Des séductions anales

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Des séductions anales

Replongeons-nous dans les huit scènes les plus érotiques de l’histoire du cinéma.
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Alors qu’à Hollywood, les scènes de sexe sont généralement considérées comme un rite de passage, la réalité est beaucoup plus complexe qu’il n’y paraît. « C’est une expérience vraiment très étrange à vivre » , a raconté Kate Winslet en 2011, avouant qu’elle détestait cela. « En tant qu’acteurs, c’est le grand sujet de conversation. Vous pouvez être littéralement entortillé dans des draps et, à un moment, vous vous tournez vers votre partenaire pour dire : «Bordel, mais qu’est-ce qu’on fait là ?»
L'adaptation totalement inédite de Normal People, le roman de Sally Rooney , réalisée par Lenny Abrahamson et Hettie Macdonald , a offert ces dernières semaines quelques éclaircissements sur le tournage des scènes érotiques – pas seulement sur la représentation à l’écran des premiers rapports sexuels consentis, mais aussi pour sensibiliser le public sur le rôle important joué par Ita O’Brien , «intimacy coordinator» pour Hulu/BBC Three Series, chargée de veiller à tout moment au confort des acteurs Daisy Edgar-Jones et Paul Mescal .
Pourtant, il n’en va pas toujours ainsi des scènes d’amour au cinéma. Si l’embarras et le malaise que suscite le fait d’être nu (ou presque) auprès d’un partenaire devant toute une équipe de tournage ne sont pas perceptibles au montage final, certaines stars se sont exprimées très franchement sur le sujet, expliquant en coulisses qu’elles s’étaient senties dégradées, voire déprimées. « Je savais que les scènes érotiques seraient gênantes, mais en fait tout s’est déroulé à merveille » , explique quant à elle l’actrice et réalisatrice Greta Gerwig à propos du film Greenberg (2010), dans lequel elle a joué aux côtés de Ben Stiller , sous la direction de son compagnon Noah Baumbach .
Dans le cinéma actuel, la nudité totale peut aussi être prétexte au rejet des vieux clichés hollywoodiens, comme l’a expliqué Viola Davis dans une interview à Variety à propos des scènes de sexe dans la série Murder : « J’y ai vu non seulement l’opportunité de faire du bon boulot, mais surtout celle pour une actrice de 50 ans à la peau noire d’incarner un personnage non pas sexy, mais sexualisé.»
Voici donc, pour Vogue, notre sélection des huit scènes érotiques les plus marquantes de l’histoire du cinéma.
Le réalisateur italien Luca Guadagnino apparaît deux fois dans notre liste, tout d’abord pour le sublime Amore (2009), avec Tilda Swinton dans le rôle de l’impressionnante et chicissime Emma Recchi . Tourné à Milan et dans la campagne environnante, Guadagnino livre ici l’un des plus beaux hommages modernes au cinéma typiquement italien (les costumes sont de Jil Sander et de Fendi ), à la nourriture et au sexe.
Lors de sa sortie il y a près de vingt ans, cette romance atypique réalisée par Steven Shainberg avait quelque peu bousculé la notion de love-story chère à Hollywood. Aujourd’hui encore, cette histoire d’amour sadomasochiste, interprétée par Maggie Gyllenhaal et James Spader , reste une digression visuelle avant-gardiste, insolite et troublante.
Les chassés-croisés et le jeu de séduction langoureux auxquels se livrent Cary Grant et Eva Marie Saint dans La Mort aux trousses, le mythique thriller d’ Alfred Hitchcock , seraient aujourd’hui propres à déclencher des picotements chez les adeptes de la technique de relaxation ASMR. A moins que vous ne soyez depuis longtemps déjà sous le charme de la palette sensuelle et onirique de cette œuvre.
En ce début de millénaire, le road-trip d’ Alfonso Cuarón , avec les acteurs mexicains Diego Luna et Gael García Bernal aux côtés de l’Espagnole Maribel Verdú , était rapidement devenu culte. C’est une histoire qui aborde l’épreuve du temps, sur fond de rêverie libertaire et fougueuse autant que d’émancipation sexuelle.
Souvent parodié, le couple torride formé par Faye Dunaway et Steve McQueen dans le blockbuster L’Affaire Thomas Crown (1968) reste l’emblème cinématographique de l’érotisme le plus sous-jacent. Avec un dialogue minimaliste et zéro nudité, la scène de la partie d’échecs («Une partie ?» demande McQueen , auquel Faye Dunaway répond «Je suis prête…») est devenue à elle seule le symbole d’un storytelling empreint de volupté sans qu’il soit besoin d’ôter le moindre vêtement.
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Aucune liste recensant les scènes charnelles à l’écran ne serait complète sans citer Elio et Oliver (incarnés par Timothée Chalamet et Armie Hammer ). La magnifique adaptation de Luca Guadagnino du roman d’ André Aciman paru en 2007 témoigne de l’essence même de la sensualité. Et la beauté des paysages de Lombardie y est le décor idéal pour illustrer l’enivrement suscité par les tout premiers émois amoureux.
Avec Love, Gaspar Noé n’y est pas allé de main morte dans sa représentation explicite du sexe ni sa conception de la tromperie, de l’hédonisme, sans oublier la monotonie du quotidien. Comme pour son très controversé Irréversible en 2003, le cinéaste ne manque jamais de déclencher de houleux débats, avec en l’occurrence la révélation que la plupart des scènes de sexe du film étaient bel et bien réelles.
Pour nombre de spectateurs, la scène centrale du film, d’une durée de six minutes – la représentation crue du désir adolescent entre les actrices Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos – est considérée comme une révolution. Pourtant, en coulisses, elle a donné lieu à d’âpres polémiques. Les deux actrices ont évoqué les humiliations infligées pendant le tournage par le réalisateur Abdellatif Kechiche. « J’avais l’impression d’être une prostituée, raconte Léa Seydoux. Quand, devant trois caméras, vous devez simuler un orgasme pendant six heures… Que dire ! Ça a été horrible.» La Vie d’Adèle, récompensé par la prestigieuse Palme d’or à Cannes en 2013, marque un tournant notable dans l’histoire du cinéma – à la fois comme une injonction à la protection des acteurs, mais aussi comme un encouragement à continuer de casser les codes du cinéma mainstream américain et sa tentation du sexe hétéronormé.
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Spécial sexe: hétéros passifs, la fin d’un tabou


L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans


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Publié le 19 août 2010 à 10h52 Mis à jour
le 19 août 2010 à 10h52

Détail de l'affiche du film "L'homme est une femme comme les autres".
Se faire pénétrer analement par sa copine ? Une pratique qui ne semble plus un tabou. Enquête sur ces hétéros qui jouissent sans complexe avec leur cul.
« Bonjour, j’aimerais savoir si les hommes qui aiment se dilater l’anus sont tous gays, car j’ai vu sur un forum un gars qui dit qu’il s’enfile des tournevis, mais il affirme également qu’il n’est pas gay, je trouve ça étrange. »
La question que pose un jeune internaute avec une candeur de SMS peut faire sourire par son aspect désintéressé ; elle n’en reste pas moins cruciale.
La pratique anale chez les garçons est-elle – tournevis mis à part – une affaire de pédés ? On ne parle pas de la pratique anale qui consiste à sodomiser sa partenaire. On sait depuis les années 1950 et le rapport Kinsey, qui a ouvert les yeux du monde sur les comportements sexuels des Terriens, que la sodomie est une activité, sinon habituelle, du moins courante chez les couples de toutes obédiences. Il suffit pour s’en convaincre de regarder la plupart des pornos hétéros et d’observer la régularité du triumvirat pipe-baise-sodo, cette dernière étant devenue une obligation du genre. Ou d’écouter avec une attention soutenue une conversation de vestiaire (qui est publique, comme chacun sait depuis les propos d’Anelka) et son lot de vantardises anales.
Mais pour ce qui est du propre cul des mecs hétérosexuels, la littérature scientifique est pauvre et les déclarations de type « j’adore me faire prendre » sont rares, voire risquées dans certains contextes. Pourtant, la stimulation anale est tout aussi agréable pour l’homme que pour la femme et la sodomie peut être la source d’orgasmes puissants dont sont privées les demoiselles, faute de prostate.
« Un orgasme qui engage le corps entier »
« L’orgasme prostatique peut provoquer un plaisir d’une intensité qui n’a rien à voir avec l’orgasme éjaculatoire, confirme le sexologue Alain Héril. Alors que l’orgasme classique ne concerne que les parties génitales, celui de la prostate, qu’on peut atteindre même avec les doigts, remonte le long de la colonne vertébrale et engage le corps entier. »
Pourquoi diable les garçons se priveraientils dès lors de ce nirvana sensoriel ? « Ils ne s’en privent pas du tout, affirme Cécile, dont le CV sexuel tient de l’entreprise sociologique.
Les mecs un tant soit peu libérés refusent rarement qu’on s’occupe de leur cul, quand ils ne prennent pas eux-mêmes l’initiative », raconte la jeune trentenaire. Pour elle, le fait de pratiquer l’anulingus « fait partie des conditions de politesse » que l’on doit à son partenaire. « Le cul des mecs, tu peux t’en occuper mais il ne faut pas la ramener après. La règle tacite, c’est qu’on ne doit jamais en parler », confirme l’une des auteurs de Kata Sutra, la vérité crue sur la vie sexuelle des filles, ouvrage dans lequel un chapitre est consacré à cette question taboue.
« Je prends du plaisir avec mon anus, suis-je un homosexuel refoulé? »
L’internet et ses formidables possibilités d’anonymat fournissent un bon indicateur du drame intérieur que vivent les garçons qui ont découvert les joies interdites de l’anus. Les forums fourmillent de topics dont l’interrogation centrale se résume ainsi : « Je prends du plaisir avec mon anus, suis-je un homosexuel refoulé ? » Trouble normal selon Louis-Georges Tin, auteur de L’Invention de la culture hétérosexuelle :
« Une injonction non verbalisée, mais présente partout, prescrit qu’un vrai garçon n’est ni un bébé, ni une fille, ni un pédé. Et ce statut masculin ne s’acquiert pas une fois pour toutes comme un diplôme : l’homme doit démontrer chaque jour qu’il est un homme, y compris à lui-même. »
Bref, l’hétérosexualité, ce douloureux problème, implique, en plus de cracher dans la rue, de se tenir à une distance raisonnable de ses fesses. « Les garçons apprennent très tôt la fierté de dominer leur anus et la société dresse la liste des parties du corps avec lesquelles ils sont censés prendre du plaisir. Les tétons et l’anus n’y figurent pas. Or, les individus se définissent sexuellement autant par leurs goûts que par leurs dégoûts. Et il existe un véritable rejet de l’anus, qui confine à la sodophobie », analyse Tin.
Au point que certains hommes, pourtant à l’aise dans leur identité hétérosexuelle, se refusent à impliquer leur derrière. C’est le cas de Romain, dont la copine a tenté plusieurs fois d’approcher la croupe.
« Je ne peux pas dire que je trouve ça désagréable, mais ça me paralyse, comme si c’était sale ou trop subversif. Ça me coupe du trip. Ce serait pareil si elle me sortait un fouet, je découvrirais peut-être que j’adore qu’elle me fasse un peu mal, mais je ne suis pas sûr d’avoir envie de le savoir. »
Les filles ne sont pas non plus à l’abri de ces blocages psychologiques qui font barrière à leurs fantasmes de pénétration :
« Je peux ressentir une certaine excitation devant un cul offert, avoue Anne, mais j’ai toujours un peu peur que le mec soit un pédé refoulé. Si je lui mets un doigt, je ne peux pas m’empêcher d’avoir l’impression d’être méchante, et si je m’imagine en train de le prendre debout avec un gode, c’est carrément comme s’il se mettait en robe. »
« Le couple masculin-féminin s’est construit dans nos sociétés autour de la notion d’actif et de passif, explique le psychiatre Serge Hefez, auteur de Dans le coeur des hommes . Le garçon doit être actif et érigé, la femme accueillante, dans tous les sens du terme. On retrouve ce point de vue dans l’antagonisme vagin-pénis. Pourtant nous assistons à un mouvement de fond : garçons et filles se rapprochent psychiquement. »
Mathieu, 31 ans, papa d’un petit garçon, se définit comme un hétéro classique, « peut-être un peu plus ouvert que la moyenne ». Il y a huit ans, sa copine de l’époque lui a fait découvrir qu’il disposait d’un organe sexuel supplémentaire. « Depuis, j’y vais. Ça doit se voir que j’aime ça, je suis partant pour tout même si je ne me suis jamais fait prendre complètement, plutôt parce que ça ne dit pas trop à ma copine. »
« Une sensation de partage super jouissive »
Cette passivité, loin de lui faire craindre une homosexualité refoulée, semble le conforter dans son identité d’homme et approfondir sa relation de couple :
« C’est quasiment une forme d’honnêteté pour moi, comme assumer une part de soi avec elle, ça nous sort du rôle où le mec coupe du bois pendant que la fille fait la cuisine, ça enrichit notre relation. Elle m’offre un truc, mais je n’ai pas l’impression d’être plus féminin quand je le fais, ça n’est pas plus passif qu’une pipe. Par exemple, quand elle me pénètre avec ses doigts pendant que je suis en elle, il y a une sensation de partage super jouissive. » Complètement à l’aise avec le sujet, Mathieu en parle même volontiers avec ses potes : « Ce n’est pas de la fierté, mais j’ai une certaine satisfaction à me montrer comme un garçon moderne », convient-il.
De là à dire que le doigt dans le cul est la meilleure arme féministe, il n’y a qu’un pas, comme le laisse entendre Serge Hefez : « L’autorité parentale est en train de remplacer la puissance paternelle dans l’imaginaire collectif. Les papas actifs accompagnent leur enfant de manière différente, depuis leur présence à l’accouchement jusqu’à la manière d’élever leur fils. Si bien que le garçon ne voit plus l’utilité de se construire un bouclier défensif. »
« Déjà ado, j’accueillais beaucoup d’objets dans mon cul »
Siegfried, un garçon de 37 ans au look légèrement ambigu, affirme ne pas s’être construit de manière très libre : « Sade m’a plus influencé que mes parents, raconte cet amateur de gode-ceinture, de fist-fucking et de SM. Déjà ado, j’accueillais beaucoup d’objets dans mon cul, j’ai ensuite fait mon chemin, même si certaines personnes m’ont quitté à cause de mes pratiques anales. Ce qui m’a orienté vers des cercles plus transgressifs qui m’ont permis d’éclore à la vie. »
Dans cette éclosion, il découvre son corps comme outil de toutes les pratiques, sexuelles, sportives, artistiques (Siegfried est très tatoué) au point « que ces pratiques peuvent parfois prendre le pas sur la nature du partenaire ». S’il préfère les filles (mais pas forcément celles correspondant aux clichés féminins), la recherche du plaisir l’a amené à faire l’amour avec des garçons.
« A la fois parce que je trouve dans le monde homosexuel une facilité d’accès à ces choses qui sont moins évidentes pour les filles, mais aussi parce qu’il y a un véritable plaisir à se faire prendre par un organe vivant et pas toujours par du latex, où les sensations sont complètement partagées. »
L’industrie du sex-toy commence à envisager des godes pour mecs qui procurent en même temps du plaisir à la partenaire. Le Share que met en vente Passage du désir, le sex-shop parisien et lillois, qui s’affranchit du gode-ceinture en s’ac
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