Des étudiants vraiment chauds

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Des étudiants vraiment chauds
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Des pom-pom girls soutenant l’équipe de basket de Duke - GETTY IMAGES NORTH AMERICA/STREETER LECKA
Le passage de l’étudiante sur CNN (en anglais)
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(De Caroline du Nord, USA) Et un scandale sexuel supplémentaire pour Duke University  ! Ça se passe à 30 km de chez moi, et j’ai un témoin sur place. J’ai hésité un mois avant de vous raconter l’histoire de cette étudiante devenue actrice porno pour payer sa scolarité. Du cul sur un campus américain : trop banal.
Mais l’affaire enflamme les médias, la fille passe sur CNN à une heure de grande écoute, je dois me lancer. Pas de gaité de cœur.
Le sujet est casse-gueule. Comme dit mon fils – lui-même étudiant dans cette université – «  il n’y a que des coups à prendre dans ce genre de discussion  ».
Par dessus le marché, le contexte des campus américains n’est pas évident à expliquer : les Français ne sont pas très familiers avec ce genre de fac, où les étudiants vivent ensemble 24 heures sur 24 pendant quatre ans. Les relations entre les sexes, les races et les classes sociales y sont plus complexes qu’il n’y paraît. Mais le sujet est intéressant, car pas abordé de la même manière qu’il le serait en France.
D’abord, un bref rappel de ce qui a forgé en quinze ans la réputation sexuelle de Duke.
Cette université privée du Sud – qualifiée «  d’élite  » comme on dit en France au sujet des «  grandes écoles  » – joue presque dans la même cour que les Harvard, Yale, Princeton et consorts.
Son recrutement académique est analogue, ses tarifs sont prohibitifs – 60 000 dollars par an, logement et nourriture inclus – mais comparables à ceux de centaines de petits collèges privés infiniment moins cotés, et Duke offre de très larges aides financières aux étudiants qui en ont besoin. Plus de la moitié de ses 6 500 étudiants de premier cycle reçoivent des bourses.
La fac est très respectable donc. A une affaire près. Certains s’en souviennent peut-être : en 2006, lors d’une fête organisée par l’équipe de Lacrosse – un sport très populaire chez les jeunes blancs riches – une jeune stripteaseuse noire, étudiante dans une université publique voisine, avait été embauchée pour animer la soirée et avait fini, affirmait-elle , violée par des joueurs.
Trois étudiants de Duke avaient alors passé du temps en prison, leurs familles s’étaient ruinées en avocats, le coach avait finalement été viré par l’université, des manifs avaient secoué le campus. Bref, le pays entier était tombé à bras raccourcis sur Duke et sa culture machiste, jusqu’à ce que, un an plus tard, la justice atteste que la fille avait tout inventé.
En 2010, le nom de Duke refait surface dans la presse internationale lorsqu’une étudiante en biologie anthropologique diffuse sur le Net un rapport , sous forme de thèse académique, évaluant les performances de tous les types avec qui elle avait couché pendant ses quatre années d’université. Précision non-négligeable : la «  fuck list  » est abondamment illustrée…
La fille en entend de toutes les couleurs, condamnée par la foule étudiante largement dans les mêmes termes que ceux visant aujourd’hui l’étudiante actrice porno.
Ces deux histoires, pas si anciennes et ultra médiatisées, expliquent pourquoi, dans le premier article national consacré à la nouvelle affaire, le magazine Cosmopolitan peut écrire  :
Avant d’en venir au contenu des débats qui enflamment aujourd’hui le campus de Duke, voici un résumé de l’histoire.
La jeune femme est en première année de sociologie et d’études féminines. Pour son agence d’acteurs et le Hollywood du porno, elle est Belle Knox. Dans la vie normale, elle aurait voulu garder l’incognito. Mais, en janvier, un camarade d’étude regardant du porno sur Internet la reconnaît et la balance illico auprès des membres de sa fraternité. Un truc de campus américain, ces fraternités non mixtes aux noms de lettres grecques.
Elles ont forcément leurs propres réseaux sociaux, sur lesquels certains types se sont déchaînés contre la fille. Salope, pute, vicieuse, tout ça très sarcastique et égrillard. Ou alors moraliste.
Le 14 février, jour de la Saint-Valentin, le Chronicle, quotidien du campus sur papier et internet, publie un long article sur l’affaire qui n’en est alors qu’à ses prémices. Il est écrit avec la participation de la jeune fille de 18 ans. On l’y nomme « Lauren » (un faux nom) et « Aurora » (pas non plus son nom de scène).
« Lauren » se présente elle-même comme étant bisexuelle, politiquement à droite (républicaine), et féministe. Elle raconte qu’elle a beau avoir une bourse de Duke, elle a besoin de travailler à côté pour compléter. Elle a un temps bossé comme serveuse, a détesté être traitée comme une esclave pour un salaire minable, et s’est tournée vers le porno.
Pendant les vacances, elle va travailler à Los Angeles. Non seulement elle gagne beaucoup d’argent, mais elle adore ça, et elle revendique le droit d’aimer ce boulot et ce type de sexualité.
Au Chronicle, Lauren se plaint d’être à la fois victimisée et harcelée, non par l’industrie du porno, mais par les gens de Duke dans des forums sur Internet.
Après la parution de ce premier article dans le Chronicle, Lauren écrit elle-même une tribune sur le jeune site américain ultra-féministe XoJane. Elle y fait une mise au point :
Elle ne s’attendait pas, dit-elle, à être harcelée – et pas uniquement par des hommes – à cause de ses choix de vie. Elle attendait des gens de Duke qu’ils respectent sa vie privée. Elle ne reproche pas à ses camarades féministes de condamner le porno, non, elle leur reproche de condamner les travailleurs du sexe (comme elle) pour ce qu’ils acceptent de faire. Parce que, pour sa part, elle «  n’accepte  » rien du tout. Elle adore ça.
Elle le dit d’ailleurs net et clair au magazine Playboy dans un article tout récent où, cette fois, elle apparaît en photo. Le journaliste commence ainsi son papier  :
Puis il lui demande s’il existe des genres de pornographie plus respectueux des femmes que d’autres. Réponse de Belle Knox  :
Inutile de dire que les positions – intellectuelles – de la demoiselle ont tout pour déchaîner les passions dans une université où les filles, la plupart farouchement féministes, ont chacune des idées très personnelles sur la définition du mot. Petit florilège de leurs réflexions suite à la parution de l’article dans le « Chronicle » :
Mon fils m’a aussi signalé un « Appel aux hommes de Duke », signé par un professeur en psychiatrie et théologie morale et pastorale (oui, Duke abrite aussi une « Divinity School », comme nombre d’universités privées américaines, qui forme des pasteurs). Il commence ainsi :
Le malheureux prof a reçu une volée de bois vert des étudiants mâles, ulcérés par son ton paternaliste et pontifiant.
C’est là que je me suis crue autorisée à interroger mon fils, lequel m’avait dès le début tenue informée de l’ébullition qui régnait à Duke University  :
Dans cette avalanche d’articles et de littérature instantanée postée sur le web, j’ai trouvé deux excellentes réflexions. La première émane d’une étudiante, Ellie Schack, et s’intitule  : «  Pour la défense de Duke  » :
Et puis, au risque d’en faire hurler de rire certains, j’ai trouvé parfait l’article de Playboy cité plus haut. Le journaliste est le seul à avoir soulevé un détail qui a son importance dans le contexte américain  :
Dieu sait où ce genre d’affaire, a priori trash et vaguement people, peut mener les intellectuels  ! Dans son supplément de ce week-end, le New York Times a mis son grain de sel dans le débat en publiant une tribune écrite par une collègue de Belle Knox, « Performeuse de film pour adultes et auteure freelance  ».
Le texte abonde longuement dans le sens de la jeune fille de Duke, affirmant son droit à posséder plusieurs identités indépendantes les unes des autres, et sa déception de constater que c’est bien difficile de faire rentrer ça dans la tête des gens.

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« Bell Knox » finance ses études à Duke en tournant des films pornos. Elle assume, et c’est là toute l’affaire, qui montre combien « l’humiliation de salopes » est une tradition tenace sur les campus.
(De Caroline du Nord, USA) Et un scandale sexuel supplémentaire pour Duke University  ! Ça se passe à 30 km de chez moi, et j’ai un témoin sur place. J’ai hésité un mois avant de vous raconter l’histoire de cette étudiante devenue actrice porno pour payer sa scolarité. Du cul sur un campus américain : trop banal.
Mais l’affaire enflamme les médias, la fille passe sur CNN à une heure de grande écoute, je dois me lancer. Pas de gaité de cœur.
Le sujet est casse-gueule. Comme dit mon fils – lui-même étudiant dans cette université – «  il n’y a que des coups à prendre dans ce genre de discussion  ».
Par dessus le marché, le contexte des campus américains n’est pas évident à expliquer : les Français ne sont pas très familiers avec ce genre de fac, où les étudiants vivent ensemble 24 heures sur 24 pendant quatre ans. Les relations entre les sexes, les races et les classes sociales y sont plus complexes qu’il n’y paraît. Mais le sujet est intéressant, car pas abordé de la même manière qu’il le serait en France.
D’abord, un bref rappel de ce qui a forgé en quinze ans la réputation sexuelle de Duke.
Cette université privée du Sud – qualifiée «  d’élite  » comme on dit en France au sujet des «  grandes écoles  » – joue presque dans la même cour que les Harvard, Yale, Princeton et consorts.
Son recrutement académique est analogue, ses tarifs sont prohibitifs – 60 000 dollars par an, logement et nourriture inclus – mais comparables à ceux de centaines de petits collèges privés infiniment moins cotés, et Duke offre de très larges aides financières aux étudiants qui en ont besoin. Plus de la moitié de ses 6 500 étudiants de premier cycle reçoivent des bourses.
La fac est très respectable donc. A une affaire près. Certains s’en souviennent peut-être : en 2006, lors d’une fête organisée par l’équipe de Lacrosse – un sport très populaire chez les jeunes blancs riches – une jeune stripteaseuse noire, étudiante dans une université publique voisine, avait été embauchée pour animer la soirée et avait fini, affirmait-elle , violée par des joueurs.
Trois étudiants de Duke avaient alors passé du temps en prison, leurs familles s’étaient ruinées en avocats, le coach avait finalement été viré par l’université, des manifs avaient secoué le campus. Bref, le pays entier était tombé à bras raccourcis sur Duke et sa culture machiste, jusqu’à ce que, un an plus tard, la justice atteste que la fille avait tout inventé.
En 2010, le nom de Duke refait surface dans la presse internationale lorsqu’une étudiante en biologie anthropologique diffuse sur le Net un rapport , sous forme de thèse académique, évaluant les performances de tous les types avec qui elle avait couché pendant ses quatre années d’université. Précision non-négligeable : la «  fuck list  » est abondamment illustrée…
La fille en entend de toutes les couleurs, condamnée par la foule étudiante largement dans les mêmes termes que ceux visant aujourd’hui l’étudiante actrice porno.
Ces deux histoires, pas si anciennes et ultra médiatisées, expliquent pourquoi, dans le premier article national consacré à la nouvelle affaire, le magazine Cosmopolitan peut écrire  :
Avant d’en venir au contenu des débats qui enflamment aujourd’hui le campus de Duke, voici un résumé de l’histoire.
La jeune femme est en première année de sociologie et d’études féminines. Pour son agence d’acteurs et le Hollywood du porno, elle est Belle Knox. Dans la vie normale, elle aurait voulu garder l’incognito. Mais, en janvier, un camarade d’étude regardant du porno sur Internet la reconnaît et la balance illico auprès des membres de sa fraternité. Un truc de campus américain, ces fraternités non mixtes aux noms de lettres grecques.
Elles ont forcément leurs propres réseaux sociaux, sur lesquels certains types se sont déchaînés contre la fille. Salope, pute, vicieuse, tout ça très sarcastique et égrillard. Ou alors moraliste.
Le 14 février, jour de la Saint-Valentin, le Chronicle, quotidien du campus sur papier et internet, publie un long article sur l’affaire qui n’en est alors qu’à ses prémices. Il est écrit avec la participation de la jeune fille de 18 ans. On l’y nomme « Lauren » (un faux nom) et « Aurora » (pas non plus son nom de scène).
« Lauren » se présente elle-même comme étant bisexuelle, politiquement à droite (républicaine), et féministe. Elle raconte qu’elle a beau avoir une bourse de Duke, elle a besoin de travailler à côté pour compléter. Elle a un temps bossé comme serveuse, a détesté être traitée comme une esclave pour un salaire minable, et s’est tournée vers le porno.
Pendant les vacances, elle va travailler à Los Angeles. Non seulement elle gagne beaucoup d’argent, mais elle adore ça, et elle revendique le droit d’aimer ce boulot et ce type de sexualité.
Au Chronicle, Lauren se plaint d’être à la fois victimisée et harcelée, non par l’industrie du porno, mais par les gens de Duke dans des forums sur Internet.
Après la parution de ce premier article dans le Chronicle, Lauren écrit elle-même une tribune sur le jeune site américain ultra-féministe XoJane. Elle y fait une mise au point :
Elle ne s’attendait pas, dit-elle, à être harcelée – et pas uniquement par des hommes – à cause de ses choix de vie. Elle attendait des gens de Duke qu’ils respectent sa vie privée. Elle ne reproche pas à ses camarades féministes de condamner le porno, non, elle leur reproche de condamner les travailleurs du sexe (comme elle) pour ce qu’ils acceptent de faire. Parce que, pour sa part, elle «  n’accepte  » rien du tout. Elle adore ça.
Elle le dit d’ailleurs net et clair au magazine Playboy dans un article tout récent où, cette fois, elle apparaît en photo. Le journaliste commence ainsi son papier  :
Puis il lui demande s’il existe des genres de pornographie plus respectueux des femmes que d’autres. Réponse de Belle Knox  :
Inutile de dire que les positions – intellectuelles – de la demoiselle ont tout pour déchaîner les passions dans une université où les filles, la plupart farouchement féministes, ont chacune des idées très personnelles sur la définition du mot. Petit florilège de leurs réflexions suite à la parution de l’article dans le « Chronicle » :
Mon fils m’a aussi signalé un « Appel aux hommes de Duke », signé par un professeur en psychiatrie et théologie morale et pastorale (oui, Duke abrite aussi une « Divinity School », comme nombre d’universités privées américaines, qui forme des pasteurs). Il commence ainsi :
Le malheureux prof a reçu une volée de bois vert des étudiants mâles, ulcérés par son ton paternaliste et pontifiant.
C’est là que je me suis crue autorisée à interroger mon fils, lequel m’avait dès le début tenue informée de l’ébullition qui régnait à Duke University  :
Dans cette avalanche d’articles et de littérature instantanée postée sur le web, j’ai trouvé deux excellentes réflexions. La première émane d’une étudiante, Ellie Schack, et s’intitule  : «  Pour la défense de Duke  » :
Et puis, au risque d’en faire hurler de rire certains, j’ai trouvé parfait l’article de Playboy cité plus haut. Le journaliste est le seul à avoir soulevé un détail qui a son importance dans le contexte américain  :
Dieu sait où ce genre d’affaire, a priori trash et vaguement people, peut mener les intellectuels  ! Dans son supplément de ce week-end, le New York Times a mis son grain de sel dans le débat en publiant une tribune écrite par une collègue de Belle Knox, « Performeuse de film pour adultes et auteure freelance  ».
Le texte abonde longuement dans le sens de la jeune fille de Duke, affirmant son droit à posséder plusieurs identités indépendantes les unes des autres, et sa déception de constater que c’est bien difficile de faire rentrer ça dans la tête des gens.


À poil ! Ces études où vous devrez vous déshabiller


Esthetique, kinesitherapie... Dans certaines filieres, vous n'aurez pas le choix : au moment de passer de la theorie a la pratique, il faudra vous mettre a nu (ou tout du moins en sous-vetements) devant votre promo. Si les premieres fois peuvent se reveler genantes, le temps dissipe peu a peu les malaises. Temoignages d'etudiants passes par la.
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Moiteur tropicale dans la salle de TP de l’ IFMK (Institut de formation en masso-kinésithérapie) de Rouen . « Il vaut mieux qu’il fasse chaud : on est tout le temps à poil ! », lance Marie, une K1 (étudiante en première année). Le cours de morpho-palpation du jour porte sur la cheville et le pied. Onze étudiants – huit filles et trois garçons, une proportion représentative de la promotion – ont pris possession d’une salle remplie de tables de pratique recouvertes d’alèses blanches. Les garçons sont en boxer, les filles en culotte ou en minishort. Pieds nus ou en chaussettes, ils regardent la démonstration de leur professeur sur leur camarade Chloé. Puis c’est à leur tour de manipuler, en binôme.
À moitié nus, les étudiants n’ont pourtant pas l’air mal à l’aise. « En début d’année, c’est un peu plus la panique. Certains essaient de se cacher… » , admet Sylvie Mareuil, cadre formateur à l’IFMK. « On ne les brusque pas. Ce ne sont pas les étudiants que l’on va chercher en premier pour les démonstrations », assure Valérie Martel, référente des K1 et cadre formateur. « Mais avant d’entamer ces études, il faut savoir à quoi s’attendre : toucher, être touché, se déshabiller. Il faut être prêt à soigner ensuite un corps malade, âgé », avertit toutefois Sylvie Mareuil.
Un mois après le début de la rentrée, l’évolution des mentalités est déjà… palpable. « Nous sommes des professionnels de santé qui massent des corps humains. On n’a pas de jugement de valeur à avoir sur les autres » , confirment Chloé et Marie, 20 ans. Dans le groupe, beaucoup se souviennent néanmoins de leur « première fois ». « En TP de palpation, on a commencé par le sacrum
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Sheena Shaw prend par le cul
Étreinte passionée

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