Deux étudiantes prennent une pause

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Deux étudiantes prennent une pause

Isabelle Audet
LA PRESSE

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Julie Plaisance (au centre) et un groupe d'amis pendant un voyage en Australie. Après le cégep, la jeune femme et une amie sont parties à l'aventure plusieurs mois, avant de retourner sur les bancs d'école.
Vous êtes étudiant et vous n'avez pas trouvé votre voie ? Vous sentez que vous avez besoin de sortir des sentiers battus et de développer votre autonomie ? Attendez avant de poursuivre vos études et partez voir du pays, ou encore, impliquez-vous dans votre communauté.
C'est essentiellement le message qu'envoie l'Américain Jeffrey Selingo dans un tout nouveau livre qui fait beaucoup parler de l'autre côté de la frontière. Dans There is a Life After College , le journaliste souhaite guider les jeunes (et leurs parents) dans le parcours qui les mènera sur le marché de l'emploi. Il consacre notamment tout un chapitre à l'importance pour certains étudiants de prendre une période sabbatique, ou un gap year, en anglais.
« Évidemment, une année de pause peut coûter cher, mais dans certains cas, il s'agit d'un investissement pour l'avenir si ces jeunes sont plus convaincus de ce qu'ils veulent faire une fois de retour sur les bancs d'école », assure l'auteur. Il ajoute cependant que cette année sabbatique doit être planifiée, et que rarement « une année à dormir dans sa chambre et à travailler chez McDonald's » porte ses fruits.
« Cette année doit être consacrée à travailler dans un secteur pertinent, à améliorer ses compétences académiques pour la suite, ou à voyager pour élargir ses horizons », précise-t-il, ajoutant au passage qu'aux États-Unis, les jeunes qui prennent une année de pause sont statistiquement plus investis dans leurs études par la suite. Tant et si bien que l'Université Harvard encourage maintenant ses étudiants à en faire l'expérience.
Au Canada, d'après Statistique Canada, environ un étudiant sur trois retarde d'un an ses études postsecondaires, pour amasser suffisamment d'argent pour payer ses études, ou encore pour prendre le temps de trouver sa voie.
C'est au Québec que l'on retrouve le moins d'étudiants optant pour une sabbatique. Environ 15 % des jeunes prennent une pause après l'école secondaire. C'est principalement le système d'éducation distinct qui change la donne, souligne Statistique Canada. Les études postsecondaires demeurent moins dispendieuses qu'en moyenne ailleurs au pays, et le passage au cégep permet aux jeunes d'ici de poursuivre leur réflexion.
Malgré tout, parfois, l'année sabbatique s'impose. « Nous n'avons pas de chiffres exacts, mais mon équipe de conseillers a remarqué une augmentation dans le nombre d'étudiants qui s'interrogent au sujet d'une année de pause au cours des dernières années », affirme Darlene Hnatchuk, directrice du service de planification de carrière à l'Université McGill.
L'établissement permet aux étudiants admis dans un de ses programmes de prendre une année de congé avant même d'avoir entrepris leurs études. Plusieurs vont toutefois opter pour l'année sabbatique après un baccalauréat, trop incertains de ce qu'ils ont vraiment envie de faire par la suite. « Ça peut être une bonne idée, car ça peut être l'occasion de mieux cibler leurs intérêts, s'ils ont des doutes, et de vivre des expériences à l'extérieur de ce qu'ils connaissent. C'est très formateur », ajoute Mme Hnatchuk. Puisque cette décision entraîne inévitablement des coûts, l'équipe de conseillers de McGill aide ses étudiants à planifier leur congé.
« C'est l'année de ma vie ! », s'exclame Julie Plaisance, 33 ans. Après le cégep, au tournant des années 2000, elle s'est envolée pour un long voyage en Australie et en Nouvelle-Zélande. Avec une amie, elle a alors appris à voler de ses propres ailes en gagnant sa vie là-bas.
Elle ne se le cache pas : à l'époque, elle partait surtout à l'aventure, et pour avoir du plaisir. La « découverte de soi » n'était pas sa principale motivation. N'empêche, elle rencontre en voyage plusieurs personnes dont les habitudes de vie tranchent avec ce qu'elle connaît. Et elle en sort grandie.
Ses parents l'ont soutenue dans son aventure en lui offrant le billet d'avion. Organisée, elle les a aisément convaincus des bénéfices de ce long séjour à l'étranger.
Pendant son séjour, elle a constaté que le travail manuel auquel elle était habituée avant son départ lui manquait. Cette réflexion l'a aidée à trancher pour des études en architecture à son retour.
Au fil des années, elle a changé de voie, mais elle est persuadée qu'elle a tiré de ce long voyage une ouverture d'esprit qui l'accompagne chaque fois dans ses nouveaux projets. « Est-ce que je peux tout mettre ça sur le compte de mon voyage en Australie ? Je ne sais pas, mais ça a certainement changé ma vie. Ça dépend du voyage que tu fais, mais quand tu te lances dans le vide... c'est sûr que tu reviens plus mature. »
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Etudes : 7 habitudes que prennent les étudiants qui réussissent


Les étudiants qui finissent dans les premiers ne le font pas en claquant des doigts. Ils ont travailler dur pour y arriver. Si tu veux mériter ta place à leurs côtés, voici les habitudes à leur piquer.
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Plutôt que de prendre leurs notes à l’ordinateur , les étudiants qui réussissent les prennent à la main, avec un stylo et du papier. Certes, c’est plus long sur le moment, mais cela permet de synthétiser les informations directement et de gagner ainsi du temps lors des révisions. Et surtout, écrire les informations à la main permet de mieux les mémoriser. Il y a moins de distractions et on le fait moins automatiquement, cela demande davantage de concentration.
Les étudiants qui réussissent organisent leur emploi du temps en fonction de leurs cours, des devoirs à faire et de leurs révisions. Ils notent ce qui doit être fait en priorité, les deadlines, les chapitres à réviser et ils s’organisent pour réussir à tout faire. Ils se fixent des petits objectifs à faire tous les jours pour faciliter la tâche et répartir le travail. Ils font des plannings de révisions qui commencent au moins 2/3 semaines avant les examens. Ils prévoient tout et ne font rien à l’arrache.
Le soir, en rentrant chez eux, les étudiants qui réussissent reprennent les cours qu’ils ont eus pendant la journée pour les relire. Cela permet de fixer les informations dans la mémoire, mais aussi de vérifier que tu as bien tout compris et si ce n’est pas le cas , de régler le problème en demandant à ton professeur ou à tes camarades. Cela te permet également de savoir ce que tu devras travailler davantage lors des révisions. Et si tu as le temps, profites-en pour faire directement des fiches de révision.
Les étudiants qui réussissent ne se contentent pas d’une seule méthode de révisions, ils en alternent plusieurs pour être sûr de bien tout maîtriser et de bien mémoriser. Ils font des fiches de révision qu’ils révisent partout dès qu’ils ont 5 minutes, ils font du mind-mapping , une méthode qui a été prouvée comme étant très efficace. Ils font également des jeux pour rendre les révisions plus ludiques. En variant les méthodes de révision, le cerveau est davantage stimulé et arrive donc à mieux mémoriser les informations. Et puis, c’est plus sympa et motivant.
Les étudiants qui réussissent ne font pas que réviser pendant des heures. Ils font aussi des pauses ! Et même très souvent d’ailleurs. Ils savent en effet que cela ne sert à rien de travailler trop longtemps car au bout d’un moment, le cerveau est trop fatigué et enregistre et traite donc moins bien les informations . Il est donc important de le reposer régulièrement. Le mieux, c’est de faire une pause active, en marchant ou en faisant du sport, car cela active la circulation sanguine et permet donc de faire mieux fonctionner le cerveau.
Les étudiants qui réussissent ne se contentent pas seulement de réviser les cours qu’on leur donne. Ils vont chercher plus loin, en regardant des documentaires sur le sujet, en lisant des articles et des livres sur le sujet , en écoutant des conférences ou des podcasts, etc. Outre te cultiver, cela te permet d’apporter un petit plus à tes devoirs et à tes examens, pour gratter des points en plus.
Les étudiants qui réussissent savent que certains aliments améliorent la concentration et la mémoire et font en sorte d’en manger au maximum. On recommande notamment de suivre un régime méditerranéen, riche en oméga-3, en protéines maigres et en vitamines pour améliorer les capacités cognitives. Au top des aliments bons pour le cerveau ? Les poissons gras (saumon, thon, sardines), les légumineuses (lentilles, pois chiches), la banane, les fruits rouges, les fruits de mer, les œufs, les huiles végétales (colza, lin, olive) et les avocats.
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Par
Figaro Etudiant •

Publié le 04/08/2017 à 16:58

L’été ne veut pas forcément dire départ en vacances pour les étudiants français. Un étudiant sur deux ne prendra pas de congés cette année en juillet et en août, par manque de moyens.
Pour les étudiants, les mois de juillet et d’août ne riment pas forcément avec soleil, plages et farniente. Selon un sondage Diplomeo , mené auprès de 3 407 étudiants, 52% des étudiants ne partiront pas en vacances cet été. Une proportion qui atteint même les 54% chez les 17-19 ans. Parmi les sondés, plus de 7 étudiants sur 10 en classe préparatoire aux grandes écoles s’autoriseront une pause estivale contre seulement 37% en écoles d’ingénieurs et 47% à l’université. Le sondage Diplomeo nous apprend également que les étudiants du privé peuvent davantage prendre des vacances (52%) que ceux du public (47%).
Chez les étudiants qui ne prendront pas de vacances, les raisons sont en majorité économiques. 65% d’entre eux utiliseront la pause estivale pour travailler, quand près d’un étudiant sur deux qui ne part pas ne peut pas prendre de vacances par manque de moyen (48%). Selon Diplomeo, 71% des 17-19 ans ont un job d’été, contre 59% des plus de 25 ans.
Au contraire, les étudiants qui partent cet été en profitent pleinement. Près d’un sur deux partira plusieurs semaines, contre seulement 5% qui partiront un seul week-end. Côté compagnons de voyage, ce sont les parents qui ont le plus la cote. 51% des étudiants partent en famille, 48% partent (aussi ou seulement) entre amis et 34% en amoureux. La France reste la destination préférée des étudiants, alors que 60% des étudiants sondés prennent congé dans l’hexagone, quand 41% en iront Europe et 17% sur un autre continent.
Pour s’offrir leurs vacances, les étudiants ne jouissent pas tous du même budget. Quatre jeunes sur dix bénéficient d’un budget compris entre 200 et 500 euros, quand 22% ont moins de 200 euros pour partir et 16% plus
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