Designer baise son jeune mannequin dans son atelier

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Mannequin dans l'atelier du peintre-photographe





Mannequin dans l'atelier du peintre-photographe


© MusĂ©e d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais

/ Alexis Brandt

Mannequin dans l'atelier du peintre-photographe,
MusĂ©e d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais

François Brunery
(1849 -
1926)



Oeuvre non exposée en salle actuellement




Résumé


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Historique - Provenance


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Bibliographie


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Turin
, Piémont
(Italie), 1849
-
Paris, Ile-de-France (France), 1926
Mannequin dans l'atelier du peintre-photographe
Mannequin d'atelier en bois avec une collerette

jusqu'en 2007, galerie LumiĂšre des Roses, Sarl Jacquier, Montreuil


2007, acquis par l'Etablissement public du musée d'Orsay (conseil scientifique de l'EPA M'O du 28/03/2007, commission des acquisitions de l'EPA M'O du 04/06/2007, décision n° 2007-025/O du président de l'EPA M'O du 08/06/2007)


Silent partners. Artist and Mannequin from Function to Fetish

-

The Fitzwilliam Museum

-

Royaume-Uni,

Cambridge,

2014
- 2015


Le sourire

-

musée d'Orsay, Paris

-

France,

Paris,

2016


Font-Réaulx, Dominique de, 48/14 La revue du Musée d'Orsay , "Acquisitions", Paris, Réunion des musées nationaux, 2007, p. 74-75, reprod. p. 74


Munro, Jane, Mannequin d'artiste, mannequin fétiche , Paris, Paris Musées, 2014, reprod. p. 145



positif



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Dimanche 4 septembre : 1er dimanche du mois gratuit pour tous !
La rĂ©servation en ligne d’un crĂ©neau de visite est vivement recommandĂ©e.
Sunday, Septembre 4th: 1st Sunday of the month free for all. 
Online time slot booking is possible and highly recommended.  
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Vous pouvez nous écrire pour suggérer des améliorations à apporter à la notice de l'oeuvre.

Publié le mardi 30 janvier 2018 à 05:49 par Luca ANDREOLLI Choc Une jeune mannequin retrouvée démembrée dans des valises
Sara Zghoul, 28 ans, était également actrice et mÚre d'un petit garçon. Son assassin présumé a quant à lui été retrouvé prÚs d'un bois, la gorge et les veines tailladées.
L’oregon, aux Etats-Unis, a Ă©tĂ© le thĂ©Ăątre d’un atroce fait divers, dont les circonstances ne sont pour le moment pas clairement Ă©tablies. La semaine derniĂšre, une jeune femme a disparu et personne n’avait de signe de vie de sa part. Plus tard, des habitants ont aiguillĂ© la police en affirmant avoir Ă©tĂ© tĂ©moins de cris Ă©tranges. Ce sont ces indices assez minimes qui ont mis les autoritĂ©s sur la piste d’un homicide. Jeudi, elles sont tombĂ©es sur l’impensable. En parcourant une rue de la petite ville d’Aloha, les enquĂȘteurs ont remarquĂ© une BMW suspecte isolĂ©e, garĂ©e le long d’un trottoir. En forçant le coffre, ils ont dĂ©couverte deux valises dĂ©gageant une odeur pestilentielles. En les ouvrant, ils ont constatĂ© le dĂ©cĂšs de Sara Zghoul, 28 ans, la demoiselle signalĂ©e par des riverains. Il s’avĂšre qu’elle a Ă©tĂ© atrocement assassinĂ©e. Sa tĂȘte a Ă©tĂ© tranchĂ©e et son corps en partie dĂ©membrĂ©. La victime avait un profil particulier. Elle Ă©tait mannequin et actrice. Elle jouissait en outre d’une certaine cote de popularitĂ© au niveau local. Son compte Instagram, qui n’a pas Ă©tĂ© fermĂ© depuis le crime, Ă©tait suivi par plus de 2 000 personnes. Elle l’abreuvait rĂ©guliĂšrement de clichĂ©s et vidĂ©os en tous genres, dĂ©voilant rĂ©guliĂšrement son sourire, des instants de famille et prĂ©sentant Ă  qui voulait les dĂ©couvrir son cercle social.
TrĂšs rapidement aprĂšs la macabre dĂ©couverte, un suspect a Ă©tĂ© apprĂ©hendĂ©. La police n’a pas souhaitĂ© communiquĂ© sur l’identitĂ© de l’homme, dont on ne sait pas s’il partageait la vie de Sara Zghoul. Dans le rapport, il est simplement notifiĂ© que celui-ci aurait Ă©tĂ© retrouvĂ© en errance dans un fossĂ© Ă  l’orĂ©e d’un bois, avant d’ĂȘtre transportĂ© Ă  l’hĂŽpital. Vraisemblablement, il a tentĂ© de se suicider aprĂšs les faits en se coupant la gorge et en s’ouvrant les veines. Il est aujourd’hui placĂ© en dĂ©tention provisoire, dans l’attente d’un futur procĂšs. Du cĂŽtĂ© de l’entourage de la victime, l’abattement et l’incomprĂ©hension rĂšgnent. L’une de ses amies, citĂ©e dans le journal local Oregonian, assure que la mannequin, mĂšre d’un petit garçon, « a marquĂ© la vie de tout le monde » et qu’elle Ă©tait dotĂ©e « d’un sourire et d’un rire contagieux ». « C’était une personne si drĂŽle », tout le monde l’adorait, a complĂ©tĂ© un autre ami d’enfance sur KOIN. Ce dernier conclut, dans un Ă©lan de tristesse perceptible : « Elle Ă©tait connue pour ĂȘtre quelqu’un de bien (...) C’est une perte Ă©norme pour la communautĂ© ».
A post shared by Sara Zghoul ???? (@jdmintegurl) on May 20, 2017 at 8:16pm PDT
Joseph Oberhansley nie en bloc. Selon ses avocats, il serait inapte Ă  un procĂšs.
Le sĂ©jour amoureux de deux touristes amĂ©ricains a connu une fin tragique pour un motif aussi futile que dĂ©concertant. Les tĂ©moins assurent que la cabine oĂč s'est produit le massacre Ă©tait transformĂ©e en mare de sang.
L'homme de 24 ans a été reconnu coupable par la Justice et a été condamné à 10 ans de prison aprÚs un arrangement. Son pÚre ne croit pas en sa culpabilité, sa belle-mÚre regrette au contraire une peine si courte.
Le coupable, 19 ans, vient d'ĂȘtre arrĂȘtĂ© pour homicide involontaire, homicide par substance contrĂŽlĂ©e et viol au deuxiĂšme degrĂ©. Le lendemain de son crime, il s'en Ă©tait vantĂ© auprĂšs de ses collĂšgues. L'un d'eux l'a dĂ©noncĂ©.
A 22 ans, Tyler, le neveu de l'ex-président, vient de signer un contrat de mannequin avec une prestigieuse agence américaine.
Une petite amĂ©ricaine a rĂ©coltĂ© elle-mĂȘme ses informations, puis s'est filmĂ©e Ă  la maniĂšre d'un reporter tĂ©lĂ©. Sa vidĂ©o a ainsi grillĂ© la politesse aux mĂ©dias locaux. Sur le web, ça jase.


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A Cali, l'idĂ©e que la beautĂ© est la clĂ© du succĂšs remonte Ă  l'Ă©poque de Pablo Escobar et de ses dollars. Vingt ans aprĂšs sa mort, la plastique et le look imposĂ©s par les narcos continuent de rĂ©gner dans la sociĂ©tĂ©, banalisant l'aliĂ©nation de la femme. Marie Claire est allĂ© Ă  la rencontre de ses Colombiennes prĂȘtes Ă  tout pour sortir de leur quartier.
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L'entrĂ©e de la boĂźte de nuit, dans cette rue mal Ă©clairĂ©e, Ă  la sortie de la ville, donne une idĂ©e de la situation. Six colosses, ersatz de gilet pare-balle sur le dos, un panneau interdisant sacs bananes, casquettes, enfants et armes. Et une horde de jeunes femmes vĂȘtues de robes moulantes aux dimensions surprenantes. Il y a surtout ces visages reconstruits, ces fesses aux proportions improbables, ces seins Ă©normes, ces maquillages outranciers, ces chevelures fĂ©lines. Entrer au Lolas Club, c'est approcher ce qu'on appelle en Colombie la « narco-beautĂ© ».
Cette mode qui remonte Ă  l'Ă©poque de Pablo Escobar, lorsque les barons de la drogue, le roi de la cocaĂŻne le premier, s'affichaient au bras de femmes plantureuses et ne se gĂȘnaient pas pour leur imposer une petite chirurgie esthĂ©tique, histoire qu'elles correspondent Ă  leurs critĂšres de beautĂ© – gros seins, grosses fesses, grosses hanches. Plus de vingt ans aprĂšs la mort du parrain de Medellin, si le pays a amorcĂ© une transition vers la paix entre les Forces armĂ©es rĂ©volutionnaires de Colombie, principale guĂ©rilla communiste de la rĂ©gion, et le gouvernement, les rĂ©fĂ©rences Ă  la narco-culture sont tenaces. Plus encore en matiĂšre de canons esthĂ©tiques.
Cali, 2,5 millions d'habitants, Ă  l'ouest de la Colombie, considĂ©rĂ©e il y a encore trois ans comme la septiĂšme ville la plus dangereuse au monde. Entre-temps, la situation s'est lĂ©gĂšrement amĂ©liorĂ©e – on peut dĂ©sormais dĂ©ambuler dans la rue sans se faire agresser –, mais il est toujours interdit aux hommes de rouler Ă  deux sur un scooter, comme le font les « sicarios » (tueurs). Il y a quelques mois, conducteur et passager n'avaient mĂȘme pas le droit de porter de casque. Aujourd'hui, les narcotrafiquants se font plus discrets, ne vivent plus dans des palais qui abritent des zoos, ils se sont embourgeoisĂ©s. 
 Mais une chose est certaine, affirme le travailleur social Yonny Rojas, ex-candidat malheureux Ă  la mairie, mĂȘme si la Colombie tente d'effacer ces annĂ©es, Escobar, les narcos et leurs dollars ont laissĂ© comme hĂ©ritage l'illusion d'une vie facile. C'est un hĂ©ritage difficile Ă  changer. 
Et si les narcotrafiquants, depuis la disparition du patron, en 1993, ont mis de cĂŽtĂ© leur appĂ©tence pour le luxe ostentatoire, l'idĂ©e, un brin archaĂŻque, que les hommes se font des femmes s'est rĂ©pandue dans toute la sociĂ©tĂ©. Dans ce pays Ă  la culture machiste, oĂč la « telenovela » (sĂ©rie) longtemps la plus populaire s'appelait Sin tetas no hay paraiso (« Sans nichons, il n'y a pas de paradis »), elles se doivent d'ĂȘtre excessivement glamour. Et si quelques femmes osent enfin s'Ă©lever contre cette aliĂ©nation, beaucoup continuent de s'y plier. Car en Colombie, la beautĂ© est un culte cĂ©lĂ©brĂ© en permanence, sans retenue, exacerbĂ©. Dans les mĂ©dias, Ă  la tĂ©lĂ©, dans les clips, les chansons, la façon de danser, dans la rue.
A l'autre bout de la ville, ce samedi-lĂ , Valeria, Maria et Diana se prĂ©parent pour les qualifications du plus important concours de beautĂ© de l'annĂ©e Ă  Cali. En Colombie, les « reinadas », tradition populaire, se dĂ©clinent Ă  l'infini : plus beau visage, plus belles fesses, plus beaux seins, celle qui danse le mieux
 Il y en a partout, dans les Ă©coles, Ă  l'universitĂ©, en prison, dans les quartiers. A tel point que certaines municipalitĂ©s ont fini par les interdire, tant ils altĂšrent l'image de la femme. Cette fois, l'enjeu est d'Ă©lire miss Tourisme, maniĂšre (relative) de rompre avec la caricature.
InstallĂ©es dans un bus qui sillonne la troisiĂšme ville du pays, elles se font des selfies , affichent fiĂšrement les rondeurs de leur adolescence Ă  peine passĂ©e et Ă©coutent assez peu les explications touristiques donnĂ©es par leur guide. Elles sont ĂągĂ©es de 17 Ă  23 ans et – c'est unanime – veulent ĂȘtre connues. « J'aime les camĂ©ras », confirme Valeria, 17 ans, et dĂ©jĂ  prĂ©sentatrice sur Miami TV Colombia, persuadĂ©e que les filles n'ont d'autres choix, pour s'en sortir, qu'utiliser leur beautĂ©. La beautĂ© comme clĂ© du succĂšs, quitte Ă  opter pour la chirurgie esthĂ©tique. Une culture historique qui sĂ©vit encore particuliĂšrement dans les quartiers populaires et que les narcos ont banalisĂ©e.
Les Colombiennes ont Ă©tĂ© biberonnĂ©es Ă  leur style de vie, bercĂ©es par les rĂ©cits de ces femmes sublimes qui ont profitĂ© du faste de leur existence. La premiĂšre : Virgina Vallejo, ex-prĂ©sentatrice de tĂ©lĂ©, ultra-pin-up, Ă©tait la maĂźtresse historique de Pablo. Les autres, en vrac : Yovanna Guzman, ex-reine de beautĂ© qui a racontĂ© sa vie dans un livre. Elle a vĂ©cu pendant huit ans avec Wilber Varela, alias Jabon, un des derniers barons, couverte de bijoux, voyages et voitures. Il y a aussi Maribel Gutierrez Tinoco, ex-miss Colombie, dont les opĂ©rations esthĂ©tiques ont Ă©tĂ© financĂ©es par la culture de la cocaĂŻne. Et tant d'autres. Certaines d'entre elles ont fini en prison, d'autres tuĂ©es. « Les narcos et, aujourd'hui, les “pandilleros” (bandits, ndlr) voient les femmes comme des produits, confirme Yonny Rojas. A une Ă©poque, ils dĂ©barquaient dans les quartiers et sĂ©lectionnaient des filles. Aujourd'hui il arrive qu'ils les choisissent lors des dĂ©filĂ©s de mode. D'ailleurs, ils possĂšdent une partie des agences de mannequin. » Une information difficile Ă  vĂ©rifier, tant leurs affaires sont opaques.
Mais ce n'est pas Anna, 38 ans, qui se plaindra de cette tradition. Elle vient trĂšs souvent danser au Lolas Club, et passe, du coup, un temps fou Ă  se « faire belle » (selon ses critĂšres). D'ailleurs, elle vĂ©rifie assez rĂ©guliĂšrement dans son miroir si le maquillage est « OK », les ongles « OK », et en profite pour remettre en place ses longs cheveux lissĂ©s. Anna vend sur Internet des vĂȘtements qu'elle va chercher en Equateur ou au Panama voisins. Objectif assumĂ© de sa soirĂ©e : dĂ©goter un fiancĂ©. « Il faut que je trouve un mec qui me sorte de la pauvretĂ©. » Alors Anna met toutes les chances de son cĂŽtĂ©, mĂȘme si elle doit y investir tout son argent. « Les hommes aiment les culs, sans cul tu n'as pas de succĂšs. » Du coup, elle a bien du mal Ă  dĂ©signer un endroit de son corps qui n'a pas Ă©tĂ© refait. Seins, fesses, ventre, nez, bouche
 Le tout en une seule fois.
Ainsi Cali est devenue une des capitales de la chirurgie esthĂ©tique . « C’est une des consĂ©quences de la culture narco, confirme Yonny Rojas. Avant, les types disaient : “Je veux te voir avec p
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