Des soeurs montrent leurs formes

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Des soeurs montrent leurs formes
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Une collation avait Ă©tĂ© proposĂ©e, aprĂšs la cĂ©rĂ©monie, aux personnes venues assister Ă  un enterrement, dans le nord-est de l’Allemagne. Elles ont mangĂ© sans le savoir un « space cake », un gĂąteau contenant du cannabis.
Un livre paru rĂ©cemment en Afrique du Sud retrace leur histoire. Ces deux adolescentes ne s’étaient jamais vues avant de se rencontrer au lycĂ©e. FrappĂ©es par leur extrĂȘme ressemblance physique, elles feront Ă©clater la vĂ©ritĂ© sur une histoire familiale trouble.
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Ce sont des obsĂšques qui ont pris une drĂŽle de tournure. Les faits remontent au mois d’aoĂ»t 2019 et ont eu lieu Ă  Wiethagen, prĂšs de Rostock, dans le nord-est de l’Allemagne. AprĂšs la cĂ©rĂ©monie, les personnes prĂ©sentes Ă  l’enterrement ont Ă©tĂ© invitĂ©es Ă  venir boire un cafĂ© et manger un bout de gĂąteau, dans un restaurant Ă  proximitĂ©.
Mais aprĂšs cette collation, 13 personnes, dont la veuve, ont Ă©tĂ© prises de vertiges et de nausĂ©es, rapporte l’agence Associated Press. Toutes ont dĂ» suivre un traitement mĂ©dical, et l’une d’elles aurait mĂȘme Ă©tĂ© transportĂ©e en ambulance Ă  l’hĂŽpital, indique la Deutsche Welle sur son site.
Une plainte a Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e et, aprĂšs enquĂȘte, la police en a conclu que le gĂąteau servi aux personnes endeuillĂ©es Ă©tait en fait un « space cake », c’est-Ă -dire un gĂąteau contenant du cannabis.
La pĂątisserie avait Ă©tĂ© apportĂ©e par une employĂ©e du restaurant. Cette derniĂšre avait demandĂ© Ă  sa fille de 18 ans de prĂ©parer plusieurs gĂąteaux, en prĂ©vision de cette collation aprĂšs l’enterrement. Seulement l’adolescente en a profitĂ© pour prĂ©parer aussi un « space cake », destinĂ© Ă  sa consommation personnelle, qu’elle a disposĂ© Ă  cĂŽtĂ© des autres
 RĂ©sultat : sa mĂšre a emportĂ© sans le savoir ce gĂąteau trĂšs spĂ©cial avec les autres au restaurant !
La jeune femme est dĂ©sormais sous le coup d’une enquĂȘte pour nĂ©gligence et dommages corporels, rapporte la Deutsche Welle . On lui reproche aussi d’avoir perturbĂ© des obsĂšques et d’ĂȘtre en infraction avec la loi allemande sur les stupĂ©fiants.
L’incident a Ă©tĂ© dĂ©voilĂ© par les autoritĂ©s de la ville de Rostock cette semaine seulement, par respect pour les personnes endeuillĂ©es.
Lorsqu’elles se sont rencontrĂ©es, en janvier 2015, au lycĂ©e, elles ont senti une connexion instantanĂ©e. MichĂ© Solomon et Cassidy Nurse ne s’étaient jamais vues et, pourtant, c’est comme si ces deux adolescentes sud-africaines se connaissaient dĂ©jĂ .
« C ’ Ă©tait vraiment effrayant, je ne comprenais pas pourquoi je me sentais comme ça » , racontera plus tard MichĂ© Solomon, dont la BBC a retracĂ© l’histoire dans un article, le 28 octobre 2019, aprĂšs la parution en Afrique du Sud d’un livre intitulĂ© Zephany : Two Mothers, One Daughter .
Quelque temps plus tÎt, leurs camarades de lycée au Cap, en Afrique du Sud, les avaient déjà prévenues de leur ressemblance, vraiment frappante.
Les deux lycéennes se rapprochent et deviennent amies, malgré les trois années qui les séparent. Un jour, elles prennent un selfie ensemble, et le montrent à leurs amis.
À nouveau, la ressemblance est si Ă©vidente qu’elle provoque un trouble. MĂȘme forme de nez, de bouche, mĂȘme regard
 Le clichĂ© pourrait presque laisser croire Ă  des jumelles. C’est lĂ  que, pour la premiĂšre fois, le doute s’installe : se pourrait-il que l’une des jeunes filles ait Ă©tĂ© adoptĂ©e ? s’interrogent leurs camarades.
Les adolescentes refusent d’envisager cette hypothĂšse. Mais, le soir, elles dĂ©cident tout de mĂȘme de montrer la photo Ă  leurs parents. Ceux de Cassidy l’observent avec insistance. Ils chargent leur fille de poser la question suivante Ă  sa nouvelle amie Miché : « Es-tu nĂ©e le 30 avril 1997 ? » La rĂ©ponse est oui.
Elles ne le savaient pas encore, mais leurs vies s’apprĂȘtaient Ă  ĂȘtre bouleversĂ©es. Quelques semaines plus tard, MichĂ© Solomon est convoquĂ©e par son proviseur. Dans son bureau se trouvent deux travailleurs sociaux. Ils lui racontent l’histoire de Zephany Nurse. Ce bĂ©bĂ©, une petite fille, est nĂ© dix-sept annĂ©es plus tĂŽt. C’était le premier enfant des parents de Cassidy. Mais la petite Zephany a Ă©tĂ© enlevĂ©e Ă  la maternitĂ© alors qu’elle n’avait que trois jours. Elle n’a jamais Ă©tĂ© retrouvĂ©e.
Le puzzle commence alors Ă  se remettre en place. MichĂ© Solomon assure que son certificat de naissance indique qu’elle est nĂ©e dans un autre hĂŽpital, situĂ© Ă  plusieurs kilomĂštres de celui oĂč le bĂ©bĂ© a Ă©tĂ© volĂ©. Sauf qu’il n’existe aucune trace de sa naissance Ă  l’état civil.
La jeune fille refuse toujours d’y croire. Mais accepte de faire un test ADN. « La mĂšre qui m’a Ă©levĂ©e, j’avais tellement confiance en elle. Je me disais qu’elle ne me mentirait jamais, surtout sur qui je suis et d ’ oĂč je viens. J ’ Ă©tais certaine que le test ADN serait nĂ©gatif » , raconte-t-elle Ă  la BBC.
Les rĂ©sultats ne laissent pas de place au doute. MichĂ© Solomon et Zephany Nurse, le nourrisson enlevĂ© en 1997, sont bien la mĂȘme personne. S’ensuivront une sĂ©rie de bouleversements pour la jeune fille.
La femme qu’elle pensait ĂȘtre sa mĂšre est arrĂȘtĂ©e. Son mari est interrogĂ©, mais il assure qu’il n’était pas au courant de l’affaire. Les policiers dĂ©cident de le relĂącher. Pour eux, l’hypothĂšse la plus probable est que la fausse mĂšre de MichĂ© Solomon Ă©tait bien enceinte Ă  l’époque, mais a fait une fausse couche. C’est lĂ  qu’elle aurait volĂ© le bĂ©bĂ© de la famille Nurse, avant de le ramener chez elle.
PlacĂ©e en garde Ă  vue, cette femme a Ă©tĂ© jugĂ©e en aoĂ»t 2015 devant la haute cour du Cap. Lors du procĂšs, elle a assurĂ© qu’une femme lui aurait proposĂ© de prendre ce bĂ©bĂ©, abandonnĂ© par une jeune fille qui ne souhaitait pas le garder. Mais l’existence de cette autre femme n’a jamais pu ĂȘtre prouvĂ©e. Celle qui a Ă©levĂ© pendant 17 ans MichĂ© Solomon comme sa fille a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă  dix ans de dĂ©tention.
La cour de justice de Pretoria a autorisĂ© MichĂ© Solomon Ă  conserver ce nom. La jeune femme explique avoir eu du mal Ă  nouer des liens avec sa famille biologique, les Nurse. Elle avait l’impression qu’ils lui avaient enlevĂ© sa mĂšre. Elle va rĂ©guliĂšrement rendre visite Ă  celle-ci en prison.

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Si elle est dĂ©sormais mariĂ©e et a une petite fille, cette femme qui a pris la dĂ©cision de se livrer ne parvient toujours pas Ă  faire le deuil des abus dont elle a souffert en Ă©tant plus jeune. Et pour cause, le traumatisme inhĂ©rent aux violences sexuelles perpĂ©trĂ©es sur des enfants peut s’étendre jusqu’à l’ñge adulte et avoir un impact profond sur leur vie. Elle raconte d’ailleurs que cette expĂ©rience la hante encore et qu’elle ne parvient pas Ă  trouver de solution pour surmonter cette Ă©preuve. 
Tout a commencĂ© quand la femme avait 9 ans et qu’elle s’est retrouvĂ©e seule Ă  la maison avec son cousin. Ce dernier Ă©tait de plusieurs annĂ©es son aĂźnĂ© et s’apprĂȘtait Ă  passer ses examens pour entrer en Ă©cole de mĂ©decine. Lorsqu’il l’a invitĂ©e dans sa chambre pour jouer, elle raconte qu’elle ne se doutait de rien puisqu’ elle le considĂ©rait comme son grand frĂšre . Mais une fois prĂšs de lui, la situation a virĂ© au drame. 
En effet, il aurait commencĂ© par lui montrer ses livres de biologie oĂč figuraient des animaux. L’une des images montrait deux cafards qui copulaient. AprĂšs lui avoir demandĂ© ce que cela signifiait, ce dernier a commencĂ© Ă  lui expliquer mais elle s’est tout de suite sentie si mal Ă  l’aise qu’elle a eu envie de quitter la piĂšce.
C’est lĂ  qu’il aurait aussitĂŽt glissĂ© sa main sous sa jupe en lui disant qu’il allait lui expliquer comment les ĂȘtres humains faisaient des bĂ©bĂ©s . Par la suite, il aurait Ă©galement touchĂ© ses parties gĂ©nitales. La petite fille a criĂ© de douleur et lui a demandĂ© de la laisser partir. Quand il l’a finalement lĂąchĂ©e, elle s’est prĂ©cipitĂ©e dans sa chambre et a passĂ© la nuit Ă  sangloter. Une situation atroce mais qui n’est malheureusement pas isolĂ©e, comme le dĂ©montre le cas de ces frĂšres qui ont violĂ© leur petite sƓur de 12 ans.
Si elle pensait rĂ©ussir Ă  l’éviter, ce n’était pas le cas. A chaque fois qu’ils se retrouvaient seuls, l’homme dĂ©grafait son pantalon, la poussait Ă  effleurer ses parties gĂ©nitales et parfois mĂȘme, Ă  les toucher. Il l’effrayait en lui disant que c’était de sa faute et qu ’il abusait d’elle parce que c’est une « mauvaise fille ». Le calvaire ne s’arrĂȘtera que lorsqu’il quitte dĂ©finitivement la maison pour poursuivre ses Ă©tudes. Mais l’impact sur sa victime reste profond.
D’habitude enjouĂ©e, la petite fille est devenue plus timide et s’isolait dĂšs qu’elle le pouvait. Quant Ă  ses parents, ils n’avaient aucune idĂ©e de ce qu’elle avait subi. Il existe d’ailleurs plusieurs signes rĂ©vĂ©lateurs qu’une personne a Ă©tĂ© victime d’abus sexuel dans son enfance. Aujourd’hui, la fille est devenue maman et Ă©prouve une haine farouche envers celui qui a compromis son innocence. Elle n’a toujours pas partagĂ© son histoire avec son entourage et dĂ©clare que ces pĂ©ripĂ©ties hantent chaque jour son esprit. En revanche, elle ne voit aucun regret inscrit sur le visage de son cousin. 
Comme le dĂ©montre ce rĂ©cit, l’enfant victime d’abus sexuel a de fortes chances de perdre l’attrait et la satisfaction des relations avec les jeunes de son Ăąge . Radicalement changĂ©, il peut mĂȘme les trouver fades et sans intĂ©rĂȘt comme le souligne la pĂ©dopsychiatre Catherine Jousselme .
Ils peuvent se recroqueviller sur eux-mĂȘmes, devenir trop « sĂ©rieux », ne se sentant pas en phase avec les autres ou encore, particuliĂšrement « dĂ©primĂ©s ». L’insouciance et l’innocence qui caractĂ©risent cette pĂ©riode seront alors engloutis par une maturitĂ© prĂ©coce . D’ailleurs, ils dĂ©clarent souvent que c’est leur bourreau qui a gĂąchĂ© leur enfance.
Les rĂ©percussions peuvent ĂȘtre telles que leur scolaritĂ© en pĂątit. Mais cela peut aussi avoir un effet paradoxal chez certains enfants qui, pour ne pas sombrer dans de douloureux questionnements, vont fournir un maximum d’efforts sur leurs apprentissages. Ainsi, ils pourront attĂ©nuer leur culpabilitĂ© et leur honte en Ă©tant acclamĂ©s par des adultes. Plusieurs d’entre eux peuvent mĂȘme dĂ©velopper une sorte d’ “alter-ego” en devenant des enfants exemplaires qui font toujours ce que l’on attend d’eux, sans savoir rĂ©ellement ce qui construit leur identitĂ©. Dans les cas les plus graves, cela peut entraĂźner des consĂ©quences dĂ©vastatrices et pousser la victime Ă  mettre fin Ă  ses jours . 
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D’habitude enjouĂ©e, la petite fille est devenue plus timide et s’isolait dĂšs qu’elle le pouvait. Quant Ă  ses parents, ils n’avaient aucune idĂ©e de ce qu’elle avait subi. Il existe d’ailleurs plusieurs signes rĂ©vĂ©lateurs qu’une personne a Ă©tĂ© victime d’abus sexuel dans son enfance. Aujourd’hui, la fille est devenue maman et Ă©prouve une haine farouche envers celui qui a compromis son innocence. Elle n’a toujours pas partagĂ© son histoire avec son entourage et dĂ©clare que ces pĂ©ripĂ©ties hantent chaque jour son esprit. En revanche, elle ne voit aucun regret inscrit sur le visage de son cousin. 
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