en l'air de ma vie, que je ne regretterais pour rien au monde), je remercie la blonde du sĂ©minaire de m'avoir piquĂ© mon mec !Â
Vous avez envie de raconter votre histoire ? Nos journalistes peuvent recueillir votre tĂ©moignage. Ăcrivez-nous Ă cmh@cmimedia.fr
Podcast - C'est mon histoire : "Ma mÚre a réveillé ma passion"
Podcast - C'est mon histoire : « J'ai croisé l'homme dont j'étais folle amoureuse »
Podcast - Câest mon histoire : « Il avait deux familles »
Podcast - Câest mon histoire : « La mĂ©nopause a libĂ©rĂ© ma libido »
Podcast - C'est mon histoire : « Je me suis tapé le dieu de la plage »
C'est mon histoire : « Mon bébé a un chromosome en plus »
DĂ©pression : 4 symptĂŽmes Ă surveiller
Faire lâamour dans lâeau, bonne ou mauvaise idĂ©eâŻ?
5 positions sexuelles pour une pénétration jouissive
« Au secours j'ai un don ! »: les témoignages de nos lectrices
Ce que le Kama-sutra nous apprend, au-delĂ de positions impossibles
Le Kama-Sutra de la semaine : 7 positions pour faire grimper la température
Vous vous sentez irritable ? Et si câĂ©tait la chaleur ?
Ce signe vous permet de savoir sâil est temps de rompre ou de changer de travail
C'est mon histoire : « Tinder a réveillé ma libido »
Les 7 péchés capitaux du Dr Aga (6/7) : L'envie
Faire lâamour dans lâeau, bonne ou mauvaise idĂ©eâŻ?
Vous vous sentez irritable ? Et si câĂ©tait la chaleur ?
Ce que le Kama-sutra nous apprend, au-delĂ de positions impossibles
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
DonnĂ©es de gĂ©olocalisation prĂ©cises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , PublicitĂ©s et contenu personnalisĂ©s, mesure de performance des publicitĂ©s et du contenu, donnĂ©es dâaudience et dĂ©veloppement de produit , Stocker et/ou accĂ©der Ă des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer
Se connecter
Rechercher sur le site
Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur pinterest
Suivez-nous
Lien vers réseau social facebook
Lien vers réseau social twitter
Lien vers réseau social pinterest
Lien vers réseau social youtube
Lien vers réseau social instagram
Lien vers réseau social snapchat
Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris
Contacts
Annonceurs
Abonnez-vous
La rédaction
Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accĂ©der Ă des donnĂ©es personnelles vous concernant comme celles liĂ©es Ă votre visite sur ce site. Nous pouvons Ă©galement utiliser des traceurs exemptĂ©s du recueil du consentement pour le dĂ©pĂŽt de cookies de mesure dâaudience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basĂ©s sur l'intĂ©rĂȘt lĂ©gitime Ă tout moment en cliquant sur 'ParamĂ©trer' ou dans notre page 'DonnĂ©es personnelles et cookies' .
Clotilde a la quarantaine. Elle nous raconte comment, dĂšs le dĂ©but de son mariage, son mari a imposĂ© sa maĂźtresse. Une situation dĂ©licate qui a longtemps durĂ©. Jusquâau coup de thĂ©Ăątre final. Propos recueillis par Tatiana De Rosnay
Mon mari a quinze ans de plus que moi. Je lâai connu Ă 30 ans, il en avait donc 45. Mais moi qui nâavais plus de pĂšre, je le trouvais sĂ©curisant, fort. Un vrai mec. Je pouvais me reposer sur lui. JâĂ©tais comme sa petite fille. Alain sâoccupait de tout, il prenait tout en charge. Moi, je me laissais faire. Je trouvais ça rassurant.
  Et puis, peu de temps aprĂšs notre mariage, il y a eu Marie.  Je nâai rien vu arriver. Avec Alain, câĂ©tait voyage sur voyage, fĂȘtes, copains, retrouvailles. Il a une bande dâamis fidĂšles, ils se connaissent depuis le lycĂ©e. Et puis je me suis retrouvĂ©e enceinte. Notre fille est nĂ©e. Alain en Ă©tait gĂąteux. JâĂ©tais heureuse dans cette vie confortable, choyĂ©e.Â
  Un soir, Alain mâa dit : « Ecoute, Clotilde, je dois te parler, câest important. »  Il avait une voix grave. Nous Ă©tions assis tous les deux dans la cuisine, il mâa pris la main et mâa dit quâil mâaimait plus que tout, que notre couple Ă©tait ce quâil y avait de plus essentiel dans sa vie. Mais voilĂ , il ne voulait pas me mentir, se cacher.  Je ne comprenais rien, je lâĂ©coutais, le coeur battant. Jâavais peur. « Je dois te parler de Marie. Tu sais que je la connais depuis que nous avons 16 ans. »Â
Je connaissais parfaitement Marie, qui faisait partie de la fameuse bande dâAlain. Une petite brune aux yeux clairs, de lâĂąge de mon mari. Elle Ă©tait divorcĂ©e et avait de grands enfants. Je savais aussi quâelle Ă©tait une ex dâAlain, et je la trouvais dâailleurs collante avec lui.
« Marie et moi, câest une histoire Ă part. Elle a Ă©tĂ© ma premiĂšre histoire dâamour. Nous avons encore besoin lâun de lâautre. Depuis presque trente ans, nous ne pouvons pas faire autrement. Je prĂ©fĂšre te le dire, mĂȘme si je sais que cela va te surprendre, te blesser. Je prĂ©fĂšre prendre ce risque plutĂŽt que de te mentir. » « Tu la vois souvent ? » Ma voix Ă©tait Ă©tranglĂ©e. JâĂ©tais littĂ©ralement assommĂ©e. « Non, dit-il, pas souvent, une fois par mois, on va dire. VoilĂ . Tu sais tout. On se voit chez elle. â Elle est amoureuse de toi ? â Mais non, elle sait trĂšs bien que câest toi que jâaime. »
Je suis restĂ©e figĂ©e sur ma chaise. QuâĂ©tait-il en train de me faire comprendre ? Comment pouvait-on dire une chose pareille Ă sa femme ? Marie ferait dĂ©sormais partie de notre couple, de notre vie ? Jâallais devoir partager mon mari avec elle ? Je devais avoir lâair tĂ©tanisĂ©e, car il sâest empressĂ© de me prendre dans ses bras. « Ne tâen fais pas, ma petite biche. Câest toi qui comptes. Câest toi lâamour de ma vie. Et si vraiment cela te fait trop de peine, jâarrĂȘterai de la voir, dâaccord ? »
Quelle gourde je faisais ! Leur complicitĂ©. Leur tendresse. Une histoire qui durait depuis leurs 16 ans. Leur façon endiablĂ©e de danser le rock. De dĂ©lirer sur de vieux airs des Doors. Et moi qui nâavais rien vu. Je suis restĂ©e muette tout en prĂ©parant le biberon de la petite, et jâai essayĂ© de rĂ©flĂ©chir. Alain avait eu lâhonnĂȘtetĂ© de me le dire. MĂȘme si câĂ©tait une vĂ©ritĂ© atroce Ă entendre. Jâai regardĂ© autour de moi. Cette jolie maison, le jardin, les fleurs. Cette vie que jâaimais.
Allais-je faire une crise Ă cause de Marie ? Partir ? Perdre tout ce que jâavais ? Non ! Et si je ne disais jamais rien Ă personne ? Et si jâencaissais en silence ? Ce serait mon secret. Personne nâen saurait rien. Mais est-ce que jâallais en ĂȘtre capable ? Est-ce que je pourrais continuer Ă vivre avec ça ? Car, rien que de les imaginer en train de faire lâamour, ça me donnait envie de vomir, envie de tuer ! Le lendemain, aprĂšs une nuit blanche, jâai annoncĂ© Ă Alain que je ne dĂ©sirais plus rien savoir sur elle, sur leur couple. Que je ne voulais plus jamais me sentir bafouĂ©e. Quâil ne devait plus jamais en parler. Ni avec moi ni avec la bande de copains qui devait tout savoir depuis le dĂ©but. Je tenais Ă rester digne. Il mâa promis quâil respecterait mes volontĂ©s.
La seule personne Ă qui jâen ai parlĂ©, câĂ©tait maman. Elle mâa dit que jâavais fait le bon choix mĂȘme si câĂ©tait un choix vieux jeu de femme soumise. Une femme moderne serait partie avec ses cliques et ses claques. Mais, moi, je nâĂ©tais pas une femme moderne. Enfin, pas Ă ce moment-lĂ .
Au dĂ©but, câĂ©tait Ă©pouvantable ! Marie se montrait discrĂšte avec moi. Je nâĂ©tais pas sĂšche avec elle, mais indiffĂ©rente. Je faisais comme si elle nâexistait pas.
TrĂšs vite, dans ma vie, il y a eu Mathieu. Un collĂšgue. De mon Ăąge. Des soucis de couple, lui aussi. Un soir, lors dâun voyage de boulot, nous avons fini la soirĂ©e ensemble. Il est devenu mon amant. Ăa mâa fait un bien fou. Son dĂ©sir. Nos fous rires. Lâimpression dâavoir un petit jardin secret. De faire face Ă Marie et Alain. De vivre autre chose, de vivre un truc Ă part. Avec un mec de mon Ăąge. Puis le temps a passĂ©. Petit Ă petit.
Ce qui mâa sauvĂ©e, câest pl
Une grosse salope se fait troncher
Des célébrités avec des gros seins
Fille indienne se lave le corps