Deux étudiants tombent dans le désir

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Deux étudiants tombent dans le désir
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Comprenez vos difficultés, exploitez vos ressources, réalisez vos projets

L'année dernière, un étudiant n'est pas venu à mon premier cours et est arrivé en retard au second…


Un mois après la rentrée, un collègue enseignant me disait qu'il trouvait ce même étudiant complètement "à côté de ses pompes". Il arrivait systématiquement en retard, ne faisait pas ses exercices et obtenait des notes exécrables aux examens.


A la fin du premier semestre, il avait raté toutes ses UV (oui, oui, toutes). Et l'ensemble de l'équipe enseignante s'accordait pour dire qu'il n'avait pas du tout sa place dans ce cursus, qu'il était désorganisé, peu investi et même carrément paresseux et j'm'en-foutiste.


J'ai toujours un pincement au coeur quand mes collègues sont pessimistes concernant un étudiant (voire méprisants…). J'avais beau n'avoir aucune information susceptible de changer l'image que celui-ci donnait de lui, le considérer comme "irrécupérable" était simplement impossible à envisager pour moi.


Et il se trouve qu'il m'a sollicitée pour un entretien individuel à la rentrée du second semestre.


Comment comprendre le sentiment de solitude éprouvé par certains étudiants ?


Nous avons discuté longuement pour comprendre ensemble d'où venaient ses difficultés. Et il m'a aidée à prendre conscience de ce qui peut amener certains étudiants à s'isoler des autres, perdre le goût d'apprendre, se démotiver et finalement s'engager dans un engrenage de difficultés qui semblent rapidement insurmontables.


Chaque année, je rencontre des étudiants qui vivent très difficilement le fait d'habiter dans une ville éloignée de leurs proches.


Lorsque l'on a une relation très forte avec ses parents ou que l'on vit seul avec sa mère ou son père depuis plusieurs années, la séparation peut en effet être brutale. Je me souviens par exemple d'une étudiante qui s'inquiétait constamment de savoir si sa mère s'en sortait sans elle. Un autre pensait à son petit frère qui devait affronter seul les conflits et disputes incessants qui opposaient leurs parents.


Ces préoccupations ne sont pas simplement le fait d'une relation qui serait trop "fusionnelle" et inviterait donc à penser qu'il faut bien un jour "couper le cordon" et voler de ses propres ailes. Les relations familiales sont le lieu de difficultés complexes, qu'il convient d'appréhender avec beaucoup d'attention et de respect pour les personnes concernées.


Dans mon Université, plus de 80% des étudiants de première année vivent seuls pour la première fois, et doivent déménager pour suivre leurs études dans une ville éloignée de leur région d'origine. Ainsi, ce ne sont pas simplement de leur famille qu'ils s'éloignent, mais également de leurs amis, de leur quartier et de toutes les habitudes rassurantes qui faisaient leur quotidien.


Il faut du temps pour apprivoiser son environnement et retrouver ses marques, repérer les trajets pour aller en cours, faire ses courses ou se rendre au lavomatic. Où se sent-on "chez soi" ?


C'est ainsi qu'un étudiant qui avait obtenu un DUT à Dijon et qui s'était inscrit dans une école d'ingénieur à deux heures de trajet ne parvenait pas à "poser ses valises" dans sa nouvelle Université. Pendant deux ans, il avait investi cette ville, s'y était fait des amis, avait intégré une équipe de handball et avait rencontré sa petite amie. Trois semaines après la rentrée, il ne rêvait qu'à retrouver sa vie d'avant : toute la semaine, il ne pensait qu'au vendredi soir et au train qui le ramènerait enfin "chez lui". Il continuait à participer aux matchs avec son équipe de hand et échangeait des SMS à longueur de journée avec sa copine.


Comment avoir envie d'aller vers les autres, créer de nouvelles amitiés et s'investir dans son projet d'études si l'on ne se sent pas bien où l'on est ?


Loïc, l'étudiant que j'ai rencontré en entretien après son premier semestre "raté", m'a expliqué qu'il rentrait chez lui sur Paris tous les week-ends. Il ne se sentait pas bien dans son studio : les voisins étaient bruyants et un dégât des eaux lui gachait la vie depuis plusieurs semaines.


Je pouvais facilement envisager en quoi son salon inondé pouvait ne pas lui donner envie de rentrer chez lui, voire de fuir autant que possible.


Il m'expliqua qu'il lui avait fallu du temps avant de comprendre ce qu'il devait faire : qui contacter au sein de l'agence de location ? Comment faire jouer son assurance ? Comment et quand prendre un rendez-vous avez un plombier sans pour cela rater des cours ?


Il ne s'était jamais retrouvé à devoir gérer de telles situations.


Lorsque je pose la question aux étudiants de savoir qui s'occupe de laver leur linge, beaucoup avouent rapporter tous leurs vêtements sales chez eux chaque week-end : "c'est cher d'aller à la laverie", "ça prend du temps d'attendre que la machine tourne", "je ne sais même pas comment fonctionne une machine à laver, quelle lessive prendre, comment la doser…".


Tous les étudiants inventent des stratégies particulières pour apprendre à gérer les tâches et les imprévus du quotidien auxquels ils n'avaient jamais eu à faire face jusque-là.


Comment faire en cas de coupure de courant ? Comment faire des courses pour une semaine (et non pour deux repas seulement) ? Comment dépenser progressivement l'argent de son budget afin de tenir un mois complet ? Etc.


Cet apprentissage est souvent chronophage pour des étudiants novices en la matière. Mais si vous ajoutez à cela le sentiment de ne pas être à sa place dans la formation qui a été choisie, les difficultés peuvent rapidement s'accumuler de manière inquiétante.


J'aimerais également dire un mot des adultes qui reprennent des études après une première expérience professionnelle plus ou moins longue. Ce sont alors d'autres contraintes afférentes à la gestion du quotidien qu'il faut prendre en compte : les enfants, le conjoint, la préparation des examens en même temps que celle du repas, la préservation d'un espace de travail qui permet la concentration au milieu des sollicitations diverses de l'entourage…sans parler de la difficulté intrinsèque d'avoir à se remettre dans des apprentissages scolaires après des années passées à exercer sur le terrain ou à s'occuper de sa famille.


Loïc voulait être ingénieur, mais dans une spécialité qui n'était pas proposée dans l'école qui l'avait accepté.


Il pensait tout d'abord obtenir des résultats très satisfaisants, dans le but de faire une demande d'admission à Bac+2 dans une nouvelle école qui proposerait la spécialité en question. Mais les semaines passant, il s'est aperçu qu'il allait avoir du mal à obtenir de bonnes notes, et même tout simplement ses UV.


Les efforts à fournir allaient être conséquents.


Mais comment s'investir quand on ne pense qu'à partir ailleurs ? Si vous n'êtes pas bien dans votre appartement, que votre famille et vos amis vous manquent au point de ne penser qu'à eux et que vous rencontrez des difficultés de compréhension dans les matières que vous suivez….où trouver la motivation pour vous lever chaque matin ?


Certains étudiants choisissent de s'inscrire en école d'ingénieur parce qu'ils visent la sécurité de l'emploi et un poste bien rémunéré. Lorsque l'on approfondit un peu avec eux leur projet, ils reconnaissent parfois que leurs véritables motivations sont ailleurs. Certains auraient aimé faire des études en sciences humaines, en droit ou en design.


Mais quels sont les débouchés de ces filières ? Donnent-elles l'assurance de trouver un emploi ? Permettent-elles d'accéder à des postes socialement valorisés en termes de salaire et de responsabilités ?


C'est bien souvent pour privilégier certaines valeurs ou aspirations, ou pour rassurer les parents, que nous optons pour certaines écoles ou certaines formations. Pourtant, les étudiants qui ont renoncé un peu trop vite à leurs premières envies les voient parfois (pour ne pas dire souvent) ressurgir quelques semaines après le début des cours.


Il arrive que les différents projets d'études d'un étudiant soient plutôt équilibrés en terme de motivation, et que les possibilités offertes par le cursus choisi soient à la hauteur de ce à quoi l'étudiant aspire pour lui-même. Les projets évoluent en effet au cours d'une scolarité et de nombreuses opportunités se dessinent au fur et à mesure que l'on découvre des voies, des métiers ou des misssions dont on ignorait jusque-là l'existence.


Il m'arrive cependant régulièrement d'accompagner des étudiants dans des projets de réorientation, à la fin du premier semestre…ou du second. Je pense à une étudiante qui voulait étudier la biologie alors que l'école ne proposait pas cette branche : elle s'est inscrite en fac de bio au mois de février et a intégré une école d'ingénieur qui proposait cette option à la rentrée suivante.


Loïc voulait quant à lui s'orienter dans le génie civil, une spécialité qui n'était donc pas proposée dans l'Université où il était inscrit. Il était pourtant déterminé à rejoindre une école après avoir validé les deux premières années du cursus, mais ses difficultés de compréhension ont eu raison de lui.


Les difficultés d'apprentissage me semblent être un obstacle qui peut amener de nombreux étudiants à s'isoler des autres.


L'année dernière, au second semestre, une étudiante a exposé dans l'un des groupes que j'accompagnais qu'elle s'imposait de ne demander d'aide à personne parce qu'elle aurait eu l'impression de ne pas vraiment réussir par elle-même.


Les autres étudiants l'ont regardé un peu interloqués.


Elle a alors raconté que parfois, ses parents lui avaient donné un coup de main pour des projets qu'elle devait rendre, et qu'elle s'était sentie dépossédée de son travail. Depuis qu'elle s'organisait seule pour sa scolarité, elle prenait donc sur elle de faire tous les efforts sans aide pour ne devoir ses résultats qu'à elle-même.


On pouvait sentir à sa voix qu'elle avait le coeur gros et que cet isolement qu'elle s'imposait lui pesait beaucoup. Elle avait obtenu des résultats très moyens au premier semestre, et son second semestre était décisif.


Un étudiant osa alors prendre la parole. Tu sais, dit-il, travailler en groupe ne veut pas dire que ce sont les autres qui font ton travail. On se motive tous les uns les autres. Certains maîtrisent mieux certains cours et expliquent aux autres, et parfois c'est le contraire. On serait peut-être bien content nous, que tu nous expliques ce que tu as compris. Et quand on bloque, ça permet d'être à plusieurs pour chercher, pour se donner des idées et pour se motiver.


On est trois à se retrouver tous les vendredis après-midi pour travailler à la bibliothèque, lui dit-il. Est-ce que ça te dirait de venir avec nous ?


C'est ainsi qu'une collaboration de travail très fructueuse débuta l'année dernière. Et tous les étudiants de ce groupe, qui avaient obtenu des résultats peu encourageants au premier semestre, passèrent finalement ensemble en deuxième année.


Loïc (comme l'étudiant de Dijon), n'a pas eu le courage d'aller vers les autres pour mettre toutes les chances de son côté. Il se sentait trop dépassé par le rythme des cours, la gestion de la vie quotidienne et l'absence d'intérêt qu'il ressentait quand il allait en cours. Nous avons donc travaillé ensemble à son projet de réorientation.


Il savait déjà ce qu'il voulait faire : du génie civil.


Je lui ai donc listé une série de démarches à entreprendre pour réaliser son projet. Il s'était aperçu que l'école d'ingénieur en cinq ans lui demandait un travail qui ne le motivait pas, notamment parce que les matières restaient trop générales et insuffisamment appliquées à son goût. Son niveau était en plus un peu juste pour suivre sereinement. Il s'est donc renseigné sur les IUT qui proposaient des DUT de Génie civil autour de chez lui, à Paris.


Il s'est rendu aux journées portes ouvertes, a posé des questions sur les UV à suivre et les stages à réaliser, a discuté avec d'anciens étudiants pour avoir une idée très précise du cursus. Rassembler toutes ces informations lui a permis de rédiger une lettre de motivation exemplaire, dans laquelle il a expliqué les raisons qui l'avaient conduit à envisager une réorientation et les motivations qui l'avaient amené à choisir un DUT. Il a également pu mettre en évidence les critères qui l'amenaient à demander une inscription dans cet IUT en particulier, en citant les noms des personnes qu'il avait rencontrées.


Dès l'instant où les choses étaient lancées et que Loïc avait pris la décision de quitter l'école, il s'est révélé un étudiant sérieux, fiable et déterminé. Comme quoi les circonstances comptent beaucoup, et l'image que l'on renvoie parfois ne correspond pas forcément à ce que l'on est au fond de soi.

J'ai été cet étudiant solitaire qui ne venait plus en cours et qui ratait tout, avec le recul je comprends mieux pourquoi, le système scolaire n'était tout simplement pas fait pour moi, j'était malheureusement trop jeune à l'époque pour exprimer mon ininteréssement, je ne comprenait pas vraiment ce qui m'arrivait.
Si j'avait la possibilité de remonter le temps, je demanderai a mes parents de me sortir du système scolaire le plus rapidement possible, je regrette tellement de ne pas avoir fait un CAP de patissier , me voici avec un Bac Scientifique totalement inutile. Heureusement pour moi j'ai eu de la chance, j'ai monté ma société, en fait mon véritable problème était que j'était trop indépendant, même très jeune, et je n'ai pas envie que l'on me dicte ce que je doit faire ( ce qu'est finalement l'école, apprentissage d'une autorité supérieure sans possibilité de contester quoi que ce soit, même si le prof à tord. )
ps : votre plugin comment luv est cassé
Je trouve votre témoignage très intéressant.
J'ai travaillé pendant quatre ans dans une école d'éducateur ayant la pédagogie active comme socle de son projet d'établissement. Les étudiants étaient constamment sollicités pour partager leur expérience, monter des projets et chercher par eux-mêmes les réponses aux questions qu'ils se posaient. La majorité était d'ailleurs des adultes ayant plusieurs années d'exercice professionnel derrière eux, et donc une expérience significative dans le champ du travail social.
Peut-être qu'une approche pédagogique moins classique et plus axée sur votre envie d'apprendre par vous-mêmes vous aurait permis de donner toute votre mesure. J'aime bien travailler avec des étudiants qui ne se contentent pas de ce qui leur est dit dans un cadre magistral : ils discutent, commentent, contestent. C'est aussi cela l'enseignement, pas seulement une transmission unilatéral d'un enseignant tout-puissant vers des "inférieurs" qui n'auraient rien à dire.
Je reconnais qu'en tant qu'enseignante, c'est très difficile d'intégrer les remarques et les critiques. Mais c'est également ce qui rend ce métier passionnant.
Désolée de ne pas vous avoir répondu plus tôt concernant le plugin… en fait, sur mon site, le lien vers votre site est bien valide lorsque l'on clique sur votre nom…Par contre, il semble en effet impossible de notifier votre dernière publication…Je vais voir si je peux régler ce problème (merci de me l'avoir notifié).
Merci pour votre réponse, j'ai eu la chance de voyager et d'habiter pendant 3 ans aux états unis et j'ai été émerveillé de voir des écoles alternatives ou on faisait place à la créativité plus qu'à l'apprentissage bête et méchant de manuels scolaires. J'ai vraiment adoré ce système qui m'a vraiment ouvert les yeux sur la rigidité du système scolaire français.
PS : votre plugin fonctionne , félicitations vous l'avez réparé.
Bonjour! Je suis une jeune fille habite a Avignon, je voudrais fair un formation Bac Acceuil Clientel à formaposte pour mois de septembre 2013. Mais il faut passe une teste d'éntre et il faut explique pourqua je voudrais travaile a la poste, et je ne sais pas comment fair un texr. Est ce que vous pourrez me aide? merci
Merci pour votre question et à bientôt,
Merci pour ce témoignage, j'ai un fils qui a 14 ans et je suis divorcée. Donc nous avons l'habitude de vivre à 3 (j'ai une fille de 11 ans). Et j'appréhende le jours ou mon fils devra s'éloignée pour faire ces études. C'est bien qu'il y ait des personnes comme vous qui vous inquiétez de ce que vive les étudiants, ce serait bien que d'autres professeur le face aussi. Ou effectivement sensibiliser les autres élèves, pour qu'il s'entraide et ne laisse pas un étudiant s'isoler petit à petit, car il n'arrive pas à gérer sa nouvelle vie, loin de ces proches. J'espère arriver à préparer mon garçon, pour qu'il vive au mieux ces changement et cette séparation.
Je me suis coupé de bien des opportunités par peur de m'éloigner de ma cellule familiale. Avec le recul je le regrette un peu. Mais à l'époque, je n'étais pas prêt à 18 ans de partir ainsi loin de chez moi. Je nous trouve pour la plupart bien immature encore à cet âge-là et pas forcément prêt à vivre de telles expériences sans aucune préparation au préalable (pression, stress, éloignement…). Je comprends que certains s'enlisent petit à petit et se sentent esseulés. Heureusement qu'il y a des enseignants qui les entendent et peuvent leur venir en aide !
Vous pensez que cela aurait pu vous aider de parler de tout cela avec quelqu’un à l’époque ?
Quel type d’accompagnement vous aurait été bénéfique ? 
J'étudie à Genève, en Suisse et je n'ai vraiment personne ici ( ni famille , ni amis proches) . Les études sont très dures (Pharmacie) et l'ambiance au sein des amphis n'est pas vraiment marrante (Profs qui critiquent les étudiants, éjection de plusieurs personnes suite à des rattrapages ratés etc, etc…), ce qui empêche une véritable solidarité entre les étudiants. Ca va , je suis en 3ème année je m'accroche , mais n'empêche que les weekends il m'arrive d'avoir des crises d'angoisse et de pleurs à cause du fait que j'ai toujours entretenu une relation très forte avec mes parents et avec mon pays d'origine (Maroc). Je me dis que ça m'apprendra à appréhender des situations dures dans le futur et me permettra d'acquérir de la maturité, idée qui me permet de rester forte et de ne pas complètement sombrer. Il est vrai qu'à plusieurs reprises je n'ai qu'une seule envie (retourner chez moi ) mais il y a une espèce de fierté et de volonté de réussir ma vie et mes études qui me permet de résister à la solitude malgré tout. Merci pour l'article , j'ai l'impression que vous avez tout cerné du problème et je vous admire en tant qu'enseignante qui essaye de comprendre les étudiants dans le sens où vous arrivez à percevoir que certains étudiants peuvent vraiment souffrir dans leur vie personnelle. ;))))
Je vous remercie beaucoup pour votre témoignage. Je trouve que vous arrivez à mobiliser des ressources tout à fait étonnantes pour supporter et faire avec la douleur que génère votre situation : votre détermination à passer les difficultés même si c’est dur, votre confiance dans le fait que cette expérience vous rendra plus forte.
Je me demande cependant si l’isolement doit absolument faire partie de votre parcours. Pourquoi faut-il que vous affrontiez tout cela toute seule ?
Je comprends tout à fait comment le système d’enseignement empreint de compétitivité, de mise en rivalité des étudiants les uns avec les autres et l’attitude méprisante de vos encadrants peut générer ce sentiment que finalement, c’est « chacun pour soi ». Mais n’existe-t-il pas des associations (sportives, artistiques ou autre) dans votre université qui permettent aux étudiants de se retrouver pour échanger et nouer d’autres types de solidarité ?
Il y a forcément dans votre entourage d’au
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