Des soldats hommes et femmes
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Des soldats hommes et femmes
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La chaîne des urgences ; hôpital, médecins, SAMU, vétérinaire, pompiers, etc. Dans la pratique, il existe tout un réseau mis en œuvre pour parer aux urgences.
Dans nos reportages, voulez aller rentrer dans le quotidien de ces hommes et femmes courageux dévoués à leurs métiers.
Coup d'envoi - Pompiers au coeur du danger
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Pompiers de Paris, au coeur de la plus grande caserne d'Europe von Urgences 325.921 Aufrufe
Avalanches et skieurs fous : danger sur les pistes von Urgences 131.197 Aufrufe
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Y a-t-il une différence entre les soldats hommes et femmes sur le terrain (en terme d'équipements)?
L'auteur a 2,2 k réponses et 2,9 M vues de réponse · 1 an
Développeur web & graphiste chez Autoentrepreneur ( 2013 – aujourd'hui ) · L'auteur a 891 réponses et 2,4 M vues de réponse · Traducteur · 2 ans
Dompteur de cavalier king charles chez Safari Tour Kenya · L'auteur a 3,6 k réponses et 7,1 M vues de réponse · Traducteur · Mis à jour le 3 ans
Y a-t-il réellement une différence de niveau entre le football masculin et le féminin ?
Pourquoi certains militaires ou vétérans font du mal aux femmes ? Qu’ont-ils vécuent de si horrible pour s’en prendre aux femmes ?
Les soldats se demandent-ils parfois pourquoi ils se battent ?
Y a-t-il une réelle différence de salaire entre hommes et femmes ?
Pourquoi trop de femmes ne serait pas une bonne chose pour l'armée française ?
Y a-t-il encore des épéistes dans les armées ?
Pourquoi n'existe-t-il aucune unité d'élite comme le GIGN uniquement composée de femmes ?
Pourquoi y a-t-il tant de différences entre les hommes et les femmes, dans notre société, alors que nous sommes semblables (un homme contre le sexisme) ?
Le fait qu'il y ait peu de femmes dans l'armée ne montre-il pas que les hommes ont une intelligence militaire plus développée que les femmes ?
Quelle métaphore représente le plus les différences entre les hommes et les femmes ?
Le feminisme de la deuxieme vague, a-t-il change le rapport entre les hommes et les femmes ?
Pensez vous qu'il y a réellement une différence significative de salaire entre homme et femme en France ?
Y a-t-il une différence entre la version américaine et européenne des iPhone ?
Comment les femmes soldats sont-elles traitées quand elles sont capturées comme prisonnières de guerre ? Qu'est-ce qui leur arrive ?
Pourquoi les militaires font la marche ?
Y a-t-il réellement une différence de niveau entre le football masculin et le féminin ?
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Les soldats se demandent-ils parfois pourquoi ils se battent ?
Y a-t-il une réelle différence de salaire entre hommes et femmes ?
Pourquoi trop de femmes ne serait pas une bonne chose pour l'armée française ?
Y a-t-il encore des épéistes dans les armées ?
Pourquoi n'existe-t-il aucune unité d'élite comme le GIGN uniquement composée de femmes ?
Pourquoi y a-t-il tant de différences entre les hommes et les femmes, dans notre société, alors que nous sommes semblables (un homme contre le sexisme) ?
Le fait qu'il y ait peu de femmes dans l'armée ne montre-il pas que les hommes ont une intelligence militaire plus développée que les femmes ?
Quelle métaphore représente le plus les différences entre les hommes et les femmes ?
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Il y a des demandes a ce niveau (l'équipement etant surtout adapté aux hommes pa).
Mais il faut garder en tête que les femmes envoyée sur le terrains sont généralement peu nombreuses.
En plus de la tradition millitaire très masculine, le fait est que la majorité des candidates galèrent a remplir les conditions physique demandée aux candidats.
Pour faciliter leur entrée, un tas de critère ont alors été vu a la baisse.
Ce qui a permis des armée plus "mixte". Mais les pays restent bien sur conscient de la difference de niveau. Et une unité féminine envoyée sur le terrain souffre d'un risque beaucoup plus elevé.
Du coup l'autorisation d'envoyer des femmes sur le terrain, qui ne concerne que 19 pays, est surtout théorique. La plupart de ces autorisations etant délivrée par des pays d'Europe envoyant rarement des troupes au front. Sauf pour la France et les US, mais l'envoi de ces "soldates" reste relativement rare, trop rare pour que la question d'un équipement spécialisé soit vraiment abordée.
L'autre type de pays utilisant des unités féminine sont les pays contraint d'utiliser ce qui est a leur disposition. Kurdistan, syrie, Pakistan. Des pays généralement peu riches, utilisant des armée un peu bricolée, pas le genre a passer commande pour un équipement féminin.
Le seul pays qui aurait a la limite les moyens et l'intêrêt de s'interesser a cette question est israel, dont l'armée compte beaucoup de femmes, bénéficie d'un budget important, ainsi que d'une grande importance.
Mais la encore, les femmes sont surtout utilisée dans des roles a l'arrière, ou dans le soutiens. Des positions qui ne reçoivent que peu d'attention vis a vis de leur "equipement de terrain"
Il existe de nombreuses façons de trahir votre position par inadvertance:
Il existe de nombreuses façons de trahir votre position par inadvertance:
Pendant la guerre de Bosnie, j’ai vu une fois un soldat assis tout seul dans le couloir de la cantine. Il ne parlait à personne, ne touchait pas à son assiette, et j’ai même remarqué qu’il lui manquait une oreille. Plus tard, un de mes camarades m’a raconté son histoire :
Ce soldat croate combattait dans une forêt dense, quand une balle l’a atteint à la jambe. Isolé de son unité, il a été capturé par l’ennemi. Bien que déjà blessé et en sang, il a été passé à tabac. Puis ils l’ont traîné dans la ville la plus proche où un rassemblement de civils l’attendait de pied ferme. Ils voulaient le brûle
Pendant la guerre de Bosnie, j’ai vu une fois un soldat assis tout seul dans le couloir de la cantine. Il ne parlait à personne, ne touchait pas à son assiette, et j’ai même remarqué qu’il lui manquait une oreille. Plus tard, un de mes camarades m’a raconté son histoire :
Ce soldat croate combattait dans une forêt dense, quand une balle l’a atteint à la jambe. Isolé de son unité, il a été capturé par l’ennemi. Bien que déjà blessé et en sang, il a été passé à tabac. Puis ils l’ont traîné dans la ville la plus proche où un rassemblement de civils l’attendait de pied ferme. Ils voulaient le brûler vif et au moment où le feu était parti et qu’ils s’apprêtaient à le précipiter dedans, la police militaire est intervenue et lui a sauvé la vie.
Il a alors été chargé à l’arrière d’un camion et transporté à Banja Luka, qui était la capitale des Serbes de Bosnie. Pendant le trajet, d’autres prisonniers de guerre ont été chargés, et à chaque arrêt, ils avaient droit aux coups de crosses et de barres de fer. Quand le camion est arrivé à destination, la moitié des prisonniers étaient morts.
Des prisonniers de guerre Bosniaques à Banja Luka
Les soldats prisonniers ont été transférés dans une prison militaire où les passages à tabac ont continué. Les Serbes ont cru à tort que notre homme était un Commandant de Brigade, alors il a été interrogé et frappé encore un peu plus. Ils ont fini par se rendre compte que ce n’était pas la grosse prise qu’ils espéraient et il a été traité un peu mieux, mais il était tabassé au moins une fois par jour.
Les Croates ont négocié sa remise en liberté au bout de plusieurs mois et, après avoir payé quelque 30.000 dollars de “frais d’avocats” ils ont obtenu sa libération. Malgré sa grande taille et son passé de boxeur, il pesait 45 kilos, avait perdu une oreille et toutes ses dents.
Plus tard, j’ai rencontré d’autres types qui avaient été faits prisonniers de guerre. L’un d’eux se lavait les mains toutes les 5 minutes et prenait 5 douches par jour. Pendant toute sa captivité, il n’avait pas eu la possibilité de se laver une seule fois et passait maintenant son temps à sur-compenser.
Vers la fin de la guerre, je me suis retrouvé dans un camp de prisonniers au centre de la Bosnie, non pas comme prisonnier de guerre, mais suspecté d’espionnage, ce qui n’était vraiment pas mieux. Heureusement pour moi, j’ai été libéré au bout d’un mois et demi, mais cela a été quand-même une expérience douloureuse.
J’ai reçu une formation de SERE (survie, exfiltration, résistance, évasion) pendant ma période de formation de parachutiste dans l’armée allemande. M’appuyant sur cette formation et sur ce que j’ai pu observer en Bosnie et plus tard au Kosovo, voici quelques recommandations sur la conduite à tenir si vous êtes capturé.
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Cahiers du Genre Numéro 2006/1 (n° 40) Hommes en armes et femmes « de...
Hommes en armes et femmes « de service » : tendances néolibérales dans l'évolution de la division sexuelle et internationale du travail [1]
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Jules Falquet
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Cahiers du Genre
2006/1 (n° 40) , pages 15 à 37
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Ces guerres cachent, derrière un discours de démocratie, l’appui militaire au néolibéralisme […]. Elles sont l’expression maximale de la violence impérialiste et patriarcale.
Pas moins de 2 000 femmes y ont été réduites en esclavage sexuel […]. La police de l’ onu au Kosovo a dressé une liste des lieux d’activité. De 18 en 1999, ils sont passés à 200 cette année. Un trafic tout aussi important avait commencé en Serbie, la province voisine, avec l’arrivée en 1995 des forces de maintien de la paix. […] Seule la présence de nombreux étrangers ayant de bons revenus peut expliquer cette explosion du commerce sexuel dans ce pays. […] Il y a lieu de croire que le trafic s’est développé avec l’accord sinon avec la participation de l’ otan.
Les gouvernements successifs du pays ont adopté une position cherchant à favoriser et à amplifier le mouvement de migration de nationaux à l’étranger, notamment à travers le Labor Export Policy ( lep ), qui s’inscrit dans les programmes d’ajustement structurel ( pas ) du fmi qui en fait une condition pour que le pays puisse bénéficier d’emprunts. La lep et les pas s’intègrent dans les politiques néolibérales de mondialisation.
Cet article est issu de la communication présentée lors du Colloque « Feminism contesting globalisation », réalisé à l’Université de Dublin du 8 au 10 juillet 2004 pour la 17 e Conférence annuelle de la Women’s Studies Association (Royaume-Uni et Irlande).
Faute de place pour développer, nous condenserons ici sous le terme de « racisme » des effets à la fois du colonialisme passé et présent, du nationalisme et de la « couleur ».
Voir, par exemple, Enloe (2000), Tabet (2004) et Pheterson (2001).
Comme l’a souligné notamment Chandra Mohanty (2003), ces notions de Sud, Est ou Nord sont extrêmement imparfaites et dissimulent à la fois la diversité des Suds, la présence de Nord dans le Sud et de Sud dans le Nord, et enfin le fait que certains pays ne sont pas situés géographiquement dans la région où cette typologie les place.
Femmes et hommes constituent, dans la perspective matérialiste, des classes de sexe et non des groupes biologiques (Guillaumin 1992 ; Wittig 2001). Comme pour les autres classes constituées par des rapports de production, plus que des « différences », il existe des contradictions au sein même de ces classes, en particulier selon les effets des systèmes racistes et classistes, et aussi selon les aspirations politiques des diverses organisations dont se dotent les membres de ces classes.
Voir le site Internet de Creatividad feminista, du groupe cicam à Mexico : www.creatividadfeminista.org
C’est ainsi qu’à l’occasion de la Première rencontre contre le néolibéralisme et pour l’humanité, convoquée par le mouvement zapatiste, au Chiapas, en 1996, s’est formé un « Réseau de femmes, féministes et lesbiennes contre le patriarcat dans sa phase néolibérale ».
Nous ne souhaitons pas ici entrer dans la polémique sur « la prostitution, travail ou violence ? » Dans l’immense majorité des cas, la prostitution constitue pour les femmes et les enfants une violence patriarcale imposée, au mieux « acceptée » en dernier recours par manque d’alternatives réelles, comme le souligne très bien Paola Tabet (2004). Cependant, aucune femme ne peut être réduite à un statut de pure victime aliénée. Certaines peuvent « choisir » dans la logique patriarcale la prostitution comme une manière de gagner leur vie, comme d’autres épousent un homme, pour reprendre l’idée du continuum développé par Paola Tabet ( id. ). En tout état de cause, l’activité dans le domaine du sexe constitue le moyen de subsistance de beaucoup de femmes dans le monde : en ce sens, nous parlerons de « travail du sexe » et nous l’analyserons comme une activité économique. Nous parlerons plus précisément ici du travail réalisé par des personnes de sexe féminin au profit de clients masculins. Nous laisserons volontairement de côté la question des personnes transsexuelles et des hommes qui « travaillent » dans ce domaine (ces personnes pourraient-elles appartenir à la classe des femmes ?) ainsi que la question des femmes « clientes » (prostitution ou pornographie hétérosexuelle ou lesbienne) car ces dernières sont numériquement extrêmement marginales par rapport aux clients masculins.
On trouvait 270 317 gardien(ne)s de prison aux États-Unis en 2000, il y en a 476 000 en 2002… (Klein 2004).
On notera par ailleurs que si, aux États-Unis et dans les pays réputés les plus « égalitaires » sur le plan des rapports sociaux de sexe, ce « salut par les armes » concerne un certain nombre de femmes, il demeure surtout très majoritairement une alternative pour des hommes. Dans la plupart des autres pays, les femmes sont globalement écartées de cette possibilité, bien qu’on observe toujours des exceptions. Cela pose la question du sexe social, ou appartenance de classe de sexe des femmes soldates, bandites ou guérillères, de même que se pose la question pour les hommes prostitués ou travailleurs domestiques. On notera toutefois que les femmes soldates ne sont jamais des hommes comme les autres, dans la mesure où elles sont beaucoup plus exposées que leur homologues masculins à la violence sexuelle : Task Force us Army (2004).
Sur le « féminisme impérial » comme justification de l’impérialisme nord-américain et occidental, on verra notamment Einsenstein (2004).
Sur le développement du travail domestique, nous renvoyons aux nombreux travaux qui
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